[Grand-Place de la Ville] EVENT 01 ▬ L'ennui s'achève par le berceau de la vie et la mort.
Sam 22 Sep - 11:56
Vous voilà ici. Pas de soleil, pas de lune, juste une vaste étendue parme qui vous atteint, vous gagne, vous envahit. Vous, votre corps, votre cœur. Arpentez-vous les sombres recoins de la ville en quête d’une identité ? Écoutez-vous le murmure en essayant de comprendre ces voix qui fusent sur la grande place, et qui s’affrontent en de terribles joutes verbales ? Fixez-vous le clocher dans l’espoir d’y voir apparaître, un jour, un quelconque tic-tac - régulier et apaisant ? Dormez-vous dans un coin, pensant que c’est le seul moyen de sortir de ce monde ? Lisez-vous le ciel, tentant en vain de traduire tous les symboles qui y circulent ?
Désormais, il vous faut un but. Quelque chose à faire, l’espérance de toute une vie, le passe-temps d’une seconde, cela importe peu. Car l’ennui tue, et vous le savez très bien. C’est en s’enfermant dans une routine qu’on abandonne le changement, et qu’on s’engage soi-même dans ce chemin qui n’a qu’une seule habitude ; mourir à petit feu. Quoique, finalement, si on arrive à survivre jusqu’à la fin, jusqu’à mourir de lassitude, ce n’est pas plus mal, ça voudra dire qu’on a de la chance. C’est parce qu’on ne comprend pas que ça semble simple. Car après tout, savez-vous réellement quelle est la fin qui vous attend ?
C’est parce qu’on ne s’imagine pas l’ampleur du désastre. On pense que tout va s’arrêter d’une minute à l’autre, et que tout reviendra là où ça s’est arrêté. Cette réalité, ce ne peut en être une, n’est-ce pas ? Pourquoi vouloir voir ce qui devient évident à mesure que le temps s’écoule, si on peut continuer de se leurrer ? Alors qu’on peut tout simplement rire, penser que tout est beau est gentil, tandis que chaque objet attend de pouvoir vous disséquer. Mais, et vous le savez bien, ce serait un trop gros coup porté à votre raison que de vivre tout en assumant ce fait. Car au fond, vous n'avez plus aucune idée de la distinction entre rêve et réalité.
Tout ce que vous savez, c'est que, ce matin, vous avez eu l'idée de venir sur la grande place. Êtes-vous encore debout, où avez-vous trouvé un radiateur-canapé pour vous asseoir confortablement ? Ressentez-vous l'agacement de vous trouver là, sans avoir la moindre envie de bouger, au milieu de cette foule bruyante ? Exprimez-vous ouvertement votre joie de croiser autant de personnes dans ce monde si hostile ? Personne ne se ressemble ; rouge, bleu, rose, vert, toutes les couleurs se côtoient et s'assemblent pour former une palette chatoyante. Les objets gambadent joyeusement entre les gens, sans montrer la moindre once d'agressivité. Pour le moment. Mais vous, quel est donc votre avis personnel ? A moins que ce monde, vous rongeant de l'intérieur, vous ait dénué de tout sens de la raison.
Car c'est trop beau pour être vrai. Il n'y avait jamais eu autant de monde. Jamais autant de bonne humeur. Alors qu'on est censé avoir peur et se ronger les ongles ? Oh, certains rient, d'autres observent de loin, mais tous ont trouvé le moment réjouissant. Ne peut-on pas accepter ce monde-là ? Est-il si horrible ? N'y a-t-il aucun avenir ? Ces questions osent circuler dans votre tête. Et vous avez l'audace d'hésiter. L'affront de penser que l'Esquisse est belle. Et surtout, de penser qu'elle vous ménagera. Qu'elle vous laissera tranquille, rien qu'un moment, pour vous laisser savourer le bonheur de vivre.
Alors qu'il semble faire si beau, le doute n'a même plus la force de plomber l'ambiance. Dans l'essaim des discussions et des éclats de rire, pourtant, tous ne sont pas dupes. Quelque chose se prépare, tapis dans l'ombre en attendant. Attendant quoi ? C'est ça, le problème. On angoisse, se jette des regards inquiets, dévisage chaque personne une par une. Dessinateurs, on vous observe. Mais ce n'est pas nouveau, loin de là. Elle vous épie depuis que vous avez ouvert les yeux dans son royaume dégénéré et commencé à piétiner son territoire. Peut-être même vous a-t-elle parlé, dans quelque sombre recoin de la forêt casse-tête.
Dans l'ombre, des éclats de rire résonnent.
Cher public, prenez place sur votre siège, et surtout regardez attentivement ; le premier acte va commencer.
Désormais, il vous faut un but. Quelque chose à faire, l’espérance de toute une vie, le passe-temps d’une seconde, cela importe peu. Car l’ennui tue, et vous le savez très bien. C’est en s’enfermant dans une routine qu’on abandonne le changement, et qu’on s’engage soi-même dans ce chemin qui n’a qu’une seule habitude ; mourir à petit feu. Quoique, finalement, si on arrive à survivre jusqu’à la fin, jusqu’à mourir de lassitude, ce n’est pas plus mal, ça voudra dire qu’on a de la chance. C’est parce qu’on ne comprend pas que ça semble simple. Car après tout, savez-vous réellement quelle est la fin qui vous attend ?
C’est parce qu’on ne s’imagine pas l’ampleur du désastre. On pense que tout va s’arrêter d’une minute à l’autre, et que tout reviendra là où ça s’est arrêté. Cette réalité, ce ne peut en être une, n’est-ce pas ? Pourquoi vouloir voir ce qui devient évident à mesure que le temps s’écoule, si on peut continuer de se leurrer ? Alors qu’on peut tout simplement rire, penser que tout est beau est gentil, tandis que chaque objet attend de pouvoir vous disséquer. Mais, et vous le savez bien, ce serait un trop gros coup porté à votre raison que de vivre tout en assumant ce fait. Car au fond, vous n'avez plus aucune idée de la distinction entre rêve et réalité.
Tout ce que vous savez, c'est que, ce matin, vous avez eu l'idée de venir sur la grande place. Êtes-vous encore debout, où avez-vous trouvé un radiateur-canapé pour vous asseoir confortablement ? Ressentez-vous l'agacement de vous trouver là, sans avoir la moindre envie de bouger, au milieu de cette foule bruyante ? Exprimez-vous ouvertement votre joie de croiser autant de personnes dans ce monde si hostile ? Personne ne se ressemble ; rouge, bleu, rose, vert, toutes les couleurs se côtoient et s'assemblent pour former une palette chatoyante. Les objets gambadent joyeusement entre les gens, sans montrer la moindre once d'agressivité. Pour le moment. Mais vous, quel est donc votre avis personnel ? A moins que ce monde, vous rongeant de l'intérieur, vous ait dénué de tout sens de la raison.
Car c'est trop beau pour être vrai. Il n'y avait jamais eu autant de monde. Jamais autant de bonne humeur. Alors qu'on est censé avoir peur et se ronger les ongles ? Oh, certains rient, d'autres observent de loin, mais tous ont trouvé le moment réjouissant. Ne peut-on pas accepter ce monde-là ? Est-il si horrible ? N'y a-t-il aucun avenir ? Ces questions osent circuler dans votre tête. Et vous avez l'audace d'hésiter. L'affront de penser que l'Esquisse est belle. Et surtout, de penser qu'elle vous ménagera. Qu'elle vous laissera tranquille, rien qu'un moment, pour vous laisser savourer le bonheur de vivre.
Alors qu'il semble faire si beau, le doute n'a même plus la force de plomber l'ambiance. Dans l'essaim des discussions et des éclats de rire, pourtant, tous ne sont pas dupes. Quelque chose se prépare, tapis dans l'ombre en attendant. Attendant quoi ? C'est ça, le problème. On angoisse, se jette des regards inquiets, dévisage chaque personne une par une. Dessinateurs, on vous observe. Mais ce n'est pas nouveau, loin de là. Elle vous épie depuis que vous avez ouvert les yeux dans son royaume dégénéré et commencé à piétiner son territoire. Peut-être même vous a-t-elle parlé, dans quelque sombre recoin de la forêt casse-tête.
Dans l'ombre, des éclats de rire résonnent.
Cher public, prenez place sur votre siège, et surtout regardez attentivement ; le premier acte va commencer.
à vous de jouer !
Comme c'est le tout premier event, quelques conseils et consignes !
▬ La longueur des messages ne doit pas excéder 20 lignes, parce que si pour répondre il faut se taper une demi-heure de lecture ça va en rebuter plus d'un. Privilégiez l'action, les sentiments des personnages pourront être développés dans un autre RP en guise de flashback. :3
▬ Cette première partie est essentiellement un "bilan" de tout ce qui s'est passé précédemment, l'action viendra ensuite, ne vous en faites pas ! ^^
▬ L'event se déroule juste après tous vos RPs en cours, n'oubliez donc pas de prendre en compte ce que vous avez vécu précédemment.
▬ La partie 2 sera lancée dans dix jours.
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Sam 22 Sep - 18:07
Forlax était à assise confortablement sur son dos, la jeune monstre présumait qu'elle dormait. Après tous ce que cette petite avait endurée, la moindre des choses q' Arvalis se sentait obligée de faire. C'était prendre soin d'elle. Pourquoi cet endroit happait t' il des enfants ? Était t' il si sadique au point de vouloir leur faire du mal ? Ce n'était bien sur qu'un rêve, mais un rêve collectif. Arvalis ne savait pas trop comment l' expliquer mais et sentait que les gents d'ici ne venaient pas de son imagination. Ils étaient bien trop réels. À moins que ce soit elle qui soit un personnage fictif. Qu'ils soient tous des personnages fictifs. Non, elle avait eu une vie avant. Elle ne se souvenait que de brides mais elle était sure d'avoir connus d'autres endroits que celui ci. Elle ne pouvait pas n’être qu'un songe. C'était bien trop glauque pour qu'elle y pense de toute façon. Pourquoi ce torturer l'esprit. La connaissance est la mère de tous les maux. Autant vivre dans l'ignorance, non ?
Bonne question. La curiosité est un vilain défaut. Et c'était la première fois qu'elle s' interrogeait vraiment sur le sujet. Mais elle avait abandonnée bien vite. L' ignorance, c'est bien. Au moins, elle était plongée dans son petit cocon de douceur et de bonté, sans ce soucier vraiment de ce qu'il se passait autour d'elle. Mais maintenant qu'elle avait Forlax, les choses risquaient de changer non ? L'enfant était bien trop fragile pour se protéger toute seule, Arvalis s'en sentait vraiment responsable. Et puis, ce n' était pas comme si sa compagnie était désagréable.
Ses pattes la portère jusqu'à la place centrale. Hein ? Mais elles avaient voulus aller voir le lac ! C' était bien elle ça, se gourer sur un chemin aussi évident. Son sens de l' orientation était vraiment minable. Es ce que Formax lui en voudrait ? Certainement. Tient, il semblait y avoir des gents. Arvalis s'approcha de la place. Cet endroit était stressant. Trop de bruits, d'agitation. Et pourtant, elle sentait qu'elle devait en atteindre le centre. Arva était terrifiée mais elle continua courageusement. Elle tremblait comme une feuille, claquait des dents et se sentait défaillir. Réveillant son petit médicament pour l'avertir que quelque chose clochait. Il fessait trop beau pour que ce soit parfait, les objets étaient trop clames. Les choses n'étaient pas normales.
- Hé, Forlax. Réveille toi. Il va se passer un truc important.
Bonne question. La curiosité est un vilain défaut. Et c'était la première fois qu'elle s' interrogeait vraiment sur le sujet. Mais elle avait abandonnée bien vite. L' ignorance, c'est bien. Au moins, elle était plongée dans son petit cocon de douceur et de bonté, sans ce soucier vraiment de ce qu'il se passait autour d'elle. Mais maintenant qu'elle avait Forlax, les choses risquaient de changer non ? L'enfant était bien trop fragile pour se protéger toute seule, Arvalis s'en sentait vraiment responsable. Et puis, ce n' était pas comme si sa compagnie était désagréable.
Ses pattes la portère jusqu'à la place centrale. Hein ? Mais elles avaient voulus aller voir le lac ! C' était bien elle ça, se gourer sur un chemin aussi évident. Son sens de l' orientation était vraiment minable. Es ce que Formax lui en voudrait ? Certainement. Tient, il semblait y avoir des gents. Arvalis s'approcha de la place. Cet endroit était stressant. Trop de bruits, d'agitation. Et pourtant, elle sentait qu'elle devait en atteindre le centre. Arva était terrifiée mais elle continua courageusement. Elle tremblait comme une feuille, claquait des dents et se sentait défaillir. Réveillant son petit médicament pour l'avertir que quelque chose clochait. Il fessait trop beau pour que ce soit parfait, les objets étaient trop clames. Les choses n'étaient pas normales.
- Hé, Forlax. Réveille toi. Il va se passer un truc important.
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Sam 22 Sep - 23:42
Le temps s'est inlassablement écoulé. L'indigo a fait place au parme, encore et encore. Une nouvelle journée commence lorsqu'une autre vient de s'achever. Tu es lasse, ton corps faible. Que serait-il advenu de toi si Erylik n'avait pas été là ? Cette gentille boule de poils t'a, dans un élan de pitié, protégée d'une mort certaine, ensevelie sous des centaines de flacons en carton esquisséen. Une fois de plus, vous vous êtes sans grand mal débarrassées de l'autre Atarax qui projetait de te dévorer toute crue. Quelle affreuse idée ! C'est dans cette pensée que tu volais maintenant, confortablement allongée sur le dos de la créature, qui, semble-t-il, te croyais endormie. Mais, à vrai dire, tu ne l'étais qu'à moitié. Disons, pour faire court, que ton esprit perturbé ne savait que penser. De quoi ? De tout, voyons ! De cette Voix, de ces gens, de ce monde lui-même. Faisant route vers le lac, votre chemin croisait de temps à autre celui de quelques bulles, et, les saluant au passages, vous continuez gaiement votre petite ballade. Il faisait plus ou moins chaud, en ce moment, et cela ne pouvait qu'être apprécié par ton corps frêle et sensible. C'est donc dans une optique calme et sereine que tu voyageais sur le dos d'Erylik, épuisée par cette nuit blanche que tu venais de vivre. Or, votre chemin fut étrangement détourné. Par quoi ? Vous-même n'en savez rien. Mais le fait est que maintenant, vous vous retrouvez, une énième fois, dans cette ville, derrière ce clocher, entre ces enchevêtrements de maisons tarabiscotées. C'est alors que la voix - féminine - de ton amie te tire brusquement de tes pensées.
« Hé, Forlax. Réveille toi. Il va se passer un truc important. »
Ce à quoi tu réponds :
« Je... j'ai peur de m'en mêler, Erylik... »
Mais déjà, tu te retrouves entraîner par la foule, et par Erylik et ses puissantes ailes. Que se passe-t-il, quelle est donc la raison de cet attroupement ? Jamais tu n'as vu autant de monde réuni ici - tu commences, par ailleurs, à reconnaître certains visages. Un bruit se met à circuler parmi les rangs, des chuchotements retentissent plus fort que l'on l'aurait imaginé. Tu es effrayée par tant de nervosité, et commences même à t'imaginer mille fin à cette désastreuse tragédie. Poussée par la curiosité autant que par l'effroi, tu t'accroches désespérément à la douce fourrure d'Erylik.
« Mais... tout cela est si effrayant ! »
« Hé, Forlax. Réveille toi. Il va se passer un truc important. »
Ce à quoi tu réponds :
« Je... j'ai peur de m'en mêler, Erylik... »
Mais déjà, tu te retrouves entraîner par la foule, et par Erylik et ses puissantes ailes. Que se passe-t-il, quelle est donc la raison de cet attroupement ? Jamais tu n'as vu autant de monde réuni ici - tu commences, par ailleurs, à reconnaître certains visages. Un bruit se met à circuler parmi les rangs, des chuchotements retentissent plus fort que l'on l'aurait imaginé. Tu es effrayée par tant de nervosité, et commences même à t'imaginer mille fin à cette désastreuse tragédie. Poussée par la curiosité autant que par l'effroi, tu t'accroches désespérément à la douce fourrure d'Erylik.
« Mais... tout cela est si effrayant ! »
Mes chers dessinateurs, si vous n'êtes pas encore au courant, autant vous prévenir maintenant : Forlax = Mo, Erylik = Arvalis. Vive les noms de médicaments foireux o/
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Dim 23 Sep - 7:55
Ce matin, tu t'étais réveillée dans une ruelle, accotée à ce qui semblait être une poubelle, un certain poids contre tes cuisses. En ouvrant les yeux, tu t'aurais presque cru chez toi, avec un chien étendu à tes côtés, son museau appuyé sur toi... si ce n'était du ciel rose qui se tenait au dessus de ta tête et du crocodile touffu qui te regardait avec un regard un peu trop jovial à ton goût... était-ce de la gourmandise?
Le teint un peu blême, tu scrutas ton corps, t'assurant qu'il ne te manquait aucuns membres. Heureusement, ton corps semblait intacte. Ton regard se posa de nouveau sur le crocodile qui secouait la queue, joyeux, puis te tourna le dos pour s'en aller. Tu ne savais pas pourquoi, mais il fallait que tu le suive, il n'y avait pas d'options, c'était une obligation. Tu te levas, lentement et suivi l'animal sans te poser aucune question. Ton cerveau étais en compote, tu ne comprenais rien, fallait juste que tu le suive voilà tout.
Ce n'est qu'une fois arrivée à la Grande Place que ton cerveau se mit en marche. Mais qu'est-ce qui se passait au juste? Qu'est-ce que tu foutais ici? Pourquoi y avait-il autant de gens ici? Presque tous semblaient excités, toi, tu ne comprenais rien et regardais autour de toi sur tes gardes. Quelque chose clochait par ici... Tu t'adossas à un mur, peu à l'écart de la foule et te mis à examiner ce qui se passait... personne ne semblait s'inquiéter de quoi que ce soit, des objets se faufilaient gaiement entre les jambes des personnes présentent. Tous semblaient simplement attendre, parlant avec les autres, échangeant des sourires. Pourquoi cet attroupement? Il allait avoir un spectacle ici ou quoi?
En gros jfais la femme invisible et j'observe ce qui se passe, un post totalement inutile quoi .w.
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Mar 25 Sep - 20:45
Tu ne sais plus vraiment ce que tu étais venu faire ici. Selon le filet que tu portes à bout de bras, tu avais un plan contre les extraterrestres. Super trop Cool ! Maintenant, plus qu'à se souvenir de ce fameux plan ... Pour arriver vers ses ruelles sombres, tu avais dû faire le parcours du combattant ! Et c'est sérieux ! Pourtant, l'envie de savoir pourquoi avoir fait tant d'effort alors que tu étais tout essoufflé et pas vraiment en état de marcher et de porter un filet de 20 kilos après ton aventure avec cette fille pleurnicharde aux cheveux bleu clair, était forte. Tu aurais sûrement préféré t'endormir, mais maintenant, il était trop tard pour faire marche arrière: tu étais venu là dans l'espoir d'enfin pouvoir vaincre les mutants, alors quand tu repartiras, tu espères auras vaincu ces choses ! Alors sans un mot, tu continuais de marcher vers la grande place qui t'attirait. Des bruits s'échappaient de cet endroit. Tellement de bruit ! Un choral de Martiens ? Un alienne qui se fait manger par un autre ? Une casserole qui rote ? Non, une foule de personnes. Pleins de personne aux visages inconnus qui en donnent aucune envie de les approcher davantage, mais tu le fais quand même, jusqu'à être au centre de la grande place de cette ville loufoque.
Et puis BOUM ! Tu t'as croulé au sol, à genoux. Pleurant toutes les larmes de ton corps. Une sensation inconnue c'est faufiler dans ton corps: celui de la tristesse.
Jamais tu n'as été aussi triste. Jamais tu n'as autant pleuré en si peu de temps.
Tu ne sais pas ce qui se passe, pourquoi tu réagis ainsi. Tu aimerais rentré chez toi, serer ta mère dans les bras comme jamais tu ne la fais autrefois, lui dire "je t'aime" rien qu'une dernière fois. Tu aimerais dévaler les escaliers, te précipitez chez ton voisin de gauche, rigoler avec lui, écoutez ses histoires et le laisser dans sa dépression, te dire que toi, tu as de la chance de n'aps avoir vécu la même chose que lui. Même te fâché avec ton amie te manque. Tu aimerais ouvrir les te réveiller à la maison.
Et puis BOUM ! Tu t'as croulé au sol, à genoux. Pleurant toutes les larmes de ton corps. Une sensation inconnue c'est faufiler dans ton corps: celui de la tristesse.
Jamais tu n'as été aussi triste. Jamais tu n'as autant pleuré en si peu de temps.
Tu ne sais pas ce qui se passe, pourquoi tu réagis ainsi. Tu aimerais rentré chez toi, serer ta mère dans les bras comme jamais tu ne la fais autrefois, lui dire "je t'aime" rien qu'une dernière fois. Tu aimerais dévaler les escaliers, te précipitez chez ton voisin de gauche, rigoler avec lui, écoutez ses histoires et le laisser dans sa dépression, te dire que toi, tu as de la chance de n'aps avoir vécu la même chose que lui. Même te fâché avec ton amie te manque. Tu aimerais ouvrir les te réveiller à la maison.
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Mer 26 Sep - 6:42
« Je... j'ai peur de m'en mêler, Erylik... »
Que répondre à ça. Qu'elle aussi était morte de trouille ? Que la plus courageuse des deux n'était pas celle qu'elle pensait ? Arvalis poussa un gémissement, la foule les happaient littéralement. La grosse boule de poil fessait ce qu'elle pouvait pour ne pas encombrer le passage mais il lui arrivait quand même de bousculer quelques personnes. Aussi, des regards chargés de reproches les dévisageaient. Elle avait envie de disparaître sous terre. Arvalis sentit alors Forlax s'accrocher un peu plus a sa fourrure.
« Mais... tout cela est si effrayant ! »
Oui. Elle avait tellement raison. C'était abominablement effrayant. Arvalis en était tétanisée. Puis soudain, elle entendit des sanglots. Quelqu'un pleurait un peu plus loin. Les gents s'étaient formés en cercle, aussi, ce fut un peu dur pour elle de se faufiler et Arva du jouer des coudes.
C'est cette fille étrange qu'elles avait rencontrées aux bulles. Que fessait t' elle ici ? Et surtout, pourquoi pleurait t' elle ? Elle avait envie de bouger, d' aller la réconforter. Mais les gents en cercle l'observaient tous et chuchotaient, aussi si elle bougeait, elle serait le point de mire de tous ces yeux. Trop glauque pour être réalisable. Puis les mots jaillirent de sa bouche dans un tous petit filet de voix.
« Forlax... tu sait, j'ai peur moi aussi. Je suis tellement morte de trouille que je ne peux même pas bouger et … et … »
A ce moment, elle fut interrompue par quelqu'un qui lui avait mise une discrète tape sur l'épaule. Arvalis se tût immédiatement et ne fini jamais sa phrase...
Que répondre à ça. Qu'elle aussi était morte de trouille ? Que la plus courageuse des deux n'était pas celle qu'elle pensait ? Arvalis poussa un gémissement, la foule les happaient littéralement. La grosse boule de poil fessait ce qu'elle pouvait pour ne pas encombrer le passage mais il lui arrivait quand même de bousculer quelques personnes. Aussi, des regards chargés de reproches les dévisageaient. Elle avait envie de disparaître sous terre. Arvalis sentit alors Forlax s'accrocher un peu plus a sa fourrure.
« Mais... tout cela est si effrayant ! »
Oui. Elle avait tellement raison. C'était abominablement effrayant. Arvalis en était tétanisée. Puis soudain, elle entendit des sanglots. Quelqu'un pleurait un peu plus loin. Les gents s'étaient formés en cercle, aussi, ce fut un peu dur pour elle de se faufiler et Arva du jouer des coudes.
C'est cette fille étrange qu'elles avait rencontrées aux bulles. Que fessait t' elle ici ? Et surtout, pourquoi pleurait t' elle ? Elle avait envie de bouger, d' aller la réconforter. Mais les gents en cercle l'observaient tous et chuchotaient, aussi si elle bougeait, elle serait le point de mire de tous ces yeux. Trop glauque pour être réalisable. Puis les mots jaillirent de sa bouche dans un tous petit filet de voix.
« Forlax... tu sait, j'ai peur moi aussi. Je suis tellement morte de trouille que je ne peux même pas bouger et … et … »
A ce moment, elle fut interrompue par quelqu'un qui lui avait mise une discrète tape sur l'épaule. Arvalis se tût immédiatement et ne fini jamais sa phrase...
Invité
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Jeu 27 Sep - 15:37
Hey Tamago, ou crois-tu courir comme ça? Ou crois-tu donc que tes jambes te porteront? Ou penses-tu pouvoir te réfugier?
Justement, elle n'en avait absolument aucune idée. Alors qu'elle inspectait les étranges bulles aux reflets indigo qui flottaient dans les airs, loin de la Grande-place, elle avait subitement ressentie une envie pressante. Non, pas celle d'aller au petit coin, mais bel et bien celle de courir, courir jusqu’où ses jambes la guideraient. Après tout, qu'avait-elle a perdre? D'autant plus qu'elle n'avait absolument plus aucun contrôle sur ses maudites jambes, qui se permettaient de courir a une vitesse fulgurante, sans ressentir le besoin de s'arrêter.
Elle courut donc pendant de longues minutes, le souffle court et les poumons coincés en travers de la gorge, jusqu’à finalement arriver en Ville, ou le bruit de ses talons claquant contre le pavé dur avertit de son arrivée. Alors qu'elle songeait qu’elle ne survivrait jamais a une seconde de course de plus, ses jambes ralentirent, pour stopper et céder sous son poids. Bon sang, elle penserait a remercier les plantes carnivores qui l’obligeaient a piquer un petit sprint tous les matins de bonne heure.
D'un oeil avisé, elle identifia rapidement l'endroit ou elle était, et fut plus que surprise en constatant le nombre anormal de bêtes normalement dangereuses dans ce lieu. Et le pire, ce n'était pas de les savoir près d'elle, oh que non, le plus affreux devait surement être ces rangées de canines plus qu'acérées qu'ils arboraient en un délicieux et amical sourire. Beurk, a vous en filer des sueurs froides. Alors qu'elle s'interrogeait encore sur le comment du pourquoi de l'absurde de la situation, des bribes de conversation lui parvinrent. Et, des deux pipelettes non loin d'elle, elle reconnut la petite Mo, la fragile fillette du labyrinthe, accompagnée...d'une bestiole toute noire, qui ressemblait vaguement a un mix entre une chauve-souris et un dragon miniature.
Confondant la gentille bête avec un des méchantes qui traînaient autour d'elles, elle remballa sa Raison, et prit son courage a deux mains. Elle se leva donc, courut jusqu’à Mo, et poussa plutôt brutalement la bête noire a ses cotés.
- Arrière, démon! Ne touche pas a cette petite, ou tu auras affaire a moi!!Qui croit bien faire fait malheureusement bien souvent le contraire. Si le ridicule ne tue pas, il vous flanque une honte sacrément mémorable.
Invité
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Jeu 27 Sep - 20:35
Séquestrée. C'est ce que tu es. Parmi cette foule, ces regards en coin, ces visages dénués de tout espoir. Aucun espoir... n'est-ce pas ? Mais assez philosophé ; ton âme en peine est constamment partagée entre faits et imagination. Quelle voie suivre ? Ah, il est grand temps. Erylik prononce une phrase inaudible. En même temps, un visage familier t'apparaît. Le vois-tu réellement ? Ah ? Tes yeux le traversent sans trop faire attention à lui. L'étau se resserre autour de toi. Se frayant un chemin parmi la foule, Tamago Aoi, ta sauveuse du labyrinthe, interrompt ton amie, incapable de dicter ses derniers mots.
« Forlax... tu sait, j'ai peur moi aussi. Je suis tellement morte de trouille que je ne peux même pas bouger et … et … »
Tu ne sais pas d'où elle sort, d'où elle vient. Mais tout s'enchaîne. Tu entends des pleurs. Tu aperçois aussi une silhouette familière, à l'écart des autres. La foule bouillonne, ton coeur bat la chamade. Tu n'arrives pas à te concentrer sur un seul objectif. Mais, par un fait des plus hasardeux, Tamago réussit à te ramener à la réalité...
« Arrière, démon! Ne touche pas a cette petite, ou tu auras affaire a moi!! »
C'est un malentendu. Tu le sais, tu dois le faire savoir. Mais tu es comme compressée ; par la foule, ou par les émotions ; qui sait ? Et puis, en attendant, tu penses. Combien de temps s'écoule ? Sans nul doute peu. Tamago a repoussé Erylik. Tu es désormais la barrière qui les sépare. Te retournant de temps à autre pour t'aviser de l'état de ton amie chauve-souris, tu t'arrêtes face à la policière, et énonce ces mots d'une voix tremblante :
« Madame Tamago... Erylik a dit qu'il allait se passer quelque chose d'important. Je, je... Pourquoi lui faites-vous du mal »
Tu la suppliais désormais du regard. Pourquoi toute cette violence inutile ? Pourquoi ces injures, ces fous, ce monde lui-même ? Cela restait encore un mystère éternel...
« Forlax... tu sait, j'ai peur moi aussi. Je suis tellement morte de trouille que je ne peux même pas bouger et … et … »
Tu ne sais pas d'où elle sort, d'où elle vient. Mais tout s'enchaîne. Tu entends des pleurs. Tu aperçois aussi une silhouette familière, à l'écart des autres. La foule bouillonne, ton coeur bat la chamade. Tu n'arrives pas à te concentrer sur un seul objectif. Mais, par un fait des plus hasardeux, Tamago réussit à te ramener à la réalité...
« Arrière, démon! Ne touche pas a cette petite, ou tu auras affaire a moi!! »
C'est un malentendu. Tu le sais, tu dois le faire savoir. Mais tu es comme compressée ; par la foule, ou par les émotions ; qui sait ? Et puis, en attendant, tu penses. Combien de temps s'écoule ? Sans nul doute peu. Tamago a repoussé Erylik. Tu es désormais la barrière qui les sépare. Te retournant de temps à autre pour t'aviser de l'état de ton amie chauve-souris, tu t'arrêtes face à la policière, et énonce ces mots d'une voix tremblante :
« Madame Tamago... Erylik a dit qu'il allait se passer quelque chose d'important. Je, je... Pourquoi lui faites-vous du mal »
Tu la suppliais désormais du regard. Pourquoi toute cette violence inutile ? Pourquoi ces injures, ces fous, ce monde lui-même ? Cela restait encore un mystère éternel...
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
Personnages : Al, Sydonia, Even, Dylan et Al'
Messages : 3246
Date d'inscription : 10/06/2012
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Eelis
Jeu 27 Sep - 21:23
Sorry de la qualité, mais je voulais faire acte de présence %D - Et pardon Tama pour le surnom ;;
Et ça fait bien 20 lignes, mais avec la présentation ça rallonge un peu le texte =/
Et ça fait bien 20 lignes, mais avec la présentation ça rallonge un peu le texte =/
Tes pieds avancent, non nonchalamment, dans cette ville que tu connais bien. Chaque pas est si douloureux, et si faux à la fois. Pour dire que tout n'est qu'un rêve loufoque comme on en fait tant, qu'une illusion chimérique créée par ton imagination fertile. Tous ces gens, que des mirages. Ce monde, qu'un songe. Il suffit d'arrêter, d'entendre le réveil sonne, pour voir la fin.
Et tes pieds sont retournés à la place. Sauf qu'elle te semble infiniment plus grande et animée ; en effet, les gens s'entassent, discutent, regardent le ciel, ou se demandent simplement ce qu'ils font là. Ils ne sont pas sensés le savoir ? Décidément, ils sont comme toi, ils ont des trous de mémoire. Si les pantins n'ont pas leur marionnettiste, ils n'avancent pas, et ils stagnent, et le public s'ennuie. Dans ce spectacle éphémère, qui est le pantin, selon toi ? Le bruit des feuilles n'existe-t-il que pour satisfaire une scène ? Peu importe. C'est mieux de ne pas chercher.
Oui, c'est mieux, de se terrer dans l'ignorance. Faire les cent pas, entre les autres, que tu connais plus ou moins de vue - puisque tu les as créé, ils te disent tous vaguement quelque chose, c'est bien préférable à une quelconque quête de l'identité. Dans le tumulte, tu reconnais quelques figures familières. Dont ce maléfique dragon dévoreur d'enfants. Avec l'enfant en question, qu'il devait avoir englouti, techniquement. On ne va pas te dire qu'il est pacifiste, non plus ! Ce serait un comble.
Mais, pour ne pas avoir à réfléchir, pour te terrer dans l'oubli, tu les rejoins. Une jeune femme - le portrait craché de Monique, tu jures que c'est elle - aux cheveux roux somme le monstre de ne pas toucher à la petite. AH ! Tu as bien raison en fin de compte. Approchant en trombe, tu les salues tel un gamin de maternel qui retrouve ses copains après les cours.
« Fais attention, Monique, tout à l'heure il s'est jeté sur la petite ! Je parie qu'il est comme les vaches : il l'a recrachée pour pouvoir mieux la digérer après... »
Tu fixes la bête avec défi. C'est la vieillesse, on oublie que la même créature vous a sauvé la vie peu de temps avant...
Si c'est un rêve, alors la vie sera brève.
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Date d'inscription : 18/06/2012
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Anna
Ven 28 Sep - 8:24
Event O1
« On fait l'appel !! Agent Tape-l’œil !
- Présent !
- Agent Pinky !
- Bloup !
- Agent Puce-117 !
- Vous êtes bien là. - Bloup !! »
Les poings sur les hanches, un foulard kaki noué autour de ma tête à la Rambo, je regardais avec la détermination du chef de la société secrète d'Esquisse - autoproclamée, mais bon - mes deux inséparables compagnons qui semblaient bien s'accommoder de leur situation d'espions. Eh oui, parce que dans ce pays tout bizarre, pour comprendre un peu la chose il faut savoir se faire discret. Observer, analyser, décortiquer ! En fait, je n'étais pas particulièrement fan des James Bond, mais j'adorais mon tout nouveau métier ! Et puis, après cette attaque de chewing-gums, il nous fallait redoubler de vigilance !
« Bien ! Aujourd'hui, il se passe quelque chose à la ville, car tout le monde y va, tout le monde se réunit. Donc, on va aussi y aller et se fondre dans la foule pour voir ce qui se passe ! Bien reçu ?
- Bien reçu, chef ! - Bloup ! »
Sans plus attendre, nous nous dirigeâmes donc vers l'unique cité de ce pays. Enfin, l'unique... Je n'avais pas encore tout visité, mais je n'avais vu d'autre ville nulle part ! Donc, j'en avais conclu qu'il n'y en avait qu'une seule, et c'était pas plus mal non ? Une fois arrivés en ville, je fus soudainement bousculée et entraînée dans la foule. Oh non ! Dire que nous n'avions toujours pas de talkie-walkie ! Il allait falloir que je me débrouille toute seule... Bon ! C'était pas grave ! On allait bien se retrouver de toute façon ! Sans plus attendre, je me frayai un chemin en donnant des coups de coude, comme dans les Galeries Lafayette au moment de Noël. Soudain, je trébuchai et atterrit à plat ventre sur le sol, dans un « Waaaah ! » tonitruant. En me frottant la tête, je levai les yeux, apercevant alors une sorte de grosse bébête toute noire. Je clignai des yeux plusieurs fois, j'étais un peu surprise mais je n'avais pas peur ! Je me redressai, un grand sourire aux lèvres, puis dis tout en m'époussetant aux autres, même s'ils semblaient plus pris dans leur dispute qu'autre chose.
« Saluuut !! Dîtes, vous savez pourquoi tout le monde se réunit ici ? Ça a l'air sympa, il va y avoir un spectacle ? »
Technique n°1 de prise d'informations : Demander, tout simplement !
- Hors RP:
- Héhéé.. Je réponds enfin ! 8D /PAN/ Heuu, c'est pas terrible pardon x) Vous avez eu droit à une entrée compl_tement débile d'Anna. Et sans le code, ça doit faire un peu moins de 20 lignes :3
#B0CC99 ou #667f53
Fansong Striky x Anna par Striky herself **
Fansong Striky x Anna par Striky herself **
Invité
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Ven 28 Sep - 18:26
Comment je mettais retrouver ici déjà ? C'est vrai, j'ai peut-être venue quelque fois sans vraiment faire attention, ici, dans la ville mais cette fois, c'était complètement différent. Déjà, de un, j'étais plus attirée par la Grande-place qu'autre chose. D'habitude, le clocher était ma seule préoccupation mais pas cette fois. Et de deux, il y avait trop de monde à mon goût ... Ce qui ne m'empêcha pas de m'approcher d'un pas calme et serein.
L'agitation qui régnait sur la Grande-place en ravissait plus d'un. Ce n'était pas vraiment mon idée. Je serrai les poings et me faufilai à travers la foule sans réel but, différente à tous ceux qui paraissaient si joyeux. Quelques paroles isolées attirèrent mon attention et je me tournai rapidement vers la droite pour voir d'où venait tout ce raffut. Un monstre ... Non. Je l'avais déjà croisé ! Je déglutis, me rappelant de l'état dans laquelle j'avais réussit à le mettre et très vite, je m'éloignai de cette joyeuse petite bande.
Je détaillai rapidement la Grande-place des yeux. Grande, bondée de personnes venues ici certainement guidée par leur instinct ... J'inspirai lentement. Voir autant de visages heureux dans ce maudit monde ne m'inspirai guère confiance. Pourtant, mes jambes refusaient de faire demi-tour et de s'éloigner d'ici à tout jamais. Comme si quelque chose me retenait ... Quelque chose ou quelqu'un ...
Non, je deviens paranoïaque, voilà tout. Je m'extirpai de la foule sans pour autant m'éloigner de la Grande-place. Je restai un peu en retrait pour voir comment et pourquoi autant de personnes étaient rassemblées ici ... Je grimaçai à la pensée qui venait de se planter dans mon esprit. Et cela ne m'annonçait rien qui vaille ...
- Note Hors RP:
- Voilà, voilà, j'espère que ça ira. ^-^
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Sam 29 Sep - 0:39
Jude ne savait plus depuis combien de temps il était là. Il hésitait entre deux jours et deux mois, en fait. Jude n’était plus bien sûr de son âge, non plus. Entre 10 et 20, probablement. Je ne parle même pas de son ancienne existence. Ses parents, le lycée, son chat, tout avait disparu. Il lui arrivait parfois d’avoir un accès de clairvoyance. Son ancien prof de maths apparaissait dans le ciel, et il était assailli par des foules de chiffres et d’équations vicieuses, douloureux souvenir que son inconscient s’empressait de reléguer touuuuuut au fond de sa mémoire, qui commençait fâcheusement à ressembler à une passoire, soit dit en passant. Mais ce genre d’épisode se faisait rare. Il lui arrivait de discuter (brièvement) avec des gens et de pas reconnaître certains mots. Ordinateur, essence, chômage, énantiomère (cherchez l’erreur) ne lui évoquaient absolument rien. Au début, quand il s’en rendait encore compte, ça l’avait inquiété. Ensuite, il avait même commencé à oublier qu’il oubliait.
Un sujet de philosophie intéressant (hum, hum) pourrait porter sur cette question : est-on encore soi-même sans ses souvenirs ? Jude était-il encore Jude sans ses mémoires de pseudo-délinquant juvénile ? Jude était-il encore Jude alors qu’il ne savait même plus pourquoi il était en rogne contre l’univers tout entier ? Ça se discutait.
Jude était toujours désagréable, pas de problème là-dessus. C’était l’attitude qui lui venait naturellement, et quand il commençait à se demander pourquoi il s’énervait contre ce pauvre type à l’air paumé, ou pourquoi il avait failli faire pleurer cette gamine toute choupi, il réfléchissait deux secondes et, comme rien ne venait, capitulait sans arrière-pensées. Après tout, il faisait ce qu’il voulait, non ? Où était le problème. Qu’est-ce qui l’en empêcherait ? Que dalle ! Il était libre comme l’air. Libre d’être méchant gratuitement s’il en avait envie. Libre d’être agréable avec une personne si ça lui chantait, aussi. Et de la pousser le lendemain dans une fosse pleine de plante carnivore, juste pour le fun. Jude flippait beaucoup, dans ce monde. Il était passé plusieurs fois à un doigt de se faire trancher/carboniser/écrabouiller/réduire en poussière…etc. Mais en contrepartie, il s’amusait aussi beaucoup. Tout pouvait arriver, à n’importe quel endroit, n’importe quel moment. C’était affreux. Et génial.
Présentement, Jude se frayait un chemin au sein de la place bondée. Il voulait atteindre le centre. Quelque chose allait se passer, et il voulait être au premier plan pour voir ça. En espérant juste que, s’il y avait du grabuge, il ne finirait pas parmi les dégâts collatéraux. Il s’était approché sans s’en rendre compte d’un petit groupe hétéroclite visiblement absorbé dans un âpre débat, auquel il n’avait absolument rien suivi, ce qui ne l’empêcha pas de rajouter son grain de sel :
« Si l’espèce de bestiole décide de bouffer la gamine ou le vieux, appelez-moi, je filerai un coup de main, okay ? A qui, je ne sais pas encore, on verra au moment venu. (se tournant vers Annabelle)Ho, toi tu me dis vaguement quelque chose… Ah, ouais, c’est tes cheveux, j’ai croisé une horloge qui avait les mêmes, hier. Ça lui allait mieux qu’à toi, sans vouloir te vexer. Et ouais, va y’avoir un spectacle. Et peut-être même deux si la bêbête se décide à grignoter la petite.».
Il ponctua sa tirade d’un petit ricanement et alla se planter deux mètre plus loin, quasiment au centre de la place, parfaitement souriant.
Jude était de bonne humeur.
Ce qui faisait réaliser à son entourage que, finalement, c’était pas si mal quand il était en rogne.
Un sujet de philosophie intéressant (hum, hum) pourrait porter sur cette question : est-on encore soi-même sans ses souvenirs ? Jude était-il encore Jude sans ses mémoires de pseudo-délinquant juvénile ? Jude était-il encore Jude alors qu’il ne savait même plus pourquoi il était en rogne contre l’univers tout entier ? Ça se discutait.
Jude était toujours désagréable, pas de problème là-dessus. C’était l’attitude qui lui venait naturellement, et quand il commençait à se demander pourquoi il s’énervait contre ce pauvre type à l’air paumé, ou pourquoi il avait failli faire pleurer cette gamine toute choupi, il réfléchissait deux secondes et, comme rien ne venait, capitulait sans arrière-pensées. Après tout, il faisait ce qu’il voulait, non ? Où était le problème. Qu’est-ce qui l’en empêcherait ? Que dalle ! Il était libre comme l’air. Libre d’être méchant gratuitement s’il en avait envie. Libre d’être agréable avec une personne si ça lui chantait, aussi. Et de la pousser le lendemain dans une fosse pleine de plante carnivore, juste pour le fun. Jude flippait beaucoup, dans ce monde. Il était passé plusieurs fois à un doigt de se faire trancher/carboniser/écrabouiller/réduire en poussière…etc. Mais en contrepartie, il s’amusait aussi beaucoup. Tout pouvait arriver, à n’importe quel endroit, n’importe quel moment. C’était affreux. Et génial.
Présentement, Jude se frayait un chemin au sein de la place bondée. Il voulait atteindre le centre. Quelque chose allait se passer, et il voulait être au premier plan pour voir ça. En espérant juste que, s’il y avait du grabuge, il ne finirait pas parmi les dégâts collatéraux. Il s’était approché sans s’en rendre compte d’un petit groupe hétéroclite visiblement absorbé dans un âpre débat, auquel il n’avait absolument rien suivi, ce qui ne l’empêcha pas de rajouter son grain de sel :
« Si l’espèce de bestiole décide de bouffer la gamine ou le vieux, appelez-moi, je filerai un coup de main, okay ? A qui, je ne sais pas encore, on verra au moment venu. (se tournant vers Annabelle)Ho, toi tu me dis vaguement quelque chose… Ah, ouais, c’est tes cheveux, j’ai croisé une horloge qui avait les mêmes, hier. Ça lui allait mieux qu’à toi, sans vouloir te vexer. Et ouais, va y’avoir un spectacle. Et peut-être même deux si la bêbête se décide à grignoter la petite.».
Il ponctua sa tirade d’un petit ricanement et alla se planter deux mètre plus loin, quasiment au centre de la place, parfaitement souriant.
Jude était de bonne humeur.
Ce qui faisait réaliser à son entourage que, finalement, c’était pas si mal quand il était en rogne.
- Spoiler:
- Flemme de mettre un code 8D
Flemme de réduire mon texte 8D
Vous allez devoir lire mon pavé, hinhin 8D
Il est tard, je suis un peu stone, mais vous aviez compris, je pense 8D
Voilà 8D
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Sam 29 Sep - 11:17
Arvalis tomba soudain à terre, une fille aux cheveux rouges lui avait hurlé dessus avant de la pousser. Arrière ? Mais elle ne devait pas quitter d'une semelle son petit médicament. Puis elle comprit les autres mots de cette phrase. On la prenait encore pour un monstre. Forlax avait prit sa défense, mais les mots blessants étaient la.
Puis le fou du clocher était apparu. Appelant cette femme Monique et prononçant lui aussi d'autres mots blessants. Ce n'étaient pas leurs fautes, ils ne savaient pas qu'elle était gentille. Ou ils avaient du mal à le digérer. Cela pouvait ce comprendre compte tenu de la situation.
Au moment ou elle allait leurs dire qu'elle était végétarienne. Une fille aux cheveux vert tomba à ses pieds. Et bien, pensa t' elle. Beaucoup de gents voulaient voir son petit médicament. Elle devrait faire attention, parce que par exemple, le fou du clocher. Elle en avait peur.
« Saluuut !! Dîtes, vous savez pourquoi tout le monde se réunit ici ? Ça a l'air sympa, il va y avoir un spectacle ? »
- et bien, on … on ne sait pas trop, c'est pour ça que … c'est pour ça qu' on est la avec Fo... Forlax. On … veux savoir, nous aussi.
Encore en train de bafouiller. Elle était belle, la chauve souris transgénique super méchante de leurs rêves. Arvalis se dandinait sur place. Un peu gênée par tous ce monde. Et puis, on lui avait posée directement une question. C'était assez désagréable. Le surplus d'émotions allait la faire éclater en sanglot d'un moment a l'autre. Les gents étaient si méchants avec elle. Bien sur, il ne le voulait pas mais c'était quand même douloureux.
« Si l’espèce de bestiole décide de bouffer la gamine ou le vieux, appelez-moi, je filerai un coup de main, okay ? A qui, je ne sais pas encore, on verra au moment venu. Ho, toi tu me dis vaguement quelque chose… Ah, ouais, c’est tes cheveux, j’ai croisé une horloge qui avait les mêmes, hier. Ça lui allait mieux qu’à toi, sans vouloir te vexer. Et ouais, va y’avoir un spectacle. Et peut-être même deux si la bêbête se décide à grignoter la petite.».
Le gamin était parti aussi vite qu'il était venu. En fait, Arvalis n'avait pas remarquer sa présence jusqu'à ce qu'il parle. Espèce de bestiole ? Bouffer le vieux ? Grignoter la petite ? S'en était trop, elle se tourna vers Forlax, les yeux remplis de larmes.
Puis le fou du clocher était apparu. Appelant cette femme Monique et prononçant lui aussi d'autres mots blessants. Ce n'étaient pas leurs fautes, ils ne savaient pas qu'elle était gentille. Ou ils avaient du mal à le digérer. Cela pouvait ce comprendre compte tenu de la situation.
Au moment ou elle allait leurs dire qu'elle était végétarienne. Une fille aux cheveux vert tomba à ses pieds. Et bien, pensa t' elle. Beaucoup de gents voulaient voir son petit médicament. Elle devrait faire attention, parce que par exemple, le fou du clocher. Elle en avait peur.
« Saluuut !! Dîtes, vous savez pourquoi tout le monde se réunit ici ? Ça a l'air sympa, il va y avoir un spectacle ? »
- et bien, on … on ne sait pas trop, c'est pour ça que … c'est pour ça qu' on est la avec Fo... Forlax. On … veux savoir, nous aussi.
Encore en train de bafouiller. Elle était belle, la chauve souris transgénique super méchante de leurs rêves. Arvalis se dandinait sur place. Un peu gênée par tous ce monde. Et puis, on lui avait posée directement une question. C'était assez désagréable. Le surplus d'émotions allait la faire éclater en sanglot d'un moment a l'autre. Les gents étaient si méchants avec elle. Bien sur, il ne le voulait pas mais c'était quand même douloureux.
« Si l’espèce de bestiole décide de bouffer la gamine ou le vieux, appelez-moi, je filerai un coup de main, okay ? A qui, je ne sais pas encore, on verra au moment venu. Ho, toi tu me dis vaguement quelque chose… Ah, ouais, c’est tes cheveux, j’ai croisé une horloge qui avait les mêmes, hier. Ça lui allait mieux qu’à toi, sans vouloir te vexer. Et ouais, va y’avoir un spectacle. Et peut-être même deux si la bêbête se décide à grignoter la petite.».
Le gamin était parti aussi vite qu'il était venu. En fait, Arvalis n'avait pas remarquer sa présence jusqu'à ce qu'il parle. Espèce de bestiole ? Bouffer le vieux ? Grignoter la petite ? S'en était trop, elle se tourna vers Forlax, les yeux remplis de larmes.
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Sam 29 Sep - 11:38
Après avoir pleuré une bonne quinzaine de minutes sur la place tu décidas d'arrêter, pour en ne pas montrer aux extraterrestres qu'ils ont gagnés ! Même si tu n'en as plus franchement envie, tu veux gagner ton combat, tu veux tous les lapider, même si a la fin, un bras en moins te manquera ! Oui, tu irais vraiment jusque-là, rien que pour paraître forte, rien que pour rentrer chez toi. Mais cherchez la sorti tout de suite serait une erreur, de toute façon, ta colère envers les aliens est tellement forte que tu ne penses même pas à la sortie. Non, toi tu penses à leur faire du mal. À tous les dégommer même si c'est pratiquement impossible vu leur nombre. Mais tu en as tellement envie, que tu t'en fiche de leur nombre d'habitants mutants. Tu te relèves, essuient tes larmes, regardent les transformations former en ronde, les tues du regard. Puis tu te mets à les bousculer pour pouvoir échapper leurs regards ils s'en vont peu à peu.
Tu t'arrêtes de marcher, regarde bien toutes les personnes présentent. Un groupe de personnes dont un vieux avec des lunettes. Il a des lunettes: IL EST CHEF DES EXTRATERRESTRE ! Mais ne te précipite pas trop vite dans l'inconnue, il te faut un plan ! Tu en as déjà un en fait ... Un peu beaucoup pourri quand même mais bon. Tu agrippes par les cheveux un mec ... Ou une fille ? Avec les CHEVEUX VERT ! Tu aurais pu prendre quelqu'un d'autre, oui, mais celui-là a les cheveux VERT ! c'est un moyen de t'attendrir, il renvoie un message du genre "Je suis comme toi, tu'as vu .". Et puis, en trainant le mec ou la fille aux cheveux verts de toutes tes forces car il/elle est très lourde quand même et qu'elle a "lair d'être sauvage, tu vas voir le groupe de personnes. Te jetant sur le chef des extraterrestres que tu as reconnu grâce à ses lunettes, tu essayes de lui faire manger les cheveux verts de son esclave sauvage. Même si ça ne marche pas terrible en fait.
Tu t'arrêtes de marcher, regarde bien toutes les personnes présentent. Un groupe de personnes dont un vieux avec des lunettes. Il a des lunettes: IL EST CHEF DES EXTRATERRESTRE ! Mais ne te précipite pas trop vite dans l'inconnue, il te faut un plan ! Tu en as déjà un en fait ... Un peu beaucoup pourri quand même mais bon. Tu agrippes par les cheveux un mec ... Ou une fille ? Avec les CHEVEUX VERT ! Tu aurais pu prendre quelqu'un d'autre, oui, mais celui-là a les cheveux VERT ! c'est un moyen de t'attendrir, il renvoie un message du genre "Je suis comme toi, tu'as vu .". Et puis, en trainant le mec ou la fille aux cheveux verts de toutes tes forces car il/elle est très lourde quand même et qu'elle a "lair d'être sauvage, tu vas voir le groupe de personnes. Te jetant sur le chef des extraterrestres que tu as reconnu grâce à ses lunettes, tu essayes de lui faire manger les cheveux verts de son esclave sauvage. Même si ça ne marche pas terrible en fait.
- Spoiler:
- Je sais, je gâche et tout et mon post est trop pourri, désoler.
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Sam 29 Sep - 17:43
Liam marchait. Il ne trottinait pas, ne courrait pas, il marchait. Pensivement. La main sur le visage, deux doigts frôlant le menton, deux autres sur le nez, et le petit dernier qui remontait légèrement la branche de ses lunettes. Tête baissée, il semblait à moitié regarder le sol, moitié le reste. Comme s’il ne pouvait pas se décider, ou qu’il ne prêtait ni attention à l’un, ou à l’autre. Il avait l’air calme, Liam. Trop calme. Trop pensif. Du coin de l’œil, on attendait l’éternelle explosion, qui ne tarderait pas à surgir, comme d’habitude. Mais elle ne surgissait pas, et le rebelle traversait la ville. Une attitude et une scène on ne peut plus solennelle, à n’en pas douter, si, bien sûr, une cohorte de chewing-gums colorés ne lui avait pas collé au train. Frétillants et visiblement très motivés, ils bondissaient à un rythme presque spartiate, derrière le chef de file, qui couinait une sorte d’hymne militaire. C’est que leur nouveau Roi avait de grandes jambes, et qu’il fallait de la concentration et une bonne dose de gelée en forme pour le suivre. Alors pour encourager les troupes, il piaillait avec fougue, marquant la mesure. Ce qui ne semblait même pas déranger le dit « Roi », étrangement, qui continuait sa route, encore et enco—Humff. Liam pila net, ou plutôt, fut obligé de piler net, le nez enfoui dans le coton d’un pull à la couleur et aux motifs douteux. Et qui empestait la sueur. Le jeune homme s’écarta d’un bond, une main pinçant ses narines, l’autre poussant le badaud, sans plus d’excuses, ou même de réactions. Comme si l’incident n’était jamais arrivé, le dessinateur dévia légèrement sa course et se faufila entre les obstacles. Vivants ou pas, c’était du pareil au même. Ils n’avaient aucune importance, il les contournait sans les voir, usant probablement d’une expérience qui ne datait pas d’hier. Jusqu’à ce que deux événements se produisent à quelques secondes d’intervalles. Un : Il ne pouvait plus avancer. Du tout. Deux : Quelque chose venait d’heurter son crâne. Et ça n’était visiblement pas venu seul, vu les nombreux impacts qui suivirent. Liam jura et leva la tête. Pour manquer de se prendre un grêlon rose bonbon dans l’œil. Esquisse était en train de lui cracher des grêlons flashy et roses sur la tronche (et uniquement sur SA tronche, bien sûr). Et comme si ça ne suffisait pas, les chewing-gums bondissaient maintenant un peu partout, dont sur la tête de plusieurs personnes. Quoique, ça, il s’en foutait, à vrai dire. Ceux juste devant en revanche... Une poignée de « ses sujets » avaient visiblement décidé de répéter leurs vocalises. En plein sur l’estrade. Devant à peu près la quasi-totalité de la ville. Merde, que faisaient-ils tous là d’abord, rassemblés comme des moutons, à sourire comme des hippies ? Et. Bordel. Cet endroit, il l’exécrait. Qu’est-ce que, lui, faisait-il là, exactement ? C’était la place où l’espèce de blaireau venait faire ses discours de fanatique... Le bon sens voudrait qu’il se tire de cette place. Immédiatement. La foule n’était rien. Il avait des coudes. Mais. Non. Tout ce qu’il fit, fût de progresser jusqu’à l’estrade une fois l'averse rose tarie, s’y adosser, croiser les bras, et fermer les yeux. Comme s’il attendait les chewing-gums. Haha. Risible. ...N’est-ce pas ? |
- Spoiler:
- Argh. Pardon. Ça fait plus de vingt lignes/450 mots, mais, j'arrive pas à réduire plus... Je. Promis. Liam restera tranquille jusqu'à la phase deux. éè
Et je tâcherai de faire plus court, la prochaine fois. ;;
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Dim 30 Sep - 11:15
Aujourd’hui était un grand jour. Comme tous les autres depuis qu’Ambros avait l’immense honneur de servir le Grand Dieu Truite, fondateur de ce paradis céleste. 10h30, affichait la montre qu’il avait dessiné sur son poignet droit, l’heure du discours sacré ! Tout excité, le larbin avait rassemblé son armée de vuvuzelas, durement entraînées pour les entrées de son chef. D’après ses « tests » réalisés sur les dessinateurs, il avait décidé que 100 serait un bon nombre. 99, pas assez de bruit. 101, ils tombaient dans les vapes.
Deuxième accessoire indispensable à l’arrivée du Dieu ; le tapis jaune. Bon, il aurait dû être rouge, mais le seul qu’il avait dégoté refusait catégoriquement de prendre la bonne teinte et se bornait à cette couleur. Mais le flashi, c’était bien aussi ! En plus, le sbire s’était procuré des confettis assorties et un haut-parleur-hélium, le tip du top de la classe !
En voyant l’agglutinement de personnes sur la place, alors qu’à l’accoutumée Ambros devait faire le tour des maisons pour forcer des gens à sortir, il pensa tout naturellement « Oooh, ils sont tous venus pour écouter les super discours du Maître !!! » Parmi eux, l’on trouvait même, comble du comble, l’ennemi juré du peintre ; ce rustre avorton voulait-il se convertir ? Sûrement, puisqu’il tenait en offrande de nombreuses créatures visqueuses. Mais, en tant que garde du corps personnel de Maximilian, le brun ne devait pas juger à la légère, et c’est avec appréhension qu’il prépara son entrée.
10h32 sur la montre. Mince. Retard. Vite ! Ambros s’avança, vuvuzelas derrière, et donna le « signal » du commencement de l’Opération d’Entrée Spectaculaire. (OES) Les trompettes se mirent à klaxonner d’une seule voix, lançant les confettis de leurs petits bras ! Pendant ce temps, le sbire lança son tapis dans la mélée, le laissant s’étaler lui-même jusqu’à l’estrade. Brandissant le haut-parleur, il se mit à parler.
« SA SAINTETÉ TRUITESQUE EST ARRIVÉE POUR SON DISCOURS MATINAL !!! Elle vous fait l’immense honneur de s’adresser à vous de ses sages paroles divines, alors écoutez-la bien sinon vous rôtirez dans les abîmes de l’enfer infernal du fin fond des entrailles du grand précipice infini de sa colère ! »
Bon, l’effet hélium n’était pas là pour renforcer la crédibilité du jeune homme, mais il l’ignora et s’avança vers l’estrade, avant de constater que l’ennemi de toujours du Grand Maître était là, et que ses sous-fifres avaient investi le promontoire sacré !
« Toi ! Comment oses-tu profaner l’estrade divine ? Le Dieu te punira SÉVÈREMENT. »
OES plus ou moins réussie. Satisfait, Ambros prit place près du rival rustre, pour le surveiller étroitement...
Invité
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Dim 30 Sep - 14:17
« GRAND DIEU ! Que ce mufle fait-il sur la place sacrée ? Subalternes, chassez donc ce malappris de mon lieu de culte ! »
Tels sont les mots énoncés par Sa Sainteté - ou moi-même, subalternes, mais il est davantage préférable de m'appeler ainsi - en posant le pied sur la place marbrée, fort peu inconnue de mes discours si agréables à l'oreille. En effet, ce rustre de Williams se tenait, contre toute attente, adossé à l'estrade, MON estrade, comme si c'eut fut la plus naturelle action au monde. Qu'il se soit finalement convaincu de se convertir au culte de mon Œuvre est certes une très bonne chose, mais il aurait toutefois pu s'agir d'une entourloupe ou d'un malentendu. Même si, subalternes, vous en conviendrez, la première option, si l'on parle de Liam Williams, est de loin la plus plausible.
Détournant son regard de ce fourbe personnage, le vénérable Dieu se concentra sur le tapis or que l'officiel larbin venait de dérouler devant lui. Quelle splendide entrée ! Saluant gaiement ses sujets adorés, la personne de moi avança jusqu'à l'estrade, y monta, s'apprêtant à réciter, de nouveau, un poétique discours ! Évidemment, ce en ignorant les gelées du traître, fort malvenues en cet instant de prière.
« Merci, sous-fifre. », énonce mon éminente personne en remerciant brièvement la procession de vuvuzelas. Puis, se tournant avec élégance vers le peuple : « Mes chers sujets ! Nous voici réunis en cet heureuse journée, pour célébrer une fois de plus l'existence de mon Œuvre et celle de la virtuosité mie... »
Le Roi fut malencontreusement interrompu par un petit sot sorti de nulle part. Ah, quelle journée de fous ! Si tous mes sujets adorés commençaient à perdre la foi, qu'adviendrait-il de ma personne si importante à l'existence de l'Œuvre ?
Tels sont les mots énoncés par Sa Sainteté - ou moi-même, subalternes, mais il est davantage préférable de m'appeler ainsi - en posant le pied sur la place marbrée, fort peu inconnue de mes discours si agréables à l'oreille. En effet, ce rustre de Williams se tenait, contre toute attente, adossé à l'estrade, MON estrade, comme si c'eut fut la plus naturelle action au monde. Qu'il se soit finalement convaincu de se convertir au culte de mon Œuvre est certes une très bonne chose, mais il aurait toutefois pu s'agir d'une entourloupe ou d'un malentendu. Même si, subalternes, vous en conviendrez, la première option, si l'on parle de Liam Williams, est de loin la plus plausible.
Détournant son regard de ce fourbe personnage, le vénérable Dieu se concentra sur le tapis or que l'officiel larbin venait de dérouler devant lui. Quelle splendide entrée ! Saluant gaiement ses sujets adorés, la personne de moi avança jusqu'à l'estrade, y monta, s'apprêtant à réciter, de nouveau, un poétique discours ! Évidemment, ce en ignorant les gelées du traître, fort malvenues en cet instant de prière.
« Merci, sous-fifre. », énonce mon éminente personne en remerciant brièvement la procession de vuvuzelas. Puis, se tournant avec élégance vers le peuple : « Mes chers sujets ! Nous voici réunis en cet heureuse journée, pour célébrer une fois de plus l'existence de mon Œuvre et celle de la virtuosité mie... »
Le Roi fut malencontreusement interrompu par un petit sot sorti de nulle part. Ah, quelle journée de fous ! Si tous mes sujets adorés commençaient à perdre la foi, qu'adviendrait-il de ma personne si importante à l'existence de l'Œuvre ?
Admirer la magnifique présentation du RP par Eelis ** Ainsi, Max pourra aisément vaincre Liam et son armée de gelées !
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Dim 30 Sep - 15:08
Ayame se demandait vraiment comment et pourquoi elle était sur cette place bondée. La manière dont elle était arrivée lui échappait complètement, et cela la perturbait un peu. Etait-ce le fait d'avoir entendu du bruit, et donc des autres gens qui l'avait attirée ici ? Parce que la jeune fille n'aimait pas être toute seule, et encore moins dans ce monde. Alors qu'elle marchait, elle vit plusieurs visages connus. Tout d'abord, le zèbre qui allait certainement faire une crise de nerf s'il la voyait, elle aperçut aussi la jeune fille aux cheveux verts du labyrinthe (Annabelle si sa mémoire ne lui jouait pas des tours), ainsi que plusieurs autres personnes croisées lors de ses péripéties. Elle aperçut aussi un jeune garçon tout à fait inconnu qui était suivi par des chewing-gum. "Etrange, se dit Ayame, mais plus rien ne m'étonne ici !".
Alors que la jeune fille se demandait à qui elle allait parler en premier, elle fut perturbée dans ses pensées par des trompettes et un autre jeune homme qui criait dans un haut-parleur. Avec le brouhaha, elle n'entendit pas ses propos, mais elle nota qu'il s'énervait après M. Chewing-Gum quand il eut terminé de parler. Une autre personne arriva, Ayame ne savait plus où donner de la tête avec toutes ces apparitions, et monta sur l'estrade. Oui, car il y avait une estrade sur la place. Le bruit de fond diminua, et la jeune fille put entendre ce que M. Estrade (Le dernier arrivé) disait :
« Mes chers sujets ! Nous voici réunis en cette heureuse journée, pour célébrer une fois de plus l'existence de mon Œuvre et celle de la virtuosité mie... »
La jeune fille aux yeux violets fut surprise par les dires de cette personne. Ainsi donc, ce monde était une monarchie, avec un roi et tout le tralala ? Elle n'en savait rien du tout, et attendit impatiemment la suite. Car elle était certaine qu'il allait se passer quelque chose. La foule n'était pas là par hasard !
Alors que la jeune fille se demandait à qui elle allait parler en premier, elle fut perturbée dans ses pensées par des trompettes et un autre jeune homme qui criait dans un haut-parleur. Avec le brouhaha, elle n'entendit pas ses propos, mais elle nota qu'il s'énervait après M. Chewing-Gum quand il eut terminé de parler. Une autre personne arriva, Ayame ne savait plus où donner de la tête avec toutes ces apparitions, et monta sur l'estrade. Oui, car il y avait une estrade sur la place. Le bruit de fond diminua, et la jeune fille put entendre ce que M. Estrade (Le dernier arrivé) disait :
« Mes chers sujets ! Nous voici réunis en cette heureuse journée, pour célébrer une fois de plus l'existence de mon Œuvre et celle de la virtuosité mie... »
La jeune fille aux yeux violets fut surprise par les dires de cette personne. Ainsi donc, ce monde était une monarchie, avec un roi et tout le tralala ? Elle n'en savait rien du tout, et attendit impatiemment la suite. Car elle était certaine qu'il allait se passer quelque chose. La foule n'était pas là par hasard !
- Spoiler:
- Je sais qu'Aya' ne sert absolument à rien, désolée :B
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Dim 30 Sep - 15:21
Robert et Miranda, certainement de mèches, l'avaient poussés a venir ici. Andrea ne comprenait pas pourquoi. Cette place était bondée, et alors ? Bon sang de bonsoir ! Ils étaient tous habillés comme l'as de pique. Et leurs coiffures. Au mon dieu leurs coiffures … l'avait t' on amener ici pour ça ? Il y avait trop de travail. Même lui le concédait, jamais il n'y arriverait. Parmi les personnes les plus mal fringuées, Andrea repéra une petite fille accompagnée d'un monstre mécanique pleins de poils et qui n'avait pas l'air commode. Le bon plant pour tenir tranquille ses victimes. Il devait absolument s'en trouver un. Mais il le relookerait bien sur, parce que c'était pas comme si il avaient la note maximale. 461, 7 pour la petite fille et 70,6 pour le monstre. On pouvait largement faire mieux. Il y avait aussi une fille avec des cheveux rouges. Pas mal, pas mal. Sauf pour les habits, ça détruisait tous le style pseudo rebelle. Il faudrait arranger ça, et vite. Un sale gosse dont la seule vu lui piquait atrocement les yeux lui tiqua dans l' œil. En effet, celui ci avait des espèces de truc bleu fluo dégueulasses sur la figure, et le pire c'était ses habits. Des rayures ! Non de non, savait t' il que les rayures n'étaient plus à la mode depuis belle lurette ? Andrea avait l'impression qu'il allait devenir aveugle. Ce sale gosse était impossible a relooker. 60, 4. Pire que le monstre mécanique, il fallait le faire. C'était un cas désespéré. Tous simplement ignoble. Vite, une autre cible !
Son attention se focalisa alors sur un tapis jaune vif et sur la personne qui le foulait. Ce type la saluait comme un crétin des gents qui visiblement, riaient de lui. Étais ce le chef de ce jeu de télé réalité ? Et son larbin la, celui qui le regardait avec des yeux adorateurs, le sous chef ? Ouais, probablement. En attendant, le premier, c'était le seul qui avait une bonne coupe de cheveux, et a qui il ne manquait qu'un costume. Mais quel genre lui irait ? Andrea ne voyait pas ce que Bob et lui avait en stock, et qui lui irait. Non, pour ce type. Il fallait un costume sur mesure. La pensée envahit son subconscient et il ne pensa plus qu'a ça. Temps pis si ce type l'avait kidnapper. Avec un habit digne de ce nom, il pourrait atteindre au moins un 940. Andrea pensa alors à un sur mesure, il en imagina les détails les plus fou. Littéralement en transe, il sauta sur l'estrade. Pendant que ses compères immobilisait le beau gosse, Andrea sortit son mettre mesureur et commença à prendre des mesures. Le regard fou, l'écume aux lèvres.
Son attention se focalisa alors sur un tapis jaune vif et sur la personne qui le foulait. Ce type la saluait comme un crétin des gents qui visiblement, riaient de lui. Étais ce le chef de ce jeu de télé réalité ? Et son larbin la, celui qui le regardait avec des yeux adorateurs, le sous chef ? Ouais, probablement. En attendant, le premier, c'était le seul qui avait une bonne coupe de cheveux, et a qui il ne manquait qu'un costume. Mais quel genre lui irait ? Andrea ne voyait pas ce que Bob et lui avait en stock, et qui lui irait. Non, pour ce type. Il fallait un costume sur mesure. La pensée envahit son subconscient et il ne pensa plus qu'a ça. Temps pis si ce type l'avait kidnapper. Avec un habit digne de ce nom, il pourrait atteindre au moins un 940. Andrea pensa alors à un sur mesure, il en imagina les détails les plus fou. Littéralement en transe, il sauta sur l'estrade. Pendant que ses compères immobilisait le beau gosse, Andrea sortit son mettre mesureur et commença à prendre des mesures. Le regard fou, l'écume aux lèvres.
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Dim 30 Sep - 16:11
- Spoiler:
- [je vous demanderais de ne pas vous vexer pour mes deux posts. Celui d' Andrea et celui ci parce que c'est que du rp. Je m'éclate à écrire ça, j’espère que vous aussi, en les lissant ça vous amusera =) Enfin bref, Arva devient méchante, contempler le désastre e_e . Par contre, je m'excuse, il n'y a que du dialogue :/]
La langue d' Arvalis lui fit soudain un peu mal. Ses yeux la picotait. Ses poils s' hérissèrent sur tous son corps. Soudain, cette fille aux cheveux rouges l' énerva. Pour ce prenait t' elle a juger ainsi les gents sans la connaître. Et puis zut quoi, elle l'avait poussée non. Le type à moitié chauve qui l’enfonçait sans arrêt. C'était quoi son problème ? Il voulait ce battre ? Et cette gosse la, non mais pour qui ce prenait t' elle ? Pourquoi elle la suivait, hein ? Arva n'avait pas besoin de ce pot de colle. Elle ouvrit la bouche, se tournant vers la fille aux cheveux rouges.
- Toi la, la fille pré ménopausée, c'est quoi ton problème ? T'en a pas marre de jouer les pseudo rebelle ? Tu dois pas beaucoup avoir beaucoup d'amis, je me trompe ? Ça m'étonne pas, déjà que t'arrive pas à aligner deux phrases cohérentes. Qui voudrait de toi ? Hein, dit moi ? À part ceux qui veulent profiter de ce que tu possède. Je paris que tu adore ça, avoir un peu d'emprise sur les gents... C'est pour ça que tes ici hein ? Ta envie de voir qu'elle seront tes prochaines victimes ? Tu me dégoutte.
Arvalis cracha a ces pied et la regarda méchamment, la mettant au défi de répliquer. Puis elle se tourna vers le type un peu plus vieux.
- Et toi la, ouais en fait non, je vais rien dire. Un type qui n'est même pas capable de reconnaître quelqu'un qui lui a sauvé la vie ne mérite pas que je m'attarde sur lui. -Elle le prit par le col et le souleva sol. - En attendant, j' ai bien envie de te croquer. Toi qui trouve que les petites filles sont si appétissantes.
Elle le jeta a terre et lui rugit en pleine face, dévoilant ses immenses crocs. Puis elle se tourna vers la jeune fille aux cheveux verts.
- toi, la fille aux cheveux vert qui demande son chemin. Pourquoi tu ne cherche pas toute seule, hein ? Laisse moi deviner. Tes trop gourde pour ça. T'arrive pas à faire le rapprochement toute seule ? Vraiment, compter ainsi sur les autres, une dirait une gamine. Mais c'est ce que tu est, au fond, non ? Quoi ? Tu n'a pas trois ans d'age mental ? Excuse moi, j'ai du confondre avec la gosse qui me colle au train depuis un bon bout de temps - Elle se tourna vers Mo -. Tu ne te reconnaît pas la dedans chérie ? Pourtant le rapprochement est évidant. Allez, va trouver quelqu'un d'autre pour faire mumuse. J'en ai marre de voir ta tronche de cake.
Elle sauta sur Forlax, qui tomba par terre. Arvali était maintenant sur elle, prête a l'écraser avec sa masse musculaire. Elle en profita pour lui susurrer a l'oreille.
- Tu as peur ? Mauviette va.
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Dim 30 Sep - 17:28
Armé de confettis et vuvuzelas en tous genre, un personnage loufoque, suivi de celui qui semblait être son maître, déroula un tapis couleur or au milieu de la place, séparant ainsi la foule en deux groupes distincts. Tu avais peur, soudainement. Qui était-ce ? Un dictateur, voulant prendre le pouvoir par coup d'état ? Était-ce lui que toute la foule attendait avec tant d'impatience ? Tu le regardais, admirative, réciter un discours très, très prenant, quand tu fus soudain plaquée à terre par Erylik. Action inattendue, pour le moins. Elle s'était mise à déblatérer nombre d'insultes envers le petit groupe de personnes venu nous entourer. Mais que lui prenait-il donc ?
« Toi, la fille aux cheveux vert qui demande son chemin. Pourquoi tu ne cherche pas toute seule, hein ? Laisse moi deviner. Tes trop gourde pour ça. T'arrive pas à faire le rapprochement toute seule ? Vraiment, compter ainsi sur les autres, une dirait une gamine. Mais c'est ce que tu est, au fond, non ? Quoi ? Tu n'a pas trois ans d'age mental ? Excuse moi, j'ai du confondre avec la gosse qui me colle au train depuis un bon bout de temps. » - se tournant vers toi - « Tu ne te reconnaît pas la dedans chérie ? Pourtant le rapprochement est évidant. Allez, va trouver quelqu'un d'autre pour faire mumuse. J'en ai marre de voir ta tronche de cake. »
« Erylik, Erylik ! Ce n'est pas toi ! Je... »
Soudain, un filet de bave coula, sans qu'elle s'en aperçoive, de la bouche de celle qui avait été ton amie, pour atterrir sur ta joue, à quelques millimètres à peine de ta bouche ouverte. Ta chair absorba l'acide, tant et si bien que tu réagis vivement, contaminée : poussant de tes bras, si frêles d'habitude, Erylik à quelques mètres de toi, tu te relevas fièrement et regardas l'animal de toute ta hauteur.
« Écarte-toi de moi, vieille roussette crasseuse ! Il est clair et net que rester avec toi est pour moi un supplice ; chaque jour, supporter ton odeur âcre et les puces qui te démangent ! Ah ça non ! C'en est fini de tout ça, tu peux me croire ! »
Tu avanças d'un pas en direction de la chauve-souris, tout en dardant brièvement le fou des explosions d'un œil désintéressé.
« J'suis certaine que le vieux chnoque est encore moins nauséabond que toi, bien que ses affreuses binocles le rendent toujours plus décrépit, le vieillard ! »
En direction cette fois de la fille aux cheveux verts et de Tamago :
« Et toi, Courgette-girl ! J'suis pas de l'avis de l'autre chouette, mais alors là ! T'es qui pour te laisser faire comme ça ?! Quant à toi, m'dame la flic ! Porter des accusations gratuites, même contre le médoc' pour l’acné, tu devrais avoir honte ! Surtout que vu la couleur de tes tifs, t'es p't'être pas tout-à-fait innocente toi non plus... »
« Toi, la fille aux cheveux vert qui demande son chemin. Pourquoi tu ne cherche pas toute seule, hein ? Laisse moi deviner. Tes trop gourde pour ça. T'arrive pas à faire le rapprochement toute seule ? Vraiment, compter ainsi sur les autres, une dirait une gamine. Mais c'est ce que tu est, au fond, non ? Quoi ? Tu n'a pas trois ans d'age mental ? Excuse moi, j'ai du confondre avec la gosse qui me colle au train depuis un bon bout de temps. » - se tournant vers toi - « Tu ne te reconnaît pas la dedans chérie ? Pourtant le rapprochement est évidant. Allez, va trouver quelqu'un d'autre pour faire mumuse. J'en ai marre de voir ta tronche de cake. »
« Erylik, Erylik ! Ce n'est pas toi ! Je... »
Soudain, un filet de bave coula, sans qu'elle s'en aperçoive, de la bouche de celle qui avait été ton amie, pour atterrir sur ta joue, à quelques millimètres à peine de ta bouche ouverte. Ta chair absorba l'acide, tant et si bien que tu réagis vivement, contaminée : poussant de tes bras, si frêles d'habitude, Erylik à quelques mètres de toi, tu te relevas fièrement et regardas l'animal de toute ta hauteur.
« Écarte-toi de moi, vieille roussette crasseuse ! Il est clair et net que rester avec toi est pour moi un supplice ; chaque jour, supporter ton odeur âcre et les puces qui te démangent ! Ah ça non ! C'en est fini de tout ça, tu peux me croire ! »
Tu avanças d'un pas en direction de la chauve-souris, tout en dardant brièvement le fou des explosions d'un œil désintéressé.
« J'suis certaine que le vieux chnoque est encore moins nauséabond que toi, bien que ses affreuses binocles le rendent toujours plus décrépit, le vieillard ! »
En direction cette fois de la fille aux cheveux verts et de Tamago :
« Et toi, Courgette-girl ! J'suis pas de l'avis de l'autre chouette, mais alors là ! T'es qui pour te laisser faire comme ça ?! Quant à toi, m'dame la flic ! Porter des accusations gratuites, même contre le médoc' pour l’acné, tu devrais avoir honte ! Surtout que vu la couleur de tes tifs, t'es p't'être pas tout-à-fait innocente toi non plus... »
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Dim 30 Sep - 18:15
Bon tant pis si c'est mal foutu >< j'ai trop écrit ce week-end...
À peine avais-tu mis en garde le portrait craché de Monique – si ce n’était elle – qu’une gamine aux cheveux verts s’était affalée devant vous. Ces citadins, franchement, ils ne savaient plus où aller dans leurs extravagances !
« Saluuut !! Dîtes, vous savez pourquoi tout le monde se réunit ici ? Ça a l'air sympa, il va y avoir un spectacle ? »
Tu n’en sais rien, et tu préfères l’ignorer. Elle devrait être au courant des activités qui se déroulent près de chez elle, quand même, cette petite ! Enfin, c’est un rêve, il ne faut pas demander de la logique. Juste après, un adolescent – visiblement aussi du coin, au vu de tous les tatouages dont il est recouvert – se pointe.
« Si l’espèce de bestiole décide de bouffer la gamine ou le vieux, appelez-moi, je filerai un coup de main, okay ? A qui, je ne sais pas encore, on verra au moment venu. (se tournant vers la fiche aux cheveux verts)Ho, toi tu me dis vaguement quelque chose… Ah, ouais, c’est tes cheveux, j’ai croisé une horloge qui avait les mêmes, hier. Ça lui allait mieux qu’à toi, sans vouloir te vexer. Et ouais, va y’avoir un spectacle. Et peut-être même deux si la bêbête se décide à grignoter la petite.».
Voilà ce qu’il sort avant de partir en ricanant, comme si de rien n’était. Ok. Normal ! Tu préfères ne pas relever ; il faut bien les excuser, ces illusions n’ont pas toute leur tête. Heureusement que toi, tu es là pour faire la part des choses ! Lorsque tu te réveilleras, demain, tu clameras haut et fort que tu es sensé, comme toujours.
Si sensé que lorsqu’une fille aux cheveux violets se jette sur toi en traînant une autre personne, tu ne réagis pas tout de suite. Elle t’enfonce carrément les cheveux de cette fille – que tu crois malheureusement reconnaître… - dans la bouche. Elle est probablement folle… Ou normale, chez eux ! Bon sang de bon soir, c’est que ça a mauvais goût, en plus.. Tu propulses violemment les deux filles vers l’arrière, sans te soucier de les blesser. La compassion, c’est fini. Que tout s’arrête et s’efface pour de bon.
Soudain, un bruit déchirant te transperce les oreilles. Une armée de trompettes lanceuses de conffettis arrivent, suivis par un homme braillant à travers un haut-parleur à hélium et un autre en cosplay de Louis XVI. Ils braillent des paroles inintelligibles, et tu ne t’en soucies pas pour le moment, car la créature noire te soulève par le col
« Et toi la, ouais en fait non, je vais rien dire. Un type qui n'est même pas capable de reconnaître quelqu'un qui lui a sauvé la vie ne mérite pas que je m'attarde sur lui. -Elle le prit par le col et le souleva sol. - En attendant, j' ai bien envie de te croquer. Toi qui trouve que les petites filles sont si appétissantes. »
Tu le savais ! Cette Bête est folle, et elle va te bouffer. Enfin, il te jette plutôt à terre, rugissant. Le rustre, il t’a postillonné dessus ! Tu te sens investi d’une force nouvelle. Vengeance, réclames-tu ! Tu te lèves, ignores l’insulte nouvelle lancée par la petite fille – qui semblait pourtant à peu près innocente.
« À quoi bon vous borner ? Vous n’êtes que des illusions créées de toute pièce. Jamais vous n’avez existé, tout ce que vous croyez être n’est que pure invention. Tout ce que vous dites passe à travers le vide, parce qu’ici il n’y a rien d’autre. (t’éloignant vers l’estrade) Alors, je n’ai pas grand soucis de ce que peuvent dire des mioches et des peluches. »
Sur ces mots tu t’en vas, furax, et avises l’homme costumé, déjà fort occupé avec un autre adolescent aux cheveux blonds. Une soudaine envie te prend de le baffer, et c’est ce que tu fais. T’approchant de Maximilian, tu le sépares de l’autre énergumène, le prends par le col et le jettes depuis son estrade ! Celui qui t’avait pété les tympans tout à l’heure s’interpose, mais tu le repousses violemment.
Toi-même, tu ignores pourquoi tu as soudainement envie d’être méchant envers tout le monde… Au pire, qui se soucie de ce qui arrive à un rêve ?
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Anna
Dim 30 Sep - 19:55
Event O1 - Premier acte.
« ... Keu-wah ? »
Alors là, c'était sans doute l'une des choses les plus bizarres qui me soient arrivées depuis que je suis ici. Et le pire c'était que cela m'arrivait avec des êtres humains - du moins, qui y ressemblaient grandement - et non avec des objets/plantes/hamsters géants entre autres. Premièrement, un jeune homme tout coloré que j'identifiai comme étant Jude était apparu comme ça, sans prévenir, pouf ! Et puis une fille aux cheveux bicolores avait traîné par les cheveux une autre demoiselle à la chevelure verte - chouette, une collègue ! - pour la donner à manger à un vieux monsieur bizarre à lunettes ! Celui-ci les avait d'ailleurs repoussées, j'en conclus qu'il n'était pas un monstre végétarien - les cheveux verts pouvant être facilement considérés comme les fibres d'un quelconque légume, non ? -. Et puis, pour couronner le tout, voilà qu'un autre monsieur - hyper classe - s'avançait sur un tapis doré, accompagné d'une sorte de héraut - moins classe -. Celui-ci à peine arrivé sur l'estrade de la grand-place, fut attaqué par de mignonnes petites gelées colorées et par un jeune homme qui semblait avoir la rage... Les chewing-gums ! Il fallait les neutraliser, absolument ! Zut, mes collègues Pinky et Tape-l’œil n'étaient pas là... Alors que j'en avais besoin ! Absolument !
Et là, cerise sur le gâteau. Voilà que je me faisais insulter par l'espèce de machin poilu avec des ailes, par une gamine qui avait subitement changé de caractère à son égard et par le type blond à lunettes ! Gourde ? Courgette-girl ? Illusion ? N'importe quoi, ils déliraient complètement ! Ces personnes sont trop bizarres, et méchantes en plus, dans ce monde si merveilleux ! Je regardai autour de moi, cherchant de l'aide pour les calmer un peu, pour leur prouver que ce n'était pas un rêve, rien de plus que la réalité. Le vieux grincheux - c'était comme ça que j'allais l'appeler maintenant, non mais ! Et encore, je suis polie -, visiblement très en colère, se dirigea vers le type classe qui faisait un discours. Bien sûr ! Lui, là ! Celui qui disait être le créateur de ce monde ! Il pouvait m'aider ! Non ?
« Monsieur ! Monsieur, là-bas, sur l'estrade ! Heu je veux dire, Altesse ! Aidez-moi ! S'il vous plaît... »
Je lui faisais de grands signes, au milieu de toute cette foule. J'avais peur d'être contaminée par toute cette mauvaise humeur, car cela me ferait perdre mon sourire. Et ça, c'était hors de question !
#B0CC99 ou #667f53
Fansong Striky x Anna par Striky herself **
Fansong Striky x Anna par Striky herself **
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Dim 30 Sep - 21:31
Mis à part ces vieux imbus d'eux-mêmes, bien sûr...
Plushie s'était levée d'un coup. Si violemment que le tapis avait crié, d'ailleurs. Alors elle s'était excusé distraitement, avait empoigné Hare et était partie d'un pas enjoué. Inhabituellement enjoué.
Mais peu importe ! Elle avait l'air heureuse, et Hare aussi.
Même si elle était contente pour une mystérieuse raison qu'elle-même ignorait - elle ne s'était d'ailleurs pas posé la question très longtemps, la pauvre petite ne savait pas quoi faire, et l'ennui menaçait de venir remplacer sa bonne humeur.
Alors elle s'arrêta brusquement, et s'assit. Elle demanda à Hare s'il avait une envie particulière.
Le lapin ayant secoué la tête, elle soupira, se releva, et se remit à marcher. Car oui, elle avait décidé de marcher, tout simplement, et de laisser ses pas la guider où bon leur sembleraient.
Et là où ses pieds voulaient aller, c'était vers la ville, la ville qu'elle était déjà venue voir, une fois ou deux. Puisque marcher devenait lassant, elle fit une autre tentative pour s'amuser d'une façon qu'elle n'avait pas déjà faite récemment.
Elle ferma les yeux, continuant à marcher.
Ce qui devait arriver arriva, et elle rentra dans quelque chose. Quelque chose de mou. Quelque chose de chaud. Quelque chose - ou quelqu'un - de vivant.
Elle ouvrit les yeux, mécontente que quelqu'un aie osé gâcher son petit jeu.
Ledit rabat-joie gâcheur de jeu était petit, avait des cheveux roux et était une petite fille. Qui avait l'air de s'énerver d'ailleurs. Et en plus, elle était en ville, au milieu de plein d'ADULTES. Vous vous rendez compte ? Plein de personnes ingrates et inutiles, prêtes à la rabaisser sans cesse sous prétexte qu'elle était petite ?
Cela poussa immédiatement Plushie a monter sur ses grands chevaux.
« Eh !! Toi là !! D'où tu me bloque le passage ?!! MOI, je voulais passer, et TOI, tu pouvais pas bouger, hein ?! NON MAIS ESPECE DE GROSSE FLEMMARDE ! ON DOIT TOUJOURS TOUT FAIRE SOI-MÊME ICI ? »
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Lun 1 Oct - 0:51
Agittation. Les gens gens semblaient s'exciter d'avantage, des voix s'élevaient. Ton regard se posa alors sur le petit groupe qui entourait une espèce de chauve-souris géante. Drôle d'animal de compagnie... Tu aimerais en avoir un semblable, ça devait être super comme chien de garde. Non, la bête ne te surprenait pas plus que ça. Tu avais vu plein de trucs étranges depuis ton arrivé alors tu t'étais dis qu'il était probablement fréquent de voir ce genre de créature....
Tu n'eus pas le temps d'approfondir ta réflexion. Quelqu'un, ou quelque chose (t'en sais rien, ça s'est passé trop vite, t'as pas eu le temps de voir) t'agrippa par les cheveux et te trainait vers l'avant. Tu protestais, te débattais, mais n'arrivais à rien dans cette posture. Ton corps penché vers l'avant, déséquilibrée, une main sur le crâne par crainte qu'on ne t’assomme, une main tenant tes cheveux (parce que merde, ça faisait mal), tu suivais ton agresseur tout en tirant en même temps pour te défaire de son emprise.
-Non mais ça va pas?! Lâche moi 'spèce de crétin!
Rien de bien menaçant venant d'une fille qui avait le visage en parallèle avec le sol, mais bon... Tu grognais, te débattais, de temps à autre, tu tentais de frapper ton ennemi, mais tu n'arrivais à rien. Un autre coup sec. Tu serras la mâchoire, t'empêchant de pousser un cri devant ton agresseur et dès que tu sentais sa poigne lâcher tes cheveux, tu te redressas d'un coup. Tes cheveux étaient humide de salive, ton cuir-chevelu te brulait et c'est là que tu vis cette fille qui avait, emmêlé à ses doigts, quelques uns de tes cheveux qui avaient été arrachés. Ce qui se passait autour de toi, tu t'en foutais, tu n'entendais rien, tu voyais rouge. Tu te propulsas sur elle, empoignas à ton tours sa chevelure et tu la tiras avec toi.
-À mon tours de t’emmener en ballade...
De ta voix rauque, tu crachas ces mots, alors que tu avançais d'un pas déterminé. Cette fille s'en était pris à la mauvaise personne, vraiment. Tu contournais rapidement les gens qui se trouvaient sur la place, les ignorant puis la poussa contre le mur dans le but de l'assommer contre celui-ci avant de lui administrer un coup de pied dans l'abdomen.
-Espèce de cinglée, on ne s'en prend pas aux gens sans raison!
Un autre coup de pied, histoire de te défouler un peu. Tu la regardas un petit moment, reprenant lentement le contrôle sur toi puis t'éloigna d'elle (sans pour autant la quiter du regard au cas où elle te sauterait de nouveau dessus). Trop de gens, trop de mouvements, trop peu d'espace. De quoi devenir agoraphobe. Tu ne savais plus où te mettre, à quoi répondre. Foutre un taloche au type qui se prenait pour un roi, calmer la gamine qui criait sur une autre gamine, retourner frapper l'autre cinglée ou frapper l'abruti qui partait une bagarre. Trop de choses à faire, trop d'imbéciles à frapper...
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