Deuxième partie ▬ Démence obscure.
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Mer 31 Juil - 15:38
Pendu
Tu aurais peut-être dû dire que tu savais parfaitement de quel mot il s'agissait. Tu n'es pas doux avec les enfants, ce n'est pas comme si tu les connaissais bien après tout..
Mimi, s'éloigne, comme possédée par une force obscure, et se dirige vers un écran. Qu'y voit-elle ? Peut-être un gigantesque gâteau, une jolie peluche, ou ses parents qui l'attendent. Peut-être un échappatoire, une sortie à cet enfer. Mais c'est faux, il s'agit juste d'un piège créé par ce monde, une désillusion comme tu en as connu tant. Des mirages.
« Mimi, arrête-toi ! C'est dangereux par ici... »
Mais elle trébuche et s'enfonce à l'intérieur de la surface vitrée, à l'intérieur de l'obscurité saisissante. Il n'en reste pas un cheveu, et sa présence elle-même semble s'être éteinte. Si elle n'avait jamais été là, l'impression aurait été semblable. Hésitant, tu ne sais pas quoi faire ; la rejoindre, et risquer de mourir ? Non, car si le jeu s'arrête, Darky ne va pas très bien le prendre. Continuer le pendu, et risquer de ne plus la revoir ? Peut-être que si tu trouves la solution, il relâchera Mimi.
« Je reviens, je vais la chercher. »
Mais si elle restait coincée de l'autre côté ? Tu l'as dit toi-même, elle ne peut pas mourir ici. Tu te précipites vers l'écran qui l'a fait disparaître, et te laisses toi aussi emporter...
- Résumé:
Eelis suit Mimi dans l'écran après hésitation.
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Folie d'Esquisse
Mer 31 Juil - 18:41
De l'autre côté des écrans vous attendait ce que vous veniez de quitter, ou plutôt ce à quoi il ressemblait avant que l'Oeuf ne sombre du côté obscur de la force. Éclairé, presque joyeux, le deuxième étage était tout autour de vous.
Face à l'écran qui aurait dû normalement accueillir le jeu du pendu, Il était là. Un costume flottant, élevé par des fils transparents tel une marionnette en représentation, légèrement ondulé par un vent qu'il était le seul à subir. Un masque sombre duquel émergeaient quelques profonds soupirs.
Dark Vador. Le même, qui vous regardait désormais comme il vous avait scruté à travers l'écran. Aucune trace de Septembre autour de lui. Il était seul face à vous. Ou... peut-être pas. N'était-Elle pas là, elle aussi, à tirer les ficelles derrière son pantin ténébreux ?
Qu'alliez-vous faire ?
(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
Invité
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Jeu 1 Aoû - 15:32
Tout est redevenu beau et clair. Le deuxième étage semble avoir retrouvé son calme. Mais toi, Mimi, tu es toujours coincée dans cet écran et tu ne peux pas chercher la sortie. Pourtant, tu en avais tant envie. Chercher la sortir, c'est comme un jeu, marrant, en plus. C'est une chasse au trésor, et là, le cadeau, c'est retrouver ta maison. Et puis, les objets seraient tellement heureux de te voir qu'ils voudront tous jouer avec toi et que vous pourrez faire un grand tournoi de girafe-à-sauter1. En lot, il y aurait même du lait à la fraise fraîchement achetée au magasin et peut-être que tu auras enfin le cadeau que tu attends. Le chat violet à paillette. C'est le seul qui te manque pour ta collection. Tu sais déjà comment tu vas l’appeler et où il sera dans ta chambre, il te le faut. Mais d'ici, tu ne peux rien faire, ma petite. Et maintenant que ton nouveau grand-père ta rejoins dans cet écran, il ne pourra plus te délivrer de la tour du dragon. C'est affreux. Le dragon ne pourra être vaincu que grâce à la princesse ! Et cette princesse, c'est toi !
Tu prends une grande inspiration pour parler, mais aucun son ne sortit de ta bouche. Tu avais bien trop peur, de ce costume noir. Et seul le vaillant chevalier ne peut vaincre les dragons, c'est vrai. Alors, tu voulais arrêter de jouer. Tu voulais que ça se termine et que tu rentres à la maison. Tu as perdu, voilà. Tu le dis et tu le sais. Maintenant, tu veux juste qu'on te relâche.
« Je veux sortir »
Mais tu avais beau murmurer ces quelques mots, rien n'y faisait. Tu étais toujours là et tu te sentais seule. Seule, même avec Papi. Alors, tu ne pus t'empêcher de verser une larme. Puis une deuxième et finalement, ce fini par un grand vacarme, noyer de bonbons, de lait à la fraise et d'hello Kitty. Tes larmes s'étaient transformées en diver objets et nourriture.
Leur petit visage mignon était tout triste de t’entendres, gentille comme tu es, pleurer. Et bientôt, le lait, les bonbons et les chats blancs préférés des petites filles noyèrent l'écran qui, éclata. Des morceaux de verre, c'étaient répandus partout sur le sol et avait pu en blesser certains, étendu sur le sol.
Les larmes-mutantes c'était elles aussi mise à pleurer et dans le vacarme, tu ne pus que continuer. C'était tellement éprouvant d'entendre toutes ses voix mignonnes pleurer encore et encore. Tellement que quelques objets, avait montré leur visage et c'était mis à devenir complètement fou.
Tu prends une grande inspiration pour parler, mais aucun son ne sortit de ta bouche. Tu avais bien trop peur, de ce costume noir. Et seul le vaillant chevalier ne peut vaincre les dragons, c'est vrai. Alors, tu voulais arrêter de jouer. Tu voulais que ça se termine et que tu rentres à la maison. Tu as perdu, voilà. Tu le dis et tu le sais. Maintenant, tu veux juste qu'on te relâche.
« Je veux sortir »
Mais tu avais beau murmurer ces quelques mots, rien n'y faisait. Tu étais toujours là et tu te sentais seule. Seule, même avec Papi. Alors, tu ne pus t'empêcher de verser une larme. Puis une deuxième et finalement, ce fini par un grand vacarme, noyer de bonbons, de lait à la fraise et d'hello Kitty. Tes larmes s'étaient transformées en diver objets et nourriture.
Leur petit visage mignon était tout triste de t’entendres, gentille comme tu es, pleurer. Et bientôt, le lait, les bonbons et les chats blancs préférés des petites filles noyèrent l'écran qui, éclata. Des morceaux de verre, c'étaient répandus partout sur le sol et avait pu en blesser certains, étendu sur le sol.
Les larmes-mutantes c'était elles aussi mise à pleurer et dans le vacarme, tu ne pus que continuer. C'était tellement éprouvant d'entendre toutes ses voix mignonnes pleurer encore et encore. Tellement que quelques objets, avait montré leur visage et c'était mis à devenir complètement fou.
- Note:
- 1 - Corde à sauter version Esquisse 8D.
Mimi, toujours coincé dans l'écran, se met à pleurer. Les larmes se transforme en bonbon, lait à la fraise et Hello Kitty. L'écran explose et les larmes-mutante se propagent partout tout en pleurant elles aussi. x). Du coup, il y a quelques objets qui se réveillent et deviennent completement fou, à vous de voir ce qu'ils font, itou. ♥
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Sam 3 Aoû - 11:20
illusions
Johnny était resté bouche bée, en observant Dark Vador de la tête aux pieds, et ne put retenir une exclamation de surprise lorsqu'il remarqua qu'on s'adressait à lui.
Puis, impuissant, il vit des tas de choses se dérouler sous ses yeux. L'homme qui devait avoir sensiblement le même âge que lui, ainsi que la fillette blonde, continuaient à proposer des lettres. Ils se prenaient au jeu. Quel intérêt ? Tout le monde était piégé ici, quoi qu'il advienne.
Puis la petite fille courut vers la porte. Une porte. Une sortie. D'où venait-elle, cette sortie, d'ailleurs ? Jamais personne ne le saurait, puisque l'enfant fut soudainement happée par l'un des écrans, se retrouvant... se retrouvant où, d'abord ? Un endroit qui lui disait vaguement quelque chose, qui éveillait en John Smith quelques douloureux souvenirs.
Et alors qu'il songeait à cela, tout explosa. BOUM ! Brutalement. Des Papillon Kitty et lait à la fraise inquantifiables surgirent de l'écran derrière lequel elle avait disparu. Et ces objets, provenus d'on-ne-sait-où, se jetèrent sur John, sans qu'il puisse se défendre en retour. Passif. Les objets le trempèrent, le dévorèrent, et bientôt il ne resta de John Smith – ou devrais-je dire de Mr Tout le monde – qu'un tas de miettes grossièrement arrachées à leur support.
John aurait voulu hoqueter. Il aurait voulu hurler. Se plaindre, aussi. Se plaindre de l'injustice qu'on lui faisait subir, à lui et à tous ceux qui s'étaient retrouvés ici à leur insu. Même si, au fond, il était peut-être le seul. Le daltonien qui se croyait le plus normal de tous. Sans le savoir, il était sûrement interné dans un hôpital psychiatrique. Et Mary, alors ? Et les enfants ? Eux aussi, étaient-ils de simples produits de son imagination ? Ils avaient bien disparu, eux. Et les connaissant, ce n'était sûrement pas leur genre d'abandonner ainsi un être cher.
C'était donc ça. Il ne s'agissait que de lui, depuis le début. Quant à Cerbère, il devait avoir l'apparence d'un vrai chien, seulement John avait vu un homme en lui. Et pour la pieuvre orange ? Peut-être un surveillant de l'hôpital, ou bien un infirmier. Impossible de le savoir.
John était fini. C'en était fini de lui, de ses espoirs, de ses rêves. À présent, il était réduit à l'état grotesque d'un tas de papier. Et ce qui se produisit le laissa sans voix. Il ne pouvait pas parler, de toute façon. Les bouts se recollèrent, reformèrent une feuille de papier, mais pas de la même forme qu'avant, non, pas comme avant. Ce serait trop facile.
Une grande feuille Canson, plus grande qu'à la normale, avec deux petits yeux dans un des angles. Au beau milieu du papier, on pouvait lire... ceci.
Irrémédiablement changé.
- « De… naissance ? Oui, oui… Euh, je veux dire, non… Tous comptes faits, je ne sais plus. Peut-être que j'ai toujours été comme ça, même sans m'en rendre compte ? Peut-être qu'on m'avait caché mon côté daltonien, et qu'après une mystérieuse guérison, on avait prévu que je réalise que le ciel est vraiment rose, et les pieuvres, vraiment oranges ? Non, vraiment, aucune idée. »
Puis, impuissant, il vit des tas de choses se dérouler sous ses yeux. L'homme qui devait avoir sensiblement le même âge que lui, ainsi que la fillette blonde, continuaient à proposer des lettres. Ils se prenaient au jeu. Quel intérêt ? Tout le monde était piégé ici, quoi qu'il advienne.
Puis la petite fille courut vers la porte. Une porte. Une sortie. D'où venait-elle, cette sortie, d'ailleurs ? Jamais personne ne le saurait, puisque l'enfant fut soudainement happée par l'un des écrans, se retrouvant... se retrouvant où, d'abord ? Un endroit qui lui disait vaguement quelque chose, qui éveillait en John Smith quelques douloureux souvenirs.
Et alors qu'il songeait à cela, tout explosa. BOUM ! Brutalement. Des Papillon Kitty et lait à la fraise inquantifiables surgirent de l'écran derrière lequel elle avait disparu. Et ces objets, provenus d'on-ne-sait-où, se jetèrent sur John, sans qu'il puisse se défendre en retour. Passif. Les objets le trempèrent, le dévorèrent, et bientôt il ne resta de John Smith – ou devrais-je dire de Mr Tout le monde – qu'un tas de miettes grossièrement arrachées à leur support.
John aurait voulu hoqueter. Il aurait voulu hurler. Se plaindre, aussi. Se plaindre de l'injustice qu'on lui faisait subir, à lui et à tous ceux qui s'étaient retrouvés ici à leur insu. Même si, au fond, il était peut-être le seul. Le daltonien qui se croyait le plus normal de tous. Sans le savoir, il était sûrement interné dans un hôpital psychiatrique. Et Mary, alors ? Et les enfants ? Eux aussi, étaient-ils de simples produits de son imagination ? Ils avaient bien disparu, eux. Et les connaissant, ce n'était sûrement pas leur genre d'abandonner ainsi un être cher.
C'était donc ça. Il ne s'agissait que de lui, depuis le début. Quant à Cerbère, il devait avoir l'apparence d'un vrai chien, seulement John avait vu un homme en lui. Et pour la pieuvre orange ? Peut-être un surveillant de l'hôpital, ou bien un infirmier. Impossible de le savoir.
John était fini. C'en était fini de lui, de ses espoirs, de ses rêves. À présent, il était réduit à l'état grotesque d'un tas de papier. Et ce qui se produisit le laissa sans voix. Il ne pouvait pas parler, de toute façon. Les bouts se recollèrent, reformèrent une feuille de papier, mais pas de la même forme qu'avant, non, pas comme avant. Ce serait trop facile.
Une grande feuille Canson, plus grande qu'à la normale, avec deux petits yeux dans un des angles. Au beau milieu du papier, on pouvait lire... ceci.
- « L'équipe Canson fait une réduction sur sa gamme papier calque ! Soyez nombreux à contribuer à l'évolution de notre marque ! »
Irrémédiablement changé.
- Spoiler:
- Le JS actuel est détruit par les "larmes" de Mimi, puis recomposé par une force mystérieuse. Il a désormais l'apparence d'une feuille Canson ordinaire, et semble décidé à faire de la pub pour cette marque 8D
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Sam 3 Aoû - 15:39
Pendu
Tu n'imaginais pas vraiment que tu trouverais, derrière l'écran que tu as traversé sans grand espoir, exactement la même chose qu'une bonne heure auparavant, lorsque tu étais arrivé dans l'Oeuf, et était passé par cet étage un peu lugubre. Une gigantesque salle toute blanche, des écrans partout.
Mais personne.
Personne, mis à part un Dark Vador inanimé qui ne semble pas réagir à votre présence. Son regard est creux, et il ne semble alors qu'être une illusion, voire une victime, de ce "Volesphëra". Curieux, tu t'avances en sa direction, sans réellement penser à Mimi, qui se trouve non loin de toi. Proche de quelques centimètres, tu agites la main devant son casque ; pas la moindre réaction.
Tu te retournes alors vers l'écran du pendu. La même chose que de l'autre côté, hein.. C'est dommage, tu aurais aimé y voir la bonne réponse ; désintéressé, tu écris un petit "kikou" avec tes doigts au-dessus du mot, pour voir si ceux de l'autre côté parviennent à te lire. Alors que tu t'apprêtais à fouiller les poches de la marionnette inerte, quelque chose attire son attention.
C'est Mimi. Elle pleure, et ses larmes envahissent l'étage. Bonbons, laits à la fraise, chatons, ce serait amusant si tu ne craignais pas que ces choses-là t'attaquent. L'écran par lequel vous êtes entrés se brisent, et alors que tu t'avances vers la petite pour tenter de la consoler, quelque chose te retient..
Darky, et ses yeux soudainement illuminés d'une lueur jaune pétant. Mais surtout sa main, enroulée autour de ton coup, et se resserrant dangereusement.. Sa main puissante, presque métallique, qu'il te semble impossible d'enlever même avec toute ta force.
« À l'.... ai... »
Légèrement désespéré, tu mets un coup de pied dans l'écran du pendu, en espérant qu'il se brise, et que quelqu'un vienne te donner un petit coup de main.
- Résumé:
Eelis s'approche de Dark vador, écrit "kikou" sur l'écran du pendu et finalement se fait étrangler par le sith. il demande de l'aide et fout un coup de pied dans le pendu
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Dim 4 Aoû - 4:51
Résilience s'envolait. Mais plus les secondes passaient, plus elle se rendait compte que ce n'était pas ça. Son instinct lui faisait faire ce qu'il fallait, mais c'était étrange. Déjà, elle ne voyait pas que dans une seule direction. Elle n'avait pas de yeux à proprement parler. Son corps était ses yeux. C'est ce qu'il lui permettait de ne pas avoir la tête qui tournait. Car maintenant, elle s'en rendait compte, elle ne volait pas. Elle planait. Qu'elle différence cela faisait t' il allez vous me dire ? Et bien c'était totalement différent. Résilience rebondissait, et profitant de cet élan, déployait ses ailes et planait. Puis elle retombait à terre recommençait. Comment s'en était t' elle rendue compte ? C'était simple. Entre les trois murs de l’escalier et les marches, elle se tapait contre tous les murs. Rebondissait plusieurs fois avant de gravir quelques échelons. Et ça, sans être le moins du monde bouleversée. Elle voyait en haut, en bas, à gauche et à droite. Son angle de vue était un cercle parfait. Alors elle avait immédiatement comprit. Elle était devenue une superbe balle rebondissante.
Arrivant au second étage, la jeune femme réussi à calmer ses ressorts de jambes tant bien que mal. Oh, elle sautillait toujours oui. Mais ce n'était pas bien grave. En ce moment, elle devait ressembler à une sorte de personnage de dessin anime grotesque. Sautillant sur le sol avec un agaçant va et vient de haut en bas. Ne sachant ou se placer, elle décida de rester la ou elle était. Ayant peur que la folie la reprenne une nouvelle fois pour cible.
Arrivant au second étage, la jeune femme réussi à calmer ses ressorts de jambes tant bien que mal. Oh, elle sautillait toujours oui. Mais ce n'était pas bien grave. En ce moment, elle devait ressembler à une sorte de personnage de dessin anime grotesque. Sautillant sur le sol avec un agaçant va et vient de haut en bas. Ne sachant ou se placer, elle décida de rester la ou elle était. Ayant peur que la folie la reprenne une nouvelle fois pour cible.
- Spoiler:
- Resy arrive en rebondissant et en planant, puis reste à ça place pour observer, ayant peur que la folie la reprenne pour cible
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Mar 6 Aoû - 0:46
J'étais restée plantée là, comme une idiote. Je n'avais pas fait attention à ce qu'il se trouvait autour de moi, j'étais perdue dans mes propres pensées. Elle avait voulu... M'emmener avec elle dans cet écran ? J'ai eu... Si peur. Mon coeur battait encore la chamade. Jusqu'à ce qu'une drôle de sensation me fit sortir de mes songes...
Les écrans semblaient plus inoffensifs. La pière toujours aussi sombre. Je scrutais les alentours. Là, Dark Vador. Il semblait torturer un des habitants de ce monde... Mais je n'y ai pas réellement prêté attention. Je sentais que je n'étais pas seule mais je n'avais aucunement envie de m'aventurer plus loin. Je voulais rester là, au même endroit. J'étais au fond de la pièce, l'autre bout semblait plus animé. Je me suis assise sur le sol, contre un des meubles présents.
Un liquide parvint jusque mes pieds, il semblait venir de l'autre côté. Il y avait comme une odeur de fraise qui en émanait. Du lait à la fraise ? Surement. Je n'avais aucunement envie de savoir d'où cela venait alors je suis restée assise là, pensive. J'ai calé ma tête contre le même meuble où j'étais adossée et j'ai fermé les yeux.
Une masse me tomba entre les mains. Qu'est-ce que c'était ?
Avant d'envoyer Pandore sur Terre, les dieux lui avaient remis une boîte, sans lui dire ce qu'elle contenait, et ils lui ordonnèrent de ne jamais l'ouvrir. Elle avait dissimulé la cassette des dieux, mais ses regards intrigués se portaient souvent sur elle, et comme celle-ci n'avait pas de serrure, il lui était difficile de réprimer son désir de connaître son contenu. Elle passait et repassait devant le coffret sans oser y porter la main, attirée par l'envie de lui ôter son couvercle, mais aussitôt arrêtée par le souvenir de l'interdiction formelle des dieux...
- Spoiler:
- Pandore reste dans son coin, pensive, lorsqu'une boîte lui tomba entre les mains
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Folie d'Esquisse
Mar 6 Aoû - 2:03
Le jeu avait mal tourné. Oublié, écrasé par ces dessinateurs qui ne pensaient encore une fois qu'à leurs intérêts présents, sans se soucier qu'ils pourraient eux-même se retrouver à la place du pendu. Elle était déçue, vexée, outrée de devoir encore une fois leur rappeler à qui ils avaient affaire. Soit.
Dark Vador lança violemment Eelis à travers l'écran, et l'envoya choir à côté de Pandore. Ensuite, il étendit son bras, et lacéra Mimi, qu'il replia contre lui sans qu'elle ait l'occasion de faire une quelconque résistance.
« Ffffffe..... fffffefffaaa... ffffette... ffffilllfe... »
Traduction : Ce sera cette fille...
Tous les écrans du deuxième étage affichèrent à nouveau le pendu, de telle sorte à ce qu'il ne soit pas possible d'ouvrir les yeux sans le voir, mais quelque chose avait changé ; un petit chronomètre s'affichait désormais dans un coin, décroissant relativement rapidement...
« ...Ffffe fffendu !!! »
Traduction : ... le pendu !
Oseriez-vous échapper à Son jeu, cette fois ?
Le chrono démarre à 666, et décroît comme si c'était des secondes. Je vous laisse imaginer ce qui arrive à 0.
(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
Invité
Invité
Mar 6 Aoû - 3:08
C'était une boîte. On me récitait une histoire bien étrange dans ma tête. Je ne savais pas vraiment ce qu'elle était. Je laissais mes mains se balader sur les reliefs de celle-ci. Elle semblait être faite dans un bois plutôt ancien et au toucher, c'était assez agréable. Il n'y avait aucun serrure. La tentation était trop grande. Et si, je l'ouvrais...
Alors que mes doigts serraient fermement le couvercle, prêts à découvrir ce qu'il se cachait un corps, sortit rapidement d'un écran qui se heurta à la surface où je m'étais adossée. J'ai reposé doucement la boîte sur le côté et me suis approchée de cet illustre inconnu. Il semblait encore en vie, juste inconscient. Ce n'était pas comme si j'en avais quelque chose à faire, mais, je n pouvais pas le laisser. Alors je lui ai donné plusieurs claques afin qu'il reprenne ses esprits.
Quelque chose m'intriguais et je me suis retournée. Il semblerait qu'une petite aie été prise pour victime. Oh tiens, un jeu du pendu ? Avec un décompte en plus de cela... Pour nous forcer à jouer avec Elle... Au fond je m'en fichais bien mais, c'était injuste qu'une petite fille soit prise pour cible. J'ai observé l'écran qui affichait les lettres. Un sourire satisfait se dessina sur mon visage.
▬ Ce mot ne serait pas... Un peu radioactif ? Je parle bien sûr du second mot.
J'ai osé dire le mot entier, je ne sais pas si cela été autorisé. Je n'avais par contre, pas la moindre idée du premier mot. Un chaton peut être ? Non bien trop mignon, trop innocent, ça ne pouvait pas être ça. Quoique, ce monde est tellement improbable... Je me demandais bien ce qu'elle pouvait nous préparer. Je me suis accroupie près de l'inconnu, attendant son réveil.
- Spoiler:
- Pandore a envie d'ouvrir la boîte mais Eelis sort de l'écran et vient se heurté sur le meuble près d'elle. elle tente de le réveiller et voit que Mimi est pour cible. Elle se rend compte que c'est pour jouer à Son pendu... Elle propose innocemment un mot et attend le réveil d'Eelis.
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Mer 7 Aoû - 3:22
Résilience ne voulait pas intervenir, elle ne voulait pas se mêler de leurs affaires. Elle même avait été transformée en cadavre quelques instants plus tôt, qui sait ce que cette maudite folie allait encore lui faire. Elle en avait assez, la jeune alicorne allait attendre ici, bien tranquillement, que la tempête passe. Au sens littéral du terme. Quand un homme vola à quelques centimètres de sa crinière, l' équidé hurla un juron et tenta de plonger à terre. Ce qui, avec son nouveau corps, était compliqué à mettre en œuvre. A vrai dire, ses jambes étaient trop gélifiée pour pouvoir se plier, son buste aussi d'ailleurs. Alors elle avait, comme un petit cheval de bois du se jeter sur un de ses flans. Le droit. Sans pour autant s’arrêter de rebondir. Du coup, la jeune équidé continuait de sautiller, mais ... plus sur ses sabots. C'était certainement très drôle à voir, surtout qu'elle abreuvait d'injures le pauvre homme éclaté contre le mur, qui n'avait pourtant rien fait. Elle avait besoin de se défouler un peu, le temps de trouver une solution à sa position.
Puis elle remarqua le type en noir. Il évoqua en elle une vague confuse de souvenirs. Elle avait passée beaucoup de en sa compagnie. Elle se souvenait qu'il était prisonnier d'un écran. Comme ceux qu'elle avait vu en passant ici la première fois. Mais il n'était pas seul. Il avait des amis. Et des ennemis. Beaucoup d'ennemis. Ce type était méchant. Le bourreau d'une histoire. Oui, elle le connaissait. Mais quel était son nom ? Elle ne pouvait se souvenir. Sombre. Non, pas sombre. Dark. Ce mot venait d'une autre langue, c'était stupide. Pourquoi avait t' elle eu besoin d'une autre langue. Ici, tous le monde se comprenait. Qu'elles pensées stupides.
Attendez, non. Une autre langue. Cela voulait dire des peuples qui ne se connaissaient pas. Un autre monde. Oui ... un autre monde. Mais elle n'arrivait pas à se souvenir. C'était flou. Et sa vie dans tous ça ? Aussi floue que le monde auquel elle appartenait jadis. Il fallait qu'elle réfléchisse. Qu'elle se souvienne.
▬ Ce mot ne serait pas... Un peu radioactif ? Je parle bien sûr du second mot.
La jeune femme sortit de sa torpeur. C'était quoi cette histoire de radioactifs, de mots. En attendant, elle était encore en train de rebondir à l'horizontal
- Hey, quelqu'un peux m'expliquer ? et ... me redresser ? S' il vous plait, ce n'est pas très agréable.
Puis elle remarqua le type en noir. Il évoqua en elle une vague confuse de souvenirs. Elle avait passée beaucoup de en sa compagnie. Elle se souvenait qu'il était prisonnier d'un écran. Comme ceux qu'elle avait vu en passant ici la première fois. Mais il n'était pas seul. Il avait des amis. Et des ennemis. Beaucoup d'ennemis. Ce type était méchant. Le bourreau d'une histoire. Oui, elle le connaissait. Mais quel était son nom ? Elle ne pouvait se souvenir. Sombre. Non, pas sombre. Dark. Ce mot venait d'une autre langue, c'était stupide. Pourquoi avait t' elle eu besoin d'une autre langue. Ici, tous le monde se comprenait. Qu'elles pensées stupides.
Attendez, non. Une autre langue. Cela voulait dire des peuples qui ne se connaissaient pas. Un autre monde. Oui ... un autre monde. Mais elle n'arrivait pas à se souvenir. C'était flou. Et sa vie dans tous ça ? Aussi floue que le monde auquel elle appartenait jadis. Il fallait qu'elle réfléchisse. Qu'elle se souvienne.
▬ Ce mot ne serait pas... Un peu radioactif ? Je parle bien sûr du second mot.
La jeune femme sortit de sa torpeur. C'était quoi cette histoire de radioactifs, de mots. En attendant, elle était encore en train de rebondir à l'horizontal
- Hey, quelqu'un peux m'expliquer ? et ... me redresser ? S' il vous plait, ce n'est pas très agréable.
- Spoiler:
- Resy manque de se faire liquéfier par un Eelis qui vole, elle l'abreuve d'insultes, et se retrouve à rebondir à l’horizontal, sur ses flans. Perdue dans ses pensées, elle snobe Mimi puis demande des explications et qu'on la remette sur ses pieds
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Sam 10 Aoû - 22:18
Tes larmes avaient cessé. Tu ne faisais plus aucun bruit. Tu étais calme. Tu étais une gentille petite fille. Très mignonne. Très bien. Et pourtant, on te serrait très très fort. Pourtant, tu avais très mal. Pourtant, tu avais été méchante aussi. Tu avais fait mal aussi. Tu ressemblais un peu à l'homme en noir. Vous étiez pareil en vrai. Alors tu lui souffles un bisou. Pmuuf Peuh. Il a besoin d'affection. ça se trouve, derrière ce costume de tyran, il y a un petit garçon sans parents et sans amis (même si bon, il a de gros bras mou bizarre pour un enfant). ça se trouve, il veut juste jouer un peu. Il faut être un peu gentil quand même. Il faut le comprendre. Même s'il est un peu méchant. Tu verras bien de toute façon. Tu verras bien si tu dois le détester ou l'aimer. Tu n'auras qu'à appeler tes amis les objets pour le jeter à la poubelle si tu ne l'aimes pas. Voilà. C'est tout.
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Eelis
Dim 11 Aoû - 13:03
Presque tout est inutile, pardon >.< (c'est juste le post où mon perso admet ENFIN qu'il n'est peut-être pas dans un rêve)
Tandis que les doigts du dangereux sith casqué s'enfoncent dans la maigre peau de ta gorge, il te semble entrevoir un semblant de mépris ou de découragement dans son attitude ; comme s'il fléchissait, ou qu'il était juste lassé de la tournure des évènements. Soudain, te voilà propulsé à travers l'écran, plongé dans le flou total.
Tu n'es pas mort. Non, pas encore, car tu ne sais même pas ce que devient la mort par ici, et si elle est possible, puisque tu vois plutôt "l'Esquisse" -comme elle est nommée- de la même façon qu'une arène ensanglantée et éternelle dans laquelle les gladiateurs ne cèdent jamais aux coups. L'immortalité est pourtant d'un mortel ennui, pour ne pas faire de mauvais jeux de mots.
Pendant un court moment, tu es déconnecté de cette réalité que tu côtoies depuis si longtemps... Longtemps, oui, mais combien ? Tu ne peux pas savoir ni mesurer. Peut-être que cela ne fait qu'un jour, un jour qui a duré éternellement, ou même une nuit. Ou peut-être que ça fait déjà plusieurs années, et que plus personne ne t'attend d'un côté ou de l'autre. Non. Peu importe la durée de ton séjour, il n'y avait jamais personne pour te regretter dès la première seconde, et sans doute personne qui ne désirait ta présence.
Tu ne sais pas si tu as raison, mais tu n'as même pas le temps d'y réfléchir. La figure connue, celle qui ressemble à Mirage, t'extirpe brutalement de ta rêverie. Lentement, tu te redresses sur ces jambes encore un peu frêles, et tu tentes de comprendre ce qui a changé. L'homme de papier a disparu -du moins n'est-il pas dans ton champ de vision restreint par la faible luminosité-, Mimi est aux prises avec Darky de l'autre côté, une masse gélatineuse demande de l'aide.
Tu t'intéresses à cette dernière créature. Et dire qu'avant, cela aurait semblé terriblement étrange ! Non, même, tu n'aurais jamais pensé que cela puisse arriver dans une quelconque réalité, et tu avais toujours tout accepté en prétextant le simple rêve. Mais maintenant qu'il t'est impossible de te voiler la face derrière ces futiles tromperies, la donne n'est plus identique.
« Enchanté... moi c'est Eelis ! On joue au pendu pour éviter de tous finir au bout d'une corde, tu veux nous rejoindre ? »
Tu approches une main vers ce qui semble être un bras ou une patte. Un allié de plus dans cet endroit, bien qu'il semblât être davantage de connivence avec la faune locale, ne pourrait pas faire de mal. Si c'est la réalité, alors ce n'est pas drôle de mourir ici, que ce soit pour Mimi, pour elle, pour l'homme au "Smith", pour celle qui ressemble à Mirage, pour Liam....
Parce que tout le monde n'a pas eu la chance de s'en défaire.
C'est ce qu'Eelis dirait.
Et tu es Eelis.
Du moins pour l'instant.
Pendu
Tandis que les doigts du dangereux sith casqué s'enfoncent dans la maigre peau de ta gorge, il te semble entrevoir un semblant de mépris ou de découragement dans son attitude ; comme s'il fléchissait, ou qu'il était juste lassé de la tournure des évènements. Soudain, te voilà propulsé à travers l'écran, plongé dans le flou total.
Tu n'es pas mort. Non, pas encore, car tu ne sais même pas ce que devient la mort par ici, et si elle est possible, puisque tu vois plutôt "l'Esquisse" -comme elle est nommée- de la même façon qu'une arène ensanglantée et éternelle dans laquelle les gladiateurs ne cèdent jamais aux coups. L'immortalité est pourtant d'un mortel ennui, pour ne pas faire de mauvais jeux de mots.
Pendant un court moment, tu es déconnecté de cette réalité que tu côtoies depuis si longtemps... Longtemps, oui, mais combien ? Tu ne peux pas savoir ni mesurer. Peut-être que cela ne fait qu'un jour, un jour qui a duré éternellement, ou même une nuit. Ou peut-être que ça fait déjà plusieurs années, et que plus personne ne t'attend d'un côté ou de l'autre. Non. Peu importe la durée de ton séjour, il n'y avait jamais personne pour te regretter dès la première seconde, et sans doute personne qui ne désirait ta présence.
Tu ne sais pas si tu as raison, mais tu n'as même pas le temps d'y réfléchir. La figure connue, celle qui ressemble à Mirage, t'extirpe brutalement de ta rêverie. Lentement, tu te redresses sur ces jambes encore un peu frêles, et tu tentes de comprendre ce qui a changé. L'homme de papier a disparu -du moins n'est-il pas dans ton champ de vision restreint par la faible luminosité-, Mimi est aux prises avec Darky de l'autre côté, une masse gélatineuse demande de l'aide.
Tu t'intéresses à cette dernière créature. Et dire qu'avant, cela aurait semblé terriblement étrange ! Non, même, tu n'aurais jamais pensé que cela puisse arriver dans une quelconque réalité, et tu avais toujours tout accepté en prétextant le simple rêve. Mais maintenant qu'il t'est impossible de te voiler la face derrière ces futiles tromperies, la donne n'est plus identique.
« Enchanté... moi c'est Eelis ! On joue au pendu pour éviter de tous finir au bout d'une corde, tu veux nous rejoindre ? »
Tu approches une main vers ce qui semble être un bras ou une patte. Un allié de plus dans cet endroit, bien qu'il semblât être davantage de connivence avec la faune locale, ne pourrait pas faire de mal. Si c'est la réalité, alors ce n'est pas drôle de mourir ici, que ce soit pour Mimi, pour elle, pour l'homme au "Smith", pour celle qui ressemble à Mirage, pour Liam....
Parce que tout le monde n'a pas eu la chance de s'en défaire.
C'est ce qu'Eelis dirait.
Et tu es Eelis.
Du moins pour l'instant.
- Résumé:
Eelis se relève difficilement, réfléchit et va aider Résilience en lui proposant de jouer au pendu dans la joie et la bonne humeur.
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Folie d'Esquisse
Lun 12 Aoû - 23:15
Une once de satisfaction aurait pu s'esquisser sur le visage de Dark Vador, s'il n'était pas qu'un costume flottant. Après tant de grabuge futile, ils avaient enfin trouvé une partie de la solution. Ce ravissement effaça totalement de sa pensée ce qu'il aurait pu ressentir face aux agissements étranges de sa jeune otage.
La fin était enfantine.
(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
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Lun 12 Aoû - 23:41
- Chaton. C'est Chaton le mot. C'est le pauvre chaton qui est radioactif, c'est lui. Alors qu'il a peut-être rien demandé, lui, comme moi. Et les objets non plus. Eux ils doivent être tout affolés. Vous avez pensé à eux . C'est pourtant vos amis. Ce monde doit être ami avec les gentils objets, à moins que ce ne soit un méchant. Hein. Très méchant.
tu étais toute triste et ta voix tremblait, quand tu parlais. Tu sentais comme un couteau dans ton coeur. Tu sentais comme c'était horrible, ce qui se passait. Tu ne savais plus quoi faire maintenant. Tu avais trop peur de faire un mauvais choix. De te tromper. De ne pas faire ce qu'il faut pour que les autres soient heureux.
tu étais toute triste et ta voix tremblait, quand tu parlais. Tu sentais comme un couteau dans ton coeur. Tu sentais comme c'était horrible, ce qui se passait. Tu ne savais plus quoi faire maintenant. Tu avais trop peur de faire un mauvais choix. De te tromper. De ne pas faire ce qu'il faut pour que les autres soient heureux.
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Sam 24 Aoû - 14:34
Je continuais de voler… enfin, de tomber avec panache vers cet espèce d’œuf volant que j’entr’apercevait de temps à autre en tournant sur moi-même. Je voyais l’engin se rapprocher dangereusement sans que je ne puisse rien faire. J’allais m’écraser contre la paroi et tomber ensuite. Quelle mort horriblement ridicule… c’était pourtant le genre que j’appréciais dans les fictions que je lisais. Même je ne me souvenais plus du titre. C’était peut-être aussi un dessin animé avec un coyote et une sorte d’autruche… je ne sais plus trop.
Au moment où j’allais faire mon impact sur la structure, je passai au travers et percuta ce qui ressemblait à un sol avant de partir en tonneaux comme une voiture de rallye folle qui aurait quitté la route. Je percutais un certain nombre d’objets en chemin et m’arrêtai contre un mur après avoir emplafonné une armoire.
Complètement endolori de partout par mon sublime crash, je regardais à l’envers, les cornes plantées dans le bois de l’armoire, la salle dans laquelle je me trouvais. En fait, il n’y avait pas grand-chose à voir, ici. Il faisait complètement noir, je ne voyais absolument rien.
Au moment où j’allais faire mon impact sur la structure, je passai au travers et percuta ce qui ressemblait à un sol avant de partir en tonneaux comme une voiture de rallye folle qui aurait quitté la route. Je percutais un certain nombre d’objets en chemin et m’arrêtai contre un mur après avoir emplafonné une armoire.
Complètement endolori de partout par mon sublime crash, je regardais à l’envers, les cornes plantées dans le bois de l’armoire, la salle dans laquelle je me trouvais. En fait, il n’y avait pas grand-chose à voir, ici. Il faisait complètement noir, je ne voyais absolument rien.
- Résumé:
- [William traverse le mur de la Volesphëra et s’écrase en ayant percuté pas mal de choses (peut-être vous ?) Puis, il se remet de ses émotions et remarque qu’il fait noir tout autour de lui.]
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Folie d'Esquisse
Dim 25 Aoû - 15:48
Dark Vador leva un poing vers le ciel, comme un athlète se féliciterait de sa victoire dans une compétition. Il fallait dire que ses ennemis avaient été particulièrement coriaces pour retarder le moment où le mot serait enfin trouvé. Il relâcha Mimi, propulsée de l'autre côté de l'écran, sans prendre garde à la lettre de scrabble - représentant un "C" - qu'il avait coincé dans ses cheveux.
Le Pendu disparut, et fit place au même écran que tout à l'heure.
Il vous laissait une nouvelle chance.
Si vous échouiez, vous étiez repartis pour l'un de ses jeux aux règles floues.
Invité
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Mer 28 Aoû - 20:11
SamSock continuait toujours de pester. Voila maintenant cinq bonnes minutes qu'il ne cessait de geindre, depuis qu'il s'était rendu compte qu'il venait peut-être de manquer un échappatoire bienvenu. Il râlait donc encore plus qu'à l'accoutumée, parce que maintenant il savait que tous les futurs calvaires qu'il risquait d'endurer serraient l'unique conséquence de sa petite étourderie. Il espérait très sincèrement qu'il n'aurait pas à devoir subir des épreuves comme la Folie aimait en imposer aux prisonniers de cet enfer, car il sentait très bien qu'il n'aurait pas la force de tenter de s'opposer à quoi que se soit. Non mais c'était vrai quoi, sans blague. Il ne faisait qu'essuyer les traumatismes et les aventures désastreuses depuis qu'il s'était embarqué dans ce chaos qu'était l’œuf. Ah, c'était certains qu'il allait s'en souvenir, de ce moment où il s'était dit: "Bah, ça peut toujours être chouette à explorer !". Tu parles ! Il s'était bien fait avoir, oui ! L'arnaque du siècle.
Ses pieds raclaient rageusement le sol pendant que ses mains se cachaient du monde extérieur en s'enfouissant dans ses poches. Non, décidément, il n'était pas très content. Maintenant, chacune seconde qu'il passait à croupir ici venait accentuer le fait qu'il aurait pu se retrouver ailleurs, tranquille et en sécurité. Il se dit un instant qu'il y avait quand même Résilience, et que, quand même, elle valait bien la peine d'être sauvée. Il haussa les épaules. Mouai... Bof. Ils ne se connaissaient pas vraiment, eux deux. Mais bon, s'il voulait se sentir humain, alors il se devait d'avoir quelques sentiments. Et Résy était quand même assez sympathique. Il traîna un peu jusqu'à arriver dans une salle dont le design sera passé sous silence parce qu'il n'est pas au goût de Samuel.
Il y avait des gens, un peu tous bizarres, aux allures insolites, un pâle type avec une gueule de monstre, ce qui semblait être une petite fille, et d'autres gens... Bah, qu'importe. SamSock n'en avait rien à faire d'eux. En revanche, il reconnu sans peine le tas informe qui semblait énervé.
-Résy ? C'est toi ? On est où là ? Et puis il se passe quoi ?
Au fur et à mesure qu'il parlait, ses questions devenaient de plus en plus générales. A la fin, le fleuriste avait l'air de questionner tout le monde, ne serait-ce que du regard... Quand il remarquera l'allusion à une saga qu'il avait toujours détesté.
-ET PUIS QU'EST-CE-QU'ILS FOUTENT LA, EUX ?
Ses pieds raclaient rageusement le sol pendant que ses mains se cachaient du monde extérieur en s'enfouissant dans ses poches. Non, décidément, il n'était pas très content. Maintenant, chacune seconde qu'il passait à croupir ici venait accentuer le fait qu'il aurait pu se retrouver ailleurs, tranquille et en sécurité. Il se dit un instant qu'il y avait quand même Résilience, et que, quand même, elle valait bien la peine d'être sauvée. Il haussa les épaules. Mouai... Bof. Ils ne se connaissaient pas vraiment, eux deux. Mais bon, s'il voulait se sentir humain, alors il se devait d'avoir quelques sentiments. Et Résy était quand même assez sympathique. Il traîna un peu jusqu'à arriver dans une salle dont le design sera passé sous silence parce qu'il n'est pas au goût de Samuel.
Il y avait des gens, un peu tous bizarres, aux allures insolites, un pâle type avec une gueule de monstre, ce qui semblait être une petite fille, et d'autres gens... Bah, qu'importe. SamSock n'en avait rien à faire d'eux. En revanche, il reconnu sans peine le tas informe qui semblait énervé.
-Résy ? C'est toi ? On est où là ? Et puis il se passe quoi ?
Au fur et à mesure qu'il parlait, ses questions devenaient de plus en plus générales. A la fin, le fleuriste avait l'air de questionner tout le monde, ne serait-ce que du regard... Quand il remarquera l'allusion à une saga qu'il avait toujours détesté.
-ET PUIS QU'EST-CE-QU'ILS FOUTENT LA, EUX ?
- Résumé:
- SamSock arrive sur le pallier du deuxième étage, trouve que c'est comme toujours le gros n'importe quoi, puis commence à se demander sérieusement qu'est-ce-qu'il fait ici, après avoir prit des nouvelles de l'état de Résy.
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Castor
Ven 6 Sep - 18:13
Je suis un génie !
#8
Ça y est. Je suis mort. Bah si, forcément, sinon pourquoi il ferait aussi noir ? ... Ah non, il fallait juste ouvrir les yeux. Haha.
Mais même les yeux ouverts, il faisait toujours aussi noir. Quoique, à bien y regarder, il y avait quelque chose qui brillait, par là-bas. Striky se redressa ... voulut se redresser. Mais lorsqu'il voulut bouger, la douleur se propagea dans tout son corps. Aïe. Aïe. Aïe. AÏE. Il se releva laborieusement en pleurnichant sur son sort. Mais au fait, comment était-il arrivé là ?
Tout en se dirigeant, lentement et en claudiquant, vers la source de lumière, il se remémora les derniers événements. L'affiche, le labo, la montgolfière ... Elle avait décollé ou pas, finalement ? Il ne savait plus. Tout dans sa tête lui paraissait flou. A ce moment, on lui aurait demandé combien faisaient 1+1, il n'aurait pas su répondre. L'esprit complètement embrouillé, il arriva devant l'écran géant. Comment ça s'appelait, ce truc, déjà ? Ça servait ... Ça servait ... MAIS OUI ! C'était un écran ! Et ça servait, euh ... Bon, peu importe, il savait déjà comment ça s'appelait, le reste était superflu. Très fier de lui, il exposa sa trouvaille aux autres personnes l'entourant.
« Hé ! Vous savez, ce truc, là qui brille, c'est un ECRAN. Ça vous en bouche un coin, hein ? »
- Résumé:
- Striky se réveille, après être tombé de la montgolfière, en ayant mal partout et avec les idées complètement embrouillées (tellement embrouillées qu'il ne se rappelle plus de grand-chose à ce qui s'est passé après le laboratoire). Il voit l'écran géant, s'en rapproche et, arrivé devant, se rappelle que ça s'appelle un écran. Très fier de lui, il le dit aux autres.
D'ailleurs, comme il insiste bien sur le mot "écran", ça peut être pris comme un e proposition pour le mot de passe .
Striky parle en #d44242.
- Concours N°3:
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Sam 14 Sep - 16:26
Yoplà, je relance de ce côté-là !
N'hésitez pas à poster, on y est prrrresque >.<
« C'est la fête par ici.. »
Des gens commencent à débarquer, sortis du néant. Peut-être du premier étage - de mémoire, il n'y avait que toi et Bisoux au troisième ? S'ils voulaient fuir quelque chose, ils étaient mal partis. Très mal partis. Entre le jeune qui semble trop réaliste pour ce monde et celui qui est prêt pour mardi gras, tu ne sais pas lequel as le moins de chance de survivre...
« Hé ! Vous savez, ce truc, là qui brille, c'est un ECRAN. Ça vous en bouche un coin, hein ? »
D'ailleurs. Tu y penses rapidement ; tout à l'heure, cet homme au "Smith" semblait tenir dans ses membres de papier une lettre de scrabble. Un E. Tandis qu'une lettre similaire - un C - se promène dans les cheveux de Mimi depuis que Dark vador a souhaité en faire la victime du pendu. Les choses s'emboitent, petit à petit, mais quel rapport ont-elles vraiment avec ce qui est écrit sur l'écran ?
Mot de passe.
Ce truc, là qui brille, c'est un écran.
Et ce qui brille sur l'écran, un mot de passe.
E, C.
C, E.
« Ce serait marrant qu' "ECRAN" soit le mot de passe, héhé... Tu veux essayer ?» réponds-tu finalement avec un léger sourire au cosplayeur. S'il y a un quelconque danger à écrire n'importe quoi, il s'en sortira mieux que toi, n'est-ce pas ? Pas envie de retourner de l'autre côté.
N'hésitez pas à poster, on y est prrrresque >.<
Pendu
« C'est la fête par ici.. »
Des gens commencent à débarquer, sortis du néant. Peut-être du premier étage - de mémoire, il n'y avait que toi et Bisoux au troisième ? S'ils voulaient fuir quelque chose, ils étaient mal partis. Très mal partis. Entre le jeune qui semble trop réaliste pour ce monde et celui qui est prêt pour mardi gras, tu ne sais pas lequel as le moins de chance de survivre...
« Hé ! Vous savez, ce truc, là qui brille, c'est un ECRAN. Ça vous en bouche un coin, hein ? »
D'ailleurs. Tu y penses rapidement ; tout à l'heure, cet homme au "Smith" semblait tenir dans ses membres de papier une lettre de scrabble. Un E. Tandis qu'une lettre similaire - un C - se promène dans les cheveux de Mimi depuis que Dark vador a souhaité en faire la victime du pendu. Les choses s'emboitent, petit à petit, mais quel rapport ont-elles vraiment avec ce qui est écrit sur l'écran ?
Mot de passe.
Ce truc, là qui brille, c'est un écran.
Et ce qui brille sur l'écran, un mot de passe.
E, C.
C, E.
« Ce serait marrant qu' "ECRAN" soit le mot de passe, héhé... Tu veux essayer ?» réponds-tu finalement avec un léger sourire au cosplayeur. S'il y a un quelconque danger à écrire n'importe quoi, il s'en sortira mieux que toi, n'est-ce pas ? Pas envie de retourner de l'autre côté.
- Résumé:
Eelis réfléchit -ça lui arrive, comme ça, quand la situation est désespérée..- et propose à Striky d'écrire son mot sur l'écran, parce qu'il préfère sacrifier un inconnu que lui-même si c'est faux
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Castor
Sam 14 Sep - 20:17
Gné ?
#9
Quelqu'un se tourna vers Striky, mais ce dernier ne réussit pas à cerner son visage clairement à cause de l'éclairage à contre-jour.
« Ce serait marrant qu' "ECRAN" soit le mot de passe, héhé... Tu veux essayer ? »
Un mot de passe ? C'est quoi un mot de passe ? C'est un mot dans lequel on doit passer ?
Mmh, ça devait être rigolo. Striky n'avait encore jamais fait, ça, passer dans un mot. Enfin, c'est ce qui lui semblait, vu qu'il ne se souvenait pas de grand-chose. Il serait toujours temps de réfléchir à sa situation après s'être amusé un peu.
Il s'approcha donc de l'écran. Un peu perplexe, il le toucha du bout des doigts. Comment ça fonctionnait ce machin ? Il comprit en voyant le trait que laissa son doigt.
C'est un peu comme écrire avec des doigts pleins de peinture ...
Cette pensée avait fusé, naturelle. Mais ... C'était quoi déjà de la peinture ? Et des doigts ? Ah, ça, les doigts, c'était facile. C'était les saucisses qu'il y avait sur ses mains. Incapable de réfléchir plus longtemps, Striky reporta son attention sur l'écran et y traça maladroitement le mot "ECRAN",puisque actuellement, c'était le seul qu'il connaissait.
Bon, j'ai écrit un mot, je n'ai plus qu'à passer dedans.
Il se tourna vers l'écran et fit quelques pas, très confiant. Jusqu'au moment où il se cogna à la télévision géante. C'est ainsi que Striky découvrit qu'on ne passait pas à travers les écrans. Jamais. Ni à travers les mots, d'ailleurs.
- Résumé:
- Striky entends la remarque d'Eelis, et pensant qu'un mot de passe est le fait de passer à travers un mot, il décide d'essayer. Il écrit le mot ECRAN sur l'écran et fonce dedans dans le but de passer à travers mais ne réussit qu'à s'assommer à moitié.
Striky parle en #d44242.
- Concours N°3:
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Folie d'Esquisse
Mer 18 Sep - 19:08
Peu après que Striky ait vaguement tenté d'écrire le mot "ECRAN" sur la surface de l'écran, ce dernier sembla procéder à une longue phase de reconnaissance manuscrite, puisqu'il remplaça lentement mais sûrement chaque lettre par son équivalent sans-serif. Ceci achevé, les dessinateurs ne surent s'ils devaient crier victoire ou prier pour qu'Elle les épargne ; tout ce qui avait pu être affiché sur les moniteurs disparut subitement, ne laissant derrière eux qu'une surface rouge. Intensément rouge. Comme le sang.
Puis ils éclatèrent.
Tous en même temps.
Dans un fracas semblable au bruit que produirait un bon concert de rock.
Répandant débris et éclats de verre dans la totalité du deuxième étage.
Après un long tintement aigu, ils purent enfin le voir. Majestueux, gigantesque, large , hautain et surtout dégoulinant de produits chimiques fluorescents ; le dernier escalier du Volesphëra.
Elle vous accordait cette manche, mais rien ne pouvait affirmer qu'elle n'avait pas tout misé sur la dernière...
L'escalier pour le troisième étage est accessible ! Bravo Striky pour le mot de passe ♥ (bon j'étais gentille de vous le mettre dans l'ordre aussi)
je précise que les bouts de verre ça fait mal, ça déchire les vêtements, et que vous pourriez potentiellement avoir été blessé ou écorché dans l'explosion.
Bonne chance !!
(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
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