[Réserve d'armes top secrète] SOS, précieux battus.
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Lun 22 Fév - 22:39
« … Je suppose que c'est son fonctionnement normal. » répondit Al avec une mine proche de la grimace. Très. Proche. Arme esquisséenne, j'aurais dû m'y attendre.
À vrai dire, il était d'abord passé par la surprise, sinon la panique, lorsque le Glueur s'était enfin mis en marche. Un vrai mélange entre un pot de colle et une sorte de… tronçonneuse, probablement ? Il fallait en tout cas avoir des mains solides pour tenir cet objet sans le faire trembler - et surtout pouvoir s'en sortir. Exit donc la majorité des habitants de la Base.
« Tant qu'à faire, il faudrait que nous confiions ces deux armes à ceux qui en aurons besoin. »
Donc les guerriers. Si tant est qu'ils soient un minimum compétents, et cela avait créé quelques doutes dans l'esprit du matheux qui avait toujours eu une foi inébranlable en ses camarades. Mais c'était tout aussi stupide de laisser de telles armes dans le placard, sachant qu'on avait parfois du mal à trier l'utile et l'inutile dans l'armurerie.
Après avoir - quelque peu - peiné à éteindre le glueur, il soupira brièvement.
On enchaine.
Il reposa provisoirement le Glueur à rotation frénétique sur son socle, puis alla coller ses pauvres mains que la vitrine qui renfermait l'éventeur à soda. Sûrement une nouvelle arme à la logique douteuse. Pendant qu'il soulevait délicatement le verre, il plaisanta comme cela lui arrivait de temps en temps :
« Les paris sont ouverts. Un ventilateur qui convertit le soda en bourrasques de vent, ou qui envoie des rafales de coca destructrices sur l'ennemi ? Un objet qui rote… ? »
Toutes ces perspectives massacraient bien entendu les lois de la chimie. Et de la physique.
Et son esprit déjà en pleurs de scientifique en herbe.
À vrai dire, il était d'abord passé par la surprise, sinon la panique, lorsque le Glueur s'était enfin mis en marche. Un vrai mélange entre un pot de colle et une sorte de… tronçonneuse, probablement ? Il fallait en tout cas avoir des mains solides pour tenir cet objet sans le faire trembler - et surtout pouvoir s'en sortir. Exit donc la majorité des habitants de la Base.
« Tant qu'à faire, il faudrait que nous confiions ces deux armes à ceux qui en aurons besoin. »
Donc les guerriers. Si tant est qu'ils soient un minimum compétents, et cela avait créé quelques doutes dans l'esprit du matheux qui avait toujours eu une foi inébranlable en ses camarades. Mais c'était tout aussi stupide de laisser de telles armes dans le placard, sachant qu'on avait parfois du mal à trier l'utile et l'inutile dans l'armurerie.
Après avoir - quelque peu - peiné à éteindre le glueur, il soupira brièvement.
On enchaine.
Il reposa provisoirement le Glueur à rotation frénétique sur son socle, puis alla coller ses pauvres mains que la vitrine qui renfermait l'éventeur à soda. Sûrement une nouvelle arme à la logique douteuse. Pendant qu'il soulevait délicatement le verre, il plaisanta comme cela lui arrivait de temps en temps :
« Les paris sont ouverts. Un ventilateur qui convertit le soda en bourrasques de vent, ou qui envoie des rafales de coca destructrices sur l'ennemi ? Un objet qui rote… ? »
Toutes ces perspectives massacraient bien entendu les lois de la chimie. Et de la physique.
Et son esprit déjà en pleurs de scientifique en herbe.
- Spoiler:
Résumé : Al se plaint des armes esquisséennes et de la Base. Puis il éteint rapidement le glueur avant d'aller récupérer l'autre arme de la pièce, sur laquelle il propose de spéculer.
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Sam 12 Mar - 23:36
« Je pencherai plutôt pour un un ventilateur qui envoie des rafales de coca destructrices sur l'ennemi… ça me semblerait plus… Non. Mais c'est ce qui me vient à l'esprit. »
Quant à la personne compétente…
« Pour les proposer voir avec Cydna ou Anna ? Voir ce qu'elles font comme rôles… Ce sont les plus compétentes je dirais… Si un jour tous les guerriers se réunissent. »
En le voyant s'approcher de la prochaine boite, vous vous éloignez de lui, en évitant l'autre couvercle encore à terre.
« Et après ça ? Tu veux aller au dessus pour voir la situation générale de la base et la ville ? Tu n'as peut-être pas tout vu hier et je t'avoue que je n'ai vu que très peu de choses ce matin pendant la réunion. »
Autant dire que vous n'avez rien vu, trop concentré sur les paroles du Cyantifique pour réellement vous rendre compte de ce qu'il se passe autour. Vous ne vouliez pas oublier les informations précieuses qu'ils ont donné, et surtout sonder qui ils étaient réellement. Verdict ? Vous ne savez pas tellement. Par essence, vous vous méfiez, mais cet endroit a besoin d'eux et vous le savez. Voir les ravages, voir ce qu'il en est, l'état de ce monde que vous avez connu depuis si longtemps. Constater à nouveau la déchéance de cette œuvre qui vous a enfermé dans votre création.
Quant à la personne compétente…
« Pour les proposer voir avec Cydna ou Anna ? Voir ce qu'elles font comme rôles… Ce sont les plus compétentes je dirais… Si un jour tous les guerriers se réunissent. »
En le voyant s'approcher de la prochaine boite, vous vous éloignez de lui, en évitant l'autre couvercle encore à terre.
« Et après ça ? Tu veux aller au dessus pour voir la situation générale de la base et la ville ? Tu n'as peut-être pas tout vu hier et je t'avoue que je n'ai vu que très peu de choses ce matin pendant la réunion. »
Autant dire que vous n'avez rien vu, trop concentré sur les paroles du Cyantifique pour réellement vous rendre compte de ce qu'il se passe autour. Vous ne vouliez pas oublier les informations précieuses qu'ils ont donné, et surtout sonder qui ils étaient réellement. Verdict ? Vous ne savez pas tellement. Par essence, vous vous méfiez, mais cet endroit a besoin d'eux et vous le savez. Voir les ravages, voir ce qu'il en est, l'état de ce monde que vous avez connu depuis si longtemps. Constater à nouveau la déchéance de cette œuvre qui vous a enfermé dans votre création.
- Résumé :
- Imogen s'éloigne de la deuxième vitrine puis lui propose d'aller sur le toit quand ils auront finis de contrôler les armes.
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Dim 13 Mar - 0:52
« Tu allais parler de logique ? »
Définitivement. En larme. Effondrés. Mais il fallait avouer que ce genre d'expression prenait vite un sens comique dans un tel monde.
« Sinon, si les guerriers calquent leur organisation sur la notre, permets-moi d'être pessimiste. »
Enfin, pour le coup, comme l'avait déjà démontré la discussion précédente, Al savait fait preuve de pessimisme avec ou sans autorisation et n'hésitait pas à le rappeler à son entourage - pour le plus grand plaisir de celui-ci.
Pour ce qui était de l'arme en question, il l'examina en moins de temps qu'il n'en avait pris pour le Glueur, dans une vaine tentative d'en comprendre les mécanismes sordides. À vrai dire, au vu du danger potentiel que pouvait représenter ce ventilateur (...), et compte-tenu du fait que le soda n'était pas fourni, ils allaient devoir repasser pour la démonstration. Si projections il y avait, cela devrait de toute façon s'opérer à l'extérieur ; inutile de casser un mur de plus dans la Base.
Après en avoir fait part à son acolyte, il se permit de répondre à sa question.
« Pourquoi pas, je n'ai en effet pas eu l'occasion de voir l'ampleur du chantier. »
Et d'ajouter, pendant qu'il reposait la machinerie :
« Il faut dire que c'était un évènement, ce matin. Si je devais utiliser une référence de culture populaire, je te demanderais si tu as connu les power rangers. »
Mais mon égo souffre trop pour le faire.
Déjà qu'ils ont réuni en un discours plus de mondes qu'à toutes les réunions de la base compilées...
« Sur un plan purement scientifique, marmonna-t-il sans y faire gaffe, je me demande qui de celui qui parlait ou de toi possède le moins d'expression… »
Tout d'un coup, plus personne ne chercha à comprendre pourquoi la délicatesse d'Al n'atteignait pas le coeur de ses congénères humains. Mais sans doute était-ce simplement parce que le vide, surtout affiché sur les visages, lui collait toujours un malaise que l'ambiance et les circonstances avaient du mal à enlever.
Au sommet de la Base, il allait avoir le vertige, n'est-ce pas ?
Définitivement. En larme. Effondrés. Mais il fallait avouer que ce genre d'expression prenait vite un sens comique dans un tel monde.
« Sinon, si les guerriers calquent leur organisation sur la notre, permets-moi d'être pessimiste. »
Enfin, pour le coup, comme l'avait déjà démontré la discussion précédente, Al savait fait preuve de pessimisme avec ou sans autorisation et n'hésitait pas à le rappeler à son entourage - pour le plus grand plaisir de celui-ci.
Pour ce qui était de l'arme en question, il l'examina en moins de temps qu'il n'en avait pris pour le Glueur, dans une vaine tentative d'en comprendre les mécanismes sordides. À vrai dire, au vu du danger potentiel que pouvait représenter ce ventilateur (...), et compte-tenu du fait que le soda n'était pas fourni, ils allaient devoir repasser pour la démonstration. Si projections il y avait, cela devrait de toute façon s'opérer à l'extérieur ; inutile de casser un mur de plus dans la Base.
Après en avoir fait part à son acolyte, il se permit de répondre à sa question.
« Pourquoi pas, je n'ai en effet pas eu l'occasion de voir l'ampleur du chantier. »
Et d'ajouter, pendant qu'il reposait la machinerie :
« Il faut dire que c'était un évènement, ce matin. Si je devais utiliser une référence de culture populaire, je te demanderais si tu as connu les power rangers. »
Mais mon égo souffre trop pour le faire.
Déjà qu'ils ont réuni en un discours plus de mondes qu'à toutes les réunions de la base compilées...
« Sur un plan purement scientifique, marmonna-t-il sans y faire gaffe, je me demande qui de celui qui parlait ou de toi possède le moins d'expression… »
Tout d'un coup, plus personne ne chercha à comprendre pourquoi la délicatesse d'Al n'atteignait pas le coeur de ses congénères humains. Mais sans doute était-ce simplement parce que le vide, surtout affiché sur les visages, lui collait toujours un malaise que l'ambiance et les circonstances avaient du mal à enlever.
Au sommet de la Base, il allait avoir le vertige, n'est-ce pas ?
- Spoiler:
Résumé : Al répond en plein de phrases juste pour critiquer les autres et en glisse même une à Imogen.
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Dim 13 Mar - 1:33
« Sinon, si les guerriers calquent leur organisation sur la notre, permets-moi d'être pessimiste. »
D'un hochement de tête, vous lui concédez ce point, ignorant totalement qu'il ait vu juste sur le mot « logique ».
Après avoir examiné la bête, Al souligna un détail que vous ne pouviez pas voir avec votre taille : le fait que l'arme n'est pas chargée. Quant à la dangerosité, vous vous dites rapidement que ce raisonnement aurait dût être fait aussi pour la première arme, mais vous préférez ne pas souligner ce fait et écouter ce qu'Al avait à dire à propos du matin même.
« Il faut dire que c'était un événement, ce matin. Si je devais utiliser une référence de culture populaire, je te demanderais si tu as connu les power rangers. »
Vous n'êtes pas si jeune. Ou plutôt, vous êtes bien plus vieux que ces soit-disant héros. Et votre fille les aimait beaucoup et ne pouvait pas râter un épisode… D'un sens, vous n'êtes pas certaine s'il s'agit ici de la « bonne époque » ou d'un souvenir douloureux à devoir regarder ces hommes faire des chorégraphies stupides avant de commencer à combattre les ennemis… Combat tout aussi ridicule.
Mais vous vous doutiez que cette comparaison faisait plus mal au roux qu'autre chose, puisque ces « power rangers » ont réussis à se faire entendre bien plus facilement que lui. Ce qui, vous l'admettez vous-même, n'est vraiment pas étonnant.
« Sur un plan purement scientifique, je me demande qui de celui qui parlait ou de toi possède le moins d'expression… »
Vous regardez Al avec surprise. Ou vous auriez voulu. Quoi que si l'on faisait attention, on pouvait voir un léger écarquillement des yeux. Il avait osé vous lancer une pique… ? Intérieurement, vous riez. Fort. Tellement que l'on peut se demander pourquoi cela n'est pas visible sur votre visage. Mais ce n'est que sur un ton monotone – frôlant tout de même l'amusement pour ceux qui tendent réellement l'oreille – que cette contre-pique sort.
« En attendant, il a été bien plus écouté. »
Qu'une certaine personne qui en montre bien plus, d'expressions, et qui passe le plus clair de son temps à râler tout haut tout seul. De même qu'une bonne partie de la base vous respecte, cet homme est respecté pour son calme et sa discrétion, justement mise en avant par son manque d'expression. Vous le savez, vous vous êtes bien rendu compte de la différence de comportement entre le vrai vous et ce corps actuel. Même si être plus respecté maintenant que vous êtes dans le corps d'une gamine de 13 ans vous a porté un coup dans votre ego. Aujourd'hui, vous n'y faites même plus attention, vous avez même presque oublié ce concept.
Décidant de ne pas plus l'enfoncer – même s'il a l'air d'avoir repris assez de force pour vous balancer des piques – vous vous approchez du garçon et lui tapotez deux fois le dos avant de vous éloigner vers la porte. Ce toit ne va pas être atteint par magie.
D'un hochement de tête, vous lui concédez ce point, ignorant totalement qu'il ait vu juste sur le mot « logique ».
Après avoir examiné la bête, Al souligna un détail que vous ne pouviez pas voir avec votre taille : le fait que l'arme n'est pas chargée. Quant à la dangerosité, vous vous dites rapidement que ce raisonnement aurait dût être fait aussi pour la première arme, mais vous préférez ne pas souligner ce fait et écouter ce qu'Al avait à dire à propos du matin même.
« Il faut dire que c'était un événement, ce matin. Si je devais utiliser une référence de culture populaire, je te demanderais si tu as connu les power rangers. »
Vous n'êtes pas si jeune. Ou plutôt, vous êtes bien plus vieux que ces soit-disant héros. Et votre fille les aimait beaucoup et ne pouvait pas râter un épisode… D'un sens, vous n'êtes pas certaine s'il s'agit ici de la « bonne époque » ou d'un souvenir douloureux à devoir regarder ces hommes faire des chorégraphies stupides avant de commencer à combattre les ennemis… Combat tout aussi ridicule.
Mais vous vous doutiez que cette comparaison faisait plus mal au roux qu'autre chose, puisque ces « power rangers » ont réussis à se faire entendre bien plus facilement que lui. Ce qui, vous l'admettez vous-même, n'est vraiment pas étonnant.
« Sur un plan purement scientifique, je me demande qui de celui qui parlait ou de toi possède le moins d'expression… »
Vous regardez Al avec surprise. Ou vous auriez voulu. Quoi que si l'on faisait attention, on pouvait voir un léger écarquillement des yeux. Il avait osé vous lancer une pique… ? Intérieurement, vous riez. Fort. Tellement que l'on peut se demander pourquoi cela n'est pas visible sur votre visage. Mais ce n'est que sur un ton monotone – frôlant tout de même l'amusement pour ceux qui tendent réellement l'oreille – que cette contre-pique sort.
« En attendant, il a été bien plus écouté. »
Qu'une certaine personne qui en montre bien plus, d'expressions, et qui passe le plus clair de son temps à râler tout haut tout seul. De même qu'une bonne partie de la base vous respecte, cet homme est respecté pour son calme et sa discrétion, justement mise en avant par son manque d'expression. Vous le savez, vous vous êtes bien rendu compte de la différence de comportement entre le vrai vous et ce corps actuel. Même si être plus respecté maintenant que vous êtes dans le corps d'une gamine de 13 ans vous a porté un coup dans votre ego. Aujourd'hui, vous n'y faites même plus attention, vous avez même presque oublié ce concept.
Décidant de ne pas plus l'enfoncer – même s'il a l'air d'avoir repris assez de force pour vous balancer des piques – vous vous approchez du garçon et lui tapotez deux fois le dos avant de vous éloigner vers la porte. Ce toit ne va pas être atteint par magie.
- Résumé :
- Imogen explose calmement de rire, répond à la pique d'Al et se dirige vers la porte en mode « bon, on y va ? »
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Dim 13 Mar - 21:17
« Oh, il est inutile de me le rappeler, grogna-t-il. Même si on peut écouter quelqu'un et ne pas appliquer ce qu'il prodigue de toute façon. »
Et oui, la mauvaise foi était l'une de ses capacités prédominantes, bien qu'il n'ait pas totalement tort si l'on se fiait à ses premiers constats. Pour un climat de mort imminente, il était persuadé qu'en ouvrant une porte au hasard il trouverait au moins une personne en train de faire n'importe quoi. Enfin, cela ne faisait que revenir sans cesse à la conversation qu'ils avaient déjà eu, c'est pourquoi Imogen avait bien fait de presser leur sortie. En lui. Bon. Heureusement que ce n'était pas Cydna. Et en effet, ils avaient déjà pas mal explosé le chrono.
« C'est parti. »
Derrière eux, ils laissaient ainsi deux armes dont ils ne pouvaient que soupçonner le potentiel d'utilité.. Mais puisque c'était leur rôle, pouvaient-ils seulement l'exploiter ?
Un petite visite sur le Toit répondrait peut-être à cette question.
Et oui, la mauvaise foi était l'une de ses capacités prédominantes, bien qu'il n'ait pas totalement tort si l'on se fiait à ses premiers constats. Pour un climat de mort imminente, il était persuadé qu'en ouvrant une porte au hasard il trouverait au moins une personne en train de faire n'importe quoi. Enfin, cela ne faisait que revenir sans cesse à la conversation qu'ils avaient déjà eu, c'est pourquoi Imogen avait bien fait de presser leur sortie. En lui. Bon. Heureusement que ce n'était pas Cydna. Et en effet, ils avaient déjà pas mal explosé le chrono.
« C'est parti. »
Derrière eux, ils laissaient ainsi deux armes dont ils ne pouvaient que soupçonner le potentiel d'utilité.. Mais puisque c'était leur rôle, pouvaient-ils seulement l'exploiter ?
Un petite visite sur le Toit répondrait peut-être à cette question.
- Spoiler:
Résumé : Al suit Imo jusqu'au toit.
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