Supermarché lambda du centre commercial [Libre]
Invité
Invité
Dim 17 Avr - 21:40
De mon bras à la main rougie, de mes muscles encore valides, je m’appuyais sur le rebord d’un rayon où quelques rares garnitures attirant mon œil tentèrent de me grignoter les doigts, sans réussite. Succulentes, elles se devaient de l’être… Mais là n’était plus le temps au goûter d’une nourriture ravivant le palais, s’il était un acte à réaliser maintenant, il en était de conserver mon sourire.
Sourire, que pouvais-je faire d’autre ?
Mon aile enveloppait la récolte extérieure, celle dont les veines roses étaient emplies de sucres, un ensemble de gâteries indissociables de leurs semblables par la vue, mais pourtant reconnaissables par leur capacité à faire fondre les papilles dans un sens des plus littéral. Emplies de Serge, d’une mixture gâchée, leur rôle était tel que nous l’avions prédit : répandre le sucre.
Elles étaient cinq, aussi splendides les unes que les autres, toutes emballées et prêtes à être cueillies…
En premier venait un gâteau en trois couches, fraise, vanille, fraise, recouvert d’une coque de chocolat blanc polie et de quelque fruit qu’il ne me semblait pas connaître… Il en était d’ailleurs une honte que ne puisse en goûter la chair ! Si j’avais pu choisir la part à courser quelques jours plus tôt, aux abords de la ville, j’aurais préféré une part de celui-ci… Mais qui pouvait se plaindre d’un gâteau au chocolat ?
En second se trouvait une sucette plate et partiellement malléable, au diamètre respectable. Aussi digne de son espèce qu’elle aurait dû l’être, elle possédait cependant une couleur noirâtre, et pourtant toujours aussi attrayante, rappelant les mûres, ou une touche de réglisse. Combien de cercles traçait-elle ? Peut-être bien cinq, ou dix… ?
Je donnais un faible coup d’index sur l’un des muffins échappé de son emballage qui tentait de me mordiller le doigt sur l’étalage, fronçant les sourcils d’un geste bref sous la faible impulsion de douleur qui s’échappa de ce geste.
Sourire, toujours sourire…
En troisième, une simple madeleine aux couleurs de violette, certainement aux myrtilles. Elle bougeait encore, de telle manière que je pouvais la sentir sous mon aile, et qu’une plume de celle-ci alla tomber au sol sans que je ne puisse prendre le temps de la ramasser, la main toujours posé contre ce même étage du même rayon, avec les mêmes gâteries en vue, ces muffins, ces deux muffins qui s’étaient échappés.
Ils répondaient à nouveau, tentant encore de s’en prendre à mon doigt que je laissais immobile, tout comme mon regard qui se fixait sur eux, ces pauvres petits gâteaux à l’air si succulent. N’étaient-ils pas adorables, agissant ainsi… ?
« A croquer… »
De mon index et de mon majeur, je les poussais à nouveau, crispant ma main une fois ce geste réalisé.
En quatrième, un met à l’odeur de viande, très certainement un poulet en vue de son apparence, maintenant fourrée à la mixture de sucre. Il avait gambadé avec force, quelques temps plus tôt, mais un poulet ne pouvait vaincre un canard à la course !
…
Je me demandais, une seconde fois…
Quel chemin avait-il emprunté ? Mon opposé, ou son inverse ? S’en était-il dirigé vers les larmes, ou les avait-il fuit, tout comme je venais de le faire suite à nos secondes retrouvailles qui suivirent notre récolte ?
Le canard savait, mais pas lui, pas Thalès, il n’avait aucune raison de fuir… N’est-ce pas ?
Je souriais encore aux muffins, rare nourriture encore présente en ces lieux, les admirant, persévérants, sans cesse, dans le simple but d’obtention de mon doigt abimé.
Je leur lançais un sourire qui l’était tout autant.
Pour cinquième met, un muffin, récemment ôté à ses deux compères.
Je lâchais le bord du rayon, ressentant toute la friction du geste au sein de ma main.
J’amenais cette main à mes lèvres, les essuyant du dos de celle-ci, ce pour remarquer de mes yeux cernés une faible trace rouge s’y former. Très certainement les conséquences des sixièmes et septièmes gâteries, toutes deux emportées par l’envie et la gourmandise…
…
Je n’étais pas idiot. Je ne le suis pas plus maintenant.
J’ai croqué à pleines dents dans un carré de sucre…
Sourire, que pouvais-je faire d’autre ?
Sourire, et répandre le sucre.
Alors, j’entrepris de continuer mes pas dans le rayon, ce afin de déposer les gâteries là où elles seraient visibles au mieux : à l’entrée que je n’avais pas empruntée, ayant préféré une sortie de secours à l’entente du bruit environnant.
Ma main endommagée par la brûlure se frottait aux éventaires comme pour me soutenir, et je m’armais, comme toujours, de mon plus beau sourire.
Un sourire cachant des organes brûlants sous l’effet de la mixture, un sourire aux lèvres teintées, par endroits, d’un fluide reproduisant à la perfection la couleur d’une fraise des plus succulentes…
…
Aurais-je faim ?
- Résumé:
- Etant arrivé par la porte de secours du centre suite à la recherche de nourriture orchestrée avec Thalès, Tee se trouve en plein milieu du même centre commercial dans le rayon "quatre heure", cherchant à déposer la nourriture empoisonnée récoltée plus tôt aux alentours de l'entrée du centre, mais... il semblerait qu'il ait aussi consommé deux de ses mets empoisonnés...
Invité
Invité
Mar 19 Avr - 23:36
La tête relevée, les cernes marquées, je pouvais voir le bout approcher, le fond du rayon, enfin, à portée. Mon aile commençait à peser, ma main, brûlante, ressentait comme un puissant courant la parcourir à chaque contact avec les étalages ; il en aurait semblé tel que l’attaque si appétissante des muffins avait finalement porté ses fruits au sein de morsures anodines et indolores…
La madeleine ne souhaitait en rien mettre un terme à ses mouvements, ma vue ne voulait cesser de se distordre, et mon estomac, maintenant victime de la mixture dont le goût fut si agréablement porté par les gâteries, était sujet à sa pénitence sucrée. Et pourtant, je ressentais comme un arrière-goût d’amertume… Aurais-je dû l’ingérer par le biais d’une autre gâterie ? Peut-être aurais-je pu m’en prendre au gâteau aux multiples étages, pour pouvoir en dévorer le fruit si exotique…
Non, un tel choix aurait été porté par la déraison… Le fruit avait beau sembler au goût des plus particuliers, la pâtisserie sur laquelle il trônait ne possédait pas la même originalité, bien que tout aussi appétissant à mon goût !
Mon sourire s’élargissait sous l’entente d’une telle pensée. J’avais bel et bien toujours aussi faim !
…
Malgré mon oreillette écrasée quelques minutes plus tôt sous le poids de ma chaussette droite, je pouvais toujours les entendre, sachant qu’ils n’étaient plus rien qu’une illusion similaire à l’effet d’une glace mangée avec une trop grande ardeur, un froid glacial s’emparant de l’encéphale sous la chaleur écrasante d’un soleil disparu.
Ses pleurs ?
…
J’atteignais enfin la bout de cet interminable rayon, et apparaissant devant moi, les caisses en piteux états sur lesquelles devaient dérouler les articles achetés un à un, dignes de cet autre monde. Je vins à m’appuyer contre l’une d’entre elles qui semblait faite d’une matière proche du polystyrène, et certainement, quelques mètres plus loin, après quelques boutiques annexes, se trouvait l’entrée principale même du bâtiment.
… Y avait-il une seconde mort, dans la « seconde vie » ?
Une question bien idiote comparée à toutes celles que j’avais pu me poser par le passé, mais qui en un tel moment ne put m’échapper. L’entrée, pour moi sortie, s’en trouvait bien trop éloignée, alors, maintenant… Que pouvais-je faire d’autre que de me poser tel le canard au bord de son étang, et penser ?
Ma main ayant atteint ma poche, je m’emparais du bout des doigts de ma fourchette dont le fer me semblait chauffé à blanc, et déployais mon aile au-dessus de la caisse de polystyrène pour y déposer tous les mets que j’avais transporté si précieusement en ces lieux.
Puis, d’un coup violent, je plantais la fourchette dans la madeleine, ce afin de la sceller au polystyrène, qu’elle reste définitivement immobile.
« ... »
Les canards régissent-ils vraiment ce monde ?
« ... »
...
« Le canard aime-t-il le canard ? »
La madeleine ne souhaitait en rien mettre un terme à ses mouvements, ma vue ne voulait cesser de se distordre, et mon estomac, maintenant victime de la mixture dont le goût fut si agréablement porté par les gâteries, était sujet à sa pénitence sucrée. Et pourtant, je ressentais comme un arrière-goût d’amertume… Aurais-je dû l’ingérer par le biais d’une autre gâterie ? Peut-être aurais-je pu m’en prendre au gâteau aux multiples étages, pour pouvoir en dévorer le fruit si exotique…
Non, un tel choix aurait été porté par la déraison… Le fruit avait beau sembler au goût des plus particuliers, la pâtisserie sur laquelle il trônait ne possédait pas la même originalité, bien que tout aussi appétissant à mon goût !
Mon sourire s’élargissait sous l’entente d’une telle pensée. J’avais bel et bien toujours aussi faim !
…
Malgré mon oreillette écrasée quelques minutes plus tôt sous le poids de ma chaussette droite, je pouvais toujours les entendre, sachant qu’ils n’étaient plus rien qu’une illusion similaire à l’effet d’une glace mangée avec une trop grande ardeur, un froid glacial s’emparant de l’encéphale sous la chaleur écrasante d’un soleil disparu.
Ses pleurs ?
…
J’atteignais enfin la bout de cet interminable rayon, et apparaissant devant moi, les caisses en piteux états sur lesquelles devaient dérouler les articles achetés un à un, dignes de cet autre monde. Je vins à m’appuyer contre l’une d’entre elles qui semblait faite d’une matière proche du polystyrène, et certainement, quelques mètres plus loin, après quelques boutiques annexes, se trouvait l’entrée principale même du bâtiment.
… Y avait-il une seconde mort, dans la « seconde vie » ?
Une question bien idiote comparée à toutes celles que j’avais pu me poser par le passé, mais qui en un tel moment ne put m’échapper. L’entrée, pour moi sortie, s’en trouvait bien trop éloignée, alors, maintenant… Que pouvais-je faire d’autre que de me poser tel le canard au bord de son étang, et penser ?
Ma main ayant atteint ma poche, je m’emparais du bout des doigts de ma fourchette dont le fer me semblait chauffé à blanc, et déployais mon aile au-dessus de la caisse de polystyrène pour y déposer tous les mets que j’avais transporté si précieusement en ces lieux.
Puis, d’un coup violent, je plantais la fourchette dans la madeleine, ce afin de la sceller au polystyrène, qu’elle reste définitivement immobile.
« ... »
Les canards régissent-ils vraiment ce monde ?
« ... »
...
« Le canard aime-t-il le canard ? »
- Résumé:
- Arrivant jusqu'aux caisses, Tee dépose ses mets empoisonnés sur l'une d'entre elles semblant faite de polystyrène, plantant sa fourchette dans la madeleine pour l'empêcher de bouger.
Invité
Invité
Mer 20 Avr - 17:12
Sur les contours de la glace coulante était déposée la saleté, tentant vainement d’y échapper, si peu qu’elle ne soit pas déjà engouffrée sous la mélasse rosée. Le gourmet ne peut qu’admirer, s’en jouer, tandis que dans la panique, la saleté pense agir, mais subit.
Il n’est pas de canard libre tant qu’il est une glace, et il sera une glace tant que le bol persistera. Alors qu’est vraiment le canard, ses ailes engourdies dans un mélange sucré aussi bien noir que rose ? Que pensait-t-il pouvoir accomplir, ses lèvres teintées de cerise, ses yeux cernés par le réglisse ? Que pouvait-il seulement réaliser ?
Que peut le vilain petit magret ?
Ne peut-il pas leur faire ouvrir les yeux, leur faire comprendre ? Si… Si, il le peut, il l’avait déjà fait.
Ne l’avais-je pas moi-même compris, finalement ?
Je ne l’avais pas vu, avant de l’entendre.
Le fruit est corrompu par l’amertume.
Comment pourrais-je fermer les yeux face à ses pleurs, comment ne pourrais-je y voir clair, sous les brûlures de la mixture ?
Une fraise, mon fruit.
Je le savais, l’avais su depuis bien longtemps, mais seulement quelques instants avant d’ingérer la mixture, je l’avais réalisé dans un instant de lucidité.
J’ai toujours adoré le goût pétillant et sucré des fraises…
…
Alors pourquoi courir après une fraise rongée par cette pourriture amère ?
…
J’ai été aveugle, et encore maintenant, je le suis, installé avec faiblesse contre la caisse de polystyrène d’un centre commercial délirant. Malgré ma clarté d’esprit, je ne peux m’empêcher de les voir, de les entendre.
Sourire, toujours sourire !
De mes dents dévoilées par mon rictus, j’arrachais avec violence plusieurs de mes plumes de réglisse maintenant accompagnées de cerise, laissant mon front posé contre le bord de la caisse. Mes jambes m’avaient lâché, et ainsi posté, je me tenais à genoux, la tête appuyée contre cette étrange matière, mon aile à terre.
Mes mets de sucre étaient tous là, entreposés au-dessus de moi, je savais au moins cela accompli, mon dernier festin réussi.
J’attrapais de ma main l’une des plumes, laissant les autres rejoindre mon aile dans une chute aléatoire. Leur goût était toujours aussi agréable…
J’en vins à mâchouiller le bout de celle que j’avais conservé entre mes doigts, lui offrant ainsi une encre rouge, fruitée.
...
Quatre, quatre simples mots devaient être écrits de ma plume, mais... La goutte d'un sirop au goût des plus salés vint se heurter au coin de mes lèvres.
Avais-je subitement cessé de sourire ?
...
« Tee... aime-t-il le chocolat ? »
- Résumé:
- Maintenant genoux à terre, la tête appuyée contre la fameuse caisse et une de ses plumes en main, Tee s'apprête à écrire quatre mot, marquant cependant une pause.
Invité
Invité
Jeu 21 Avr - 22:39
Ce furent les derniers mots que je pu prononcer en ce monde.
De toute manière, quel intérêt avais-je encore à parler ?
Quelles pensées avais-je encore à exprimer, sans auditoire ?
Autant qu’un canard pouvait en avoir : une infinité.
Mais, que pouvait bien vouloir dire un canard, sans canne ni caneton à protéger ?
Quels mots avait-il à faire partager ?
…
En aucun cas les siens.
Le sucre coagulait, ma mâchoire s’écrasait contre elle-même, et je tenais fébrilement ma plume d’un noir profond de la main droite, fixant de mes yeux la pointe teintée de rouge et posée contre la paroi sur laquelle reposait mon crâne.
Quatre mots.
Me forçant à oublier le goût salé que je venais d’expérimenter, je commençais à tracer les courbes dessinant les lettres, laissant s’échapper un sourire à leur lecture.
Cela fait, je me décalais de mon écrit, décidant d’aller m’installer douloureusement jambes à terre et dos contre la caisse voisine, ma cravate enfin complètement dénouée jetée à mes côtés.
Fatigué, je jouais tout de même de mes doigts avec la fourchette que j’avais pris le temps de récupérer, avec à son bout la madeleine qui ne cessait de gigoter.
J’avais… Toujours faim.
En proie à la paresse, à la gourmandise sans égale, et l’envie que tout cesse, dans un dernier geste, j’amenais à mes lèvres la gâterie, en ingérant une ultime bouchée.
…
Ah… ?
…
Le goût me rappelait un instant passé au sein d'une mixture violacée, un instant au cours duquel seuls les sens du goût et de la faim m'étaient encore accessibles.
…
Mais, maintenant...
Maintenant, plus aucun ne l'était.
De toute manière, quel intérêt avais-je encore à parler ?
Quelles pensées avais-je encore à exprimer, sans auditoire ?
Autant qu’un canard pouvait en avoir : une infinité.
Mais, que pouvait bien vouloir dire un canard, sans canne ni caneton à protéger ?
Quels mots avait-il à faire partager ?
…
En aucun cas les siens.
Le sucre coagulait, ma mâchoire s’écrasait contre elle-même, et je tenais fébrilement ma plume d’un noir profond de la main droite, fixant de mes yeux la pointe teintée de rouge et posée contre la paroi sur laquelle reposait mon crâne.
Quatre mots.
Me forçant à oublier le goût salé que je venais d’expérimenter, je commençais à tracer les courbes dessinant les lettres, laissant s’échapper un sourire à leur lecture.
Cela fait, je me décalais de mon écrit, décidant d’aller m’installer douloureusement jambes à terre et dos contre la caisse voisine, ma cravate enfin complètement dénouée jetée à mes côtés.
Fatigué, je jouais tout de même de mes doigts avec la fourchette que j’avais pris le temps de récupérer, avec à son bout la madeleine qui ne cessait de gigoter.
J’avais… Toujours faim.
En proie à la paresse, à la gourmandise sans égale, et l’envie que tout cesse, dans un dernier geste, j’amenais à mes lèvres la gâterie, en ingérant une ultime bouchée.
…
Ah… ?
…
Le goût me rappelait un instant passé au sein d'une mixture violacée, un instant au cours duquel seuls les sens du goût et de la faim m'étaient encore accessibles.
…
Mais, maintenant...
Maintenant, plus aucun ne l'était.
Decade, uhopjistub, eogryusz, weapx.
FAIM.
- Résumé:
- Pour derniers actes, Tee laisse un mystérieux message avant de croquer à pleine dents au sein de la madeleine, se laissant ainsi partir sous l'effet de la mixture, adossé contre une caisse adjacente...
Invité
Invité
Lun 25 Avr - 0:48
Sur une caisse d'un supermarché à quelques dizaines de pas suivant l'entrée d'un immense centre commercial se trouvaient quatre mets entreposés, rare nourriture, s'il en était... Rare nourriture morte, tout du moins.
Un gâteau en trois étages, un poulet dodu, une sucette noirâtre, et un muffin décédé, que pouvez-vous imaginer de mieux ici-bas ?
...
Aux côtés de cette même caisse, cependant, jonchaient un tas de vêtements ainsi qu'un grand nombre de plumes à l'étrange goût de réglisse... Non seulement cela, mais aussi pouvait-on remarquer une madeleine violacée entamée, transpercée avec violence par une fourchette argentée...
Quelque chose rôderait-il, arpentant les magasins du centre commercial... ?
Un gâteau en trois étages, un poulet dodu, une sucette noirâtre, et un muffin décédé, que pouvez-vous imaginer de mieux ici-bas ?
...
Aux côtés de cette même caisse, cependant, jonchaient un tas de vêtements ainsi qu'un grand nombre de plumes à l'étrange goût de réglisse... Non seulement cela, mais aussi pouvait-on remarquer une madeleine violacée entamée, transpercée avec violence par une fourchette argentée...
Quelque chose rôderait-il, arpentant les magasins du centre commercial... ?
Contenu sponsorisé
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum