[Bâtiment Bleu - 1er] Couloirs

Messages : 1044 Date d'inscription : 24/06/2012

La seule différence notable entre les couloirs du premier étage et ceux du rez-de-chaussée, outre leur architecture largement différente, réside dans l'absence total de tout banc ou décoration. Une absence qui s'ajoute à celle d'une lumière décente, rajoutant à l'aspect peu accueillant.

L'escalier donne sur un fin couloir qui a tôt fait de partir vers la droite, seule direction possible. Tout aussi fin, mais bien plus long, ce que l'on pourrait qualifier de couloir principal dessert deux passages sur la gauche, dont le premier mène vers une floppée de porte et le second vers une seule porte métallique, verrouillée par un solide cadenas. Si vous souhaitez encore tourner à droite, un couloir large vous attend, filant droit vers une porte coupe-feu qui vous mènera au 1er étage du Bâtiment Vert, ainsi que sur quatre portes.

Inutile de préciser qu'il y largement de quoi faire.

PS : N'hésitez pas à vous appuyer sur le plan du laboratoire.

Personnages : Lucas et Isolde Messages : 281 Date d'inscription : 14/04/2019

Vient des Couloirs du 1er étage vert

Isolde continua tout droit et se dirigea vers la salle informatique. Elle avait un besoin très important d'un des appareils qui s'y trouvait.

Vers la salle informatique.

Résumé:

Personnages : Lucas et Isolde Messages : 281 Date d'inscription : 14/04/2019

Vient de la salle informatique.

Isolde avança lantement avec son mètre-canne d'une main, son sac improvisé sur les épaules et son sac de couchage sous l'autre bras. Il fallait qu'elle descende pour se rendre à la salle de réunion, puis à la cafétéria.

Vers les Couloirs du RDC bleu

Résumé:

Précédemment :

__–Arrivée à l’étage, Crevette dégaina son sabre.
__–« Okay, c’était là. Elle est partie vers la droite, par là. »
__–Elle montra de la pointe de son arme la direction prise par la créature.
__–« Tu sens quelque chose ? »

Résumé :

Médor regarda les alentours, puis se tourna vers la fillette. Elle était moins bavarde que Adeline, sans surprise.
Après un soupir, il colla sa truffe au sol.

Il y avait beaucoup d'odeurs, très diverses. Certaines étaient agréables, autres moins pour son museau délicat. Il se mit à arpenter le palier, allant et venant au gré des pistes.

Elle est partie par là, donc ?

Il suffisait d'isoler les odeurs qui se dirigeaient dans cette direction; c'est-à-dire un certain nombre.

Cessant l'exercice, il se tourna vers sa nouvelle side Kick avec un air blasé :

Sentir ? Oui, je sens bien quelque chose. C'est bien le problème, Mademoiselle.

Comment pouvait-il expliquer ça à la soldate ?

Si t'es si sûre qu'elle est allée à droite, allons à droite.

Résumé:

__–Une chose au moins était claire : ils n’étaient pas vraiment faits pour s’entendre. Médor parlait à la fois trop et pas assez. Essayait de faire le petit rigolo, ce qu’elle pouvait supporter, mais uniquement quand cela venait de gens qui savaient parfaitement ce qu’ils faisaient. Ce qui manifestement n’était pas son cas.
__–Il lui fallut donc un soupir, se souvenir de ce que lui dirait Effie dans cette situation et beaucoup de contrôle de soi pour ne rien rajouter. Crevette se contenta d’aller vers le couloir de droite, sans un mot.
__–Outre le fait qu’elle n’avait absolument aucune envie de répondre à Médor, elle ne voulait pas surprendre la créature qu’elle poursuivait. L’entendre allait être difficile : déjà n’avait-elle fait aucun bruit alors qu’elle était poursuivie par Morgan.
__–Arrivée devant la première porte, elle eut comme un doute sur la marche à suivre. Crevette connaissait ce coin du laboratoire : les dortoirs étaient un peu plus loin au fond du couloir, dans la partie verte du laboratoire. Cela représentait non moins de neuf portes à inspecter, sans compter celles vers les WC et la buanderie. Il fallait diviser le travail, si on ne voulait pas y passer un temps déraisonnable.
__–Crevette se retourna donc. Coinça son sabre sous son bras. Pointa Médor du doigt, puis la porte de la salle d’étude. Puis se pointa elle du doigt de l’autre main, désigna le fond du couloir, puis fit se rejoindre ses deux doigts. Il n’y avait plus qu’à espérer qu’il comprendrait ce qu’elle voudrait dire.

Résumé :

Arrivé au premier étage, je tourne à droite, puis à gauche au premier croisement. Je parcours les portes à ma gauche en volant plus doucement. Je m’arrête à la troisième porte, qui est celle du bureau où j’ai réparé les ampoules, d’après mes souvenirs. De mon sac, je sors ma carte – que j’avais bien pliée – et je la déplie. Oui, c’est bien la porte du bureau qu’on cherche.
Vu que la porte devant nous est fermée, j’écris ceci sur mon carnet avant de me tourner vers Kaoren pour le lui tendre :
« Pourrais-tu ouvrir la porte, s’il te plaît ? »

Résumé:

Commandant Crustacé lui proposait de se séparer pour fouiller les pièces. Enfin, c'est ce qu'il en avait compris. Il parlait mal le militaire.

N'y voyant pas d'inconvénient particulier, il se dirigea vers la première salle, tout prêt à montrer ses fameux talents d'exploration.

Ha oui, la porte.
L'obstacle de base, et sa Némésis.

Il soupira. Il n'avait absolument pas envie de se mettre la honte devant le mini-Ranger, et pas plus envie de lui quémander de l'aide.

Il était un fier loup indépendant, oui ou merde ? Il avait déjà vu des vidéos de chiens le faire, alors pourquoi pas lui ?

Concentrant toute la maîtrise de son corps, il propulsa le haut de son corps vers la porte et...
atterrit de tout son poids contre, faisant grincer ses griffes sur la paroi, et se réceptionna avec la grâce d'un veau nouveau-né. Si la cheftaine ou quiconque était dans les environs immédiats, il avait dû entendre le bruit mat de son crâne contre la porte puis le sol, entrecoupé par le vacarme de ses pattes frottant lamentablement contre le battant. Génial, pile dans ses objectifs !

Frustré au plus haut point et se sentant de nouveau d'humeur à mordre du bois, il prit sur lui pour retenter l'exercice. Cette fois-ci serait la bonne.

Il défia l'obstacle maléfique du regard, contracta ses muscles et...
lui mit un coup de boule. Oui, voilà. C'était ça. C'était ce qu'il avait prévu depuis le départ. C'était tout à fait exprès de percuter cette putain de porte avec sa tête, se prendre la poignée dans la mâchoire et se vautrer comme une bouse par terre, faisant faire un angle un poil douloureux à sa patte.
Totalement prévu. De toutes façons, à vouloir réessayer après son premier échec, c'était clair qu'il était masochiste.

Putain de porte à la con !

Voilà, c'était dit.
Pour la discrétion, on repassera.

Résumé :

Réponse ici.

Admirez notre magnificence ! ♥ Messages : 339 Date d'inscription : 08/06/2013

Alors que Crevette et Médor faisaient un vacarme à en réveiller les morts (ou, au moins, à contrer toute tentative de grasse matinée), la porte de la salle des collectes, pièce située juste à côté de celle qu’échouait à ouvrir le Dessinateur lupin, s’ouvrit d’un geste ferme.

En sortit aussitôt un Averroès aux sourcils froncés. Il jeta un oeil aux deux perturbateurs, puis se tourna vers Médor :

« Qu’est-ce qui se passe ici ? »

Le ton n’était pas agressif, mais légèrement circonspect.

Le Dessinateur hésitait à aller chercher des noises à la gamine. Vraiment. Elle lui chauffait les oreilles, avec son air supérieur. Militaire ou pas militaire, il n'y pouvait pas grand-chose d'être en incapacité d'ouvrir les portes. Et en plus il avait mal.

Le Cyantifique apparut presque à point nommé. Enfin Médor pensa d'abord quelque chose dans l'idée "Ho chouette, une cible valable sur lequel me défouler". Puis ces légers écarts de la veille lui revinrent en mémoire, ainsi que le fait qu'il avait proposé Aloès en tant que chef. Passer sa frustration sur lui ne serait pas du meilleur effet, d'autant plus que les Cyantifiques étaient potentiellement presque plus valables que le tas d'abrutis qu'il se coltinait en partenaires.

Médor prit donc sur lui en s'ebrouant avec vigueur et se tourna vers ce nouvel interlocuteur :

Il se passe qu'il y a des portes devant les entrées.

Le ton restait un peu sec, histoire qu'on ne puisse pas croire qu'il était d'humeur à raconter des lieux communs pour l'amour du bavardage; mais c'était le mieux qu'il pouvait faire avec sa mâchoire qui le lançait et sa patte qui réclamait d'être mise en congé.

Et je... Je suis pas foutu d'être capable de les ouvrir, faut croire.

Précisa-t-il en abaissant les oreilles.

Quitte à s'etre foutu la honte, autant rester dans le thème, mais rester courtois tant qu'il le pouvait encore avec la figure d'autorité autoproclamée. Il avait bien le temps de se prendre la gueule, voire de la refermer encore sur quelqu'un d'ici à la nuit prochaine.

Mais sinon on cherche un machin féliforme, avec Commandant.. la gamine avec un nom de crustacé. Vous l'auriez pas vu par hasard ?

Résumé :

Vient du rez-de-chaussée

Les couloirs du premier étage sont aussi sombres et austères que ceux du rez-de-chaussée, mais leurs murs y affichent moins de symboles. Ce sont des pages vierges, du moins aux yeux de Kaoren ; c’est là qu’il doit désormais écrire. D’autres y ont probablement déjà posé leur griffe – il lui semble même entendre les échos de leurs voix depuis le bout du couloir –, mais désormais, c’est à lui d’y ajouter sa propre marque. Demain, ce lieu sera celui qui aura accueilli Kaoren la veille. On y trouvera les traces de son dernier exploit, ou la désolation de son dernier échec. Aujourd’hui, c’est seulement une porte ouverte à tous les caprices du destin.

Dans cette obscurité, Kaoren peine à suivre André du regard, mais son bourdonnement intense suffit amplement à le guider vers sa destination. Après deux tournants, et une courte marche dans un corridor flanqué de portes, le garçon aperçoit enfin son compagnon volant, posé sur la poignée de celle du fond. Non sans une certaine difficulté, il lit le carnet que lui présente ce dernier à la faible lueur des lampes du plafond. Mais immédiatement, il exécute la requête qui lui est soumise, comme s’il avait en vérité toujours su ce qu’on attendait de lui ; il ouvre la porte d’un geste vif, et laisse à André le soin d’entrer le premier, prêt à le suivre dans la seconde.

Le script va bon train ; il n’aura pas fallu attendre le quart de la moitié du commencement de cette scène pour que Kaoren s’y montre indispensable. Ne reste à voir que pourquoi il y a pris la place d’un autre.

Suite dans le bureau 6

Résumé:

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Alors qu’il écoutait Médor parler, Averroès semblait chercher à jauger de lui-même la difficulté pour un loup à ouvrir une porte. Il regarda brièvement derrière lui, puis attendit que le Dessinateur finisse, tiquant d’abord sur sa dernière question :

« Ce n’est pas l’un des vôtres ? »
Sous entendu : C’est un Objet ? La question était en réalité rhétorique.
« Sinon, effectivement, j’ai entendu quelques bruits inquiétants cette nuit qui pourraient correspondre.. mais si c’est bien ça il a dû bouger depuis, donc ça ne va probablement pas vous aider. »

Il enchaîna :

« Et pour ces problèmes de porte… En utilisant une cagette pour vous surélever, ça ira peut-être mieux. On en a plein ici, et vous pouvez la transporter avec la bouche. »
Il s’écarta légèrement pour laisser le loup entrevoir la salle des collections. Si l’attention se portait naturellement sur les cailloux et autres excentricités esquisséennes qui s’y trouvaient, la pièce était effectivement remplie de toutes part de potentiels escabeaux de substitution. Il s’y trouvait également un chariot qui pouvait être reconverti en skateboard à condition d’en ôter certaines des plaques métalliques.

Son regard changea de direction quand il entendit Crevette défoncer la porte du second dortoir. Il lança à Médor un regard qui voulait probablement dire "Vous pourriez pas lui dire de faire attention ?".

Un marche-pied... D'abord l'image offerte par le Cyantifique irrita le Dessinateur. Se voir transporté comme un caniche de cirque son petit escabeau personnel lui apparaissait strictement ridicule. Mais à y réfléchir, l'idée n'était pas bête, et le fait était qu'il en avait besoin. Cela mobilisait sa gueule, mais il ne pouvait pas rester bloqué indéfiniment dès qu'une porte se présentait. Surtout s'il avait la moindre prétention d'être utile.

Il jeta donc un regard timide vers la salle indiquée. Puis vers sa camarade, qui avait l'air de vouloir faire un concours contre elle-même de qui était le plus bourrin. Il soupira longuement. D'abord Adeline et son esprit qui partait régulièrement en congé maladie, et maintenant une brute épaisse dans une gamine de dix ans. Il se coltinait tous les neuneus du coin en accompagnement, ou l'intégralité du groupe était plus ou moins siphonné ?
Il avait un peu peur de la réponse à force.

Mais un mot d'Aloès lui revint à l'esprit :

Mais du bruit cette nuit... Vous avez dormi ici cette nuit ?!

S'insurgea-t-il en désignant la pièce d'où sortait son interlocuteur. Elle n'avait pas l'air hyper confortable. Quoique, peut-être que les Cyantifiques étaient capables de se miniaturiser, ou dormaient en s'accrochant aux murs. Tout était encore possible ici.

Puis il se dirigea vers la salle désignée pour chercher de quoi se surélever.

Résumé:

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Le sourcil perplexe d’Averroès se courba encore un peu plus fortement. Il avait visiblement du mal à suivre le raisonnement du grand détective qui se trouvait en face de lui.

« Non. Je suis seulement passé patrouiller. »

Il suivit le loup jusque dans la ...

Depuis

Sa caisse dans la gueule, Médor se dirigea tout content vers la porte rétive qui lui avait donné tant de souci. La cheftaine semblait avoir bien avancé son affaire, ou plutôt son défonçage de portes en règle ; mais sans résultat, ça ne valait pas mieux que lui qui était toujours sur la ligne de départ.

Il posa son support improvisé, prêt à en découdre avec sa Némésis. Ce combat était perdu d'avance avec cette nouvelle prothèse.
Mais il se stoppa avant d'atteindre son objectif, actionner pleinement la poignée.

Le Cyantifique avait parlé d'un Laboratoire quatre. Blindé.

Ce qui signifiait non seulement qu'il y en avait au moins trois autres, mais aussi qu'il y avait des raisons pour que celui-ci spécifiquement soit renforcé. Sûrement. Et ce n'était pas nécessairement une bonne nouvelle qu'on entende une créature inconnue se promener juste à côté de ce dit laboratoire. Mais surtout que, suivant où se trouvait l'endroit, lui et la soldate cherchaient au mauvais endroit.

Abandonnant déjà au milieu du chemin son ami le bac, Médor repartit donc voir son informateur afin d'être plus éclairé.

Direction

Résumé:

Vient de

Médor retrouva donc le couloir, son bac devant la salle plus loin, et pas grand-chose de plus. Il se tourna vers le Cyantifique, attendant de voir ce qu'il allait faire. Allait-il les aider ? Ça avait l'air d'être son truc au fond, et il avait l'air motivé. Peut-être parce que ça semblait plus intéressant que trier sa collection lithologique.

Quoique Médor pouvait tout autant se débrouiller seul, ce n'était qu'un petit Objet à repérer et neutraliser si possible. Bah, il s'habituait à avoir des compagnons à force. Et puis un Cyantifique, ça serait inédit.

Résumé :

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Averroès écouta avec attention les réponses du Dessinateur, tout en le suivant mécaniquement vers l’extérieur de la pièce. Il regarda le long couloir qui menait aux dortoirs, et par extension à Crevette.

« Si la créature était ici cette nuit et fuit quand on l’approche, réfléchit-il en parlant à voix basse, elle n’avait aucune raison d’aller dans les dortoirs si vous y étiez jusqu’à il y a peu. Par contre, en faisant autant de bruit, votre collègue risque de l’alerter si elle est ici ou plus loin. »

Il tourna la tête vers Médor.

« Et si elle fuit, ça ne passera pas par les couloirs… Vu la taille, plutôt un trou dans le mur - il y en a quelques uns. »

Il parut réfléchir quelques instants.

« Enfin. Au moins la diversion nous rendra plus discrets. Il va me falloir une arme pour être efficace. Le temps que vous fouilliez le labo 4 - sait-on jamais - je vais passer rapidement au camion. »

Après avoir pointé du doigt le laboratoire pour s'assurer que Médor savait où aller, il s'éloigna d'un pas pressé mais relativement discret.

Médor hocha la tête. Le Cyantifique lui semblait bien plus expérimenté pour la mission que cette brute de Crustacé, pourtant l'instigatrice de la traque.

Il demanda vite fait la direction du-dit Laboratoire 4, et partit de son côté, non sans prendre son fidèle bac avec lui.

Résumé :

La suite dans le

[H.R.P.]
Je considère que Averroès lui donne la direction de façon succinct, je changerais si nécessaire bien sûr

Depuis

Sa caisse chérie entre les dents, Médor était enfin fin prêt à s'attaquer à son ennemi, la redoutée pièce désignée par la Commandante Croustibat.
Il fallait peut-être quand même qu'il s'y mette avant qu'elle ait fini de défoncer toutes les portes de l'étage, sinon elle risquait de râler un petit peu.

Résumé:

Go go

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Quelques longues minutes après être parti chercher son arme, Averroès revint, son fusil à pompe en main. Voyant le loup sortir de la salle d'étude, il s'en approcha.
« Vous avez trouvé quelque chose ? »
Avant même de pouvoir faire son rapport, Médor fut interrompu par une voix qui venait du fond du Laboratoire.
« Vous cherchez quoiiiii ? »
Le cyantifique se retourna vers son collègue au chapeau de paille, qui venait probablement de la salle informatique ou de la chambre noire.
« Un Objet. Une sorte de chat qui aurait été aperçu dans le coin. »
« Ça m'ennuie déjà... (il leva les yeux, l'air de réfléchir à voix haute, et murmura :) Mais peut-être que si on le trouve, je pourrai assister à la prochaine réunion de Rosalina... ! »
Son visage s'illumina comme s'il venait de penser à un plan diabolique. Il se pencha vers Médor, tout sourire.
« Alors, dites-moi tout ! Il est où ? On fait comment ? »
La déprime du canidé n'avait d'égal que l'enthousiasme de Dalton. Et à défaut d'être plus avancés, ils étaient passés de deux à quatre pour chercher un chat, ce qui promettait d'accélérer un peu les opérations.

~~Je vais ramener des PNJ jusqu'à ce que vous trouviez~~

Précédemment :

__–Ils discutent, on va pas les embê—
__–« Alors, ça traînasse dans les couloirs comme les trois mous du gland que vous êtes ? Après vous faites ce que vous voulez, tant que vous m’laissez passer. Ça veut dire bouge ton cul, ça. »
__–C’est pas très gentil pour le monsieur au chapeau… Mais papa m’a appris à ne jamais embêter les gens qui sont plus forts que moi et qui ont des fusils alors je comprends qu’elle lui ait demandé à lui. Du coup papa va voir le chien (!!! il est trop mignoooooon (mais un peu gros (je me souvenais pas qu’il était aussi gros…))) :
__–« Rien trouvé ? »
__–Je sens que papa a voulu lui dire des méchancetés mais comme il a rien trouvé non plus… Oui bon ben la ramène pas toi non plus hein. Et puis, le monsieur tout noir, il lui a pas posé cette question déjà ? Peut-être, mais il est pas en équipe avec les cyantifiques que je sache ? Non mais sans blague.

Résumé :

Vient dd

Aloès. Le Cyantifique blond. Et Crousticapt' l'attendaient à la sortie.

Trop de monde.

Il commença par Averell. Ou William ? Roh et puis zut, le blond là, qui avait l'air d'un touriste.

On va commencer par éloigner sa grosse tête d'abruti de devant mon museau, j'étouffe.

Et il ponctua sa demande d'un léger grognement.

Puis, en se tournant vers le Cyantifique armé puis la soldate, il continua son rapport :

"J'ai l'air d'avoir combattu un affreux chat ?

Il fit quelques pas pour essayer de se calmer un peu. A trois contre lui s'il venait à leur donner une raison de l'attaquer, il ne ferait pas long feu. Surtout contre une arme comme celle du Cyantifique.

Mais d'ailleurs, il a fait quoi exactement ce chat pour qu'on le cherche partout ? Lui aussi il a mangé des gens ? Ou c'est juste pour le plaisir de la chasse à courre ?

Résumé:

__–Papa lève les yeux au ciel. Bon au moins il crie pas…
__–« Mais qu’est-ce que ça peut me foutre ce qu’il a fait, c’est un Objet, on le trouve et on l’bute, c’est pas plus compliqué que ça. Bon bref. »
__–Il sort la carte d’Isolde de sa poche, comme ça on peut voir tout ce qu’il a exploré.
__–« J’ai fait ces quatre pièces, nada. Il reste quoi ? Scanner et dortoir numéro un ? »

Résumé :

Précédemment :

__–Bonne pioche : la gamine insupportable, le loup et deux cyantifiques. Agate se retourna et hurla à l’attention de Vesa un « C’EST BON J’EN AI TROUVÉ ! », puis alla les voir.
__–« Je vous dérange ? » Question posée purement pour la forme ; pas comme si elle allait en avoir quoi que ce soit à foutre si on lui répondait par la positive.
__–« Ouais, on aurait besoin de votre aide dans la buanderie, j’ai pas trop compris comment votre machine fonctionne. Et aussi, vous voulez qu’on le lave ça, ou c’est important ce qui est marqué dessus ? »
__–Elle leur montra la blouse couverte de notes.

Résumé :