[Réserve de bonbon] Aujourd'hui, c'est apéro party !

Anonymous
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Sam 28 Juin - 13:43
Description de la pièce :
Cette pièce est faite d’étalages en tout genre.  Il y a des bonbons partout, des gâteaux, des pâtisseries et des flacons remplis de liquides de toutes les couleurs. La pièce n’est pas grande, et les étagères et autres vitrines rétrécissent encore l’espace faisant ainsi paraitre l’endroit comme un long couloir. Il y a un tapie en forme de fraise au sol, des poufs collants comme des guimauves et les murs sont de couleur rose bonbon avec des motifs de bananes fuchsias. Des pendules en forme de fruit TRO KAWAAAAII sont accrochés un peu partout et sont, aux aussi, de toutes le couleurs.



Adénia était sortie de cette salle. Les personnes inconnues étaient encore endormies. Elle avait eu de la chance. Sur le coup. Malheureusement, tout ceci n’était peut-être pas qu’un rêve, car, sinon, elle serait déjà retournée dans son lit douillet, avec ses dames de compagnies  et quelqu’un d’autre. Qui ça ? Elle ne sait plus. Il devait surement être important et ne plus savoir son nom l’irritait au plus haut point. Perdue dans ses pensées, elle se prit un mur qui n’en était pas un et tomba dans une pièce aux allures de confiseries. Se relevant -car oui, elle n’a AUCUN équilibre - elle regarda les murs rose bonbon et aux motifs de coccinelle fushia et banane de la même couleur, mais aussi, avec stupéfaction et gourmandise, les étalages et autres meubles couvert de bonbons et petits gateaux donnant plus l’eau à la bouche les uns que les autres… Mais il manquait quelque chose. Quelque chose de primordial. Du thé.

Il n’y avait pas de thé. Aucun. Que dalle, même. Adénia ne pouvait comprendre le pourquoi du comment de cette pièce s’il n’y avait pas un gramme de son infusion au thé vert favorite. Elle était à deux doigts de disjoncter - ouioui, elle peut disjoncter - et ressentie une profonde colère. Sa bouche devenait très vite asséchée et vivre sans thé n’était pas vivre. Une frustration débordante semblait monter en elle quand, tout à coup, elle vit, à l’autre bout de la pièce, une tass de thé sentant bon sa boisson favorite. Elle courut pour l’attraper, même si elle n’était qu’a quelque mètre de celle-ci, et paru d’autant plus énervée quand la tasse bondit et s’échappa de ses mains. Notre chère poêle à frire ne se rendit pas compte tout de suite que cet objet avait bougé, mais elle s’en fichait totalement. La tasse n’avait pas de thé à l’intérieur. Qui avait pu lui faire cet affront, à elle surtout ? Folle de rage, mais surtout folle sur les bords, elle écrasa la porcelaine en milles morceau. Apaisée par ce « meurtre », elle redécouvrit l’endroit et fut attirer par un petit flacon. Il y avait écrit « bois-moi ». Ni une, ni deux, elle décida de boire le liquide vert fluo qu’il y avait à l’intérieur et sentie sa tête cogner contre quelque chose. Et oui, notre chère Adé’ venait tout juste de revisité le conte d’Alice au pays des merveilles, et le fait qu’elle est grandi la sauvera peut-être de la théière et de ses acolytes qui accourait vers elle.

Résumé:


Dernière édition par Adénia le Mar 22 Juil - 22:10, édité 1 fois
Folie d'Esquisse
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Folie d'Esquisse
Sam 28 Juin - 14:47


Attirées par la douce odeur de sucreries, une agrafeuse géante et ses alliées - des chaussures de de sport qui sautillaient autour d'elle - entrèrent dans la réserve de bonbons, fermement décidées à tout casser. Tandis que les souliers piétinèrent le sol avec entrain, leur leader entreprit de cracher des agrafes en direction de la jeune fille qui encombrait la pièce...





(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
Anonymous
Invité
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Mar 22 Juil - 22:46
Au final, la théière et ses amies n’en étaient pas, justement. A leur place, une agrafeuse géante de la taille de son pied - elle doit désormais bien chausser du 54 et quelque - suivit de chaussures défrichées que pourrait chausser un homme d’un grade bien inférieur au sien, accouraient vers elle et sans une once de pacifisme. D’ailleurs le machin truc en fer lui lançait des agrafes. Pourquoi ? Cherchez par vous-même, fainéants… Hum, bref. Les chaussures faisaient du bruit en marchant sur le sol. Trop de bruit pour notre amoureuse du thé préférée qui n’en pouvait plus, surtout avec les écorchures qu’allait surement provoquer le gros méchant objet de bureau un peu trop grand à son goût. Alors, grâce à sa graaande taille, elle essaya de piétiner cette dernière, sans grand succès. Elle continua mais n’y arriva toujours pas. Comprenez que ne pas réussir quelque chose la mettait fortement en colère. Elle est bien trop parfaite, elle ne peut, d’après elle, pas ne pas réussir tout ce qu’elle entreprend -même si nous, lecteurs et moi-même, Narratrice, pensons totalement l’inverse, n’est-ce pas ? - et donc elle devait absolument réduire à néant cette crapule qui n’a même pas lieu d’exciter. Elle chercha dans la pièce quelque chose qui pouvait l’aider à terrasser ce mini boss de jeu vidéo mais ne parvint à trouver qu’un chewing-gum prémâché… Qu’elle prit des bouts des doigts, faignant un petit rictus de dégoût. L’agrafeuse lui lança un ultime coup d’agrafe -ouioui- mais notre poêle à frire favorite réussi à coller le bonbon visqueux sur l’endroit où la petite terreur lançait ses projectiles. On ne sait pas comment cela s’appelle et puis la narratrice n’a pas que ça à faire que de chercher le nom de si petit machin qui ne sert à rien… Hum, je m’égare.

Enfin, après que celui-ci se soit tu une bonne fois pour toute, elle se retourna pour voir ce qui se cachait derrière elle, car, d’ailleurs, elle ne savait pas où les baskets c’étaient cachées. Elle le sut tout de suite quand elle sentit qu’on al poussait dans son dos, même si c’était plus que des baskets. Un coup d’œil lui suffit pour comprendre ce qui se passait. La théière et sa tasse, accompagnées de sachet d’infusion et de bouilloires remplies d’eau lui martelais les cuisses. Adénia cria de râge -ôlalala- et ne put s’empêcher de dire d’autres mots du genre, hum… « Sales pervers. Sale… Sales trahiseurs même ! »La narratrice ne s’excuse pas pour les mots employés. Elle vous em… bistouille. Et puis, vu que les objet n’en avait rien à battre de ses sortes de petites insultes et de ses cris totalement aiguës, ils continuèrent à la pousser, se faisant même rejoindre par d’autres amis. Pour quoi faire ? Adénia ne savait pas car elle se retrouva, sous leurs coups, propulser vers une sorte d’arrière cuisine.

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