[Bâtiment Vert - RDC] Couloirs

Precedemment:

L'attroupement de leur précédente visite derrière les portes massives avait disparu, ce qui soulagea le Dessinateur d'un poids conséquent. Non mais parce que partir en rageant et en traitant tout le monde de chair à canon, puis revenir comme une fleur, ça aurait été poil chaud à expliciter sans passer pour un abruti de bas étage.

Néanmoins, cela pouvait inclure l'objectif de la quête en cours, à savoir le bronzé Cyantifique.

Ohé du Cyantifique, vous êtes là ma douce ? On a moult questionnement de petit peuple, ô être omniscient et bienfaiteur.

Declama avec sa voix la plus mielleuse Médor à l'intention des alentours.

Aucun de ses givrés megalos ne résisterait à un tel appel langoureux.

Résumé :

Admirez notre magnificence ! ♥ Messages : 339 Date d'inscription : 08/06/2013

Quelques secondes passèrent, pendant lesquelles nulle voix ne vint faire écho à celle du loup. Soit le couloir était vide, soit l'accroche dénuée de sympathie n'avait pas donné à qui que ce soit de vous venir en aide.

À défaut de son collègue à la peau mate, ce fut un homme au chapeau qui apparut, aussi décontracté que d'habitude malgré l'ambiance hostile et la présence lupine.

« J'espère que vous ne cherchez pas encore l'infirmerie... » ironisa Dalton, alors qu'il s'approchait du duo avec son sourire Colgate et son sac à dos.

Il dévisagea les deux individus, comme pour répondre à sa propre question, puis enchaîna sans laisser le temps à ses interlocuteurs de répondre.

« Alors ? En quoi je peux vous aider ? »

La réponse était trop amicale pour ne pas être étrange. Suggérait-elle que Dalton n'avait pas compris, qu'il jugeait inutile de réagir aux critiques incessantes de Médor, ou qu'il était d'une certaine façon d'accord avec l'image qu'il se faisait des cyantifiques ? À vous d'en juger.

Eh oui, aussitôt parti du duo Onyx/Rosalina, Dalton va embêter d'autres dessinateurs..

Résumé:

"Euh... Je-"

...me fais interrompre par les gargouillis de mon estomac.

"Voilà."

Résumé:

Le Dessinateur resta muet devant l'intervention du Cow-boy, suspicieux.
Son intervention quelque peu moqueuse n'avait pas eu l'effet qu'il aurait dû avoir. Alors certes ça voulait que Médor avait tapé juste dans son affirmation, mais qu'il le dévoile si franchement en restait étonnant. Presque frustrant.

La demoiselle a faim, Sir.

Evoqua-t-il en écho aux gargouillements de l'estomac mécontent.

Et de manière plus global, si c'est pas trop abuser de votre temps, je serais très curieux de savoir comment on doit se sustenter ici. Question qui m'intéresse très personnellement... Et je ne pense pas avoir besoin d'expliciter en quoi cet aspect est plutôt important pour quelqu'un de mon genre.

Médor avait hésité à chaque instant à être bien plus irrespectueux avec le Cyantifique, mais son précédent échange lui avait durement montré pour son ego que tout n'était pas à jeter dans ces gens.

Et de fait, à part être parfois un peu hautain et nébuleux, il n'y avait pas grand chose à reprocher au final. Ils en savaient plus que les autres, donc autant en profiter. Averell-blond s'était ici montré dès son appel, et s'était montré très courtois. Il fallait avoir le bénéfice du doute. Les Cyantifiques restaient après tout des êtres humains, tout comme lui et son caractère... Particulier.

Bref, manger.

Résumé :

Admirez notre magnificence ! ♥ Messages : 339 Date d'inscription : 08/06/2013

Un rire léger fendit le visage de Dalton, et vous n'alliez pas tarder à en découvrir la raison.

« Juste ici. » déclara-t-il, pointant du doigt la grande porte qui menait au réfectoire, à quelques mètres - sinon moins - de vous.

Bien qu'il aurait suffi de s'en tenir à ces deux mots, le cyantifique décida de compléter :

« C'est là que vous trouverez la plus grande source de nourriture, et de quoi la préparer... Si ça ne suffit pas, il vous faudra explorer d'autres pièces. Hélas, nous ne connaissons pas assez cet endroit pour savoir lesquelles. C'est comme une chasse au trésor ! »

Les paroles ne collaient pas avec la situation dangereuse et incertaine que ses phrases suggéraient, mais il n'essayait pas de vous faire croire que tout cela avait quoi que ce soit d'amusant - pas avec la pointe d'ironie avec laquelle il avait ponctué sa dernière phrase.

Je jette un oeil légèrement perplexe à mon compagnon, en mode "tiens, c'est plus facile que ce que tu semblais dire", accompagne ce regard d'un haussement d'épaule et glisse un "merci" à notre salvateur.
Je me mets doucement en route vers les cuisines que Blondin nous indique, attendant que Rex m'accompagne.

Résumé:

Adeline lui jeta un regard, l'air de dire "T'as vu c'est simple quand on est gentil ! ", ce qui fit détourner le regard à Médor. Soit, ils étaient juste à côté du garde-manger.

Ne perdons pas de temps Lulu alors !

Et il lui emboîta le pas.

Juste avant de passer la porte, il se retourna un instant, machonnant un 'merci' entre ses dents serrées. Et il pénétra dans le réfectoire.

Résumé:

L'endroit ne payait pas trop de mine de prime, c'était la même chose partout en fait, mais au moins cela semblait sur. Le Triaire traversa les couloirs accompagné du cliquetis du métal qui le recouvrait et emprunta rapidement un escalier pour grimper au premier étage. Sa méfiance lui hurlait de sortir son glaive mais il se retint, il ne voulait pas se faire de nouveaux ennemis ou provoquer un incident.

Derrière Crevette, le gros chien qui venait de passer la porte du réfectoire, en compagnie d’une autre personne. Elle n’avait pas été inattentive à ce qui avait ressemblé à des marques de tendresse de celui-ci envers celle qui s’était prise un coup par l’inadvertance de Crevette, aussi celle-ci ne s’attarda pas, et se dirigea vers la pièce à sa gauche, supposément encore inexplorée.

Résumé:

EDIT MJ : Suite ici.

     En face de Crevette, la porte des toilettes. Elle y trouverait probablement du liquide, mais un pistolet à eau rempli d’eau, bien qui répondant parfaitement à sa fonction, était complètement inutile. À Gauche, le bâtiment bleu, à droite au fond, le réfectoire, et tout de suite à droite, un tout petit couloir, dans lequel il fallait se faufiler.
     En toute logique, il serait profondément idiot de permettre l’accès à un atelier, d’où des pièces mécaniques et du matériel devaient entrer et sortir en grandes quantités et régulièrement, grâce à un seul petit boyau où on pouvait à peine avancer à la queue leu leu. Or, ici, la nourriture était gardée au plafond, et on laissait traîner des outils de communication en attendant qu’ils soient ramassés par le premier venu. La pire solution pour n’importe qui d’un tant soit peu sensé serait donc probablement la meilleure pour les habitants de ce lieu.
     Avec un soupir, Crevette dégaina son sabre, et avança dans le couloir. Si on devait l’attaquer, elle n’aurait qu’à peine la place de sortir son arme de son fourreau.

Résumé:

Messages : 1044 Date d'inscription : 24/06/2012

En progressant dans le couloir, Crevette ne remarqua aucun changement particulier en termes d'ambiances. D'autres inscriptions, au contenu souvent difficile à lire, semblaient donner quelques indications cryptiques au sujet des différentes pièces qui s'y trouvait, ou simplement synthétiser les pensées fugaces d'un cyantifique de passage.

En termes de structure, un fin couloir - qui longeait la pièce identifiée comme étant la salle de repos - desservait tous les autres, sans qu'il semble y avoir une quelconque autre zone d'ombre. Le premier embranchement à droite donnait sur une petite allée saturée de petites portes ; trois parfaitement identiques - à un numéro près griffonné dessus - à gauche, faisant face à celle de droite, qui semblait avoir été maladroitement peinte en rose pour une raison inconnue.

En continuant plus loin dans le corridor principal, l'on débouchait dans un espace plus grand, comprenant un escalier en direction du premier étage, une porte verrouillée qui semblait donner sur l'extérieur et deux grandes portes, situées respectivement sur la droite et au fond.

Enfin, un mince embranchement situé entre les deux portes semblait déboucher sur une petite porte.

Nouvelle carte:

     Crevette s’arrêta devant la série de quatre portes. Elles étaient numérotées, ce devait donc s’agir de dortoirs. La Chambre rose attira sa curiosité. On avait voulu la faire ressortir des autres, pour une raison quelconque. Il faudrait voir plus tard quelle en était la raison.
     Quand le couloir s’élargit, elle s’arrêta devant la porte fermée, essayant de se souvenir de la structure générale du bâtiment. Ce devait être une des deux portes qui menaient dehors, qu’elle avait repéré quand elle était à l’extérieur. Et dont, en toute logique, la pièce adjacente devait être un garage, reconnaissable depuis l’extérieur à sa porte en rideau coulissant.
     Peut-être y avait-il un véhicule, à l’intérieur. Des outils. Des armes. Elle poussa la porte avec son pied, sabre toujours à la main, et prête à dégainer son pistolet-fumigène.

Résumé:

Suivie d’Effie, Crevette indiqua la porte de la salle de repos.
« C’est là. »

Résumé:

J'écoute, et j'hoche la tête. Je me souviens vaguement qu'elle avait parlé d'être paumée dans un autre monde. Et j'étais vraiment en colère après Lirmé de m'avoir ramené et de l'avoir laissé derrière. Un sac à dos? Bonne idée.

"Volontiers. Je ne sais pas qui à inventé ces vêtements mais c'est tout sauf pratique..."

Je la suis donc en écoutant ses explications. Un laboratoire à fouiller. Des armes, de la bouffe, elle s'attendait à une potentielle attaque. Le truc qu'elle veut réparer a des roues, pour se déplacer? Pourquoi ne pas fortifier le lieu? Surtout contre des trucs genre des tempètes? D'autres personnes. Des pamirs? La mention des survivants me fait penser au journal. Et elle ne semble pas en avoir une très bonne opinion. Quand aux vétérans... Mouais, elle s'en méfie. Ca se comprend. Y a plein de contes fleninghen qui racontent l'histoire de gamins qui suivent un gars sympa et qui finissent en brochette au diner...

"Les scientique, scientiste? Si j'ai bien compris le journal, complètement chelou, et aussi chtarbés que mon frangin? Et donc aussi dangereux. Et pourquoi vous restez pas ici, vous êtes plus en sécurité face à une... tempête? Ou alors c'est pas du tout du vent et de la pluie comme celle qu'à trempé la grange?"

Quand tu croise un mec en robe tout seul dans une foret maudite, soit très poli avec lui. Ca s'appliquerait bien à Kaizer ça. Je ne me souviens plus de l'exacte phrase, mais en gros l'idée c'est "s'il se balade en robe dans une foret c'est qu'il est assez puissant... et surement plus que toi." Elle me guide dans un couloir, on y croise des escaliers qui montent. vers l'atelier?

"T'as regardé en haut de l'escalier? Ca serait... J'sais pas logique?"

Par contre qu'on ne me demande pas la logique en question.

Résumé:

C'est sur. En même temps cet endroit est supposé être un laboratoire, non? Pas un endroit pour les enfants de base, donc. Je ne suis même pas sure que ce soit un univers pour les enfants, et pourtant on est 2 gamines, là (enfin, physiquement, mentalement, j'ai un gros doute). Ah oui, Mince.

"Humains!"

Je monte du coup les escaliers, et hésite un peu, le temps de me repérer. La grande grange est à droite, la pièce à gauche en est séparée, donc... Je dirai la porte en face. Je m'arrête cependant en haut des escaliers pour poser une autre question.

"Est-ce que les autres survivants sont des "enfants" comme nous?"

Spoiler:

     « Ben pourquoi tu dis pas juste humain. C’est quand-même plus commode d’utiliser les mêmes mots que tout le monde. Enfin bref. »
     Crevette la suivit dans les escaliers.
     « J’en ai vu une autre, mais on est plutôt une minorité, je dirais. »

Résumé:

Ouais bof. Une échelle génial. Elle la laissa à coté de la porte du garage et sortie dans le couloir sombre. Elle y était à son aise et se détendit quelque peu. Ses habitudes prirent le relais et elle adopta une autre posture, plus dangereuse. Le jeu des ombres sur son manteau et sa démarche souple pouvait presque donner l'impression qu'elle se mouvait dans les ombres.

Elle cessa de s'amuser en entendant les très légers échos d'une voix venant de l'escalier. Elle tenait les autres survivants. Elle grimpa les marches en vitesse.

Résumé:

Personnages : Lucas et Isolde Messages : 281 Date d'inscription : 14/04/2019

Vient des couloirs du RDC Bleu

Lucas était déjà fatigué d'avoir marché toute la journée, du combat contre le Plastigrade, de tous les escaliers et de sa mission dans la cafétéria et de toutes les émotions qu'il n'avait plus l'habitude de ressentir. Idéalement, il aurait peut-être été temps de faire une petite sieste, si seulement il aurait pu se le permettre. Il ne courrait pas aussi vite qu'il l'aurait voulu. Mais au moins, il avançait. Il tourna vers le nord après s'être rendu au réfectoire, se souvenant que le garage était tout au bout de la bâtisse. Il devait se rendre tout au fond... tout au fond et à sa droite, donc il fallait ignorer la grosse porte au fond à gauche.

Tient, une échelle... Lucas commença à cogiter sur comment il piégerait le tas de ferraille.

Résumé:

Le Triaire aurait pu facilement se perdre dans le bâtiment mais les actions du gamin avaient le bon goût de lui indiquer ou aller. Bien sur cela ne l'empêcha pas de tourner à un mauvais endroit mais les effets du gazage commençaient à disparaître pour de bon et d'ici quelques minutes il serait à nouveau propre comme un gibet.

Il vérifia rapidement que la porte qui donnait sur l'extérieur était verrouillé, ce qu'elle était, histoire d'éviter une fuite intempestive du gamin.

Puis, les mains toujours vide, il entra dans le garage par un grand mouvement ample décidé.

Résumé:

À peine sorti du réfectoire, Al scruta les environs à la recherche d'une guerre nucléaire. Ou à défaut d'une forme d'agitation.

RAS.

N'osant pas trop s'aventurer plus profondément dans le bâtiment vert, dans un inconnu qu'il redoutait, il emprunta une sentier plus familier, traversant la porte coupe-feu qui reliait ces couloirs à ceux du bâtiment bleu...

Résumé:

le Triaire se résolut à faire demi tour. Évitant de faire des folies il passa par le même chemin qu'à l'aller, pour ne pas faire de mauvaises rencontre. Dans son état il était hors de question de combattre encore. Une erreur ça va, persévérer dedans bonjour les dégâts.

Sa fatigue se ressentait aussi durement dans sa jambe de métal. Sa démarche était devenue erratique, lourdaude. De base il n'avait que très très peu de sensations et des nerfs endommagés dans la jambe et le pied, source principale de son handicap au final, mais la il ne sentait plus rien et devait aborder chaque pas avec une certaine précaution.

Cahin cahan dans la pénombre ambiante il poussa finalement la porte coupe feux qui menait au bâtiment bleu

Résumé:

     Alors qu’elle passait la porte, voilà qu’Agate tomba nez à nez sur… un grand baraqué en un espèce de costume traditionnel européen qu’elle n’arrivait pas clairement à identifier.
     Ceci dit, le précédent ne s’était pas inquiété de voir une femme enceinte menottée, Agate devait être tombée en plein bal costumé. Pour une raison qui lui échappait – un souvenir des cours d’histoire qu’elle ne suivait pas, peut-être –, elle pensa à la phrase suivante ; « À Rome, fait comme les Romains. » et continua son chemin, espérant passer ainsi au culot.
     « Pardon, je vais par là, merci. »

Résumé:

Si le Triaire avait pu pousser un « eh meeeeeerde » il l'aurait fait. Déjà qu'il était pas frais maintenant il devait se taper une nouvelle arrivante, enceinte, menottée, et inconsciente visiblement. La réaction normale aurait été d'avoir peur de lui, au moins. Bon tant pis et il décida de se coltiner Agate.

« Non. Ce n'est pas encore sûr dans cette aile. Venez avec moi en haut, il y a une autre survivante qui pourra vous aider. »

Un déclic eu lieu dans sa tête de fer et de rouages. « Vous êtes menottée, qui vous pourchasse ?! Où sont ils !? » Il regarda derrière la jeune femme, une main désormais posée sur son glaive. Il ne fallait surtout pas que les poursuivants entrent dans le bâtiment.

Résumé:

     S’éloigner de la source de nourriture la plus proche ? Pas question ! Agate essaya de mettre son cerveau en marche pour se débarrasser de cette andouille, trouver une excuse, une raison pour l’envoyer paître, et, attendez, comment ça, une aile pas encore sûre ? Il y avait besoin de sécuriser ce bâtiment ? Il faisait partie de ceux chargés de sécuriser ce bâtiment ? Dans cette tenue ? Agate se demanda si elle n’était pas tombée en plein JDRGN. Un JDRGN qui se déroulerait en Enfer, vu le décor extérieur.
     Avant qu’elle n’ait pu faire le tri dans son cerveau entre les constatations sur l’absurde de l’Esquisse – qui étaient à son intellect déjà bien grippé ce que le tartre est aux canalisations – et des pensées plus pratiques et à portée immédiate, comme comment lui fausser compagnie, il embraya en en rajoutant une couche.
     Cela faisait trop de questions d’un coup, trop d’informations balancées. Voilà qu’en plus il avait sorti un glaive – et pas une réplique en mousse, un engin même plutôt bien affûté –, et qu’il semblait craindre qu’elle ait amené des hostiles ici. Ce qui signifiait que cette éventualité était plausible. Sentant ses forces l’abandonner complètement, Agate s’effondra dans les bras du Triaire, essayant de se retenir à lui tant bien que mal à son corps, ce qui, vu la disposition de ses mains, était loin d’être commode.
     « Emmène-moi juste au réfectoire manger et boire un coup… Plus tard les questions… »
     Quelle pitié, que de devoir implorer un boiteux croisé au détour d’un couloir. Elle aurait encore préféré demander de l’aide au gosse, tiens, au moins il parlait peu et allait droit à l’essentiel.

Résumé:

Le Triaire eu juste le temps de rattraper Agate et réussit à peu près. A voir son état elle était choqué. Peut être une nouvelle arrivante ? Ou alors l'effet du traumatisme qu'elle avait subit. Il rangea son glaive, à priori personne ne se pointait et fallait être naze pour laisser filer une femme enceinte, et put prendre Agate correctement dans ses bras.

Elle était plus lourde que Isolde, mais être soldat c'est savoir réceptionner les emmerdes, enfin lui il avait pas ce genre de pensées, il se contentait de faire ce qu'il faisait.
Son passé de chef de char ressurgit dans ses actes.
« Tout va bien je suis un soldat, je vais m'occuper de vous. Je vais vous amener en lieu sûr et chercher de la nourriture et de l'eau. ». Comme avec Isolde, rassurer, contrôler le stress. « Maintenant vous êtes en sécurité avec moi. ». Sans lui demander son avis, qu'il n'aurait pas écouté de toute façon, il fit faire demi tour et se dirigea vers l'escalier pour grimper vers le 1er étage vert. Comme à chaque fois sa logique froide l'amenait à prendre des décisions sans tenir compte des envies, logiques, légitimes ou non des autres.

Résumé: