[Portail fermé] Base militaire ▬ Entrée
Jeu 31 Oct - 1:38
Devant vous, de la barbapapa.
Une immense muraille sucrée, compulsée en un gigantesque cercle, dont l'épaisseur en ferait pâlir les stands de fête foraine. Derrière, vous pouviez apercevoir un imposant bâtiment, presque effrayant de par son apparente normalité. Il ne présentait en tout cas aucune caractéristique de toute autre demeure esquisséenne, se rapprochant plus des dispositifs terriens. Toit voûté, observatoires semblables à deux boules discos éteintes, baies vitrées.
Une chose paraissait évidente ; ce complexe n'a pas été inventé par l'Esquisse. Trop normal, trop droit, trop classique. Sans doute créé par d’autres individus qui l’avaient laissé là avant de disparaître, sans laisser de traces ni signes de vie.
En clair, un refuge vide, sans personne pour vous empêcher d'entrer.
Un portail entrouvert, tel celui du poème de Verlaine.
Autre chose étrange, ici tout était parfaitement calme. Pas même un souffle de vent ne venait troubler le silence de cette bâtisse. Aucun objet ne cherchait à vous attaquer - ou bien à vous câliner. C’était à se demander si tout cela n’était pas un mauvais canular de l’Esquisse.
Mais peut-être que cette question là n’était pas au goût du jour. Peut-être, finalement, valait-il mieux de s’engouffrer dans cet étrange bâtiment. Cet asile de paix, point blanc dans l’obscure éternité de l’Esquisse.
Un point blanc donc vous aviez bien besoin, après toutes vos aventures.
Rapides explications
Si vous voulez entrer dans la base, vous devrez rapidement passer par ici (pas besoin de faire un grand RP lyrique, mais on a besoin de ce sujet pour savoir qui rajouter au bon groupe, bref) ; n'oubliez pas que si le portail est fermé, à moins d'être arrivé à dos de kangourous, vous n'allez pas sauter par dessus et il va bien falloir que l'on vous ouvre ♫
Pour plus d'infos sur la base, par ici les enfants !!
PS : Étant donné qu'il s'agit d'un sujet commun, n'oubliez pas de résumer vite fait, à la fin de vos posts, les actions de votre personnage!
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Jeu 31 Oct - 6:52
Allez, je tente la tartyflette du lève-tôt ! (et puis j'étais trop inspirée en vrai ;; )
Résumé : Ambros arrive - il a la moitié du visage cramée et plus d'oreille gauche - en mauvais état devant la base. Il pousse le portail, fait quelques pas et s'affale par terre avant tomber dans les vapes. Voilà voilà, n'hésitez pas à le secouer, ou à le bousculer -parce qu'il bloque un peu l'entrée quand même-, même s'il aura une réactivité limitée tant qu'il n'aura pas pioncé un minimum.
Pour l'instant le portail est encore ouvert, grand ouvert même.
Doute. Fatigue. Douleur. Anémie. Angoisse. Désespoir.
Il était un peu tous ces mots à la fois. Tandis que le bras droit se balançait tel un pendule, celui de gauche se fixait, prenant grand soin de ne pas bouger d'un pouce, sur ce qui lui avait jadis servi d'oreille. Palper, il l'avait déjà fait. Et refait. Et refait encore. Jusqu'à réaliser que, non, il n'entendrait plus jamais par ici, il ne sentirait plus jamais le vent le frôler comme il lui avait brûlé la moitié du visage.
Désillusionné, Ambros avait donc couru. Il avait rapidement divagué en ville -sans manquer de jeter un œil au manoir, désormais en piteux état, du Maître-, traversé le forêt casse-tête, sillonné des chemins inconnus, erré dans la plaine et puis...
Et puis il était arrivé là. Un grand bâtiment, droit, aux apparences de laboratoire. Comme si, à partir de là, tout était normal. Comme avant. Comme ce monde qu'il n'avait jamais regretté, et dans lequel il avait toujours cru pouvoir revenir. Comme ce monde qu'il aurait bien voulu revoir, là, tout de suite, ne serait-ce qu'un instant. Pour saluer la famille - qui ne devait même pas avoir remarqué son absence. Pour aller chez un médecin -sa tête ne cessait d'osciller entre éveil et sommeil depuis un bout de temps-, pour se faire enlever ce troisième bras totalement inutile.
Mais nan. Il ne pouvait pas, et ne l'aurait de toute façon pas désiré réellement. Son voyage d'une nuit, sa course au milieu des objets affolés, sa remise en question, sa tête, son oreille gauche. Et surtout son oreille gauche. C'était beaucoup de choses, et il s'en souviendrait, mais nan - il ne pouvait pas rentrer chez lui. Pas sans Max. Il n'aurait sans doute pas su dire pourquoi, pourquoi tant d'attachement pour quelqu'un qui ne l'avait appelé qu'une fois par son prénom, pour quelqu'un dont la seule préoccupation était son nombril. Pour un simple peintre déchu à moitié transformé en poisson rouge.
Il n'aurait pas su. Et il était bien trop idiot pour y réfléchir plus longtemps, alors il se contenta de pousser le portail, de faire quelques pas, de tanguer. De tanguer. De tanguer encore. De trébucher. De glisser. De tomber.
Ravagé par la fatigue, Ambros s'était tout simplement affalé par terre, à moins d'un mettre de la porte d'entrée. Dormir. Il en rêvait. Ouais. Il allait faire ça. Fermer les yeux, pour les rouvrir un jour ou l'autre.
Peut-être.
Résumé : Ambros arrive - il a la moitié du visage cramée et plus d'oreille gauche - en mauvais état devant la base. Il pousse le portail, fait quelques pas et s'affale par terre avant tomber dans les vapes. Voilà voilà, n'hésitez pas à le secouer, ou à le bousculer -parce qu'il bloque un peu l'entrée quand même-, même s'il aura une réactivité limitée tant qu'il n'aura pas pioncé un minimum.
Pour l'instant le portail est encore ouvert, grand ouvert même.
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Jeu 31 Oct - 8:45
Elle court. Elle n'en peu plus. Elle est à bout de force.
La nuit dernière est la nuit la plus terrible que Cerise ai jamais connu. Elle ne se souvient de rien. Enfin presque. Il faisait noir. Les objets autour d'elld s' envolaient, la bousculaient, et recommençaient. C'était vraiment horrible. Mais elle ne se souvient plus très bien. Il y avait un vent glaciale. Oui. Une..une tempête ! La température à chuté et...et Cerise a couru. Elle a couru de là ou elle était. Elle a couru. Et elle court encore.
Épuisé, à bout de force, Elle est à deux doigts de lâcher prise, de s' écrouler. Mais elle ne veut pas que la tempête la rattrape. De ce qu'elle se souvient, elle a entendu des cris aussi. Une sorte de chanson. Une chanson mortelle. Oui. La chanson des morts. Elle ne sait pas comment, mais elle a entendu la mort arrivé. Elle..elle lui a échappé. Elle est repartit juste à temps. Et depuis ce temps là, elle court. Elle jette un bref coup d'oeil à ses vêtements. Ils sont noirs, couvert de cendres. Mais son corps est intace. La jeune fille laisse échapper un petit soupir. Peut-ètre est-ce la seule à s'en être sortit aussi bien.
Elle regarde devant elle. Elle sursaute. Et elle s'arrête. Devant elle se tient une énrome barrière...rose ? Et un grand et épaix portail. Elle ne veux pas trop se poser de questions. Après ce qui s' est passé hier, elle ne s' étonne pas d'être devant une fortification de barbapapa. Elle s' avance donc vers le portail qui lui semble fermé. Elle frappe. Personne. Elle retente. Elle veut entrer ! Mais comment ? Impossible ! Haletante, elle décide de crier avec les forces qui lui reste.
-Je..je veux entrer...murmura-t-elle.
A sa grande surprise, le portail s'ouvre. Sa vision se trouble, mais elle continue d'avancer. Elle ne sait absolument pas où elle va atterir. Mais elle s'en fiche un peu. Elle traverse le portail, en inspirant â fond.
Voilà ! Alors petit mot pour le staff :
Comme je viens d'arriver, je ne vois pas pourquoi mon personnage subirait des changements alors que je n'est pas encore RP.
La nuit dernière est la nuit la plus terrible que Cerise ai jamais connu. Elle ne se souvient de rien. Enfin presque. Il faisait noir. Les objets autour d'elld s' envolaient, la bousculaient, et recommençaient. C'était vraiment horrible. Mais elle ne se souvient plus très bien. Il y avait un vent glaciale. Oui. Une..une tempête ! La température à chuté et...et Cerise a couru. Elle a couru de là ou elle était. Elle a couru. Et elle court encore.
Épuisé, à bout de force, Elle est à deux doigts de lâcher prise, de s' écrouler. Mais elle ne veut pas que la tempête la rattrape. De ce qu'elle se souvient, elle a entendu des cris aussi. Une sorte de chanson. Une chanson mortelle. Oui. La chanson des morts. Elle ne sait pas comment, mais elle a entendu la mort arrivé. Elle..elle lui a échappé. Elle est repartit juste à temps. Et depuis ce temps là, elle court. Elle jette un bref coup d'oeil à ses vêtements. Ils sont noirs, couvert de cendres. Mais son corps est intace. La jeune fille laisse échapper un petit soupir. Peut-ètre est-ce la seule à s'en être sortit aussi bien.
Elle regarde devant elle. Elle sursaute. Et elle s'arrête. Devant elle se tient une énrome barrière...rose ? Et un grand et épaix portail. Elle ne veux pas trop se poser de questions. Après ce qui s' est passé hier, elle ne s' étonne pas d'être devant une fortification de barbapapa. Elle s' avance donc vers le portail qui lui semble fermé. Elle frappe. Personne. Elle retente. Elle veut entrer ! Mais comment ? Impossible ! Haletante, elle décide de crier avec les forces qui lui reste.
-Je..je veux entrer...murmura-t-elle.
A sa grande surprise, le portail s'ouvre. Sa vision se trouble, mais elle continue d'avancer. Elle ne sait absolument pas où elle va atterir. Mais elle s'en fiche un peu. Elle traverse le portail, en inspirant â fond.
- résumé:
Cerise court depuis qu'elle a vu la tempête. Elle arrive donc devant la base militaire, les vêtements couverts de suie, mais aucun dégâts sur son corps. Elle entre donc dans la base...
Voilà ! Alors petit mot pour le staff :
Comme je viens d'arriver, je ne vois pas pourquoi mon personnage subirait des changements alors que je n'est pas encore RP.
Personnages : Striky
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Castor
Jeu 31 Oct - 9:30
Striky ne savait plus très bien où il en était. Cette longue nuit avait radicalement changé sa vision des choses. Probablement pour toujours. Lui qui se croyait un héros, lui qui pensait pouvoir sauver des gens, être utile ... Lui qui pensait se trouver dans un monde incroyable et magnifique, lui qui pensait pouvoir ... s'en sortir ... juste s'en sortir ... Tout était faux. Tout.
A présent, il marchait au hasard, éreinté. Dans ses bras, la seule personne qu'il avait pu sauver du désastre, une petite fille, blessée, à moitié morte. Il n'avait rien pu faire, il ne pouvait toujours rien faire. Il ne savait même pas où il était.
Face à lui se profila bientôt la silhouette d'un bâtiment. Intact. Solide. Terriblement attirant. Il était protégé par une clôture qui semblait constituée de barbapapa, mais le rand portail d'entrée était entrouvert. Striky aurait été incapable de dire si ce bâtiment était vraiment son salut où s'il s'agissait simplement d'un énième piège, mais il s'en fichait. Il voulait juste arrêter de marcher, arrêter de se battre, tout arrêter. Juste redevenir un adolescent épuisé et choqué, juste redevenir normal. Juste pleurer sur son sort et sur son innocence perdue.
Il passa le portail en titubant, couvert d'égratignures et du sang de la jeune fille qu'il espérait encore vivante. Il trébucha sur quelque chose de mou et se retint avec grand peine de tomber. C'était un corps, affalé par terre. Endormi. Striky reconnut l'homme du laboratoire. Il n'eut pas le cœur à l'injurier, comme il l'aurait fait en temps normal. Il n'eut pas la force de continuer plus loin. Il s'assit, la fillette toujours dans les bras, et attendit.
- Résumé:
- Striky arrive devant la base, Mimi dans les bras, l'air fatigué et désillusionné. Il entre, trébuche sur Ambros, le reconnaît. Il s'assied et ne bouge plus.
Striky parle en #d44242.
- Concours N°3:
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Jeu 31 Oct - 10:06
Il s'immergea dans un doux rêve ; au coeur d'une oasis de jus d'or, une banane jaune à moitié entamée dans la main, allongé sur un transat. Un transat, oui, à rayures blanches et roses. Sous un soleil de....
BAM.
Violemment sorti de sa rêverie, Ambros sursauta. On venait de lui donner un coup de pied -enfin, un léger coup- dans les côtes, ou quelque part par là. Il était attaqué. On profitait de sa petite sieste pour le défaire. Revenu à lui, et surtout pris d'une légère panique, il scruta les alentours à la recherche d'un ennemi. Rien à gauche. Rien devant - sauf une porte, mais une porte, ça ne pouvait pas..
Il regarda à droite.
Marmonna un juron.
Pyjaman était là, un cadavre de gamine dans les bras. Couvert de sang. Il avait dû la..
Contenant un cri, Ambros se redressa subitement, fixa quelques instants le jeune homme rencontré au laboratoire -il avait semblé beaucoup moins.. sanguinaire, la dernière fois - et prit une décision de circonstance ; la retraite stratégique.
En clair, il s'accrocha sur la poignée, fit coulisser la porte avec impatience, et se jeta dans l’embouchure sans réfléchir.
Résumé : Après s'être fait "frapper" par Striky, Ambros prend peur car il croit que Striky a tué Mimi qu'il tient dans les bras. Alors il se relève et se jette sur la porte qu'il enfonce.
En clair, il n'est plus présent au niveau de l'entrée ♥
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Jeu 31 Oct - 11:21
YATCHA ! Ma course avait pris fin dans un grand rassemblement d'ennemis, gigotant dans tous les sens comme d'ignoble conspirateur qui ne sait plus quoi faire pour me capturer ! Il est vrai que j'avais esquivé -tant bien que mal- leurs attaques avec brillance, quoiqu'en tombant dans un lac ou en me prenant les pieds dans l'herbe, mais j'avais survécu tout de même. Il fallait avouer que depuis toute petite, j'arrivais à ramper à la vitesse de l'éclair, et j'avais fait plusieurs courses contre des escargots que j'avais battus à plate couture.
Dans ce monde dégoûtant qui m'avait fait vomir des arcs-en-ciel tout aussi dégoûtant, il fallait être un vrai aventurier comme moi pour arriver à survivre. Par exemple, il y avait, ce sac à patates, avec deux trous pour les yeux, posé sur moi, vraiment très serrer de sorte à ce que je ne puisse pas m'en débarrasser, qui m'arrivait jusqu'au pied et qui m'empêchait de courir. Avec ma grande intelligence surdéveloppée, je me suis mise à sauter pour avancer. Et j'ai bien vu, sur l'horrible visage des conspirateurs, que ce n'était pas ceux à quoi il s'attendait, non, et ça leur à clouer le bec.
Enfin, pas à tous. Pendant ma fuite, une créature étrange, un lapin à tête d'oiseau qui semblait lui aussi avoir peur -décidément les méchants ne sont pas intelligents, leur plan pour m'exterminer sans raison leur faisait peur à eux aussi ! - me crachait de la soupe aux vermicelles pendant que je sautais, pourtant j'allais assez vite, il n'y a pas à dire !
Encore dans mon sac à patates, quand j’arrivai dans le grand rassemblement, je ne me sentis pas tout a faite à ma place. Il fallait développer un plan, mais ma tête écrasée comme ça dans un sac à patates, ça pouvait ne pas trop marcher non plus. La meilleure solution serait encore de m’enfuir, mais il y en avait partout des méchants ! Ils en venaient tellement à la fois. Donc pas de fuite, et là.
IDEE GENIALE ! J’allais me faire passer pour l'un d’eux ! Déjà, avec mon sac à patates sur la tête, j’étais sur la bonne voie, je leur ressemblai assez, je trouve, surtout avec le vermicelle collé au sac. D’où le crie de guerrière bien méritée. YATCHA ! Et une petite danse de la victoire en tournoyant sur moi-même. Et là, je tombai. Sacrilège. Un ennemi m’avait repéré et m’avait fait un croche-pied ! Je me relevai d’un bon, retomba parce que c’était difficile, et voyait les quelques regards braqués sur moi.
Waaaaapuezkeyugfjr. Ça c’était le cri de fuite. La loutre avec son costume pailleté et son chapeau vert fluo était là, c’était elle qui voulait me kidnapper pour que je coupe les ongles à sa famille, mais moi je pense que ce n’était qu’une ruse et qu’en fait, c’était celui qui avait été chargé de me mettre en cage pour me livrer aux autres ! Alors, je roulai sur moi-même dans une direction inconnue pour pouvoir m’en aller loin mais là, je me cognai contre plein de pieds des ennemis, alors ils criaient de mécontentement et moi aussi je criais. Genre, je faisais. Lulumumumusdnzsy.
La bonne nouvelle, c'est que ce fichu sac à patates s’enleva tout seul de mon corps, Et alors, je fis quelques roulades toujours en criant, et là, je me levai, en bavant mais ce n'est pas grave et je vue un genre d'humain, atrocement moche et lui mit un coup de boule
- YAAAH ! Je t'ai bien reconnu, ! Toi et tes amis vous voulez me tuer mais je ne renoncerai pas, BIM.
J'étais désolé d'avoir dit ça, mais je savais qu'il fallait me rebeller contre les méchants, je ne leur avais presque rien fait, moi !
Quel était le plan, maintenant ? Aucune idée, j'espérait juste qu'elle ne se transforme pas en loutre.
Dans ce monde dégoûtant qui m'avait fait vomir des arcs-en-ciel tout aussi dégoûtant, il fallait être un vrai aventurier comme moi pour arriver à survivre. Par exemple, il y avait, ce sac à patates, avec deux trous pour les yeux, posé sur moi, vraiment très serrer de sorte à ce que je ne puisse pas m'en débarrasser, qui m'arrivait jusqu'au pied et qui m'empêchait de courir. Avec ma grande intelligence surdéveloppée, je me suis mise à sauter pour avancer. Et j'ai bien vu, sur l'horrible visage des conspirateurs, que ce n'était pas ceux à quoi il s'attendait, non, et ça leur à clouer le bec.
Enfin, pas à tous. Pendant ma fuite, une créature étrange, un lapin à tête d'oiseau qui semblait lui aussi avoir peur -décidément les méchants ne sont pas intelligents, leur plan pour m'exterminer sans raison leur faisait peur à eux aussi ! - me crachait de la soupe aux vermicelles pendant que je sautais, pourtant j'allais assez vite, il n'y a pas à dire !
Encore dans mon sac à patates, quand j’arrivai dans le grand rassemblement, je ne me sentis pas tout a faite à ma place. Il fallait développer un plan, mais ma tête écrasée comme ça dans un sac à patates, ça pouvait ne pas trop marcher non plus. La meilleure solution serait encore de m’enfuir, mais il y en avait partout des méchants ! Ils en venaient tellement à la fois. Donc pas de fuite, et là.
IDEE GENIALE ! J’allais me faire passer pour l'un d’eux ! Déjà, avec mon sac à patates sur la tête, j’étais sur la bonne voie, je leur ressemblai assez, je trouve, surtout avec le vermicelle collé au sac. D’où le crie de guerrière bien méritée. YATCHA ! Et une petite danse de la victoire en tournoyant sur moi-même. Et là, je tombai. Sacrilège. Un ennemi m’avait repéré et m’avait fait un croche-pied ! Je me relevai d’un bon, retomba parce que c’était difficile, et voyait les quelques regards braqués sur moi.
Waaaaapuezkeyugfjr. Ça c’était le cri de fuite. La loutre avec son costume pailleté et son chapeau vert fluo était là, c’était elle qui voulait me kidnapper pour que je coupe les ongles à sa famille, mais moi je pense que ce n’était qu’une ruse et qu’en fait, c’était celui qui avait été chargé de me mettre en cage pour me livrer aux autres ! Alors, je roulai sur moi-même dans une direction inconnue pour pouvoir m’en aller loin mais là, je me cognai contre plein de pieds des ennemis, alors ils criaient de mécontentement et moi aussi je criais. Genre, je faisais. Lulumumumusdnzsy.
La bonne nouvelle, c'est que ce fichu sac à patates s’enleva tout seul de mon corps, Et alors, je fis quelques roulades toujours en criant, et là, je me levai, en bavant mais ce n'est pas grave et je vue un genre d'humain, atrocement moche et lui mit un coup de boule
- YAAAH ! Je t'ai bien reconnu, ! Toi et tes amis vous voulez me tuer mais je ne renoncerai pas, BIM.
J'étais désolé d'avoir dit ça, mais je savais qu'il fallait me rebeller contre les méchants, je ne leur avais presque rien fait, moi !
Quel était le plan, maintenant ? Aucune idée, j'espérait juste qu'elle ne se transforme pas en loutre.
- Spoiler:
- Agrippine arrive devant la base militaire avec un sac à patates sur la tête et en criant. Le sac s'enlève, elle voit quelqu'un et lui met un coup de tête. Alors, si vous voulez, vous pouvez être cette personne !
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Castor
Jeu 31 Oct - 11:25
Soudain, l'homme se releva, faisant sursauter Striky. Tout d'abord alarmé, il devint d'un coup très pâle et, un air horrifié plaqué sur le visage, il fit volte-face pour s'engouffrer dans la base à toute allure.
Le jeune homme resta quelques secondes immobile, consterné. Puis une pensée lui traversa l'esprit. Et si l'homme avait fui une chose qui se trouvait derrière Striky ? Un frisson lui parcourut l'échine. Le jeune homme se leva d'un coup et, n'osant pas regarder derrière lui, fuit à son tour et entra dans la base, la fillette toujours dans ses bras.
- Résumé:
- Striky ne comprend pas pourquoi Ambros fuit. Il croit qu'il y a quelque chose derrière lui d'effraynt, donc il rentre dans la base en courant.
Striky parle en #d44242.
- Concours N°3:
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Jeu 31 Oct - 18:14
Il courrait, il ne s'arrêtait pas. On aurait dit qu'il avait le diable aux fesses. Pourtant ce n'était pas le cas. Derrière lui, se trouvaient les vestiges de la tempête. Durant la nuit elle avait tout ravagé, elle avait rendu les objets fous. C'était assez terrifiant. Mais pour Cheshire, c'était rien, tout ce qui comptait pour lui c'était son frère, rien d'autre.
Courant depuis déjà un petit moment, il commença à apercevoir un bâtiment. Un bâtiment inhabituel pour ce qu'était l'Esquisse. Il s'arrêta d'un coup, manquant de se casser la figure. Reprenant son souffle, il continua d'observer l'étrange édifice. Mais que faisait-il ici ?
Peut-être que son frère y était ? Sans plus attendre, il repris sa course et arriva devant un portail. Méfiant, il le poussa de la pointe du pied, celui-ci s'ouvrit. A sa grande surprise, quelques personnes se trouvaient derrière le portail. Une jeune fille était d'ailleurs à terre, en sang ...
Sans plus y prêter attention, il les contourna et se dirigea vers le bâtiment. Finalement, les personnes dépassés plus tôt le dépassèrent en courant. Cheshire lacha un léger " What the fuck ? " et entra dans la base. Sa mission : Voir si son frère s'y trouvait.
résumé : Cheshire cherche -encore et toujours- son frère. Il arrive au portail et vois Striky, Ambros et Mimi. Ceux-ci finissent par le dépasser, puis il s'engouffre lui même dans la base.
Courant depuis déjà un petit moment, il commença à apercevoir un bâtiment. Un bâtiment inhabituel pour ce qu'était l'Esquisse. Il s'arrêta d'un coup, manquant de se casser la figure. Reprenant son souffle, il continua d'observer l'étrange édifice. Mais que faisait-il ici ?
Peut-être que son frère y était ? Sans plus attendre, il repris sa course et arriva devant un portail. Méfiant, il le poussa de la pointe du pied, celui-ci s'ouvrit. A sa grande surprise, quelques personnes se trouvaient derrière le portail. Une jeune fille était d'ailleurs à terre, en sang ...
Sans plus y prêter attention, il les contourna et se dirigea vers le bâtiment. Finalement, les personnes dépassés plus tôt le dépassèrent en courant. Cheshire lacha un léger " What the fuck ? " et entra dans la base. Sa mission : Voir si son frère s'y trouvait.
résumé : Cheshire cherche -encore et toujours- son frère. Il arrive au portail et vois Striky, Ambros et Mimi. Ceux-ci finissent par le dépasser, puis il s'engouffre lui même dans la base.
Invité
Invité
Jeu 31 Oct - 18:44
Son visage n’était plus que terre, sang, et coupures.
De nombreuses lignes rouges coulaient, coulaient, dégoulinant sur ses joues, son front, imbibant ce qui restait de ses vêtements. Un objet tranchant avait sectionné son sourcil gauche en deux, laissant une balafre rougeoyante, suintante. Son corps était éraflé de partout, tout ne saignait pas, mais rien ne semblait véritablement intact. Le bout de ses mains était brûlé et plusieurs mèches corbeau étaient parties en fumée. Une trace de suie se distinguait à travers la poussière et la boue, sur l’une de ses joues, étrangement résistante, comme incrustée là.
Diablo n’avait pas vraiment une bonne tête. Son allure cornue, ses blessures, ses yeux fous, écarquillés, le tremblement compulsif de ses mains, tout criait qu’il était au bord du gouffre. Et pourtant, pourtant, il avançait. Péniblement, lentement, trainant tant bien que mal un ballot de fortune. La seule touche de couleur de ce nouvel univers monochrome, une nappe à imprimé hawaïen, déchirée et brûlée par endroits. Le ballot était lourd, mais il contenait les dernières pièces de Matchine. Il ne pouvait pas se résoudre à les abandonner, les laisser rouiller dans la poussière.
Tout son être, tout l’univers semblait lui crier de fuir, mais il ne pouvait pas. Il ne pouvait que marcher, un pas après l’autre. Diablo n’en pouvait plus.
Il ne regardait même pas où ses pieds se posaient, il s’assurait juste qu’ils le faisaient. Et, bientôt, une forme se dessina devant lui, trop imposante pour être ignorée. Diablo leva les yeux sur la Base, son rempart de barbe à papa et son portail grand ouvert. Cela semblait être trop beau pour être vrai. Aussi, il n’y crut pas une seconde. Mais il n’y avait aucun autre endroit où aller.
Remontant son ballot sur son épaule, ses yeux jaunes parcoururent quelques instants les lieux, avant de tomber sur une jeune femme à la peau grise.
Elle me ressemble, pensa Diablo, d’une voix éteinte.
Il fit un pas vers elle, et, les vêtements en lambeaux, le visage saignant encore abondamment, plein de poussière et de suie, il dénoua lentement l’une de ses mains de son précieux paquet, et il lui tendit. Ses griffes étaient pour la plupart brisées, et ses doigts n’étaient pas en meilleur état que le reste. Mais il tendait la main, légèrement incliné, tel un galant du temps passé. Un geste qu’il n’avait probablement jamais osé, et dont il ne connaissait peut-être même pas l’usage. Diablo était bien trop épuisé pour tomber de nouveau amoureux, mais il pouvait tout de même l’aider.
▬ Mademoiselle ? Et si nous entrions ?
De nombreuses lignes rouges coulaient, coulaient, dégoulinant sur ses joues, son front, imbibant ce qui restait de ses vêtements. Un objet tranchant avait sectionné son sourcil gauche en deux, laissant une balafre rougeoyante, suintante. Son corps était éraflé de partout, tout ne saignait pas, mais rien ne semblait véritablement intact. Le bout de ses mains était brûlé et plusieurs mèches corbeau étaient parties en fumée. Une trace de suie se distinguait à travers la poussière et la boue, sur l’une de ses joues, étrangement résistante, comme incrustée là.
Diablo n’avait pas vraiment une bonne tête. Son allure cornue, ses blessures, ses yeux fous, écarquillés, le tremblement compulsif de ses mains, tout criait qu’il était au bord du gouffre. Et pourtant, pourtant, il avançait. Péniblement, lentement, trainant tant bien que mal un ballot de fortune. La seule touche de couleur de ce nouvel univers monochrome, une nappe à imprimé hawaïen, déchirée et brûlée par endroits. Le ballot était lourd, mais il contenait les dernières pièces de Matchine. Il ne pouvait pas se résoudre à les abandonner, les laisser rouiller dans la poussière.
Tout son être, tout l’univers semblait lui crier de fuir, mais il ne pouvait pas. Il ne pouvait que marcher, un pas après l’autre. Diablo n’en pouvait plus.
Il ne regardait même pas où ses pieds se posaient, il s’assurait juste qu’ils le faisaient. Et, bientôt, une forme se dessina devant lui, trop imposante pour être ignorée. Diablo leva les yeux sur la Base, son rempart de barbe à papa et son portail grand ouvert. Cela semblait être trop beau pour être vrai. Aussi, il n’y crut pas une seconde. Mais il n’y avait aucun autre endroit où aller.
Remontant son ballot sur son épaule, ses yeux jaunes parcoururent quelques instants les lieux, avant de tomber sur une jeune femme à la peau grise.
Elle me ressemble, pensa Diablo, d’une voix éteinte.
Il fit un pas vers elle, et, les vêtements en lambeaux, le visage saignant encore abondamment, plein de poussière et de suie, il dénoua lentement l’une de ses mains de son précieux paquet, et il lui tendit. Ses griffes étaient pour la plupart brisées, et ses doigts n’étaient pas en meilleur état que le reste. Mais il tendait la main, légèrement incliné, tel un galant du temps passé. Un geste qu’il n’avait probablement jamais osé, et dont il ne connaissait peut-être même pas l’usage. Diablo était bien trop épuisé pour tomber de nouveau amoureux, mais il pouvait tout de même l’aider.
▬ Mademoiselle ? Et si nous entrions ?
- Spoiler:
- Diablo arrive péniblement, les vêtements presque en miettes, couvert de coupures, sang, boue et suie, portant sur son épaule une nappe à motif hawaïen, contenant les restes de Machin, feu comparse et papillon mécanique. Il voit Agrippine et lui tend sa main pour l’inviter à entrer dans la base à ses côtés.
Diablo est donc toujours devant l’entrée, et il attend la réaction d’Agrippine.
(Oups, je pensais qu'Agrippine s'était pris un coup sur la tête, pas qu'elle l'avait donné, donc du coup, heu, on considère que c'est un PNJ et qu'il est parti ? -sauf si quelqu'un veut se dévouer, diablo est tellement dans les vapes qu'il peut vous avoir zapper-)(Pardon suis nulle DD8).
Invité
Invité
Jeu 31 Oct - 23:31
Pikachu était triste, malgré la forte tempête, il n'avait pas réussi à attirer la foudre afin de se recharger en électricité. C'est donc avec un air triste, les vêtements pleins de boue et une énorme bosse sur la tête qu'il se dirigeait vers ce qui lui semblait être le plus beau des rêves: De la barbe à papa! Il tenta de croquer dedans, sans grand succès.
"Aïe! Je me suis sûrement cassé une dent, ça m'apprendras à vouloir manger des bonbons! Le dentiste a dit que manger des bonbons ça donne des caries, mais c'est si délicieux! " Ce jour là, j'avais cherché Sacha toute la journée, mais il continuait à jouer à cache-cache. Quel farceur ce Sacha! Je m’avançait en sautillant et en fredonnant des petits "pika pika" quand je vit un monsieur tout crapoté et une madame un peu vieille devant la porte. Le monsieur avait vraiment l'air bizarre, il avait du ketchup partout! Soit sa maman ne lui avait pas appris à manger proprement, soit il mettait du ketchup sur lui pour éloigner les prédateurs. Je me suis ensuite tourné vers la madame et lui demanda:"Tu sais ou il est Sacha?" puis j'ai ouvert la grande porte et je suis entré, toujours en chantant "pika pika".
"Aïe! Je me suis sûrement cassé une dent, ça m'apprendras à vouloir manger des bonbons! Le dentiste a dit que manger des bonbons ça donne des caries, mais c'est si délicieux! " Ce jour là, j'avais cherché Sacha toute la journée, mais il continuait à jouer à cache-cache. Quel farceur ce Sacha! Je m’avançait en sautillant et en fredonnant des petits "pika pika" quand je vit un monsieur tout crapoté et une madame un peu vieille devant la porte. Le monsieur avait vraiment l'air bizarre, il avait du ketchup partout! Soit sa maman ne lui avait pas appris à manger proprement, soit il mettait du ketchup sur lui pour éloigner les prédateurs. Je me suis ensuite tourné vers la madame et lui demanda:"Tu sais ou il est Sacha?" puis j'ai ouvert la grande porte et je suis entré, toujours en chantant "pika pika".
- résumé:
- Pikachu arrive, manque de se casser une dent en voulant croquer dans la barbe à papa, demande à Agripinne si elle sait ou est Sacha puis entre en fredonnant "pika pika"
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Jeu 31 Oct - 23:45
Base militaire
Soupir. Halètement. Allez, mais, encore un coude, allez, courage, tu peux le faire. Quinte de toux. Tu en es capable, j'en suis sûr, allez, dépêche-toi, tu es presque arrivé. Re-soupir. Max, Max, fais-le pour moi, fais-le pour nous, s'il-te-plaît, tu peux y arriver, vas-y, accroche-toi, on croit en toi. Un bras qui se lève, qui s'abat sur le sol. Des biceps qui peinent à traîner ce corps à moitié inutile. On croit en toi. Est-ce une farce que l'on entend là ? Sûrement, oui. Peuh ! Les temps sont bien durs, et pourtant certains rigolos trouvent encore le moyen de faire des blagues pareilles.
Et vous avez ri, n'est-ce pas ? C'était drôle, après tout, il faut l'avouer. « On croit en toi. » Ah ! Voilà bien longtemps que je ne m'étais pas autant amusé. Lui, en tout cas, il n'a pas ri, et d'ailleurs il n'y a pas cru non plus, merci pour lui. Enfin, si ça se trouve, il était tellement absorbé par ses efforts que la plaisanterie n'a pas bien été réceptionnée. Erreur de communication, comme on dit.
Maximilian était au bord du gouffre, il se sentait vaciller, quand soudain...
Il vit une lueur, au loin, quelque chose briller, comme un ange venu du ciel pour le sauver. Bizarrement, cela ressemblait... à ça. Il eut une brusque impression de déjà-vu – sans toutefois être en mesure de se souvenir des détails. Quelque chose le chiffonnait, il était sûr d'avoir vu cet ange quelque part – ah, maintenant, il se mettait à voir les esprits ! Était-il donc fou ? Bien possible.
Cette vision sembla le revigorer. Il rampa plus vite, se dépêcha de ramer des coudes, sauf que... l'ange n'était plus là ! Tonnerre de Brest, il venait sûrement de passer à travers ces grands portes métalliques... et il fallait le suivre ! Oui, oui, une énigme, voilà ce que c'était ! Il fallait le suivre et, quand Max l'aurait attrapé, il lui dirait quelque chose comme « tu es prêt », ou bien « je t'attendais ».
Maximilian esquissa un grand sourire idiot et se mit à ramper de plus belle, traversa le grand portail et s'engouffra dans le grand bâtiment du fond. Bon, ça ne valait pas son noble manoir, mais c'était quand même mieux que rien.
- Résumé:
- Maximilian arrive en rampant super vite (parce qu'il peut pas marcher, à cause de sa queue de poisson), mais comme son "ange" -Ambros- est parti, il décide de le suivre à l'intérieur de la base (sauf qu'il ne sait absolument pas où il se trouve).
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Ven 1 Nov - 0:27
Base militaire
→ Œuf qui explose.
→ Homme en papier se faisant happer par un conduit d'aération.
→ Bizarrement, conduit débouchant juste au-dessus du lac.
→ Petite baignade nocturne.
→ Semi-infarctus à la vue d'un homme-sirène. Depuis quand les sirènes comprennent-elles des spécimens masculins ?
→ Sortie intempestive de l'eau, tout trempé, tout mou, aux portes de la mort.
→ Perte du petit doigt droit. Rappelons que le bras gauche tout entier est aujourd'hui porté disparu, sûrement déchiqueté quelque part dans l'Esquisse.
→ Ça chatouillait.
→ Bourrasque.
→ Homme en papier emporté par le vent vers ce qui semble être une base dernier cri de la NASA.
→ Soudain, embouteillages. Machin rose et visqueux partout qui colle à la peau... hm, au papier mouillé.
→ Semble être à l'opposé de ce qui s'associe à une entrée.
→ La scène en image.
→ John n'a servi à rien.
→ VDM.
- Résumé:
- John est collé à la barrière de barbe à papa, à l'opposé du portail. Par pitié, venez l'aider !
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Ven 1 Nov - 18:10
Ses bras, elle ne les connaissaient pas. Ce n’était pas ceux qui l’avaient bercé pendant sa tendre enfance, s’en était de tout autres. Des bras maladroits, qui n’avaient sûrement pas porté énormément d’enfant, mais des bras, qui ne l’avaient pas laissée là, mourante, sur le sol. Ses bras, c’était ceux d’un homme aux cheveux bleu, pas très en forme lui aussi.
Peut-être voulait-il la sauver, ou peut-être pas ? Mais les yeux fermés, sans plus aucune force dans ses membres, Mimi se faisait simplement emporter. Et ses bras, elle ne les refusaient pas.
Peut-être voulait-il la sauver, ou peut-être pas ? Mais les yeux fermés, sans plus aucune force dans ses membres, Mimi se faisait simplement emporter. Et ses bras, elle ne les refusaient pas.
- Spoiler:
- Mimi n'a pas de force et reste dans les bras de Striky. Elle est donc entrée dans la base.
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Ven 1 Nov - 19:07
- C'EST LA FIN DU MOOOOOONDE !
Ziza courait dans tous les sens, sans but précis. Elle avait entendu parler de la fin du monde, mais elle n'aurait jamais pensé la vivre ! Ça s'était passé comme dans un film américain : explosion, cris, panique, désolation... Le problème, c'est qu'il allait visiblement falloir attendre longtemps d'avoir un "happy end". Que c'était-il passé ? Selon Ziza, il n'y avait pas à hésiter : le Dieu Étoile de mer trouvait les humains impurs et avait laissé sa colère se déverser sur la terre. C'était comme le déluge que raconte la Bible, sauf que Dieu avait visiblement oublié de prévenir Alizée pour qu'elle construise une arche... La petite fille n'avait pas subit de dégâts physiques ou mentaux particuliers, il fallait remercier sa bonne étoile -de mer- ! Mais il n'en était pas de même pour tout le monde et Ziza avançait donc sans savoir où elle allait, en essayant de trouver un endroit un peu moins ravagé par la tempête.
Cet endroit finit par lui apparaitre comme par enchantement, c'était une sorte de base militaire entourée d'une muraille de barpapa. Mis à part ce détail banal, le bâtiment était très extravagant dans le sens où il était parfaitement normal. Intriguée, Ziza s'approcha.
Des tas de gens entraient dans la base. Ziza reconnut quelques personnes qu'elle pensait avoir croisées auparavant. Ils étaient pour la plupart amochés, voire gravement blessés. Elle avait envie de les aider, de leur redonner le sourire, de les rassurer et de leur dire que tout allait bien. Elle franchit donc la porte à son tour, en espérant remonter le moral des troupes.
Ziza courait dans tous les sens, sans but précis. Elle avait entendu parler de la fin du monde, mais elle n'aurait jamais pensé la vivre ! Ça s'était passé comme dans un film américain : explosion, cris, panique, désolation... Le problème, c'est qu'il allait visiblement falloir attendre longtemps d'avoir un "happy end". Que c'était-il passé ? Selon Ziza, il n'y avait pas à hésiter : le Dieu Étoile de mer trouvait les humains impurs et avait laissé sa colère se déverser sur la terre. C'était comme le déluge que raconte la Bible, sauf que Dieu avait visiblement oublié de prévenir Alizée pour qu'elle construise une arche... La petite fille n'avait pas subit de dégâts physiques ou mentaux particuliers, il fallait remercier sa bonne étoile -de mer- ! Mais il n'en était pas de même pour tout le monde et Ziza avançait donc sans savoir où elle allait, en essayant de trouver un endroit un peu moins ravagé par la tempête.
Cet endroit finit par lui apparaitre comme par enchantement, c'était une sorte de base militaire entourée d'une muraille de barpapa. Mis à part ce détail banal, le bâtiment était très extravagant dans le sens où il était parfaitement normal. Intriguée, Ziza s'approcha.
Des tas de gens entraient dans la base. Ziza reconnut quelques personnes qu'elle pensait avoir croisées auparavant. Ils étaient pour la plupart amochés, voire gravement blessés. Elle avait envie de les aider, de leur redonner le sourire, de les rassurer et de leur dire que tout allait bien. Elle franchit donc la porte à son tour, en espérant remonter le moral des troupes.
- Résumé:
- Ziza entre dans la base, elle est en parfaite santé. Elle est convaincue que tout ce qui est passé est pour le mieux -vu que c'est l’œuvre du Dieu Étoile de mer- et veux redonner le sourire à tout le monde en leur annonçant la nouvelle.
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Ven 1 Nov - 20:41
J'ai mis en italique le passage inutile !
Résumé : Eelis est catapulté (en même temps qu'un autre dessinateur, ça peut être vous si vous le souhaitez o/ ou bien un cadavre, haha) par une voiture volante sur la clôture de barbapapa, à proximité du portail. Il est déguisé en canard.
Tu es devant la base, les yeux rivés sur cet étrange bâtiment dont tu te trouves incapable de comprendre la raison. Ça ne change pas de d'habitudes, bien que les dites habitudes aient été renversé la nuit dernière.
Cette nuit qui avait commencé dans l'OEuf. Non. Dans le Volesphëra, ce mix entre une jungle, le rayon "téléviseurs" d'un supermarché, la guerre des étoiles, un avion, des nuages, un ascenseur et une bonne dose d'Esquisséisme pour que la sauce prenne. Une cure de jeunesse qui avait tourné à l'épreuve de courage collective. Tu y avais revu Bisoux, l'avais fui, t'étais perdu, avais rencontré Dark Vador ainsi que cet étrange gamin vêtu de bleu. Et puis on avait réussi. Et puis les écrans avaient explosé.
Et puis le Volesphëra avait explosé. Comme ça. D'un seul coup. Pour vous remercier d'avoir galéré et joué au pendu avec tant d'acharnement. Pour vous remercier d'avoir lutté, au lieu de regarder la scène mains dans les poches. Pour vous remercier d'avoir souffert, vous avez tout perdu à nouveau.
Lors d'une interminable chute au milieu des débris, des gens, des objets volants et du vide, ta première réflexion a sans doute été la plus banale du monde. Tu t'es demandé si tu allais mourir, et si ça faisait mal. Tu as revu cette pauvre gamine - Mo - transpercée au milieu d'une place en panique, et le sang ruisseler au coeur de la foule. Il faut croire que Liam n'aura pas à tenir sa promesse longtemps. Et à qui l'a-t-il faite, d'ailleurs ? À un type qu'il a rencontré près d'un lac, avec qui il a joué au milieu des bulles, avant de le jeter dans un tunnel obscur et de chercher une bulle invisible d'après les indications d'un parchemin. À un type qu'il a rencontré dans l'Esquisse, et dont il ne connaît pas le vrai nom. Comme tous ces gens que tu n'as fait que croiser, et qui sont peut-être morts en même temps que le jour.
Et toi, alors ? Tu as soudainement senti ton dos heurter quelque chose de dur, de rocailleux, comme si tu venais de tomber de scooter. Mais d'un scooter volant, a une bonne dizaine de mètres du sol. Cambré, tu n'as pas eu envie de tourner la tête, te laissant juste divaguer, nager au milieu des ténèbres tandis que tout autour de toi était en train de s'effondrer, que tous tes os criaient à la ruine et que ton estomac commençait à grogner.
Tu t'es endormi.
Et à ton réveil, tu étais là. À une cinquantaine de mètres du sol et de cette imposante bâtisse vers laquelle semble se diriger ton noble destrier.
Tu te redresses douloureusement, sans faire le bilan de ton propre état de santé - au risque d'avoir à compter le nombre de bleus dont tu es pourvu, et te consacres une bonne dizaine de minutes à l'observation du paysage. Tu n'es pas sûr d'être allé dans cette gigantesque plaine azurée une seule fois, alors qu'il te semble avoir vu bon nombre de lieux. L'horizon, nimbé d'une brume inquiétante, ne te permet pas de déterminer où ces derniers se trouvent. À terre, autour d'une paroi rosée, des gens commencent à se masser, mais tu n'en reconnais aucun. Où sont passés les victimes du Volesphëra ?
Faute de pouvoir y répondre, tu commences à réfléchir sur un sujet plus.. actuel. Comment se fait-il que tu flottes au beau milieu du vide depuis tout à l'heure ? Par exemple. Baissant les yeux, tu constates que toi, ainsi qu'un corps inerte non-identifié, vous prélassez actuellement sur une 2CV volante pourvue de deux gigantesques ailes de pégase. Tout. À. Fait. Normal.
Il ne semble pas que votre diligence ait prévu de vous faire rejoindre le sol, cependant, comme si elle tenait à.. faire autre chose.
C'est alors que cette chose arrive. Effectuant une rotation vers l'arrière, la voiture se penche. Tu regardes succinctement ton camarade de route.
« Bonne chance, mon pote ! »
La voiture se penche brusquement vers l'avant, et vous expédie tout les deux avec conviction vers le bâtiment d'à côté.
Dormir dans une catapulte, quelle bonne idée, Eelis.
Et c'est ainsi qu'un vieil homme qui n'avait pas encore remarqué son somptueux costume de canard s'encastra magistralement dans la clôture de barbapapa.
Résumé : Eelis est catapulté (en même temps qu'un autre dessinateur, ça peut être vous si vous le souhaitez o/ ou bien un cadavre, haha) par une voiture volante sur la clôture de barbapapa, à proximité du portail. Il est déguisé en canard.
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Ven 1 Nov - 22:08
Extérieurement, tout allait bien.
Oh, bien sûr, le monde était plongé dans un chaos d’horreur et de cris, mais tout allait bien. Les deux bras étaient là, les jambes marchaient, aucune perte de doigt n’était à déplorer. Tout n’était pas rose, naturellement, comme toute bonne fin du monde qui se respecte : il était couvert de poussière, et l’une de ses oreilles laissait un agaçant ploc-ploc s’écraser sur le sol de façon aussi régulière qu’horripilante.
Quoi qu’il en soit, Liam, une fois passé la poussière et le sang séché à divers endroits de sa personne, semblait en bonne forme. Il marchait vite, la tête haute, le regard décidé. L’horizon n’était pas spécialement clair, entre purée de pois, hurlements et filtre monochrome, mais sa destination ne semblait faire aucun doute. Du moins, pour tout avis extérieur qui aurait pris la peine d’arrêter de trembler et de crier pour quelques instants. Il n’hésitait pas, avalait les mètres de terre désolée sans souffler un seul instant.
Mais tout ça n’était que conneries.
Intérieurement, rien n’allait bien.
Les images de l’étage de brume le hantaient. Des souvenirs longtemps enfouis remontaient à la surface, comme d’immondes cloques purulentes. Oh, oui, Liam n’oubliait pas le vrai monde, mais il n’en restait pas moins humain. Pour ne pas perdre la boule, il avait dû éloigner ses meilleurs souvenirs, ces bribes de sensation, qui lui permettaient de garder la tête hors de l’eau. Enfermées dans un cocon, préservées de la Folie malsaine d’Esquisse. Un tout petit espoir, une lumière à laquelle se raccrocher, vers laquelle on avait envie de revenir. La lumière le poussant à chercher la sortie, encore et toujours, sans faillir, sans tout laisser tomber, sans se laisser mourir.
Et Esquisse avait tout saccagé. Le cocon s’était fendillé, et le doute s’était installé. Si sa seule raison d’espérer était elle aussi tombée dans ce monde, alors, il n’y aurait plus de raison. Plus de raison de tenir, plus de raison de se battre. Plus de raison de… rien.
Liam s’arrêta net pour inspirer fortement. Et il s’en mordit les doigts. Des effluves de toutes sortes saturèrent aussitôt ses narines. Sang, peur, transpiration, cendre, brûlé, tous ces parfums de chaos, concentrés, et injectés directement au cerveau. Le dessinateur se plia en deux, secoué d’une quinte de toux. Il venait d’oublier la deuxième raison qui l’empêchait de s’arrêter. Lui-même. Son corps. Tous ses sens étaient saturés. Les cris à travers la brume lui parvenaient trop bien, trop proche, un objet semblait brûler juste sous son nez, alors qu’il ne voyait rien, et ses yeux… Ses yeux, malgré cet horizon bouché, voyaient trop de choses. Trop de détails à la fois. Les facultés de son nouveau corps animal venaient de se mettre en route. Faute de pouvoir se réfugier comme auparavant dans un lointain coin de son esprit, il subissait tout de plein fouet.
Et Liam avait foutrement envie de vomir.
Contrôlant comme il le pouvait les sursauts de son estomac, le rebelle qui ne valait plus tripette se remit en route, allongeant chaque foulée autant qu’il le pouvait. Comme s’il était possible d’échapper à tout ça.
La Base finit par apparaître devant ses yeux, et il arriva juste à temps pour voir une forme tout à fait familière s’encastrer dans un mur rose. Liam frissonna. Si c’était cette espèce de truc ridicule que l’on nommait barbe à papa, il ne répondait plus de rien.
Inspirant de nouveau, malgré les risques, Liam s’approcha à pas chaloupés du point d’impact, allant jusqu’à hausser un sourcil ironique face à cette vision.
▬ Pourquoi faut-il toujours que tu sois aussi affreusement théâtral ?
Affectant toujours le même ennui et ignorant superbement son costume de canard, le demi-chat remonta les manches de son nouveau manteau (Long, qui couvrait sa combinaison en lambeaux, mais bigrement rose. Une chance qu’il soit sale et abîmé pour que l’on s’en aperçoive.), et entreprit de tirer Eelis de là. Ce qui ne fut pas vraiment facile. Le mur collant tint bon un long moment, avant de lâcher prise avec un bruit de succion et envoyer Liam sur les roses. Et de le transformer par la même occasion en matelas de réception pour blond catapulté.
▬ Bordel de merde.
Non, la fin d’un univers ne vous rendait pas spécialement poétique.
Oh, bien sûr, le monde était plongé dans un chaos d’horreur et de cris, mais tout allait bien. Les deux bras étaient là, les jambes marchaient, aucune perte de doigt n’était à déplorer. Tout n’était pas rose, naturellement, comme toute bonne fin du monde qui se respecte : il était couvert de poussière, et l’une de ses oreilles laissait un agaçant ploc-ploc s’écraser sur le sol de façon aussi régulière qu’horripilante.
Quoi qu’il en soit, Liam, une fois passé la poussière et le sang séché à divers endroits de sa personne, semblait en bonne forme. Il marchait vite, la tête haute, le regard décidé. L’horizon n’était pas spécialement clair, entre purée de pois, hurlements et filtre monochrome, mais sa destination ne semblait faire aucun doute. Du moins, pour tout avis extérieur qui aurait pris la peine d’arrêter de trembler et de crier pour quelques instants. Il n’hésitait pas, avalait les mètres de terre désolée sans souffler un seul instant.
Mais tout ça n’était que conneries.
Intérieurement, rien n’allait bien.
Les images de l’étage de brume le hantaient. Des souvenirs longtemps enfouis remontaient à la surface, comme d’immondes cloques purulentes. Oh, oui, Liam n’oubliait pas le vrai monde, mais il n’en restait pas moins humain. Pour ne pas perdre la boule, il avait dû éloigner ses meilleurs souvenirs, ces bribes de sensation, qui lui permettaient de garder la tête hors de l’eau. Enfermées dans un cocon, préservées de la Folie malsaine d’Esquisse. Un tout petit espoir, une lumière à laquelle se raccrocher, vers laquelle on avait envie de revenir. La lumière le poussant à chercher la sortie, encore et toujours, sans faillir, sans tout laisser tomber, sans se laisser mourir.
Et Esquisse avait tout saccagé. Le cocon s’était fendillé, et le doute s’était installé. Si sa seule raison d’espérer était elle aussi tombée dans ce monde, alors, il n’y aurait plus de raison. Plus de raison de tenir, plus de raison de se battre. Plus de raison de… rien.
Liam s’arrêta net pour inspirer fortement. Et il s’en mordit les doigts. Des effluves de toutes sortes saturèrent aussitôt ses narines. Sang, peur, transpiration, cendre, brûlé, tous ces parfums de chaos, concentrés, et injectés directement au cerveau. Le dessinateur se plia en deux, secoué d’une quinte de toux. Il venait d’oublier la deuxième raison qui l’empêchait de s’arrêter. Lui-même. Son corps. Tous ses sens étaient saturés. Les cris à travers la brume lui parvenaient trop bien, trop proche, un objet semblait brûler juste sous son nez, alors qu’il ne voyait rien, et ses yeux… Ses yeux, malgré cet horizon bouché, voyaient trop de choses. Trop de détails à la fois. Les facultés de son nouveau corps animal venaient de se mettre en route. Faute de pouvoir se réfugier comme auparavant dans un lointain coin de son esprit, il subissait tout de plein fouet.
Et Liam avait foutrement envie de vomir.
Contrôlant comme il le pouvait les sursauts de son estomac, le rebelle qui ne valait plus tripette se remit en route, allongeant chaque foulée autant qu’il le pouvait. Comme s’il était possible d’échapper à tout ça.
La Base finit par apparaître devant ses yeux, et il arriva juste à temps pour voir une forme tout à fait familière s’encastrer dans un mur rose. Liam frissonna. Si c’était cette espèce de truc ridicule que l’on nommait barbe à papa, il ne répondait plus de rien.
Inspirant de nouveau, malgré les risques, Liam s’approcha à pas chaloupés du point d’impact, allant jusqu’à hausser un sourcil ironique face à cette vision.
▬ Pourquoi faut-il toujours que tu sois aussi affreusement théâtral ?
Affectant toujours le même ennui et ignorant superbement son costume de canard, le demi-chat remonta les manches de son nouveau manteau (Long, qui couvrait sa combinaison en lambeaux, mais bigrement rose. Une chance qu’il soit sale et abîmé pour que l’on s’en aperçoive.), et entreprit de tirer Eelis de là. Ce qui ne fut pas vraiment facile. Le mur collant tint bon un long moment, avant de lâcher prise avec un bruit de succion et envoyer Liam sur les roses. Et de le transformer par la même occasion en matelas de réception pour blond catapulté.
▬ Bordel de merde.
Non, la fin d’un univers ne vous rendait pas spécialement poétique.
- Spoiler:
- Liam arrive, un long manteau rose flottant au vent, sa combinaison un peu beaucoup déchirée, un brin de sang sur la figure et de poussière inhérente au truc, mais à priori en bonne forme. Sauf qu’il est toujours à moitié chat et que ses sens félins sont tous bien réveillés. Il arrive à la Base, grogne un peu, et enlève Eelis-Canard de son mur, avant de tomber par terre et de servir de matelas au susnommé. Il jure et reste étalé au sol, un peu crevé.
(oh et liam n’a plus de lunettes sur le nez, actuellement, ni les futuristes rouges qu’il avait ni sa paire habituelle, mais il voit bien quand même, il s’en est juste pas encore aperçu).
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Eelis
Ven 1 Nov - 22:57
Tu n'avais jamais remarqué à quel point la barbapapa sentait bon. Ce doux parfum, tu aurais presque pu rester coincé dans cette clôture tout l'après-midi...
Si quelqu'un, tirant sur ton magnifique costume, n'en avait pas décidé autrement. Il t'extirpe avec difficulté de là, mais tu n’aperçois son visage que lorsque tu te retrouves, confortablement assis, sur son torse.
Une vieille connaissance dont la vue parvient à te fendre un sourire sur le visage.
« Hey, salut BBBB----- » commences-tu avant de te remémorer ce qui commence déjà à dater de quelques jours.
« Liam. »
Tu te relèves et lui tends une main, des fois qu'il soit devenu sociable en se transformant en chat.
Résumé : Eelis est extirpé du mur et salue Liam. Il se relève et lui tend une main.
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Ven 1 Nov - 23:22
Dès les premiers mots d’Eelis, les oreilles félines de Liam se couchèrent, et ses yeux plissés n’auguraient rien de bon. Heureusement, l’homme blond se rattrapa juste à temps, et notre demi-chat se détendit légèrement. Ce qui ne l’empêcha pas d’ignorer superbement la main tendue, ceci dit. La sociabilisation avait ses limites.
Liam prit tout son temps pour épousseter son manteau, snob au possible, avant de répondre laconiquement :
▬ Eelis.
Et de ne plus prononcer un seul mot. Les choses étaient encore un peu confuses, là-dedans, et il n’aurait pu dire lui-même s’il était content de revoir Eelis, ni les sentiments qu’il entretenait à son égard.
Il n’empêche que rester planté là, à se regarder en chien de faïence, alors qu’ils risquaient de se faire bouffer à tout moment par quelque chose, c’était quelque peu stupide.
▬ Tu comptes rester planté ici toute la journée ?
Il souleva aristocratiquement un deuxième sourcil.
▬ Nous sommes légèrement à découvert, là. Ce qui sous-entend probablement une mort par ingestion de je ne sais quelle bestiole répugnante du coin.
Liam tourna les talons et se dirigea vers le portail.
▬ Entrons, et, avec un peu de chance, le trou en forme de canard que tu as fait n’aura pas réduit en miettes notre nouvelle et unique protection…
Liam prit tout son temps pour épousseter son manteau, snob au possible, avant de répondre laconiquement :
▬ Eelis.
Et de ne plus prononcer un seul mot. Les choses étaient encore un peu confuses, là-dedans, et il n’aurait pu dire lui-même s’il était content de revoir Eelis, ni les sentiments qu’il entretenait à son égard.
Il n’empêche que rester planté là, à se regarder en chien de faïence, alors qu’ils risquaient de se faire bouffer à tout moment par quelque chose, c’était quelque peu stupide.
▬ Tu comptes rester planté ici toute la journée ?
Il souleva aristocratiquement un deuxième sourcil.
▬ Nous sommes légèrement à découvert, là. Ce qui sous-entend probablement une mort par ingestion de je ne sais quelle bestiole répugnante du coin.
Liam tourna les talons et se dirigea vers le portail.
▬ Entrons, et, avec un peu de chance, le trou en forme de canard que tu as fait n’aura pas réduit en miettes notre nouvelle et unique protection…
- Spoiler:
- Liam se relève, discute un peu avec Eelis et l’invite plus ou moins à entrer avec lui dans la Base.
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Eelis
Ven 1 Nov - 23:23
Presque heureux de retrouver le violoniste du lac intact, tu suis en trottinant Bisoux. Juste avant d'entrer définitivement dans le bâtiment, tu remarques vaguement que tu es aussi bien costumé qu'un gamin qui va fêter mardi gras et te résous à trouver d'autres vêtements plus tard. D'abord, les retrouvailles.
Résumé : Eelis entre à la suite de Liam.
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Sam 2 Nov - 13:48
Tu es loin de tout ça. Tu cherches ma voix. Mais tu ne la trouves pas, ça te fait peur, d’être seule dans ton esprit. Tu pleures, tu espères qu’ainsi je reviendrais. Pourtant je me tais. Le silence. Absolu. Ça t’énerve. Je croyais que tu me détestais. Je pense plutôt que j’étais ton ami, le seul ami que tu n’aies jamais eu. Et maintenant, j’ai disparu.
Alors, tu me cherches. Et tu vas partout où tu peux. Tu t’éloignes de la base militaire. Alors que les gens s’y hâtent, toi tu l’ignores. Tout ça pour moi. Alors que je ne suis qu’une voix.
Alors, tu me cherches. Et tu vas partout où tu peux. Tu t’éloignes de la base militaire. Alors que les gens s’y hâtent, toi tu l’ignores. Tout ça pour moi. Alors que je ne suis qu’une voix.
- Spoiler:
- Grawwn n'est pas là, elle est très loin de la base, mais il fallait bien que je post quand même, alors voilà.
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Sam 2 Nov - 14:01
Aïe. Le mec à qui j’avais mis un coup de tête me pousse et je tombe dans la foule. Je me relève, prête à me battre s’il le faut mais il a disparu. Il faut que je fuie. Ici les gens sont bien trop bizarres. Comme ce gamin, un petit sourire aux lèvres, qui me demande où est Sacha. Sacha ? Je ne connais pas. Sacha c’est peut-être son papa, le pauvre garçon doit être perdu.
Bam. Je me suis mise une claque, je ne dois accorder aucune pitié aux conspirateurs ! Après tout, tout ça est faux, c’est un plan pour m’embobiner ! Heureusement que ma main est là pour me remettre les idées en place. Je plisse les yeux. Devant moi, les gens entrent dans la base militaire. Ceux de derrière, me poussent aussi pour que j’avance. Je me retourne. Pousse un cri. Et essaye de m’enfuir de cette grande assemblée.
Les gens sont tous serrés et me poussent. Aaah ! Ils veulent me faire entrer de force dans la base. Je résiste tant que je peux. Je serre les dents. Un petit peu. Aah. Ils sont trop forts et me poussent dans la base. Tout agité. Il galope comme des chevaux-brioche-enragé et du coup, je ne peux pas retourner en arrière. Saperlipopette !
Je m’enfuis moi aussi, dans une autre salle. Ils pourraient me poursuivre pour me capturer les méchants.
Bam. Je me suis mise une claque, je ne dois accorder aucune pitié aux conspirateurs ! Après tout, tout ça est faux, c’est un plan pour m’embobiner ! Heureusement que ma main est là pour me remettre les idées en place. Je plisse les yeux. Devant moi, les gens entrent dans la base militaire. Ceux de derrière, me poussent aussi pour que j’avance. Je me retourne. Pousse un cri. Et essaye de m’enfuir de cette grande assemblée.
Les gens sont tous serrés et me poussent. Aaah ! Ils veulent me faire entrer de force dans la base. Je résiste tant que je peux. Je serre les dents. Un petit peu. Aah. Ils sont trop forts et me poussent dans la base. Tout agité. Il galope comme des chevaux-brioche-enragé et du coup, je ne peux pas retourner en arrière. Saperlipopette !
Je m’enfuis moi aussi, dans une autre salle. Ils pourraient me poursuivre pour me capturer les méchants.
- Spoiler:
- Agrippine ne répond pas à Pikachu. Agrippine entre dans la base poussée par des gens.
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Sam 2 Nov - 19:55
Ta chute ressemblait à celle des films présents dans tes lointains souvenirs… Tu avais l’impression d’être le méchant, celui qui est éjecté, sur le dos, les bras et les jambes tendus vers l’avant par la vitesse, n’abordant aucune émotion, ou alors un sourire cynique. Comme s’il savait qu’un de ses complices l’attendrait pour l’attraper au vol.
Mais dans ton cas, tu n’en avais aucune idée. Tu arborais pourtant ce même sourire cynique, tu avais l’impression d’être cette potiche, héroïne d’un livre pour gosse portant son prénom, qui atterrissait dans un endroit étrange et dont tu ressemblais étrangement. Toi qui haïssais qu’on te compare à elle, te voilà en train de le faire. Parce que ce monde est aussi étrange, voire plus que le monde de la petite blonde à ton effigie.
Plus tu sentais ta mort arrivé à l’approche du sol, plus tu te sentais confuse. Ne dit-on pas que nos souvenirs défilent devant nos yeux peu de temps avant la mort ? Ces images sensées rappeler ce que tu as vécu se semblent très lointaine, mais surtout hors de ce monde. Une impression désagréable. Une inexistence d’un monde qui pourtant te rappelle à chaque torture que tu n’es pas en train de rêver.
Arrêt sur image. Plus question de chute, de légèreté et même le court de tes pensées s’est arrêté. Es-tu morte ? Tu n’en avais pas la sensation, mais qui dit que l’on sait que l’on est mort lorsqu’on l’est ? Et puis des flammes, l’explosion du vaisseau sur lequel tu étais. Les cris revinrent de plus bel. Tu n’étais pas sur le sol, tu ne l’avais pas senti, mais tu ne tombais plus. Tu étais dans une bulle. Bulle qui semblait perdue et prête à craquer à tout moment.
Ce qu’elle fit, après s’être prise dans un haut mur rosâtre. Tu fis un vol de 3 mètres avant de te ramasser lamentablement sur le sol. A moitié sonnée, toute sale et éraflée sur tout le côté gauche. Tu te relevas sans volonté en titubant pour finalement retomber lourdement sur tes fesses en soupirant. La terre ferme. Enfin ! Aucune expression ne transparaissait sur ton visage légèrement tuméfié, tu hésitais entre la joie de t’en être sortie et la déception de ne plus être dans les aires…
Résumé : Cydna atterris plus ou moins lourdement dans la base, se relève difficilement puis se rassois aussi sec, vidée.
Mais dans ton cas, tu n’en avais aucune idée. Tu arborais pourtant ce même sourire cynique, tu avais l’impression d’être cette potiche, héroïne d’un livre pour gosse portant son prénom, qui atterrissait dans un endroit étrange et dont tu ressemblais étrangement. Toi qui haïssais qu’on te compare à elle, te voilà en train de le faire. Parce que ce monde est aussi étrange, voire plus que le monde de la petite blonde à ton effigie.
Plus tu sentais ta mort arrivé à l’approche du sol, plus tu te sentais confuse. Ne dit-on pas que nos souvenirs défilent devant nos yeux peu de temps avant la mort ? Ces images sensées rappeler ce que tu as vécu se semblent très lointaine, mais surtout hors de ce monde. Une impression désagréable. Une inexistence d’un monde qui pourtant te rappelle à chaque torture que tu n’es pas en train de rêver.
Arrêt sur image. Plus question de chute, de légèreté et même le court de tes pensées s’est arrêté. Es-tu morte ? Tu n’en avais pas la sensation, mais qui dit que l’on sait que l’on est mort lorsqu’on l’est ? Et puis des flammes, l’explosion du vaisseau sur lequel tu étais. Les cris revinrent de plus bel. Tu n’étais pas sur le sol, tu ne l’avais pas senti, mais tu ne tombais plus. Tu étais dans une bulle. Bulle qui semblait perdue et prête à craquer à tout moment.
Ce qu’elle fit, après s’être prise dans un haut mur rosâtre. Tu fis un vol de 3 mètres avant de te ramasser lamentablement sur le sol. A moitié sonnée, toute sale et éraflée sur tout le côté gauche. Tu te relevas sans volonté en titubant pour finalement retomber lourdement sur tes fesses en soupirant. La terre ferme. Enfin ! Aucune expression ne transparaissait sur ton visage légèrement tuméfié, tu hésitais entre la joie de t’en être sortie et la déception de ne plus être dans les aires…
Résumé : Cydna atterris plus ou moins lourdement dans la base, se relève difficilement puis se rassois aussi sec, vidée.
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Dim 3 Nov - 18:57
Je… j’étais complètement déboussolé, perdu et déphasé. Tout ce qui pouvait se passer autour de moi était complètement ignoré, je me rappelais encore de l’image du corps de cette pauvre femme à qui j’avais ôté la vie. Je ne pouvais pas être calmé… Je ne devais pas être calmé, pas tout de suite. Je me tenais les bras avec mes mains et avançais lentement, sans trop savoir où aller. Il y avait beaucoup de vent, énormément, pire qu’une tempête écossaise. Je tremblais énormément et c’était compréhensible après la nuit qui venait de se produire. Mes lèvres vibraient à mesure que j’essayais de retenir des sanglots, mais c’était trop fort pour moi.
Soudain, je butai dans quelque chose de trop dur pour être quelqu’un. Il fallait que je me ressaisisse, parce que ça aurait effectivement pu être quelqu’un. Je regardais la chose qui était devant moi, c’était juste une colonne. Mais cette colonne me permit de voir ce bâtiment, cette structure étrange qui ressemblait un peu à ce qu’on pouvait trouver par chez moi. C’était bizarre, cet endroit, vraiment, m’emmenait faire des choses farfelues. Je n’avais plus l’impression d’être dans un rêve depuis peu. Les sensations étaient trop réalistes et tuer cette pauvre dame ne m’aurait sans doute pas fait un si grand choc si j’étais dans le monde onirique. Restait la question suivante : Pourquoi cet endroit et pourquoi cette apparence à mon corps ?
Convaincu de trouver des réponses dans ce bâtiment, je m’en approchais sans trop faire attention. Je me rendis compte que les murs d’enceinte de l’édifice étaient faits en barbe-à-papa et cela me fit sourire, même si je n’avais pas tellement le cœur à cela. Je remarquai une tâche dans ce mur, une tâche colorée, mais plus terne que le mur lui-même. Je m’en approchai et remarqua que c’était un bonhomme en papier ! Surpris par ce fait, je n’eus d’autre réaction que de rester là, les bras ballant, limite bavant, à regarder ce monsieur de papier coincé dans cette structure de sucre collante.
- Résumé:
- William arrive près du mur d’enceinte de la base et trouve John collé à la barbe-à-papa. Il reste là à le regarder comme un idiot.
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Mar 5 Nov - 22:32
Après avoir vu passer un gamin déguisé en Pikachu (ou un Pikachu déguisé en enfant, selon le point de vue), un homme-sirène rampant (ou une sirène à moitié-homme), une demoiselle fort pressée, un canard à tête humaine s’encastrer dans un mur avant d’être sorti de là par un humanoïde à moitié chat (dingue le nombre de moitié-choses qu’il avait vu depuis une heure), et une fille tomber du ciel, Diablo décida qu’il en avait trop vu.
L’être si semblable à sa propre apparence pensa peut-être la même chose, puisqu’il s’en alla sans un regard. L’adolescent n’avait même pas la force d’en être attristé. Et puis, au fond, il avait l’habitude. Avant, c’était tout le temps comme ça. Mais « Avant », ça sonnait si lointain, si décalé, dans ce monde perdu en plein chaos. Songer au passé semblait ridicule. Il devait avancer, juste encore un peu.
Se redressant tant bien que mal, lui et son paquet, Diablo franchit à son tour l’imposant portail. Pour s’arrêter seulement quelques pas plus loin. La fille tombée du ciel. Elle était encore là, et visiblement trop épuisée pour continuer. Un tout petit embryon de sourire étira les lèvres de Diablo. C’était douloureux de sourire, un peu grotesque aussi, vu la situation, mais il n’avait pu s’en empêcher. Le sourire mourut vite, ceci dit, remplacé par une expression de vide. Il contourna la jeune demoiselle, se plaçant dans son champ de vision, avant de tendre l’une de ses mains.
▬ Rester ici n’est pas une très bonne idée.
Pas de « Tout va bien ? » (rien n’allait bien, pour personne), « Voudriez-vous me suivre s’il vous plaît ? » (trop fatigué pour être poli), ou même d’une quelconque attente. Ses yeux exprimaient très bien ce qu’il pensait : Si elle ne prenait pas sa main, il la laisserait là, et rentrerait dans la base tout seul.
Diablo n’avait même plus la force d’être lui-même.
L’être si semblable à sa propre apparence pensa peut-être la même chose, puisqu’il s’en alla sans un regard. L’adolescent n’avait même pas la force d’en être attristé. Et puis, au fond, il avait l’habitude. Avant, c’était tout le temps comme ça. Mais « Avant », ça sonnait si lointain, si décalé, dans ce monde perdu en plein chaos. Songer au passé semblait ridicule. Il devait avancer, juste encore un peu.
Se redressant tant bien que mal, lui et son paquet, Diablo franchit à son tour l’imposant portail. Pour s’arrêter seulement quelques pas plus loin. La fille tombée du ciel. Elle était encore là, et visiblement trop épuisée pour continuer. Un tout petit embryon de sourire étira les lèvres de Diablo. C’était douloureux de sourire, un peu grotesque aussi, vu la situation, mais il n’avait pu s’en empêcher. Le sourire mourut vite, ceci dit, remplacé par une expression de vide. Il contourna la jeune demoiselle, se plaçant dans son champ de vision, avant de tendre l’une de ses mains.
▬ Rester ici n’est pas une très bonne idée.
Pas de « Tout va bien ? » (rien n’allait bien, pour personne), « Voudriez-vous me suivre s’il vous plaît ? » (trop fatigué pour être poli), ou même d’une quelconque attente. Ses yeux exprimaient très bien ce qu’il pensait : Si elle ne prenait pas sa main, il la laisserait là, et rentrerait dans la base tout seul.
Diablo n’avait même plus la force d’être lui-même.
- Spoiler:
- Diablo contemple les événements, passif, puis en voyant Agrippine partir sans même un signe, décide qu’il a bien assez attendu. Il passe à son tour le portail, s’arrête en voyant Cydna et lui tend la main pour l’inviter à entrer dans la base avec lui.
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Ven 8 Nov - 14:59
Cette nuit-là... Je ne m'en remettrais jamais. Le monde est plongé dans le chaos, cela est digne d'une scène d'un film post-apocalyptique. J'erre seule, avec pour seule compagnie cette foutue conscience, ou mon autre moi... enfin je ne sais pas vraiment.
Oh mais que se passe-t-il ? Ma présence te déplaît ? Voyons. Ton monde s'effondre, tu n'es plus rien. Estimes-toi heureuse de ne pas être seule. Tu n'as plus qu'à te rouler en boule et pleurer en silence sur ton sort, pauvre idiote !
Oh non, cela te ferait bien trop plaisir. Je ne dois pas être seule en ce monde, enfin, je ne pense pas... A moins que cela soit cela, l'au-delà ? Qu... Qu'est-ce que c'est ? Un long bonbon au caramel se trouvait sur le sol, enrobé d'un joli papier jaune poussin aux extrémités d'un rose fuschia.
Je me suis penchée pour le ramasser, cela m'intriguait de voir cela ici. Avant même que j'eusse le temps de l'effleurer, cette petite chose sucrée déploya deux ailes en caramel puis volant vers l'horizon qui s'étendait devant moi. Je me suis risquais à le suivre, rester ici n'était pas la meilleure solution.
Tu suis cette pauvre chose extrêmement étrange mais moi tu ne m'écoutes pas ? Je suis pourtant de bons conseils, malgré le fait que j'aimerais que tu disparaisses de ce monde dans d'incroyables souffrances. Enfin, après tout, tu es stupide, tu n'y peux rien je présume.
Cesse de rire bêtement ainsi ! Ta voix résonne dans mon crâne, cela me rend malade. Oh tiens, mais que vois-je s'étendre à l'horizon ? Une muraille rosée... Et la sucrerie était partie. Enfin, j'aurais peut être dû au moins la remercier.
Cette clôture rose semblait être sucrée et ressemblait à un petit nuage, comme de la barbapapa. Entre cette fille qui tombait du ciel, ce curieux personnage déguisé en canard qui s'était encastré sur le mur, ces étranges êtres cornus qui se ressemblaient, ce matou... Je ne savais plus où donner de la tête. Jusqu'à ce qu'un portail entra dans ma ligne de mire.
Je secouai légèrement ma robe qui était en lambeaux à cause des récents événements et, ni une, ni deux, je le traversa pour m'engouffrer dans cette bâtisse qui semblait être notre dernier espoir.
Oh mais que se passe-t-il ? Ma présence te déplaît ? Voyons. Ton monde s'effondre, tu n'es plus rien. Estimes-toi heureuse de ne pas être seule. Tu n'as plus qu'à te rouler en boule et pleurer en silence sur ton sort, pauvre idiote !
Oh non, cela te ferait bien trop plaisir. Je ne dois pas être seule en ce monde, enfin, je ne pense pas... A moins que cela soit cela, l'au-delà ? Qu... Qu'est-ce que c'est ? Un long bonbon au caramel se trouvait sur le sol, enrobé d'un joli papier jaune poussin aux extrémités d'un rose fuschia.
Je me suis penchée pour le ramasser, cela m'intriguait de voir cela ici. Avant même que j'eusse le temps de l'effleurer, cette petite chose sucrée déploya deux ailes en caramel puis volant vers l'horizon qui s'étendait devant moi. Je me suis risquais à le suivre, rester ici n'était pas la meilleure solution.
Tu suis cette pauvre chose extrêmement étrange mais moi tu ne m'écoutes pas ? Je suis pourtant de bons conseils, malgré le fait que j'aimerais que tu disparaisses de ce monde dans d'incroyables souffrances. Enfin, après tout, tu es stupide, tu n'y peux rien je présume.
Cesse de rire bêtement ainsi ! Ta voix résonne dans mon crâne, cela me rend malade. Oh tiens, mais que vois-je s'étendre à l'horizon ? Une muraille rosée... Et la sucrerie était partie. Enfin, j'aurais peut être dû au moins la remercier.
Cette clôture rose semblait être sucrée et ressemblait à un petit nuage, comme de la barbapapa. Entre cette fille qui tombait du ciel, ce curieux personnage déguisé en canard qui s'était encastré sur le mur, ces étranges êtres cornus qui se ressemblaient, ce matou... Je ne savais plus où donner de la tête. Jusqu'à ce qu'un portail entra dans ma ligne de mire.
Je secouai légèrement ma robe qui était en lambeaux à cause des récents événements et, ni une, ni deux, je le traversa pour m'engouffrer dans cette bâtisse qui semblait être notre dernier espoir.
- Spoiler:
- Pandore est arrivée et a traversé le portail pour s'engouffrer dans la base
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