[L'Opéra] Cette douce mélodie... [LIBRE]
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Jeu 16 Jan - 20:39
Ne jamais déranger Ziza quand elle mange. JAMAIS.
C'est sûrement ce qui aurait été inscrit dans un manuel de survie avec Ziza, dans le chapitre des notions élémentaires, après les 50 premières pages exclusivement consacrée aux étoiles de mer.
Parce que, oui, le déjeuner c'est important, même quand c'est pas le déjeuner. Passe encore que les gens débarquent tous sans prévenir, qu'un monsieur bizarre parle de "bodibildeure" ou un truc dans le genre, que l'on bave devant les plats, etc. Mais renverser la moitié des plats par simple maladresse est un crime qui ne peut rester impuni.
Ziza bouillait intérieurement, fixant son assiette de cookies aux pépites d'ananas orange, brisée sur le sol. C'en était trop. Elle allait s'énerver, comme le monstre vert de dessin animé, ou comme les personnages de mangas avec une double personnalité sadique. Elle leva les yeux vers le coupable...
- Bon écoutez, bande de nazes. Je suis ultra-fatigué, là. Ça fait pas longtemps que j’ai atterri dans c’trou, mais j’en ai déjà marre. Donc le premier qui fout encore le bordel, je vous jure, il reverra plus un grain de riz de sa vie. Capiche ?
Tiens, une jeune femme -au langage vulgaire de plus- l'avait devancée. Elle était visiblement encore plus énervée que Ziza. Il n'y avait rien à ajouter... Alizée venait d'être coupée en plein élan. Elle ne savait plus quoi faire maintenant, c'est malin !
Puis le vieux monsieur à la carrure imposante avait tenté de détendre l'ambiance. Il avait l'air aussi idiot qu'imposant d'ailleurs... Enfin bref, il fallait que la petite fille fasse quelque chose elle aussi. Parce que sinon c'est pas drôle et parce que Ziza aime se mêler des affaires des autres.
- Les gens, vous savez s'il y a des créatures kawaii ici ? Parce que j'aimerai bien avoir une étoile de mer de compagnie... Ou un chat, sinon. Ou un oiseau. Ou un lapin. Ou une souris. Ou une gelée. Ou... [je vous épargne ici une longue liste de toutes les créatures possibles et imaginables qu'on pourrai trouver dans l'Esquisse]
Oui, tout ceci n'avait rien à voir avec les événements qui viennent de se dérouler. Et alors ?
C'est sûrement ce qui aurait été inscrit dans un manuel de survie avec Ziza, dans le chapitre des notions élémentaires, après les 50 premières pages exclusivement consacrée aux étoiles de mer.
Parce que, oui, le déjeuner c'est important, même quand c'est pas le déjeuner. Passe encore que les gens débarquent tous sans prévenir, qu'un monsieur bizarre parle de "bodibildeure" ou un truc dans le genre, que l'on bave devant les plats, etc. Mais renverser la moitié des plats par simple maladresse est un crime qui ne peut rester impuni.
Ziza bouillait intérieurement, fixant son assiette de cookies aux pépites d'ananas orange, brisée sur le sol. C'en était trop. Elle allait s'énerver, comme le monstre vert de dessin animé, ou comme les personnages de mangas avec une double personnalité sadique. Elle leva les yeux vers le coupable...
- Bon écoutez, bande de nazes. Je suis ultra-fatigué, là. Ça fait pas longtemps que j’ai atterri dans c’trou, mais j’en ai déjà marre. Donc le premier qui fout encore le bordel, je vous jure, il reverra plus un grain de riz de sa vie. Capiche ?
Tiens, une jeune femme -au langage vulgaire de plus- l'avait devancée. Elle était visiblement encore plus énervée que Ziza. Il n'y avait rien à ajouter... Alizée venait d'être coupée en plein élan. Elle ne savait plus quoi faire maintenant, c'est malin !
Puis le vieux monsieur à la carrure imposante avait tenté de détendre l'ambiance. Il avait l'air aussi idiot qu'imposant d'ailleurs... Enfin bref, il fallait que la petite fille fasse quelque chose elle aussi. Parce que sinon c'est pas drôle et parce que Ziza aime se mêler des affaires des autres.
- Les gens, vous savez s'il y a des créatures kawaii ici ? Parce que j'aimerai bien avoir une étoile de mer de compagnie... Ou un chat, sinon. Ou un oiseau. Ou un lapin. Ou une souris. Ou une gelée. Ou... [je vous épargne ici une longue liste de toutes les créatures possibles et imaginables qu'on pourrai trouver dans l'Esquisse]
Oui, tout ceci n'avait rien à voir avec les événements qui viennent de se dérouler. Et alors ?
- Résumé:
- Ziza n'est pas contente quand William renverse les plats, mais elle se ravise quand elle le voit se faire disputer par Kim. Finalement, elle demande aux dessinateurs s'ils ont vu des animaux mignons dans le coin.
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Sam 18 Jan - 5:50
Ignorer cette foutue odeur de nourriture était impossible.
Surtout quand on avait l’odorat aiguisé d’un chat. Liam n’en pouvait plus. Trop de sensations différentes. Les narines plissées, il avait donc suivi le puissant fumet, avec la vague idée de remédier à cette infection. Et de… Bingo.
Eelis était bel et bien là.
C’était presque comique, la plus ou moins de facilité avec laquelle il le retrouvait.
Jamais seul.
Ça, ça l’était moins. Pourquoi fallait-il toujours qu’il s’entoure d’autant d’énergumènes indésirables ? Bon sang, c’était comme ça depuis presque la première fois. Foutu lac. Foutu blond. Urgh. Cette odeur. Foutue bouffe.
Liam parcourut donc la salle, en prenant bien garde de faire un large détour pour approcher le moins possible la moindre personne présente, ne s’arrêtant qu’un instant, les poils hérissés, en entendant le mot « chat ». Il retourna vaguement un regard noir en direction de la jeune demoiselle et lui tourna ostensiblement le dos. Sans quitter Eelis des yeux un seul instant. S’il le faisait, à tous les coups, ce dernier ferait encore une connerie. Ce n’était pas de la suspicion. C’était une certitude.
Mais il allait pas rester pour autant près de tous ces... gens. Liam attrapa donc une chaise qu’il traina le plus loin possible, en faisant un bruit atroce au passage. Non, il n’avait pas daigné la porter dans ses bras et le raclement avait donc été absolument délicieux à entendre. Et il le savait, cet enfoiré. Il avait un petit sourire là, juste, au coin.
Il prenait ça comme une petite compensation.
Après tout, il était toujours en magical-girl (même s’il avait visiblement réparé les trous et autres déchirures, allez savoir comment), et il avait toujours ce foutu ruban à la queue, impossible de le décrocher. Et, pour changer, il avait vraiment eu une salle journée. Liam s’installa sur sa chaise et croisa les bras. Absolument pas décidé à bouger de là tant qu’Eelis serait dans les parages.
Et non, il ne toucherait pas à cette nourriture louche.
Jamais.
Surtout quand on avait l’odorat aiguisé d’un chat. Liam n’en pouvait plus. Trop de sensations différentes. Les narines plissées, il avait donc suivi le puissant fumet, avec la vague idée de remédier à cette infection. Et de… Bingo.
Eelis était bel et bien là.
C’était presque comique, la plus ou moins de facilité avec laquelle il le retrouvait.
Jamais seul.
Ça, ça l’était moins. Pourquoi fallait-il toujours qu’il s’entoure d’autant d’énergumènes indésirables ? Bon sang, c’était comme ça depuis presque la première fois. Foutu lac. Foutu blond. Urgh. Cette odeur. Foutue bouffe.
Liam parcourut donc la salle, en prenant bien garde de faire un large détour pour approcher le moins possible la moindre personne présente, ne s’arrêtant qu’un instant, les poils hérissés, en entendant le mot « chat ». Il retourna vaguement un regard noir en direction de la jeune demoiselle et lui tourna ostensiblement le dos. Sans quitter Eelis des yeux un seul instant. S’il le faisait, à tous les coups, ce dernier ferait encore une connerie. Ce n’était pas de la suspicion. C’était une certitude.
Mais il allait pas rester pour autant près de tous ces... gens. Liam attrapa donc une chaise qu’il traina le plus loin possible, en faisant un bruit atroce au passage. Non, il n’avait pas daigné la porter dans ses bras et le raclement avait donc été absolument délicieux à entendre. Et il le savait, cet enfoiré. Il avait un petit sourire là, juste, au coin.
Il prenait ça comme une petite compensation.
Après tout, il était toujours en magical-girl (même s’il avait visiblement réparé les trous et autres déchirures, allez savoir comment), et il avait toujours ce foutu ruban à la queue, impossible de le décrocher. Et, pour changer, il avait vraiment eu une salle journée. Liam s’installa sur sa chaise et croisa les bras. Absolument pas décidé à bouger de là tant qu’Eelis serait dans les parages.
Et non, il ne toucherait pas à cette nourriture louche.
Jamais.
- Spoiler:
- Liam arrive dans l’Opéra, ignore royalement tout le monde, se fige un moment en entendant le mot Chat, il envoie un regard noir à Ziza avant de continuer son chemin et de trainer une chaise (bruyamment) au fond de la salle. Il se laisse tomber dessus et observe Eelis sans un mot.
(il est pieds nus, mais porte toujours sa tenue magical-girl –avec son ruban sur sa queue de chat–, dont il a visiblement réparé les déchirures avec un peu de couture).
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Sam 18 Jan - 7:58
Enfin ! Une porte ! Une foutue porte ! Y a même une poignée...bleh, qui s'en soucie, d'ces poignées, hein ? Une porte, c'fait pour être...hmph !...Défoncé ! Et à coups d'pieds, m'voyez !
Une seconde. Va encore y avoir d'gens pour me dire que j'viens d'faire une connerie, pas vrai ?
J'dirai qu'c'est la faute à mon double.
J'suis où, là ? Ahouais, c'une salle de...comment qu'ça s'dit, d'jà ? Spectable ? Naaan...beh, on s'en fout ! Y a à bouffer ! ...Et des gens aussi. Merde. Ils sont pleins en plus ! Chaipas si y z'ont vu c'que j'ai fait à la porte, mais j'ch'rais pas confiante, vu qu'elle traîne à deux mètres d'un d'ceux assis.
Boooon...discrète, Amy...discrèèèète...personne te vois, personne ne t'a vu, tu es siiiilencieu-"B'jour !" Foutue bouche ! T'jour à dire des trucs cons !
Y a pas un coin tranquille dans l'coin ? Eh, y a un type là-bas ! L'a l'air de bouder, c's'ra parfait. Une chaise...hop ! Un truc à béqu'ter...hop ! Et on-y-va ♪ !
Bon, 'paremment, j'pige pourquoi l'mec à côté d'moi râle. Déjà, c'un chat. Mais c'mignon, un chat. En plus, franch'ment, il est beau ce con. Ensuite, l'est habillé en rose. Bah, c'pas ce à quoi on s'attendrait d'la part d'un mec com'ça, mais c'ses goûts, hein. Une seconde, c's'rait pas plutôt à cause de ça qu'il râle ? Beh, suffit d'pas aborder l'sujet. En plus l'est beau gosse, faut pas qu'je m'rate.
-"S'lut ! J'crois qu'y a un mec là-bas, qui v's'a fait coucou. C'quoi vot' nom ?"
Une seconde. Va encore y avoir d'gens pour me dire que j'viens d'faire une connerie, pas vrai ?
J'dirai qu'c'est la faute à mon double.
J'suis où, là ? Ahouais, c'une salle de...comment qu'ça s'dit, d'jà ? Spectable ? Naaan...beh, on s'en fout ! Y a à bouffer ! ...Et des gens aussi. Merde. Ils sont pleins en plus ! Chaipas si y z'ont vu c'que j'ai fait à la porte, mais j'ch'rais pas confiante, vu qu'elle traîne à deux mètres d'un d'ceux assis.
Boooon...discrète, Amy...discrèèèète...personne te vois, personne ne t'a vu, tu es siiiilencieu-"B'jour !" Foutue bouche ! T'jour à dire des trucs cons !
Y a pas un coin tranquille dans l'coin ? Eh, y a un type là-bas ! L'a l'air de bouder, c's'ra parfait. Une chaise...hop ! Un truc à béqu'ter...hop ! Et on-y-va ♪ !
Bon, 'paremment, j'pige pourquoi l'mec à côté d'moi râle. Déjà, c'un chat. Mais c'mignon, un chat. En plus, franch'ment, il est beau ce con. Ensuite, l'est habillé en rose. Bah, c'pas ce à quoi on s'attendrait d'la part d'un mec com'ça, mais c'ses goûts, hein. Une seconde, c's'rait pas plutôt à cause de ça qu'il râle ? Beh, suffit d'pas aborder l'sujet. En plus l'est beau gosse, faut pas qu'je m'rate.
-"S'lut ! J'crois qu'y a un mec là-bas, qui v's'a fait coucou. C'quoi vot' nom ?"
- Spoiler:
- Amy envoie valdinguer la porte puis décide d'aller au calme, à côté de Liam (Oui c'est totalement con.)
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
Personnages : Al, Sydonia, Even, Dylan et Al'
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Eelis
Sam 18 Jan - 12:53
Tandis que tu continues à astiquer bêtement la banane devant les yeux d'un inconnu, une petite fille prend la parole. Tu te demandes comment les enfants font pour survivre, pour sourire comme si rien ne s'était passé. Une étincelle de vie dans un océan de malheurs, ça ne fait pas de mal..
« Je crois pas en avoir croisé ici.. Ce qui est étrange, en fait. »
Une perle de lucidité dans une mer de complaisance. Outre l'attaque surprise du toit, c'est vrai que tu n'as vu aucune créature dotée de vie, par ici. Pire, tu es passé par des portes, tu as arpenté des couloirs..
« Quoi que soit cet endroit, ce n'est pas ce monde qui l'a créé. »
Et c'est la même chose pour ce repas.
Tu n'aimes pas les bienfaiteurs anonymes.. ils sont loin d'être réellement des bienfaiteurs, en général (dans les films en tout cas).
En parlant d'anonyme, tu remarques -comment ne pas avoir vu plus tôt ce qui est aussi discret qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine !- un certain chat. Toujours agréable à vivre, le voilà qui fait grincer sa chaise sur le sol avant de s'installer dans un coin avec un habituel air grincheux. C'est pas comme ça que tu vas trouver une copine, Liam.
Et pourtant. Une nouvelle arrivante vient s'installer à côté de lui comme si de rien n'était, en commençant à lui taper la causette. De loin, tu fais un clin d'oeil au félin, et te décides à les laisser entre eux (tu n'es pas le genre de personne à interrompre un flirt, voyons!) Tu vas t'asseoir sur un tabouret non loin de la fillette de tout à l'heure. À la voir si naturelle, tu supposes que les parents doivent être quelque part, pas loin.
Enfin, tu espères.
« Ça mange quoi, les étoiles de mer de compagnie ? »
Retour à la normale.
« Je crois pas en avoir croisé ici.. Ce qui est étrange, en fait. »
Une perle de lucidité dans une mer de complaisance. Outre l'attaque surprise du toit, c'est vrai que tu n'as vu aucune créature dotée de vie, par ici. Pire, tu es passé par des portes, tu as arpenté des couloirs..
« Quoi que soit cet endroit, ce n'est pas ce monde qui l'a créé. »
Et c'est la même chose pour ce repas.
Tu n'aimes pas les bienfaiteurs anonymes.. ils sont loin d'être réellement des bienfaiteurs, en général (dans les films en tout cas).
En parlant d'anonyme, tu remarques -comment ne pas avoir vu plus tôt ce qui est aussi discret qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine !- un certain chat. Toujours agréable à vivre, le voilà qui fait grincer sa chaise sur le sol avant de s'installer dans un coin avec un habituel air grincheux. C'est pas comme ça que tu vas trouver une copine, Liam.
Et pourtant. Une nouvelle arrivante vient s'installer à côté de lui comme si de rien n'était, en commençant à lui taper la causette. De loin, tu fais un clin d'oeil au félin, et te décides à les laisser entre eux (tu n'es pas le genre de personne à interrompre un flirt, voyons!) Tu vas t'asseoir sur un tabouret non loin de la fillette de tout à l'heure. À la voir si naturelle, tu supposes que les parents doivent être quelque part, pas loin.
Enfin, tu espères.
« Ça mange quoi, les étoiles de mer de compagnie ? »
Retour à la normale.
- Spoiler:
Eelis répond à Ziza, tilte enfin que la base est pas normale, puis fait un clin d'oeil à liam lorsqu'il va s'installer, avant de poser une question à Ziza
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Mar 21 Jan - 20:48
Pour une raison qu'elle ignorait, sa question avait visiblement déplut au monsieur avec des habits bizarres qui venait d'entrer dans l'Opéra (appelons-le M Neko). Il lui lança un regard noir et alla s'assoir à une chaise sans un mot, il n'avait pas l'air très bien élevé celui-là !
Ziza décida donc d'ignorer M Neko, elle lui parlerait quand il se sera excusé. (Ce qui allait apparemment prendre du temps vu qu'il avait tapé dans l’œil d'une jeune femme (Mme Noire ?) qui venait d'arriver.) Mme Noire était d'ailleurs plus polie que lui, parce que, elle, au moins, elle avait dit bonjour.
Puis finalement, un vieux monsieur (M Lunettes) répondit. Heureusement d'ailleurs, car Ziza en avait presque oublié sa question.
- Je crois pas en avoir croisé ici.. Ce qui est étrange, en fait.
Ziza acquiesça. Elle n'avait malheureusement croisé aucune étoiles de mer dans les parages. D'habitude l'Esquisse est peuplée d'animaux étranges aux endroits où l'on s'y attend le moins... Ce n'était visiblement pas le cas dans la base.
- C'est dommage. Ça fait un peu vide s'il n'y a que des humains : c'est comme une plage sans étoiles de mer.
- Quoi que soit cet endroit, ce n'est pas ce monde qui l'a créé.
Ça par contre, la petite fille n'y avait même pas pensé ! C'était donc pour cela que la base militaire était si triste, sans fantaisies... Un peu comme "l'autre monde" en fait, le monde où elle était il y a trèèès longtemps.
- Oooooh, tout s'explique ! ... Mais alors... Qui l'a créée ? Ça a peut-être un rapport avec le carnet que j'ai trouvé...
Oups, la dernière phrase lui avait échappé... Une gaffe de plus pour Ziza, elle comptait garder le secret de la réserve de chocolat à elle seule ! Heureusement, le vieux monsieur n'y prêta pas attention et enchaîna avec une autre question.
- Ça mange quoi, les étoiles de mer de compagnie ?
- Oh, ça dépend. Dans le monde d'où je viens, les étoiles de mer mange du corail, et d'autres trucs qu'il y a dans la mer. Ici en revanche, elle peuvent manger n'im-por-te quoi ! J'en ai déjà nourrit une avec des cookies, ou il y en a une qui a faillit me manger une fois !
Ziza resta silencieuse quelque temps... Elle ne trouvait pas les mots justes pour décrire la magnificence des étoiles de mer. C'était impossible. M Lunettes ne comprendrait pas. Après tout, c'était un adulte... D'ailleurs, la petite fille se rendit compte qu'elle ignorait son nom, qu'elle ignorait même le nom de tous les gens présents dans la salle ! En fait, elle ne les connaissait pas du tout ! Il fallait remédier à ça.
- Eh les gens, c'est quoi votre nom ? Moi c'est Alizée, mais tout le monde m'appelle Ziza ! J'aime danser, chanter, courir et regarder les étoiles de mer ! ... Et vous ?
Ziza décida donc d'ignorer M Neko, elle lui parlerait quand il se sera excusé. (Ce qui allait apparemment prendre du temps vu qu'il avait tapé dans l’œil d'une jeune femme (Mme Noire ?) qui venait d'arriver.) Mme Noire était d'ailleurs plus polie que lui, parce que, elle, au moins, elle avait dit bonjour.
Puis finalement, un vieux monsieur (M Lunettes) répondit. Heureusement d'ailleurs, car Ziza en avait presque oublié sa question.
- Je crois pas en avoir croisé ici.. Ce qui est étrange, en fait.
Ziza acquiesça. Elle n'avait malheureusement croisé aucune étoiles de mer dans les parages. D'habitude l'Esquisse est peuplée d'animaux étranges aux endroits où l'on s'y attend le moins... Ce n'était visiblement pas le cas dans la base.
- C'est dommage. Ça fait un peu vide s'il n'y a que des humains : c'est comme une plage sans étoiles de mer.
- Quoi que soit cet endroit, ce n'est pas ce monde qui l'a créé.
Ça par contre, la petite fille n'y avait même pas pensé ! C'était donc pour cela que la base militaire était si triste, sans fantaisies... Un peu comme "l'autre monde" en fait, le monde où elle était il y a trèèès longtemps.
- Oooooh, tout s'explique ! ... Mais alors... Qui l'a créée ? Ça a peut-être un rapport avec le carnet que j'ai trouvé...
Oups, la dernière phrase lui avait échappé... Une gaffe de plus pour Ziza, elle comptait garder le secret de la réserve de chocolat à elle seule ! Heureusement, le vieux monsieur n'y prêta pas attention et enchaîna avec une autre question.
- Ça mange quoi, les étoiles de mer de compagnie ?
- Oh, ça dépend. Dans le monde d'où je viens, les étoiles de mer mange du corail, et d'autres trucs qu'il y a dans la mer. Ici en revanche, elle peuvent manger n'im-por-te quoi ! J'en ai déjà nourrit une avec des cookies, ou il y en a une qui a faillit me manger une fois !
Ziza resta silencieuse quelque temps... Elle ne trouvait pas les mots justes pour décrire la magnificence des étoiles de mer. C'était impossible. M Lunettes ne comprendrait pas. Après tout, c'était un adulte... D'ailleurs, la petite fille se rendit compte qu'elle ignorait son nom, qu'elle ignorait même le nom de tous les gens présents dans la salle ! En fait, elle ne les connaissait pas du tout ! Il fallait remédier à ça.
- Eh les gens, c'est quoi votre nom ? Moi c'est Alizée, mais tout le monde m'appelle Ziza ! J'aime danser, chanter, courir et regarder les étoiles de mer ! ... Et vous ?
- Résumé:
- Ziza ne prête pas grande attention à Liam et Amélia et discute avec Eelis. Finalement, elle s'aperçoit qu'elle ne connait personne dans la salle et demande aux dessinateurs leurs noms.
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Folie d'Esquisse
Ven 24 Jan - 19:07
Un petit trèfle à treize feuilles rose jaillit soudainement de la narine d'Hannibal, tandis que ce dernier croquait tranquillement son hot dog. Parallèlement, on crut voir une plante de même acabit dépasser timidement d'une chaussette de Ziza. Coïncidence ?
(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
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Ven 24 Jan - 19:09
Il n’y avait pas une seule personne pour rattraper l’autre.
Entre la môme qui pépiait sur divers sujets futiles, Eelis qui, grands dieux, faisait de même et celle qui défonçait la porte avant de venir s’installer à côté de lui. Minute. Qu’avait-elle fait ?
Liam eut un mouvement de recul. Qui ne tarda pas à se transformer en éloignement pur et simple. Il se leva, très calmement, attrapa sa chaise, la traîna sur un bon mètre ou deux, puis se rassit, l’air de rien. Sans faire attention à qui que ce soit, et exceptionnellement, même pas son foutu blond préféré (enfin, préféré...). Sauf l’étrange créature femelle, qui s’échinait à lui parler, et ce, malgré la distance. C’était le cas de le dire.
Sans se cacher un seul instant, Liam la dévisagea de bas en haut, s’arrêtant sur sa peau noire, sa crinière orange et ses tatouages.
▬ Elle ne vous a pas raté.
Sous-entendu l’Esquisse, et sous-entendu « Bonjour, je suis un connard, et j’en ai rien à foutre ». Il accorda une nouvelle œillade dédaigneuse à son interlocutrice. Ainsi qu’aux victuailles dans ses mains.
▬ On vous a jamais dit qu’il ne fallait pas mettre tout ce qui passe devant votre nez, dans votre bouche ?
Hop, relevé de sourcil hautement snob. Regard appuyé à ce qu’elle tenait, puis à la table un peu plus loin.
▬ Surtout ici.
Et Liam se détourna, reprenant sa surveillance.
Et non, il ne voulait même pas savoir qu’Eelis lui avait fait un clin d’œil. Ni ce qu’il était probablement en train de penser. Vraiment pas. Il préférait plutôt poursuivre son observation silencieuse (et un peu consternée). Et chercher un moyen de retirer ces immondes frusques au plus vite. En commençant par le nœud sur sa queue de chat, qui l’irritait au plus haut point. Pas moyen de retirer ça de ses propres mains. Et hors de question qu’il demande à qui que ce soit de le déshabiller. Plutôt crever. Et pas question non plus de demander à Eelis. Il penserait (encore) à un truc absolument hors contexte et ridicule.
Et, non, il ne se présenterait pas.
Tch.
Entre la môme qui pépiait sur divers sujets futiles, Eelis qui, grands dieux, faisait de même et celle qui défonçait la porte avant de venir s’installer à côté de lui. Minute. Qu’avait-elle fait ?
Liam eut un mouvement de recul. Qui ne tarda pas à se transformer en éloignement pur et simple. Il se leva, très calmement, attrapa sa chaise, la traîna sur un bon mètre ou deux, puis se rassit, l’air de rien. Sans faire attention à qui que ce soit, et exceptionnellement, même pas son foutu blond préféré (enfin, préféré...). Sauf l’étrange créature femelle, qui s’échinait à lui parler, et ce, malgré la distance. C’était le cas de le dire.
Sans se cacher un seul instant, Liam la dévisagea de bas en haut, s’arrêtant sur sa peau noire, sa crinière orange et ses tatouages.
▬ Elle ne vous a pas raté.
Sous-entendu l’Esquisse, et sous-entendu « Bonjour, je suis un connard, et j’en ai rien à foutre ». Il accorda une nouvelle œillade dédaigneuse à son interlocutrice. Ainsi qu’aux victuailles dans ses mains.
▬ On vous a jamais dit qu’il ne fallait pas mettre tout ce qui passe devant votre nez, dans votre bouche ?
Hop, relevé de sourcil hautement snob. Regard appuyé à ce qu’elle tenait, puis à la table un peu plus loin.
▬ Surtout ici.
Et Liam se détourna, reprenant sa surveillance.
Et non, il ne voulait même pas savoir qu’Eelis lui avait fait un clin d’œil. Ni ce qu’il était probablement en train de penser. Vraiment pas. Il préférait plutôt poursuivre son observation silencieuse (et un peu consternée). Et chercher un moyen de retirer ces immondes frusques au plus vite. En commençant par le nœud sur sa queue de chat, qui l’irritait au plus haut point. Pas moyen de retirer ça de ses propres mains. Et hors de question qu’il demande à qui que ce soit de le déshabiller. Plutôt crever. Et pas question non plus de demander à Eelis. Il penserait (encore) à un truc absolument hors contexte et ridicule.
Et, non, il ne se présenterait pas.
Tch.
- Spoiler:
- Liam éloigne sa chaise de deux mètres, puis lance quelques gentilles choses à Amélia (en dialogue), avant de continuer sa surveillance d’Eelis. Sans daigner se présenter.
PS :: pardon du retard en plus c'est nul itou ;;
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Ven 24 Jan - 20:01
Alooors...m'sieur est un snob ! D'accord. 'Chuis plus à une déception près... J'arrive, sympa, b'jour, ça va la vie, z'auriez pas vu un truc normal dans l'coin ? et non, m'sieur s'éloigne de trois mètres pendant qu'je parle. Il perd rien pour attendre... J'vais pas l'lâcher, 'finira par bien v'loir m'parler ! Nyahah ! Et j'aurai mes réponses à propos d'c't'endroit !
"Le "elle", c'pour le monde ou un truc du genre ? Si c'oui, j'chuis d'accord, s'rtout pour les oreilles."
Booon, 'sait parler, c'd'jà ça ! Au moins j'rai pas l'air conne à raconter des trucs t'te seule...hein ? La bouffe ? Quelle bouffe ? ... Pourquoi j'ai d'la bouffe sur les g'noux, moi ?
"Eh, c'zarb ça. J'me souviens pas d'avoir pris d'la bouffe...mh...j'pas faim en plus. 'fin, j'magine qu'je suis pas t'te seule à trouver qu'y a des trucs pas n'rmaux dans l'coin... Z'en pensez quoi, vous ?"
Génial ! Y s'est r'tourné ! Joie. Bon, beh... j'vais continuer à parler, 'finira bien par répondre, ou alors y s'barrera encore plus loin. Mhf.
"D'ailleurs, 'savez d'où y vient, c'bâtiment ? Parc'que c'v'chment vieux comme machin, qu'même, et y a pas grand monde dans les couloirs... "
C'ptet un snob, mais l'est beau, ce con.
"Le "elle", c'pour le monde ou un truc du genre ? Si c'oui, j'chuis d'accord, s'rtout pour les oreilles."
Booon, 'sait parler, c'd'jà ça ! Au moins j'rai pas l'air conne à raconter des trucs t'te seule...hein ? La bouffe ? Quelle bouffe ? ... Pourquoi j'ai d'la bouffe sur les g'noux, moi ?
"Eh, c'zarb ça. J'me souviens pas d'avoir pris d'la bouffe...mh...j'pas faim en plus. 'fin, j'magine qu'je suis pas t'te seule à trouver qu'y a des trucs pas n'rmaux dans l'coin... Z'en pensez quoi, vous ?"
Génial ! Y s'est r'tourné ! Joie. Bon, beh... j'vais continuer à parler, 'finira bien par répondre, ou alors y s'barrera encore plus loin. Mhf.
"D'ailleurs, 'savez d'où y vient, c'bâtiment ? Parc'que c'v'chment vieux comme machin, qu'même, et y a pas grand monde dans les couloirs... "
C'ptet un snob, mais l'est beau, ce con.
- Spoiler:
- Amélia continue à parler à Liam comme si de rien était (l'a des tendances suicidaires, non ?)
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Ven 24 Jan - 22:54
Azraël observe le petit monde autour de lui avec curiosité, ce monde était super ! Fantastique ! Incroyable ! Isométrique !
Il se demandait ce que cela pouvait bien faire lorsqu'un trèfle vous pousse dans une narine ? Qu'elle est l'odeur du trèfle ? Le trèfle avait il une odeur d'ailleurs ? Peut être était ce un tour de magie ? Oh oui ! Il adorait la magie.
Dans le doute il applaudit.
-Vous montez un cirque ? demanda t-il des étoiles (de mer) dans les yeux.
Il se demandait ce que cela pouvait bien faire lorsqu'un trèfle vous pousse dans une narine ? Qu'elle est l'odeur du trèfle ? Le trèfle avait il une odeur d'ailleurs ? Peut être était ce un tour de magie ? Oh oui ! Il adorait la magie.
Dans le doute il applaudit.
-Vous montez un cirque ? demanda t-il des étoiles (de mer) dans les yeux.
- HRP:
- Désolée je répond n'importe quand xD
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Dim 26 Jan - 0:43
Je pouvais concevoir que ma dernière action n’avait pas été bien perçue, mais je ne m’attendais pas, mais alors pas du tout, à ce qu’on vienne enfoncer de la nourriture dans ma bouche après l’avoir récolté sur mon torse. Manquant de m’étouffer franchement, je recrachais la pitance comme un bébé qui n’aimait pas cela, juste avant de me faire relever de force. Je ne tenais pas sur mes jambes, cela avait donc dû être dur.
Je ne m’assis pas sur la chaise. Je ma contentai de faire rebondir mon fessier sur celle-ci et de me retenir avec un bras pour éviter de me briser le visage par terre. Je revins sur la chaise pour me remettre de mes émotions et respirer rapidement, complètement stressé par les derniers évènements. Je n’écoutai pas ce que la personne disait, celle qui m’avait balancé sur la chaise. Je n’en avais pas envie, elle n’avait pas été très sympa avec moi.
Un homme tout blond et tout barbu vint à côté de moi pour s’assurer de mon état de santé. Je le regardai avec un air à moitié dégommé et peut-être mal en point ou triste, au choix. Mais je n’eus même pas le temps d’ouvrir la bouche pour lui expliquer que j’avais mal à peu près partout qu’il s’en alla pour aller voir quelqu’un d’autre, sans doute. Dans mon dos, je ne pouvais pas voir. Je regardais la table devant moi avec des plats désormais chaotiques et je soupirai.
Je n’avais pas vraiment envie de prendre un peu de ces mets, peut-être parce que j’avais été forcé d’en avoir un peu ? Peut-être étais-je méfiant ? Peut-être me prenais-je trop la tête ? Peut-être avais-je trop mal ? Définitivement la dernière solution. Me tortillant un peu de douleur j’essayais de calmer ce qui me tiraillait dans le dos, les épaules et le visage. Je ressemblais peut-être à un singe qui se grattait, mais je n’y pouvais pas grand-chose.
Je réfléchis un instant. J’étais là parce qu’un trou était apparu sous mes pieds. Pourquoi précisément à cet endroit ? Ça m’aurait étonné que je n’aie pas de chance à ce point. Et ayant un peu de bagage –très léger- dans ce monde onirique mais bien réel, je savais que ce n’était pas dû au hasard. Je trouvais cela intéressant, mais aussi effrayant. Parcouru d’un frisson –qui me fit mal, en fait- soudainement, je pris conscience de mon entourage.
Il y avait pas mal de personnes et deux trèfles avec plus de feuilles que nécessaires dans cet espèce de salle de concert qui me faisait penser à une sorte de salle d’opéra… avec une table au milieu. Une table avec plein de nourriture suspecte. Qui avait mis ça là ? Sûrement pas un de ces gus, ils n’avaient pas plus l’air de savoir cuisiner que moi.
Prenant mon courage à deux mains, je pris la parole :
« … »
Exactement, je ne dis rien. Ma bouche s’ouvrir, mais un trou noir se créa dans ma tête et fit disparaitre tout ce que j’avais envie de dire. Impossible pour moi de me rappeler mon texte ou ma question, alors je me retournai pour fixer à nouveau les victuailles devant moi, l’air pensif.
- Résumé:
- William se fait jeter sur la chaise et on vient à sa santé. Il se remet plutôt de ses émotions et réfléchit. Il oublie ce qu’il voulait dire au moment de parler.
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Mer 29 Jan - 5:11
▬ Oui, oui, c’est ça, les oreilles. C’est bien évidemment l’endroit où elle vous a le plus raté…
Seigneur. Liam ne savait même pas pourquoi il répondait. Ni pourquoi il était encore là, au juste. Ha oui, Eelis. Toujours Eelis. Le chat poussa un bruyant soupir et ramena l’une de ses jambes contre lui, mirant vaguement ses nouveaux orteils. Enfin ses nouveaux ongles... griffes. Pointues. Solides. Douloureuses ? Il fallait espérer. Que ce corps serve au moins à quelque chose.
▬ Ce monde entier est une farce.
Il ne répondait pas vraiment à la question, mais il estimait que répondre quelque chose tout court était déjà bien trop généreux, donc, fallait pas pousser non plus. Liam fronça le nez, retint un deuxième soupir, et manqua presque la dernière salve de paroles. Ce qui était limite un exploit. Trop bonne ouïe pour ne pas l’entendre.
▬ Je trouve qu’au contraire... c’est un peu trop peuplé.
Maintenant qu’il regardait plus loin que son auguste nombril, il y avait définitivement, mais alors définitivement trop de gens. Et fallait qu’Eelis se colle toujours à ses semblables avec de grands sourires. Bleah. Pourquoi voulait-il lui sauver à ce point la vie, déjà ? Liam reposa son pied par terre, et s’évertua à tracer des sillons dans le parquet de la scène. Solides, oui, pas de doute. Il en avait presque un embryon de sourire satisfait, presque.
▬ Vous montez un cirque ?
Ok. Il allait craquer.
En fait, c’était déjà fait.
Liam venait de piquer un morceau de nourriture à son interlocutrice et l’avait balancé en plein sur le crâne du type aux cheveux blancs. Et il visait bien en plus, le bougre. Le demi-chat eut un petit rictus, avec un peu de chance, ça ferait une bouche en moins qui s’agiterait sans but. Sérieusement, il en pouvait plus. Il retourna s'asseoir. Crrrr. Son orteil traça un nouveau sillon.
Si Eelis ne sortait pas très vite de là, ça allait tourner au massacre. Dans tous les sens du terme.
Il n’était définitivement pas fait pour la socialisation.
Seigneur. Liam ne savait même pas pourquoi il répondait. Ni pourquoi il était encore là, au juste. Ha oui, Eelis. Toujours Eelis. Le chat poussa un bruyant soupir et ramena l’une de ses jambes contre lui, mirant vaguement ses nouveaux orteils. Enfin ses nouveaux ongles... griffes. Pointues. Solides. Douloureuses ? Il fallait espérer. Que ce corps serve au moins à quelque chose.
▬ Ce monde entier est une farce.
Il ne répondait pas vraiment à la question, mais il estimait que répondre quelque chose tout court était déjà bien trop généreux, donc, fallait pas pousser non plus. Liam fronça le nez, retint un deuxième soupir, et manqua presque la dernière salve de paroles. Ce qui était limite un exploit. Trop bonne ouïe pour ne pas l’entendre.
▬ Je trouve qu’au contraire... c’est un peu trop peuplé.
Maintenant qu’il regardait plus loin que son auguste nombril, il y avait définitivement, mais alors définitivement trop de gens. Et fallait qu’Eelis se colle toujours à ses semblables avec de grands sourires. Bleah. Pourquoi voulait-il lui sauver à ce point la vie, déjà ? Liam reposa son pied par terre, et s’évertua à tracer des sillons dans le parquet de la scène. Solides, oui, pas de doute. Il en avait presque un embryon de sourire satisfait, presque.
▬ Vous montez un cirque ?
Ok. Il allait craquer.
En fait, c’était déjà fait.
Liam venait de piquer un morceau de nourriture à son interlocutrice et l’avait balancé en plein sur le crâne du type aux cheveux blancs. Et il visait bien en plus, le bougre. Le demi-chat eut un petit rictus, avec un peu de chance, ça ferait une bouche en moins qui s’agiterait sans but. Sérieusement, il en pouvait plus. Il retourna s'asseoir. Crrrr. Son orteil traça un nouveau sillon.
Si Eelis ne sortait pas très vite de là, ça allait tourner au massacre. Dans tous les sens du terme.
Il n’était définitivement pas fait pour la socialisation.
- Spoiler:
- Liam répond plus ou moins à Amélia tout en regardant ses pieds nus et en égratignant un peu le plancher de la scène, puis il craque plus ou moins et pique un morceau de bouffe à Amélia avant de lancer en plein sur la tête d’Azrael. Et tout ça sans vraiment bouger de son coin.
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
Personnages : Al, Sydonia, Even, Dylan et Al'
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Date d'inscription : 10/06/2012
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Eelis
Mer 29 Jan - 19:20
« Eh les gens, c'est quoi votre nom ? Moi c'est Alizée, mais tout le monde m'appelle Ziza ! J'aime danser, chanter, courir et regarder les étoiles de mer ! ... Et vous ?
-Eelis. C'est marrant, moi aussi j'aime bien regarder les étoiles de mer ! Dommage qu'il n'en soit pas pareil pour un certain chat.. »
Tu regardes en même temps ce brave Liam qui refuse les avances de son potentiel flirt. Soucieux de le voir s'épanouir, tu lui donnerais bien quelques conseils avisés.. mais la situation est à la fois amusante et importante pour lui. Il finira bien par retrouver le goût de l'amour, un jour ! Tu commences cependant à t'inquiéter lorsqu'il jette de la nourriture sur un pauvre homme qui posait seulement une question au sujet d'un potentiel cirque.
« Euh, il a besoin de se détendre les nerfs, faut pas lui en vouloir. -tu saisis ensuite une grande feuille de salade étrangement épargnée par les convives et la lui tends- Il n'y a pas de serviette, mais ça devrait faire l'affaire ! »
Sans plus de façon, tu te précipites aux côtés de Liam (avec un petit en cas dans les bras), bien décidé à lui expliquer que ce n'est décidément pas une bonne idée de provoquer une bataille de nourriture. Pas ici. Pas maintenant. Pas au milieu de tous ces gens qui ont vu l'horreur, dehors.
Sur le même ton que ce cher Bisoux dans le garage, un peu plus tôt, tu dis solennellement :
« Tu es un profond crétin. »
Tu lui montres alors ton précieux butin : trois paninis à peu près normaux dont il est cependant impossible de deviner le contenu. Comme une pochette surprise.
« Viens. On va prendre l'air ! »
Tu lui agrippes le bras, signifiant qu'il n'a de toute façon pas le choix.
Mais il y a trois paninis, n'est-ce pas ? Tu te tournes vers la jeune fille qui a tenté d'adresser la parole au rustre.
« Voulez-vous venir, mademoiselle ?! Liam sera ravi de faire connaissance avec vous, dans un endroit plus intime. »
Héhéhé. Ne t'en fais pas, Liam, Eelis est là pour te sauver la mise !
-Eelis. C'est marrant, moi aussi j'aime bien regarder les étoiles de mer ! Dommage qu'il n'en soit pas pareil pour un certain chat.. »
Tu regardes en même temps ce brave Liam qui refuse les avances de son potentiel flirt. Soucieux de le voir s'épanouir, tu lui donnerais bien quelques conseils avisés.. mais la situation est à la fois amusante et importante pour lui. Il finira bien par retrouver le goût de l'amour, un jour ! Tu commences cependant à t'inquiéter lorsqu'il jette de la nourriture sur un pauvre homme qui posait seulement une question au sujet d'un potentiel cirque.
« Euh, il a besoin de se détendre les nerfs, faut pas lui en vouloir. -tu saisis ensuite une grande feuille de salade étrangement épargnée par les convives et la lui tends- Il n'y a pas de serviette, mais ça devrait faire l'affaire ! »
Sans plus de façon, tu te précipites aux côtés de Liam (avec un petit en cas dans les bras), bien décidé à lui expliquer que ce n'est décidément pas une bonne idée de provoquer une bataille de nourriture. Pas ici. Pas maintenant. Pas au milieu de tous ces gens qui ont vu l'horreur, dehors.
Sur le même ton que ce cher Bisoux dans le garage, un peu plus tôt, tu dis solennellement :
« Tu es un profond crétin. »
Tu lui montres alors ton précieux butin : trois paninis à peu près normaux dont il est cependant impossible de deviner le contenu. Comme une pochette surprise.
« Viens. On va prendre l'air ! »
Tu lui agrippes le bras, signifiant qu'il n'a de toute façon pas le choix.
Mais il y a trois paninis, n'est-ce pas ? Tu te tournes vers la jeune fille qui a tenté d'adresser la parole au rustre.
« Voulez-vous venir, mademoiselle ?! Liam sera ravi de faire connaissance avec vous, dans un endroit plus intime. »
Héhéhé. Ne t'en fais pas, Liam, Eelis est là pour te sauver la mise !
- Résumé:
- Eelis répond à Ziza, parle à Azrael après que liam lui ait lancé le truc dessus, puis s'approche de ce dernier (en piquant au passage un en-cas sur la table) et lui dit de le suivre. Puis, il propose à Amélia de se joindre à eux.
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Jeu 30 Jan - 17:02
Eelis venait de le traiter de crétin.
Si l’on avait été dans un dessin animé, Liam aurait eu le petit signe de la colère, fermement planté sur le front, et particulièrement palpitant. Pas franchement ravi, il leva d’ailleurs un doigt, un seul, mais avec une griffe légèrement menaçante, probablement à un cheveu de donner son avis personnel sur la chose. Mais voilà, le blond lui coupa l’herbe sous le pied. Et la parole accessoirement (même si techniquement, il n’avait même pas eu le temps d’ouvrir la bouche). Mais. Mais. Mais. Bordel.
▬ Eelis, si tu ne lâches pas tout de suite mon bras, je…
Et re-belotte. Eelis ne l’écoute pas, Eelis reparle, Eelis invite l’autre à les suivre.
Liam pensa très fort « Je vais me le faire », et inversa la prise sur son bras, empoignant solidement le grand blond avant de le tirer derrière lui. Il jeta un ultime coup d’œil dans la salle. Droit vers la jeune femme inconnue. Enfin, œillade meurtrière serait plus exact que simple coup d’œil. Le demi-chat articula silencieusement « Ne. Nous. Suivez. Pas. » d’un air particulièrement accueillant avant de définitivement tirer Eelis hors de cette foutue salle.
Il était fatigué, merde. Et il avait pas besoin qu’Eelis en rajoute une couche.
Vraiment pas.
Si l’on avait été dans un dessin animé, Liam aurait eu le petit signe de la colère, fermement planté sur le front, et particulièrement palpitant. Pas franchement ravi, il leva d’ailleurs un doigt, un seul, mais avec une griffe légèrement menaçante, probablement à un cheveu de donner son avis personnel sur la chose. Mais voilà, le blond lui coupa l’herbe sous le pied. Et la parole accessoirement (même si techniquement, il n’avait même pas eu le temps d’ouvrir la bouche). Mais. Mais. Mais. Bordel.
▬ Eelis, si tu ne lâches pas tout de suite mon bras, je…
Et re-belotte. Eelis ne l’écoute pas, Eelis reparle, Eelis invite l’autre à les suivre.
Liam pensa très fort « Je vais me le faire », et inversa la prise sur son bras, empoignant solidement le grand blond avant de le tirer derrière lui. Il jeta un ultime coup d’œil dans la salle. Droit vers la jeune femme inconnue. Enfin, œillade meurtrière serait plus exact que simple coup d’œil. Le demi-chat articula silencieusement « Ne. Nous. Suivez. Pas. » d’un air particulièrement accueillant avant de définitivement tirer Eelis hors de cette foutue salle.
Il était fatigué, merde. Et il avait pas besoin qu’Eelis en rajoute une couche.
Vraiment pas.
- Spoiler:
- Liam râle (comme d’habitude) puis empoigne à son tour Eelis qu’il traine derrière lui, avant d’articuler silencieusement à Amélia de ne pas les suivre, en plus d’un gentil coup d’œil meurtrier. Eelis et Liam sortent donc tous les deux de la salle.
ps : c'est vraiment tout pourri, pardon. ;;
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Jeu 30 Jan - 21:09
'Savez, parfois qu'j'crois qu'j'ai des pensées maso. Là, par exemple, y a un grand vieux blond -j'vais l'surnommer, uh...M'sieur l'vieux, ouais c'bien, ça- qu'a débarqué, qu'a essayé d'emm'ner M'sieur Snob aut' part, j'chais pas pourquoi. Pour éviter qu'il tue quelqu'un, p'tet ? L'avait l'air de vouloir tester la s'lidité d'ses ongles de pieds sur le parquet, d'taleur.
Bon ! Là, j'ai, euh, deux choix. Ou trois, j'chais pas. P'tet quatre, même ? Bah, c'pas grave ça. Donc. Soit j'suis m'sieur Snob et m'sieur l'vieux, et j'risque de m'faire tuer par l'premier...Mhh...c'pas un bon plan, ça t't bien consid'ré. Mais en même t'mps, j'chais pas p'rquoi, j'envie d'les suivre, rien qu'pour voir les réactions -ou kek'chose du genre.
Ensuite, j'quoi comme solution...j'vais voir les gens ? Mouais...'vont vouloir que j'répare la porte, ou alors j'vais d'voir discuter. J'aime pas ça, moi, discuter quand y a des gens. C'con, ça parle, c'bavard, c'veux jamais s'arr'ter, ça...c'est des gens, quoi ! En plus z'ont foutu en l'air la bouffe. C'pas croyable comme y 'sont pas doués !
Troisième option...troisième option. J'reste posée là ? Ouais, m'c'est pas intéressant, ça. Nan. Et la quatrième...j'me barre r'garder c'qui s'passe ailleurs d'l'bâtiment. Nan, c'chiant ça ! Bon, beh j'pense que j'plus trop l'choix...On va devoir aller suivre les gens !
Et tant pis si j'des envies suicidaires !
...C'est par où, déjà, la porte ?
Bon ! Là, j'ai, euh, deux choix. Ou trois, j'chais pas. P'tet quatre, même ? Bah, c'pas grave ça. Donc. Soit j'suis m'sieur Snob et m'sieur l'vieux, et j'risque de m'faire tuer par l'premier...Mhh...c'pas un bon plan, ça t't bien consid'ré. Mais en même t'mps, j'chais pas p'rquoi, j'envie d'les suivre, rien qu'pour voir les réactions -ou kek'chose du genre.
Ensuite, j'quoi comme solution...j'vais voir les gens ? Mouais...'vont vouloir que j'répare la porte, ou alors j'vais d'voir discuter. J'aime pas ça, moi, discuter quand y a des gens. C'con, ça parle, c'bavard, c'veux jamais s'arr'ter, ça...c'est des gens, quoi ! En plus z'ont foutu en l'air la bouffe. C'pas croyable comme y 'sont pas doués !
Troisième option...troisième option. J'reste posée là ? Ouais, m'c'est pas intéressant, ça. Nan. Et la quatrième...j'me barre r'garder c'qui s'passe ailleurs d'l'bâtiment. Nan, c'chiant ça ! Bon, beh j'pense que j'plus trop l'choix...On va devoir aller suivre les gens !
Et tant pis si j'des envies suicidaires !
...C'est par où, déjà, la porte ?
- Spoiler:
- Amélia tergiverse un moment puis décide de suivre Liam et Eelis.
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Jeu 30 Jan - 21:15
- Eelis. C'est marrant, moi aussi j'aime bien regarder les étoiles de mer ! Dommage qu'il n'en soit pas pareil pour un certain chat...
Ainsi M Lunettes s'appelait Eelis... Et il aimait les étoiles de mer ! Décidément, Eelis et Ziza avait plein de choses en commun (selon cette dernière du moins, parce qu'en réalité...) !
Alizée s'apprêtait à répondre, quand elle remarqua qu'un trèfle à treize feuilles, rose fushia de plus, venait de pointer le bout de son nez depuis sa chaussette.
- KAWAIIIIIIII !
Sans hésiter, elle prit la petite plante dans les mains... Cette chose était vraiment trop choupie ! Ziza était tellement absorbée dans la contemplation de cet élément inattendu, qu'elle ne vit même pas qu'Eelis était parti avec M Neko, suivi de la fille bizarre. (Mais cela ne semblait pas tellement la déranger...)
- Eh les gens, regardez ce truc ! Vous pensez que ça se mange ?
Ainsi M Lunettes s'appelait Eelis... Et il aimait les étoiles de mer ! Décidément, Eelis et Ziza avait plein de choses en commun (selon cette dernière du moins, parce qu'en réalité...) !
Alizée s'apprêtait à répondre, quand elle remarqua qu'un trèfle à treize feuilles, rose fushia de plus, venait de pointer le bout de son nez depuis sa chaussette.
- KAWAIIIIIIII !
Sans hésiter, elle prit la petite plante dans les mains... Cette chose était vraiment trop choupie ! Ziza était tellement absorbée dans la contemplation de cet élément inattendu, qu'elle ne vit même pas qu'Eelis était parti avec M Neko, suivi de la fille bizarre. (Mais cela ne semblait pas tellement la déranger...)
- Eh les gens, regardez ce truc ! Vous pensez que ça se mange ?
- Résumé:
- Ziza est contente de savoir enfin le prénom de quelqu'un. Elle remarque soudain le trèfle et demande aux dessinateurs si ça se mange.
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Jeu 30 Jan - 21:32
Où suis-je...Ah, oui. Le banquet. le banquet. Et un hot-dog. Et des gens qui parlent. Et une partie de ce qui était sur la table, sur les genoux. Je me demande si il y a du linge de rechange quelque part dans cet endroit ? Probablement, c'est assez grand, il y a bien une buanderie ou quelque chose du même acabit. J'irai voir, quand j'aurai fini mon hot-dog. Bon sang, ce truc m'a requinqué, je pense que je pourrais presque me lever si...Mh ?! J'ai quelque chose dans le nez ! Essayer de le récupérer...Pas de mouvements brusques.
...Je suis tombé de ma chaise, je crois. Oui. Je suis par terre, et je me suis cogné, d'ailleurs. Ca fait mal. Si tomber fait toujours mal, je pense que je peux dire que je ne suis pas mort...? Sans doute. J'ai la chose devant les yeux. C'est...un trèfle ? Trop de feuilles. Je vais quand même dire que c'est un trèfle. Il faudrait que je l'attrape, je vais essayer de le récupérer avec ma bouche...
"Glup."
Je l'ai avalé.
...Je suis tombé de ma chaise, je crois. Oui. Je suis par terre, et je me suis cogné, d'ailleurs. Ca fait mal. Si tomber fait toujours mal, je pense que je peux dire que je ne suis pas mort...? Sans doute. J'ai la chose devant les yeux. C'est...un trèfle ? Trop de feuilles. Je vais quand même dire que c'est un trèfle. Il faudrait que je l'attrape, je vais essayer de le récupérer avec ma bouche...
"Glup."
Je l'ai avalé.
- Spoiler:
- Hannibal tombe de sa chaise en essayant de déloger le trèfle de sa narine, puis l'avale en tentant de l'attaper avec sa bouche. Non, il n'a pas pensé qu'il avait des bras.
Jeu 30 Jan - 21:56
Et soudain, tout bascula. Cette fois, il n'était pas question de tuyau, de trappe embusquée ou de nouvelle incitation au voyage ; et vous n'auriez pas droit à une nouvelle tempête.
Un bruit fracassant se fit entendre au centre de l'Opéra ; la table venait d'être écrasée par un mystérieux poids tombé du plafond. Les mets furent, au choix, éjectés de part de d'autre de la gigantesque salle ou tout simplement écrabouillés. Ziza, Kim Ji-Sung et William Woodborn réceptionnèrent entre autres une merveilleuse rasade de vinaigrette en plein visage, tandis qu'Hannibal dut affronter un essaim de pâtes coquillettes de part et d'autres de son cada... de son corps. Ou de ce qu'il en restait.
De son côté, la masse en question gesticula vaguement.
C'était un être humain des plus normaux, quoi que légèrement en lambeaux. Peau claire, âge assez avancé, sexe masculin, visage et corps plutôt -beaucoup, même- arrondis, cheveux ébouriffés, vêtements tâchés et déchirés. Une tranche de tomate à moitié dévorée dans la main.
Un être humain, comme vous.
Un type étrange est donc tombé du plafond, c'est donc un PNJ contrôlé par vos chers MJs. à vous de voir ce que vous en faites (pour l'instant, il est à peine conscient)
Bon RP
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Jeu 30 Jan - 22:34
Azraël tapait toujours gaiement dans ces mains jusqu’à ce que quelque chose ne lui tombe mollement sur la figure. Il passa ses doigts sur ces yeux et découvrit le projectile, de la nourriture. Sans aucune autre forme de procès il fourra la découverte tombé du ciel dans sa bouche. Pas des sucreries mais pas mauvais. Un homme vint lui donner une salade en guise de serviette, Azraël observa la laitue avec méfiance. Il n'aimait pas les légumes, ils étaient démoniaques. Néanmoins il retira une bonne partie de la sauce de son visage grâce au vile aliment.
L'ami des laitues et son terrible..ment mignon agresseur déguisé en chat venait de quittés la pièce... Eh ! Dommage ! Il aurait bien aimé caresser les oreilles touffues de son agresseur !
Le magicien au trèfle vient de le mangé, l'ancien interné espérait vraiment qu'il changerait d'apparence après l'avoir fait ainsi disparaître, le spectacle n'en serait que plus beau !
Mais dans ce magnifique théatre qu'était Esquisse, il n'avait pas le temps de s'ennuyer, déjà un autre évènement venait pimenter le spectacle ! Une masse informe qu'il identifiait comme humain venait de faire son entrée.
-Bravo ! s'exclama Azraël. Vous êtes très doués !
Il sautillait et applaudissait, il lui restait encore de la sauce sur le visage mais cela ne paraissait pas le déranger.
L'ami des laitues et son terrible..ment mignon agresseur déguisé en chat venait de quittés la pièce... Eh ! Dommage ! Il aurait bien aimé caresser les oreilles touffues de son agresseur !
Le magicien au trèfle vient de le mangé, l'ancien interné espérait vraiment qu'il changerait d'apparence après l'avoir fait ainsi disparaître, le spectacle n'en serait que plus beau !
Mais dans ce magnifique théatre qu'était Esquisse, il n'avait pas le temps de s'ennuyer, déjà un autre évènement venait pimenter le spectacle ! Une masse informe qu'il identifiait comme humain venait de faire son entrée.
-Bravo ! s'exclama Azraël. Vous êtes très doués !
Il sautillait et applaudissait, il lui restait encore de la sauce sur le visage mais cela ne paraissait pas le déranger.
- Resumé:
- Azraël ne se formalise pas du tout de l'agression alimentaire et s'extasie devant l'apparition croyant toujours (et dure comme fer) que tout ceci est enfaite une pièce de théatre ou un cirque.
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Jeu 6 Fév - 13:03
De la... Vinaigrette ?
Ce n'était pas parce que Ziza avait demandé si le trèfle se mangeait qu'il fallait lui envoyer une salve de vinaigrette ! C'était son trèfle kawaii après tout, pas la peine d'être jaloux et d'en faire des salades !
La surprise passée, Ziza constata plusieurs choses :
1) Elle ne s'était pas la seule à s'être pris la vinaigrette dans la tête.
2) Un homme, ou quelque chose qui y ressemblait beaucoup venait d'apparaitre dans la pièce.
3) Un autre monsieur avec des cheveux blancs était émerveillé par les événements qui se déroulaient.
La conclusion fut rapide : le monsieur aux cheveux blancs était un vilainméchantpasbeau qui veut conquérir le monde et réaliser son plan machiavélique. Pour cela, il a rassemblé tous les dessinateurs (ou presque) dans l'Opéra. Ensuite, avec l'aide de son complice qui venait de tomber, il a envoyé de la vinaigrette toxique sur tout le monde !
Ce plan était tout bonnement abominable, il fallait réagir ! Ziza garda son sang-froid et décida de questionner le complicer du vilainméchantpasbeau.
- Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? Aimez-vous les étoiles de mer ?
En fonction de ses réponses, Ziza prendrait une décision. Et de toute façon, c'est toujours les gentils qui gagnent à la fin.
Ce n'était pas parce que Ziza avait demandé si le trèfle se mangeait qu'il fallait lui envoyer une salve de vinaigrette ! C'était son trèfle kawaii après tout, pas la peine d'être jaloux et d'en faire des salades !
La surprise passée, Ziza constata plusieurs choses :
1) Elle ne s'était pas la seule à s'être pris la vinaigrette dans la tête.
2) Un homme, ou quelque chose qui y ressemblait beaucoup venait d'apparaitre dans la pièce.
3) Un autre monsieur avec des cheveux blancs était émerveillé par les événements qui se déroulaient.
La conclusion fut rapide : le monsieur aux cheveux blancs était un vilainméchantpasbeau qui veut conquérir le monde et réaliser son plan machiavélique. Pour cela, il a rassemblé tous les dessinateurs (ou presque) dans l'Opéra. Ensuite, avec l'aide de son complice qui venait de tomber, il a envoyé de la vinaigrette toxique sur tout le monde !
Ce plan était tout bonnement abominable, il fallait réagir ! Ziza garda son sang-froid et décida de questionner le complicer du vilainméchantpasbeau.
- Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? Aimez-vous les étoiles de mer ?
En fonction de ses réponses, Ziza prendrait une décision. Et de toute façon, c'est toujours les gentils qui gagnent à la fin.
- Résumé:
- Ziza est persuadée qu'Azraël est un méchant, et que l'homme qui vient de tomber est son complice. Elle questionne ce dernier pour savoir qui il est.
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Dim 9 Fév - 11:48
Tout en fixant la nourriture devant moi avec cet air que je jugeais seulement comme pensif mais qui aurait pu être interprété autrement par quelqu’un d’autre, j’entendais des gens parler. Je ne faisais pas vraiment attention à ce qu’ils se disaient, je ne faisais même pas semblant. Je me contentais d’entendre les voix. Je me remettais de mes émotions, une fois de plus. J’attendais que les picotements se passent tout en fixant un chou à la crème violette comme mon sang.
Sérieusement, du sang violet ? Pourquoi ? Je ne me posai pas plus que ça la question, mais j’en avais plein partout de manière vraiment dégoûtante. La moitié avait à peu près coagulé et seules les plaies sur mon visage et sur mes coudes saignaient encore.
« Honk. » Ce bruit se mit soudain dans ma tête et, comme il était fort désagréable à entendre, je tournai la tête pour en connaitre l’origine. Je me retournai sur ma chaise pour mieux observer les gens, mais apparemment, j’étais le seul à avoir entendu le bruit assourdissant de cette corne. Ce son se répéta plusieurs fois et je me tins la tête pour essayer de le faire partir, en vain. Je ne remarquai donc la chose tomber que lorsque celle-ci percuta violemment la table.
Les sons furent partis, mais je me pris une bonne rasade de ce que j’identifiais comme du vinaigre. Beurk, moi qui n’aimais pas ça… Mais le plus important était que mes plaies ne supportaient carrément pas ce liquide, et se mirent à me brûler vivement. Je me dépêchai de frotter le tout avec mon bras… Bon sang, je devais en avoir plein le visage, de mon hémoglobine violette. Après avoir frotté comme un fou –et donc m’être procuré tiraillements et saignements- je regardais, avec mes yeux chauds comme lorsque l’on est malade, la masse de ce qui ressemblait… À un gros homme. Sa masse corporelle devait bien faire le double de la mienne, même s’il était de taille légèrement plus réduite.
Je me levai de ma chaise pour aller m’accroupir à côté de ce que j’avais identifié comme étant la tête et je penchais mon oreille pointue au-dessus de sa bouche ; il respirait encore. Je me retournai et tentai de dire quelque chose. Mais tout ce qui sortit fut un long souffle, comparable à un dernier soupir. Je devais communiquer autrement, il m’avait semblé. Je commençais alors à faire signe aux gens d’approcher avec un mouvement d’invitation avec ma main droite et reportais mon attention sur l’homme. Il bougeait comme une larve à qui on avait coupé la tête… et cette pensée me mit très mal à l’aise. Il fallait que je lui vienne en aide… mais seul, j’avais peur de faire pire que mieux.
- Résumé:
- William entend un bruit désagréable (dans sa tête), puis, lorsque bouboule tombe et l’asperge de vinaigre, il s’essuie avec le bras et s’enquit de la santé du tombé. Il fait signe à qui veut bien le voir d’approcher pour l’aider à soigner le blessé.
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Sam 22 Fév - 1:57
Ok. Calme. Respire.
… Non mais non. C’en était trop ! On pouvait pas se remplir la panse tranquille, non ? Il fallait que quelqu’un vienne semer la pagaille toutes les deux minutes ?! Bon sang, mesdames les développeuses, on a compris que vous aimiez nous en mettre plein la tronche ! Rah, bien un truc de filles de saouler les braves gens… Bon. En tout cas, la drag queen en rose, le vieux taré blond et l’espèce de thon aux cheveux orange étaient partis, ça donnait un peu d’air… Essayons de prendre les choses du bon côté.
Mais il n’y avait pas de bon côté, merde !
Tout allait mal, décidément.
Attrapant quelque chose qui ressemblait vaguement à une serviette, je m’essuyai les cheveux et le visage, tandis que le type que je devais avoir plus ou moins traumatisé essayait sans doute de ranimer le bonhomme qui avait saccagé mon repas. MON repas. Aucun respect pour la nourriture ! Ni pour les enfants ! Il y avait une gamine, bon sang ! Je regardai le trou béant dans le plafond. Je me demandais bien ce que ce mec en blouse faisait là. Il ne pouvait pas manger à table comme les gens civilisés, non ?
De nouveau debout sur la table, je m’avançai vers l’intrus, puis m’agenouillai, avant de m’adresser au mec tout violet :
« Eh, l’aubergine. Je suis pas médecin, mais je pense que si ce type avait mal quelque part, il hurlerait. Très fort. »
Je pinçai la grosse joue molle de l’individu, enfonçant mes ongles plus ou moins crades dans sa peau. Erk. Qu’est-ce qu’il faut pas faire pour avoir une vie tranquille...
« Oh hé ! Ici c’est pas le dortoir, donc tu ferais mieux de te réveiller ! On t’a jamais appris à entrer par la porte ? »
Je lui tapotai le crâne avant d’observer l’assemblée autour de la table d’un air suspicieux : la gamine qui n’avait pas l’air très inquiète – la pauvre, si insouciante…-, une sorte de mort-vivant, un clown aux cheveux blancs et à l’air pas net, et enfin Monsieur l’aubergine. Bref, aucun individu assez sain d’esprit pour me soutenir. Je soupirai. Quelle journée, je vous jure…
… Non mais non. C’en était trop ! On pouvait pas se remplir la panse tranquille, non ? Il fallait que quelqu’un vienne semer la pagaille toutes les deux minutes ?! Bon sang, mesdames les développeuses, on a compris que vous aimiez nous en mettre plein la tronche ! Rah, bien un truc de filles de saouler les braves gens… Bon. En tout cas, la drag queen en rose, le vieux taré blond et l’espèce de thon aux cheveux orange étaient partis, ça donnait un peu d’air… Essayons de prendre les choses du bon côté.
Mais il n’y avait pas de bon côté, merde !
Tout allait mal, décidément.
Attrapant quelque chose qui ressemblait vaguement à une serviette, je m’essuyai les cheveux et le visage, tandis que le type que je devais avoir plus ou moins traumatisé essayait sans doute de ranimer le bonhomme qui avait saccagé mon repas. MON repas. Aucun respect pour la nourriture ! Ni pour les enfants ! Il y avait une gamine, bon sang ! Je regardai le trou béant dans le plafond. Je me demandais bien ce que ce mec en blouse faisait là. Il ne pouvait pas manger à table comme les gens civilisés, non ?
De nouveau debout sur la table, je m’avançai vers l’intrus, puis m’agenouillai, avant de m’adresser au mec tout violet :
« Eh, l’aubergine. Je suis pas médecin, mais je pense que si ce type avait mal quelque part, il hurlerait. Très fort. »
Je pinçai la grosse joue molle de l’individu, enfonçant mes ongles plus ou moins crades dans sa peau. Erk. Qu’est-ce qu’il faut pas faire pour avoir une vie tranquille...
« Oh hé ! Ici c’est pas le dortoir, donc tu ferais mieux de te réveiller ! On t’a jamais appris à entrer par la porte ? »
Je lui tapotai le crâne avant d’observer l’assemblée autour de la table d’un air suspicieux : la gamine qui n’avait pas l’air très inquiète – la pauvre, si insouciante…-, une sorte de mort-vivant, un clown aux cheveux blancs et à l’air pas net, et enfin Monsieur l’aubergine. Bref, aucun individu assez sain d’esprit pour me soutenir. Je soupirai. Quelle journée, je vous jure…
- Résumé:
Kim remonte sur la table, parle à William puis tente de réveiller le nouvel arrivant en lui parlant et en le frappant.
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Dim 23 Fév - 17:35
Tout le monde avait l'air très inquiet. Ils avaient ratés le tour de magie ? Azraël le trouvait très bien comme ça lui ... Bien que si l'apparition du plafond se mettait a danser il serait très impressionné, se dit il en hochant gravement la tête tout seul dans son coin. Peut être ... N'était ce pas un tour de magie ! Frapper de stupeur il observa les gens autour de lui avec méfiance. Que pouvait biens signifier ce mascarpone ? .... Non c'était pas le terme, masque a rat ? Masca..rade ? Uh, peut être.
Il devait en juger par lui même, l'ancien interné se saisit de sa canne lordesque adossé plutôt sur le buffet et s’accroupit près de l'étrange apparition. Il enfonça le bout du bâton dans la narine de l'inconnu et le secoua un peu histoire d'obtenir une réaction. Sans succès.
Damnation.
La jeune femme au manière de camionneur avait dit quelque chose a propos d'aubergine, parlait elle du messieurs accroupis près de lui ou de l'apparition ? Après tout on ne peut savoir quelle couleur ont les aubergines dans ce monde... Cela l'amenait à penser qu'on pouvait produire de l’électricité en plongeant une pastèque dans de l'eau glacé. Cela marchait il avec un homme aubergine ?
- Pensez vous qu'en le plongeant dans de l'eau froide on obtiendrait du courant ? questionna t'il la mine sérieuse et concentré.
Il devait en juger par lui même, l'ancien interné se saisit de sa canne lordesque adossé plutôt sur le buffet et s’accroupit près de l'étrange apparition. Il enfonça le bout du bâton dans la narine de l'inconnu et le secoua un peu histoire d'obtenir une réaction. Sans succès.
Damnation.
La jeune femme au manière de camionneur avait dit quelque chose a propos d'aubergine, parlait elle du messieurs accroupis près de lui ou de l'apparition ? Après tout on ne peut savoir quelle couleur ont les aubergines dans ce monde... Cela l'amenait à penser qu'on pouvait produire de l’électricité en plongeant une pastèque dans de l'eau glacé. Cela marchait il avec un homme aubergine ?
- Pensez vous qu'en le plongeant dans de l'eau froide on obtiendrait du courant ? questionna t'il la mine sérieuse et concentré.
- Résumé:
- Azraël réalise doucement que ce n'est ni un cirque ni une pièce de théatre. Il s'accroupit près de l'home tomber du plafond et le secoue en enfonçant le bout de sa canne dans sa narine pour raison connue de lui seul (aucune, quoi). Il demande au autres si on peut faire de l’électricité avec un corps comme celui-ci.
Messages : 1044
Date d'inscription : 24/06/2012
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Folie d'Esquisse
Jeu 27 Fév - 22:43
La mine boursouflée du nouvel arrivant se tailla d’un rictus crispé, et celui-ci émit quelques grognements, ou quelque chose qui y ressemblait vaguement. Ce qui signifiait qu’il était vivant, au moins. Ou à peu près. L’homme ouvrit les yeux et bâilla, dévoilant sa magnifique dentition plus ou moins soignée, puis s’étira avec une telle force qu’il repoussa les deux personnes qui essayaient de le réveiller. Il cligna des yeux quelques instants, regarda à droite, à gauche. Puis il se leva brusquement, fièrement dressé sur la table, époussetant ses vêtements déchirés comme si de rien n’était.
« Cucurbitacées de bande, salut ! »
(traduction : « Salut, bande de cucurbitacées ! »
L’inconnu fronça les sourcils, perdant un peu de sa superbe – il faut dire qu’il n’en avait déjà pas beaucoup.
« Soyez ne inquiets pas ma de visite, ne je fais passer que ! »
(traduction : « Ne soyez pas inquiets de ma visite, je ne fais que passer ! »)
Il descendit de la table, adoptant une allure quasi-princière, avant de se prendre les pieds dans la nappe et de dégringoler. Encore.
« Cucurbitacées de bande, salut ! »
(traduction : « Salut, bande de cucurbitacées ! »
L’inconnu fronça les sourcils, perdant un peu de sa superbe – il faut dire qu’il n’en avait déjà pas beaucoup.
« Soyez ne inquiets pas ma de visite, ne je fais passer que ! »
(traduction : « Ne soyez pas inquiets de ma visite, je ne fais que passer ! »)
Il descendit de la table, adoptant une allure quasi-princière, avant de se prendre les pieds dans la nappe et de dégringoler. Encore.
Le mystérieux inconnu semble vouloir partir de la pièce comme si de rien n'était, mais il est tombé ! A vous de voir si vous le laissez ramper jusqu'à la sortie, ou si vous le retenez par quelque moyen ninja !
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Ven 28 Fév - 13:02
Toute l'attention était dirigée vers le gros monsieur tombé de nulle part. Les gens de l'Opéra essayait de le réveiller par tous moyens possibles, il y avait même une personne qui souhaitait le plonger dans l'eau froide pour faire de l'électricité ! (Ce qui n'était d'ailleurs pas une si mauvaise idée...) Ziza se tenait à quelques mètres de l'individu, l'observant à distance. Il faut toujours se méfier des adultes.
Puis soudain, le monsieur se réveilla. Il se leva brusquement, écartant au passage les hommes près de lui. Ziza sursauta.
- Cucurbitacées de bande, salut !
Une bande de cucurbitacées l'avait donc salué ?
- Soyez ne inquiets pas ma de visite, ne je fais passer que !
Il parlait bizarrement, mais la petite fille comprenait plus ou moins qu'il voulait quitter la pièce.
Mais avant qu'elle ne puisse réagir, l'individu se prit les pieds dans la nappe et dégringola de nouveau.
- Vous allez bien ? Ne partez pas tout de suite, on a des cookies en forme d'étoile de mer !
Derrière les paroles de la petite fille se cachait un terrible stratagème : personne ne résiste aux cookies étoiles de mer ! Oui, Ziza se méfiait toujours mais la seule chose qu'elle savait, c'est qu'elle ne voulait pas qu'il s'en aille tout de suite. Il pourrait peut-être lui parler de la réserve de chocolat...
Puis soudain, le monsieur se réveilla. Il se leva brusquement, écartant au passage les hommes près de lui. Ziza sursauta.
- Cucurbitacées de bande, salut !
Une bande de cucurbitacées l'avait donc salué ?
- Soyez ne inquiets pas ma de visite, ne je fais passer que !
Il parlait bizarrement, mais la petite fille comprenait plus ou moins qu'il voulait quitter la pièce.
Mais avant qu'elle ne puisse réagir, l'individu se prit les pieds dans la nappe et dégringola de nouveau.
- Vous allez bien ? Ne partez pas tout de suite, on a des cookies en forme d'étoile de mer !
Derrière les paroles de la petite fille se cachait un terrible stratagème : personne ne résiste aux cookies étoiles de mer ! Oui, Ziza se méfiait toujours mais la seule chose qu'elle savait, c'est qu'elle ne voulait pas qu'il s'en aille tout de suite. Il pourrait peut-être lui parler de la réserve de chocolat...
- Résumé:
- Ziza est surprise de voir le monsieur se lever. Quand il s'étale par terre, elle fait mine de s'inquiéter pour lui et lui propose des cookies étoile de mer.
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Mar 4 Mar - 13:35
Alors qu'il était en quête d'aventures dans les couloirs près de l'armurerie, Pikachu fut transporté dans l'Opéra et s'étalait sur une grande table digne des salles à manger les plus classes. Il s'assit, ne se rendant même pas compte qu'il était sur une immense pièce-montée toute en gelée verte qui devait faire pas moins de 35 mètres, ce qui lui donnait un air supérieur (même si son piédestal gigotait de gauche à droite et faisait des bruits glougloutants relativement répugnants) , regardait d'un air inquiet les environs, mais, malgré sa sublime arrivée, l'attention était sur quelqu'un d'autre. Pikachu observait la scène de haut quand soudain, il se souvint de quelque chose: Il lui fallait retrouver Sacha! Sans plus attendre, il s'adressait à toutes les personnes présentes dans l'Opéra et cria:
..............................................................................................................................................................................
«Vous auriez pas vu Sacha?»
J’attendis ma réponse, puis croquait dans mon trône.
Deux minutes et cinquante-six secondes passèrent, temps qui me parut interminable, j'avais envie de jouer.
J’aperçus une petite fille et je me suis dit qu'elle aurait sûrement envie de jouer avec moi. Je m'écriais:
«Eh coucou, tu veux jouer?»
..............................................................................................................................................................................
Le pauvre petit Pikachu n’eut pas le temps d'entendre sa réponse, car le morceau qu'il avait pris dans son trône fit pencher celui-ci, à tel point que le jeune garçon fut éjecté dans les airs et s'étala sur l'homme au sol, puis l'immense gâteau-gelée tombait sur les deux, tout en éclaboussant jusqu'aux balcons les plus hauts de l'Opéra.
..............................................................................................................................................................................
- Résumé:
- (Déjà je rappelle que mon perso est un petit garçon avec un costume de Pikachu qui se prend pour celui-ci, pas le pokémon lui-même, je précise hein ^^) Pikachu tombe du plafond de l'opéra et arrive sur une pièce montée en gelée en forme de trône, demande à tout le monde en criant si quelqu'un n'aurait pas vu Sacha, demande à Ziza si elle veut jouer, tombe sur l'homme au sol, la pièce montée tombe sur lui et éclabousse dans tout l'Opéra, bref, comme à son habitude il fait une entrée discrète et délicate.
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