Réfectoire

Est-ce une déformation professionnelle de me dire que dans un autre contexte, ces taquineries auraient un touuuuuuut autre sens ? En tout cas je ricane.

Dommage, c'est pas du roti de boeuf, pour quelqu'un revenu sur le plancher des vaches...

Ouais, c'est moisi. Ah sinon, en redescendant aussi sur le dit plancher, j'ai le nez pile à bonne hauteur pour dénicher un truc.

Tiens, Al, si tu veux couper le roti, t'as de quoi, là!

J'vais le laisser l'attraper par contre, lui a des pouces opposables.

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N’ayant pas un esprit aussi grivois que celui de Morgan, Al n’avait pas tiqué sur le moindre sous-entendu dans la discussion. Et ne fit rien pour arranger la situation puisque quand Pearl lui demanda de tout donner, il répondit par un « Ça va être difficile mais je vais y aller à fond… » avant de mimer un effort colossal en dépit du fait que ça ne lui en demanda presque aucun.

Et voilà que même Morgan se mettait à raconter n’importe quoi. Tout en étant… étrangement efficace — à un point que c’en était presque effrayant — dans ses activités de fouille.

« Si je cherche quoi que ce soit à partir de maintenant, je vais faire appel à toi, hein… »

Il attrapa donc ce qui s’avérait être un set de quatre épais couteaux de cuisine… qu’on avait rangé bien près du sol pour maximiser le risque d’accident et minimiser la probabilité qu’on le remarque. À croire qu’il y avait un chat aussi parmi les cyantifiques et que c’était lui qui cuisinait.

« C’est le genre de couteaux que j’aurais voulu avoir en affrontant l’araignée… » marmonna-t-il pendant qu’il déplaçait ce qui restait dans une assiette qu’il tendit à Pearl. « “Bon” appétit. »

Après avoir déposé l’assiette de Morgan là où elle le voulait (il pointa de la tête une table, des fois qu’elle veuille conserver un peu de dignité, mais ne rechignerait pas à la déposer à ses pieds si elle préférait), il attrapa une chaise et se posa à côté des deux filles pour patienter le temps qu’elles dégustent —ou au moins goûtent—, non sans aviser les couteaux.

C’est qu’en 25 jours dans l’Esquisse, il serait peut-être temps de commencer à avoir une arme sur soi. Bon, il avait plus envie de garder le mètre-de-plus-d’un-mètre que le matériel de cuisine, mais en étant pragmatique plus de deux secondes, il devait admettre que la règle n’avait pas d’utilité claire en-dehors de cette pièce et des jeux de mots de type "Alors comme ça, l’Objet, tu veux te mesurer à moi ?" qu’on pouvait faire avec. Jeux de mots qui, en plus de ne pas contribuer à la survie, ne feraient plus rire personne après la première utilisation.

Il se décida donc à embarquer un grand couteau aux bords lisses qui ne rentrait dans aucune de ses poches et qu’il devrait donc trimballer à la main en espérant avoir assez l’air d’un geek fatigué pour ne pas être pris pour un psychopathe.

Bon et puis, il en restait trois donc…

« Morgan je demande pas… Mais, Pearl, tu as une arme sur toi ? »
Il avisa sa guitare.
« La musique ne compte pas, sauf si tu sais jouer très mal. » précisa-t-il, évidemment sans savoir.

Résumé:

Pendant un bref instant, tu t'es retrouvée transportée dans le passé, à ces soirées mémorables avec tes amis, où vous riiez en lançant des sous-entendus souvent très suggestifs au cours de vos conversations.

Cependant, le délicieux parfum du plat qui se présente devant toi te ramène rapidement à la réalité. Sans vraiment prendre le temps de manger proprement, tu te mets à dévorer le rôti que Al a servi. La vache, c'est tellement bon !

Entre deux bouchées, tu parviens à articuler un sincère : "Ouah, merci, c'est vraiment délicieux."

À mesure que la faim s'apaise, tu as l'impression de reprendre un peu de force, ne serait-ce qu'un tout petit peu.

Tu t'arrête même entre deux bouchées pour répondre à la question de Al.

"Jouer très mal, ça, je peux le faire !" plaisantes-tu en haussant les épaules. Bien sûr, tu pourrais faire vibrer les cordes de ta guitare d'une manière tellement horrible que même les plus grands musiciens se retourneraient dans leurs tombes. Cependant, en ce qui concerne la lutte contre les Objets, je doute que cette méthode soit très efficace.

"Mais, il s'est passé un truc bizarre deux ou trois fois avec ma guitare. Elle s'est transformée en une espèce d'épée. J'ai fait un peu d'escrime, alors je sais faire quelques trucs avec. Le problème, c'est que je n'ai aucune idée de comment déclencher ce truc."

Pas très utile donc, mais c'est toujours mieux que rien. Tu prends une autre bouchée de ton repas tout en réfléchissant.

"Mais sinon, je peux bien donner des coups de guitare. J'ai toujours trouvé que ça manquait aux classes de bardes dans les jeux."

Bon, les sauts sur une chaise, puis sur la table se sont bien passés. Je suis bonne à chercher, hein ? J'imagine qu'il faut bien que je sois bonne quelque part, même dans ce corps de chat. Pour preuve...

Tiens, tu avais remarqué cette veste, sur la chaise ?

Roulée en boule sur l'assise du siège, elle ne doit pas être visible de leur position, mais pour moi, parfaitement. Bien mon jet de fouille euh pardon mon escalade jusqu'à la table achevée, je n'ai plus qu'à me débattre avec le rôti d'araignée. Mes dents coupent pas trop mal mais je suis quand même obligée de m'y reprendre à plusieurs fois pour arracher de petites bouchées à mon assiette, et de maintenir le reste de ma patte... Pas très pratique.

Merci Al.

Non, parce que j'ai été bien élevée. Je les laisse discuter un peu. Tu jouerais donc une Barbarde? Inconvénient majeur de la proposition, c'est qu'une fois la guitare cassée sur la tête de quelqu'un elle ne sera plus d'aucune utilité. A moins que ce ne soie l'action de frapper avec qui la transforme en épée ?

Sinon, prends peut-être un couteau? En l'enveloppant dans quelque chose pour en faire un fourreau ?

Par contre j'ai l'impression que...

C'est moi ou ça s'agite, dehors ?

Y a du monde dans le couloir... Pas le moment de sortir, si on veut pas se trouver embauché à je ne sais quoi. Comme Rosalina qui me prend pour un coursier...

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Avant d’avoir la discussion du couteau avec Pearl, il avait réagi à sa satisfaction par un "J’imagine que tout est bon quand on a faim…” légèrement dégoûté, et à la veste de Morgan par une tentative de faire mieux que sa myopie fit échouer lamentablement. Il se rabattit cependant un “Et toi, tu remarqué cette table, juste à côté de la chaise ?”. Le remerciement avait, lui, provoqué une légère gêne qui l’avait rendu vaguement silencieux.

Enfin. Retour au présent. Cette histoire de guitare l’intriguait vaguement. Il n’eut cependant pas le temps de réfléchir à une réponse sérieuse que Pearl lui arracha un rire, que le commentaire de Morgan rallongea un petit peu.

— J’aime bien l’idée… Tu n’as pas intérêt à avoir tout mis en dextérité par contre, ou alors à savoir frapper pile le point faible de l’adversaire.

Il imagina vaguement Pearl utiliser des techniques d’acuponcture pour donner des coups de guitare dans les chakras de ses ennemis après les avoir étourdis avec des fausses notes. Même s'il était plutôt mage dans les MMO, il aurait au moins essayé un tel gameplay.

Enfin, à défaut d’être dans un MMO, le conseil de Morgan était raisonnable. Il tendit donc un couteau, mais... avant même d’avoir pu faire une blague sur le fait qu’il risquait peut-être de se transformer ponctuellement en guitare, le chat donna l’alerte.

— Je dirais bien que c’est toi mais tu as le bénéfice du doute.

Il commença à se dire que c’était presque du gâchis de l’avoir dans l’équipe des glandeurs alors que ses spider-sens en feraient une si bonne éclaireuse.
...Mais ce serait donner raison à Rosalina alors il balaya tout de suite la pensée.

— On fait quoi alors ? On prépare une embuscade ? plaisanta-t-il en levant son couteau.

Résumé:

Ton roti a disparu plus vite que tu ne l'aurais cru, et tu pousses ton assiette vide avec un soupir de satisfaction. Rien de tel qu'un bon repas pour remonter le moral. Depuis que tu es arrivée ici, chaque jour semble une éternité. Tu te surprends à rêver de retrouver ton petit appartement tranquille.

Un bon repas - loin de cette purée violette affreuse- , des conversations animées et quelques rires, ça ne fait que quelques jours que tu es ici, mais cela semble être une éternité depuis que tu as quitté ton petit appartement tranquille pour atterrir dans ce monde bizarre.

"Barbarde, c'est un nom cool," lances-tu en griffonnant quelques notes rapides sur ton carnet.

Tu acquiesces aux paroles de Morgan en saisissant le couteau qu'Al te tend avec gratitude. "C'est clair, ça pourrait être utile", réponds-tu, espérant secrètement être capable de l'utiliser efficacement.

Alors que des inconnues se profilent à l'horizon, tu te prépares mentalement à cette nouvelle rencontre. Bien que tu redoutes un peu de devoir puiser dans tes réserves d'énergie sociale déjà bien vides, tu te forces à afficher un sourire, prêt à faire face à ce qui pourrait arriver. Un frisson subtil parcourt ta colonne vertébrale, mêlant anticipation et nervosité.

Résumé:

La pause a fait du bien, mais les voix dans le couloir sont un rappel à la réalité. J'approche de la porte, ma queue sifflant d'agacement lorsqu'Al propose une embuscade. Ce n'est pas tant contre sa blague que je suis irritée que contre Rosalina et la certitude qu'on va nous envoyer à droite et à gauche. Ca m'énerve aussi de voir le frisson nerveux de notre nouvelle recrue, et je passe entre ses jambes pour la rassurer. Les voix s'amenuisent, j'entends des portes se fermer.

Je crois qu'ils sont partis. On en profite pour filer à l'anglaise ?

Enfin, d'abord je jette un dernier tour d'horizon à la recherche d'un objet qu'on aurait pas vu. Et je ramène en tapant dedans une pipe bizarre.

[Parce que j'aime jeter les dés! Surtout ceux là !]

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N’ayant pas accès à la narration de Morgan, Al avait pris son sifflement pour une désapprobation et instantanément cru qu’il était allé trop loin dans la blague, ce d’autant plus que Pearl se montrait plutôt silencieuse. Heureusement pour lui, il n’était pas assez compétent socialement pour avoir plus d’éléments — à tout hasard la nervosité de Pearl — à surinterpréter.

Mais malheureusement pour lui, ce qu’il percevait était déjà suffisant pour se sentir mal à l’aise. Il marmonna donc un « Je plaisantais… » et détourna le regard et ne sut trop quoi dire jusqu’à ce que Morgan ne reprenne la parole.

Il hésita à commenter que chez lui, on filait à la française, mais partit sur une réponse plus mitigée.

« Allez. Tu sais où est la salle informatique ? (Pendant que Morgan allait se balader on ne sait où, il regarda Pearl) Enfin, sauf si tu préfères retourner dormir… »

Sitôt le chat revenu, il avisa la pipe (et non le Pip comme j’avais commencé à écrire). Soit elle en faisait trop avec ses histoires de fuite à l’anglaise, soit elle était jalouse de ne pas avoir d’objet sur elle, en tout cas c’était une vision… digne de l’Esquisse. Il fit lui-même quelques pas dans le réfectoire pour voir s’il trouvait un gadget amusant. Son regard retomba sur la veste, qu’il attrapa finalement pour voir si elle était à sa taille, avant de remarquer juste à côté une espèce de lame cassée. Malgré l’avantage certain que présentait le fait d’avoir deux limes plutôt qu’une, il était peu disposé à l’apprécier, ne voyant ni l’utilité d’un tel objet, ni de quelle façon divertissante il pourrait être inutile.

Au moins, le vêtement lui allait, même si c’était tout juste. Et… clairement pas la couleur la plus discrète pour se faufiler dans un laboratoire. Au pire il attirerait l’ennemi pour permettre à ses deux acolytes de s’enfuir dans quelque scène héroïque… Ou, juste, il la donnerait à Kaoren. Ce serait assorti à ses cheveux et à sa morphologie.

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Ton corps se relâche instantanément lorsque la femme-chat annonce le départ des autres. Une chose de moins à gérer, c'est toujours ça de pris. Honnêtement, tu n'es pas sûre de pouvoir supporter les interrogations d'autres personnes pour le moment. Tu as rencontré deux types super cools, mais tu doutes que tout le monde ici soit du même acabit. Peut-être que tu te trouves dans un paradis... Un paradis abandonné par son créateur, cela va de soi. Tu prends quelques instants pour réfléchir à ta vie. Ouais, tu n'y aurais probablement pas ta place. Pas que tu sois une mauvaise personne, mais tu ne suis pas toujours les règles à la lettre.

Mais bon, revenons à nos moutons. Tu ne sais pas trop quoi faire pendant que tes deux acolytes fouillent la pièce. Tu n'oses pas vraiment te lancer, tu ne te sens pas vraiment à ta place, et tu aurais l'impression de fouiner dans la maison de quelqu'un. Tu observes avec amusement Morgan se balader avec sa pipe (qui n'en est pas une) et Al qui enfile cette veste aux couleurs plutôt douteuses. Puis tu jettes un coup d'œil à tes propres cheveux verts pétants qui tombent sur ton pull violet parsemé de taches rouges. Bon ok, tu n'es peut-être pas en position de juger, tu as quand même un peu l'air d'un clown.

"Non non ça va. La salle informatique, c'est cool !"

Ta curiosité prend le dessus sur ta fatigue. Et puis, tu pourrais peut-être trouver un moyen d'être utile là-dedans. Tu ranges le couteau dans la poche ventrale de ton sweat, histoire de ne pas avoir l'air trop menaçante avec un couteau de cuisine à la main, et te diriges vers la sortie de la pièce.

"Je vous suis !"

Résumé:

La salle informatique ? Si je me souviens bien du plan, c'est à notre opposé, au premier étage. La queue s'enroulant et se déroulant en point d'interrogation, je profite de la porte ouverte par Pearl pour avancer dans le .

Vient des couloirs

La pièce est mieux éclairée, bien plus propice à y jouer quelque chose de simple. Kaoren ne parvient toujours pas à apercevoir André, ni entendre son bourdonnement, mais l’endroit est grand. Il n’ose pas vraiment appeler son nom ; en principe, leurs personnages ne sont pas particulièrement censés essayer de se retrouver, Kaoren ne le sait que d’une confidence de Morgan. Il vaut mieux éviter de le clamer à voix haute, et se contenter de le chercher sans afficher que c’est lui qu’il cherche.

Il commence donc à inspecter entre les tables. La gravité particulière de la pièce lui donne un pas léger et discret qui lui sied parfaitement dans cette situation, mais il s’efforce de ne pas en abuser ; il ne faudrait pas qu’il s’envole, cela attirerait l’attention sur lui avant qu’il soit bien sûr que c’est ici qu’il doive se rendre. Il se contente donc de sillonner lentement dans la pièce, retournant des objets sans importance et les remettant toujours bien en place. Ce n’est pas qu’il s’attende à trouver André sous une assiette, mais il préfère détourner les yeux de l’audience par des actions inconséquentes pour le moment.

Résumé:

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'Réfectoire - Tables' : 2

En retournant le réfectoire, Kaoren met la main sur un petit lot de capsules de verre contenant des aliments végétaux de toutes sortes, le tout caché derrière un buffet au coin de la pièce. Une aubaine, se dit-il ; c’est précisément ce qu’il était venu chercher : quelque chose qui se trouve à sa place, quelque chose qu’il est normal de trouver où Kaoren le cherche, et qui ne retiendra l’attention de personne. Les regards inattentifs de l’audience ne verront qu’un personnage ranger des pots de légumes dans une cuisine. Il prend le temps de les empiler sur un comptoir à proximité, non par soin – la gravité particulière de la salle ne permettrait pas de les faire tomber par accident –, mais surtout pour éviter de précipiter son action. Il ne veut passer que quelques instants ici, mais il doit rester assez longtemps pour justifier sa présence sans qu’on ait l’impression que quelque chose le tire ailleurs.

Le tout bien agencé, Kaoren contemple son œuvre un instant, mais se ravise rapidement ; il ne doit pas non plus donner l’air d’y accorder trop d’attention, ce n’est qu’une simple tâche quotidienne. Après avoir regardé une dernière fois autour de lui si la silhouette d’André n’apparaît nulle part, il finit par retourner vers la porte d’un pas tranquille en apparence. Son compagnon devait se trouver plus loin dans le couloir, quand Morgan le lui a signalé ; il n’a plus qu’à espérer qu’il n’en ait pas bougé.

Suite dans les couloirs

Résumé:

Précédemment

— Et nous y sommes ! indiqua-t-elle à Pip en entrant dans le réfectoire.

Elle posa les affaires au sol, en évidence, au cas où quelqu’un en aurait besoin.

— Tu peux tout poser ici. Merci, Pip.

Puis, dans le doute, elle s’approcha d’un placard pour l’ouvrir, au cas où il y aurait quelque chose à manger, en cas de fringale soudaine.

résumé:

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'Réfectoire - Cuisine' : 2

Maximum 100 caractères ! Messages : 44 Date d'inscription : 22/01/2024

Pip suit Alev et entre dans la pièce indiquée comme le "réfectoire". Cet intitulé l'inquiète au départ ... Refaire du noir ... L'être de lumière l'amène dans des lieux peu propices à la mission ...

Heureusement, Alev ne semble pas vouloir s'attarder. Les affaires posées, elle fait le tour rapidement, ouvre quelques placards, mais ne trouve rien. Pas de lumière ici non plus. Tant pis, d'après Dalton la fenêtre peut suffire pour éclairer. Il trouvera bien quelque chose pour libérer le vent et la lumière.

Pip sort donc du réfectoire et annonce à Alev qu'il remonte à la salle de bain.

"Je dois y aller, le jour va chasser l'obscur, l'autel parlera"

Résumé : Pip a terminé d'aider Alev, il repart vers la salle de bain.

Direction couloir bleu rdc

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'Laboratoire 3' : 1

Alev n'avait plus rien à faire dans le réfectoire et ne désirait pas laisser le jeune Pip seul. Elle le suivit hors de la pièce.

Suite

résumé: