[TOIT] OPPORTUNITÉ N°1 ▬ Ne m'ouvrez pas !

Opportunité n°1

Le toit semblait être l'endroit le plus calme du complexe. Légèrement effleuré par les vents, il n'avait pas encore été exploré par les dessinateurs. Pour une raison probablement floue, celui-ci était enduit de couscous caramélisé, ni collant ni poudreux. Juste assez pour glisser convenablement et tomber dès le premier pas.

Ce fut le tragique destin de ce qui s'écroula dessus. L’innocent paquetage jaune poussin, aussi gros qu'une valise, se retrouva propulsé plus vite qu’un violoncelle au galop le long du toit lorsque, heureusement, une brise favorable le poussa droit vers l’unique meuble présent sur les lieux : une chaise de camping d'un style douteux, à en croire les motifs en forme de chinchillas qui l'ornaient. Le colis se trouvait dans un état plus que précaire, balloté de tous les côtés, tandis qu'il couinait douloureusement -tel une alarme- de "pouet" stridents. Sur son ruban azur, partiellement décollé, trônait en lettres manuscrites un provoquant « NE M'OUVREZ PAS ».

Mais auriez-vous raison d'obéir ?

EXPLICATIONS

• Si vous souhaitez aider ce pauvre paquet (ou provoquer son accidentelle chute), il vous suffit de répondre à la suite comme s'il s'agissait d'un sujet commun.
• Le nombre de participants est illimité, mais à 15 sur le toit cela risque d'être un peu serré.
• Afin de privilégier l'action, merci de ne pas dépasser les 15 lignes, même si nous ne frapperons pas ce qui feront un peu plus, tant que cela reste raisonnable.
• Si vous choisissez d'ouvrir le paquet, merci d'attendre l'intervention du MJ pour qu'il vous raconte ce que vous trouvez.
• Si personne n'agit, le colis sera éjecté par la force de la nature le 10 Novembre.

Opportunité nº1

Cerise était désormais sur le toit du bâtiment. Après son intervention dans la salle colorée, elle avait décidé d'aller explorer un peu cet étrange endroit. Enfin, elle n'était pas encore sur le haut de l'énorme bâtisse. Pour la simple et bonne raison qu'elle ne pouvait pas y aller. Le toit était recouvert du substance douteuse, à savoir tu couscous et du caramel. Mélange écoeurant, certe, mais ce n'était pas pour cela que Cerise ne s' y rendait pas. Elle avait deviné que l'endroit été "piégé" en quelque sorte. On ne pouvait marcher sur ce toit, sinon, on glissait, puis on s'écrasait par terre. chose que l'adolescente ne voulait pas faire.

Elle regarda le toit. En temps normal, il aurait dû être vide. Seulement, un petit paquet jaune avec un ruban bleu qui tenait difficilement grâce à une chaise de camping. Cerise, d'abord étonné, ne tarda pas à entendre les gémissements sridents du paquet. Aucun doute, elle devait aller le chercher. Mais commrnt ? Elle chercha du regard quelque chose d'utile dans ses conditions.

Harcelé par des « pouet » aussi stridents que désagréables, Diablo décida qu’il allait faire cesser ce vacarme. Maintenant.
Par irritation, et peut-être prudence, l’adolescent fit prendre à leur petit duo amoché la direction du toit, qu’ils atteignirent plutôt rapidement, étant donné qu’il ne savait strictement pas où il allait. Les quelques « Toit ? » qu’il avait grogné aux dessinateurs présents n’ayant pas vraiment trouvé preneur. Une telle impolitesse lui aurait fait se mordre les doigts, en temps normal.
En temps normal.
Diablo plissa les yeux, observant rapidement les lieux, ne donnant qu’un bref signe de tête en guise de salut à la demoiselle aux cheveux roses. Il fit volte-face et observa quelques instants celle qui l’accompagnait. Probablement pour s’assurer qu’elle ne s’évanouirait pas s’il la laissait cinq minutes. L’examen dû être concluant, puisqu’il se détourna et lui lâcha la main.

▬ Je reviens. Ne bouge pas.

Ça semblait presque aussi s’adresser à l’autre jeune fille, qui observait attentivement ce qui les entourait. Galanterie, sursaut héroïque, simple prudence, difficile à dire : Mais Diablo allait s’occuper de ce paquet.
Tout de suite.

Suivant une idée aussi boiteuse que fulgurante, il recula, prit autant d’élan que possible, et s’élança. Pshiouuuuut. Diablo traversa le toit en un temps record. Si record qu’il était à deux doigts de finir dans la cour. Mais il avait un plan.
Enfin, « plan »...

Il lâcha d’un coup son ballot au sol, en y restant bien accroché, pesant de tout son poids. L’ensemble partit dans une vrille assez vicieuse, qui se finit par un « AOUTCH » assez violent contre le siège de camping, qui lui, malheureusement, s’envola du toit. Diablo tendit la main in extremis pour rattraper le paquet, tirant de toutes ses forces sur l’une de ses attaches. Bien sûr, vu le côté douteux de la stratégie, tout ce beau monde manqua de se fracasser le crâne plus bas (enfin surtout lui). Et Diablo remercia un peu toutes les divinités qu’il connaissait d’être encore sur place.
Puis il donna léger coup de pied à l’imposant paquet, qui glissa paresseusement sur le caramel, pour s’arrêter docilement aux pieds des deux jeunes filles.

Qu’elles se chargent de son ouverture.
Lui, il allait devoir trouver un moyen de re-glisser dans l’autre sens.
Sans manquer de passer par-dessus bord, cette fois, de préférence.

Spoiler:

J'étais désormais dans cette base. Ce refuge. Mais, je trouvais qu'il y avait trop monde, je me sentais oppressée à l'entrée. Me demandant où je pouvais bien aller, elle ne se gêna pas pour gêner mes pensées.

Pandooooore, tu penses trop voyons. Ne réfléchis plus. Tu pollues mon esprit et je n'aime pas ça. J'étais en train de compter les paires de ciseaux que je possède et cela ne m'aide pas ! Donc arrête de penser et redevient l'huître sans cervelle que tu étais avant.

Elle m'énerve à ricaner. Elle m'énerve, elle m'énerve. Tu m'énerves !

J'ai envie de me rendre sur le toit. Ce toit. Ce qui pourrait me séparer du ciel et de la terre. Calme, paisible. L'endroit parfait. Enfin, non pas vraiment, il n'était pas accessible, disons qu'il était un peu glissa et que je ne voulais pas me risquer à y grimper.

Je n'étais pas seule, deux jeunes demoiselles étaient présentes. Et un jeune homme qui avait fait des cabrioles et qui avait réussis à amener un joli paquet jaune poussin aux pieds des demoiselles. Je me suis approchée et on pouvait clairement y lire "Ne m'ouvrez pas" sur le ruban bleu qui l'ornait.

Tu te rappelles ? Cette boîte interdite... Pandore... Tes doigts l'avaient tellement effleurés que tu connaissais ses reliefs par coeur. Tu n'avais pas le droit de l'ouvrir. Idiote ! Elle te faisait tellement envie. tu l'avais ouverte. Et voilà où tu en es.

Je fis un pas en arrière.

Spoiler:

Un énorme paquet jaune poussin au couinement agaçant arriva à tes pieds. Parce qu’auparavant, le jeune garçon qui te trainais où il voulait t’a amenée sur ce toit. Tu n’avais rien demandé, mais tu n’avais pas plus rechigné, tu te fichais en fait de là où tu allais atterrir. Après quelques prouesses plus ou moins discutable de mon point de vue, il lança le paquet vers toi et la fille rose à côté de qui tu t’étais placée machinalement, ni trop près ni trop loin.

Donc ce paquet, était inscris « ne m’ouvrez pas ». Pourquoi une telle demande ? Un paquet aussi gros doit contenir quelque chose d’important, après tout, c’est normal que le propriétaire ne veuille pas qu’on l’ouvre ! Te disais-tu.

Mais moi, je voulais savoir ce qu’il y avait à l’intérieur. Alors sans même attendre que tu te penches pour regarder de plus près, je t’entrainai vers lui pour dépouiller ce paquet et l’ouvrir. Tu tenta de m'arrêter, désespérément, mais tu étais affaiblie par ta chute, même ton mental habituellement suffisant pour l'empêcher de trop faire ce que je veux avait pris congé.

Je me fichais des conséquences puisque c’est toi qui vas les subir ! Puisque jusque là, c'est toi et toi seule qui souffre !

Résumé : La main chauve-souris de Cydna s'empressa d'ouvrir le paquet par pur curiosité et parce qu'elle sait qu'elle ne risque rien.

Messages : 1044 Date d'inscription : 24/06/2012

Et le paquet -sur lequel est toujours vulgairement noué "NE M'OUVREZ PAS"- s'ouvrit. Ses rabats se séparèrent brutalement, dans un discret feu d'artifice. Ce colis ne semblait pas si mécontent de votre désobéissance. De l'ouverture désormais béante dépassait déjà une maigre feuille d'arbre jaune, aussi gigantesque que deux paumes de main. Un mot en police calligraphiée.

Bienvenue.

Un mot, mais combien de mystères ?

Contenu du colis

- Lot d’Eponges Fluo Verte avec petits...flamants roses violets (ouais ça sonne bien), étiquette :: mâcher par petit bout et recracher la pâte obtenu pour l’étaler sur votre tête, efficace contre les migraines de toutes sortes. Deux doses maximum par jour, sous peine de divers effets secondaires. (et hélas l’étiquette est bouffé en bas).
- Coffret premium de papillons bleus vivants à doubles-ailes, étiquette : Conserver dans les narines (de préférence, bien enfoncer, sous peine de désagrément nocturnes) pendant toute une nuit pour guérir les écorchures diverses et variées sur la peau. Si vous les respirez le jour, risque de brûlures d'estomac. Ne pas mettre dans les oreilles. Ne fonctionne pas si vous tuez les papillons.
- Lot promotionnel contenant environ 5 chaussettes Mickey Mouse, étiquette :: Insérez votre main à l'intérieur et plongez le tout dans une marmite d'eau bouillante pour guérir un membre cassé. Renouveler l'opération plusieurs fois si nécessaire ; ne pas enlever la chaussette moins d'un jour après sous peine d'avoir les yeux rouges et violets.
- Kit de poignées de porte miniatures, étiquette :: Faire fondre avec du saucisson, de la crème chantilly et des nuggets froides. Ajouter la mixture à votre bain et en boire une gorgée tout en tournant la tête à 45° vers la droite et en pensant au Père Noël. Permet de guérir la soif et de redonner des forces.
- Plusieurs boîte de Cartouche SUPER MARIO BROS (bordel d’où viennent-elle ?), étiquette :: émietter dans un verre (conseil : munissez vous d’un objet contondant) de coca light cerise (cas échéant, de limonade ou d’eau gazeuse) et remuer le mélange une minute, à cloche-pied, en chantant une chanson traditionnel suisse, avec une cuillère à plumes. Réduit l’importance des brûlures et entame le processus de guérison, tout degré confondu.
- Salopette Homer Simpson à froufrous, étiquette :: Faire porter pendant deux jours à votre pire ennemi pour le rendre ridicule. Marche à tous les coups. Ne pas enlever pendant le traitement, sous peine de voir le rival en question se venger.
- Donuts Bisounours (vous n’avez jamais vu un glaçage aussi rose et pailletté !), étiquette :: caresser doucement le donuts, sans le brusquer, sous peine de le voir hurler des insanités en Bisounours (paradoxal, nous en convenons), puis écraser d’un bon coup de talon en le prenant par surprise, de préférence à pieds nus, sous peine de devoir manger ce qu’il y a sous vos chaussures. Ramasser le mélange obtenu et l’étaler sur une brosse à cheveux (ne pas confondre avec une brosse à dent !!). Vous donne pour 24H une haleine plus fraîche que la rose, et un sourire… étincelant ! Effet secondaire : éternuements paillettés.

Mais aviez-vous vraiment le temps de vous réjouir ou de vous inquiéter ? À peine le carton fut-il ouvert que la brise souffla sur le toit. Les grains de couscous caramélisé semblèrent vibrer, comme animées d'un commun mouvement, pour la plus grande misère d'un homme.

Diablo, tu peux te débattre, tu peux t'accrocher ou tu peux, mais -hélas!- la gravité t'emporte inexorablement vers les abysses du vide. Le toit tout entier semble te répugner, t'expédier au-delà de la Base, et que peux-tu faire ?

Rien.
Tu glisses.
Tu tombes.
Tu chutes.

Personne ne vit jamais Diablo s'écraser sur le sol ; de sa présence sur ce toit, quelques secondes plus tôt, il ne restait qu'un morceau de vêtement maigrement suspendu au bord du vide.

▬ Bordel !

Liam plaqua ses deux bottes sur le tableau de bord et tira de toutes ses forces sur la manette (qui, nom de dieu, réagissait quand même foutrement comme un manche à balai), évitant un douloureux baiser avec l’un des murs extérieurs de la Base. Ses doigts enfoncés sur les gâchettes, il tenta une manœuvre de descente. Et piqua droit sur le toit.
Pour ne se redresser que de justesse, après un zig-zag plus que douteux.

▬ Dit seulement un seul mot Eelis, et je…

Bang.
Petit bruit d’impact du côté de l’aile droite.
Qu’est-ce que c’est encore que ce bordel ?

Liam souleva un sourcil, puis l’un de ses doigts, malencontreusement appuyé sur un bouton inconnu.

▬ Ha. Je crois qu’on a heurté quelque chose.

Pendant un bref instant, ils conservèrent une attitude de croisière, et l’homme à moitié chat pu tourner la tête. Pour apercevoir une jeune fille blonde, un peu débraillée, installée sur la banquette arrière.

▬ Et qu’on l’a éventuellement ramassé au passage.

Une main douteuse et jaune (provenant tout droit de la carrosserie), épousseta une dernière fois Cydna avant de se rétracter. Visiblement « ça » (la chose, main, truc, bidule) l’avait agrippé au passage, pas forcément très délicatement, vu le bang, à moins que l’espèce de bras ne se soit lui-même cogné. Liam ne volait pas très droit.

D’ailleurs, ils recommençaient à piquer du nez.

▬ Je hais ce truc. Cordialement.

Et c’est reparti pour un tour.

Spoiler:

Messages : 1044 Date d'inscription : 24/06/2012

On dit souvent qu'après le calme vient la Tempête, mais qui serait prêt à dire qu'après la Tempête vient nécessairement le calme ? Vous, peut-être. Vous, dessinateurs qui divaguez au coeur de la Base en laissant les portes ouvertes, sans plus vous soucier de ce ciel menaçant. Après la peur, après la fuite, voilà le temps des rires et des amours, le printemps qui vient éclipser l'hiver !
Mais il y a toujours cette fameuse pluie, ces nuages gris qui viennent vous rappeler, dans votre quiétude, qu'on ne se débarrasse pas si facilement des intempéries. Et cela fait parties des rares choses qui n'ont pas bien changé dans l'Esquisse.
Le toit. Après le mystérieux paquet tombé du ciel, voilà qu'il est à nouveau le théâtre d'un évènement exceptionnel. Après une chute des plus brutales, trois créatures tentent de se cramponner quelque part en combattant le coulis de semoule caramélisée, tout en observant attentivement la Base telle qu'elles ne l'ont jamais vu. Une tortue jaune bipède armée d'une agrafeuse, un microphone poilu avec des antennes de mille-pattes et un serpent tricéphale blanc en pain d'épice ; ce n'est pas la plus terrifiante des armées, puisque chaque créature ne fait pas plus d'un mètre de hauteur, mais s'il n'y a personne pour l'arrêter…
Les objets pourront tranquillement forer le toit à la force des bras, et les quelques points noirs qu'il est désormais possible de distinguer dans le firmament viendront les épauler.
Une alarme stridente -mix douteux entre David Ghetta et Pavarotti- résonne déjà dans tout le bâtiment, des tiroirs chargés d'outils plus ou moins appropriés à la défense apparaissent dans le couloir, les escaliers se figent le temps d'une escapade jusqu'au toit. Oui, la Base est prête.

Et vous ?

•••
Objectifs de la soirée RP :
• Éliminer les 3 bestioles avant qu'elles ne parviennent à casser le toit. (vers 22h)
• Canarder les créatures dans le ciel avant qu'elles ne viennent envahir la base (vers 22h30), sinon les traquer dedans pour les éliminer (pas de délai)

Règles et recommandations : ici
Si vous avez des questions, rendez-vous sur la taverne !

Des... Des bestioles ! Des insectes envahissaient le toit du bâtiment où j'avais ENFIN réussi à entrer ! Non, mais il en était hors de question !

Mon Dieu ! Un balai a poussé du sol ! .... Non, mais attends, je peux le prendre et aller détruire ces satanés insectes ! C'est partit mon kiki !

J'attrape donc ce foutu balai mauve à pois jaunes et commence à grimper via une plante grimpante le long du mur. Une fois en haut, je me rends compte qu'il y a une substance étrange sur le toit... Mais quel était donc ce monde étrange ?

Me voilà coincé entre 3 bestioles bizarres et le vide... Mais une bonne femme n'échappe pas à sa corvée de ménage ! Les insectes ne survivront pas !

Eh, bien, ils sont agités ces jeunes.. Dans le feu de l'action, tu n'as pas le temps de préciser à Liam que s'il sort dans cette tenue. Hem.
Bref, vous voilà sur le toit en compagnie de trois adorables insectes qui ne semblent pas pourvus des meilleures intentions. Enlevant tes palmes, tu t'en sers en guise de gants et..

Te précipites sur les trois garnements sans discernement, commençant à agresser la tortue.

Hem. J'ai vraiment l'air bien avec cette planche trouée. Non mais, quelle arme face aux envahisseurs ! Ces bêtes voulaient détruire cette base ? Ah, non, je ne les laisserais pas faire. Ils n'ont pas le droit de détruire cet espace protecteur qui reste en ces temps obscurs. Ils devront me passer sur le corps avant !

Je bondis vers le serpent à trois têtes, ma planche mangée par les asticots en main.

Bon, je suis enfin dehors...sur le toit. Pourquoi ai-je monté les escaliers ? Woah ! C'est animé ici ! Qui sont tous ces gens, et ces...qu'est-ce que c'est ? Des...bestioles ? Bon...apparemment, la situation est compliquée par ici...tapons sur les bestioles, je poserai mes questions après...Er...je n'ai pas d'arme, tant que j'y pense...Bah, qu'importe ! Je fonce !

D'autres gens étaient arrivés entre temps. Quelqu'un s'en prenait à la tortue jaune bizarre... Bon... Il serait peut-être intelligent de s'en occuper ensemble ! Je me jette donc sur elle, mon balai ne faisant rien d'autre que l’assommé légèrement... Je vise son œil et voit un liquide rose pailleté en sortir... BEURK...

Liam ne chercha même pas à comprendre. Des saloperies attaquaient leur seul moyen de défense contre le chaos. Il balança le parapluie à qui voulait, et asséna un grand coup de sceptre dans la tronche du Serpent qu'une jeune fille attaquait déjà. Des paillettes jaillirent de partout dans un abominablement bordel rose.

Ah misère, des bestioles. Tu avais emporter avec toi un seau d'eau, ou plutôt j'avais décidé arbitrairement de les prendre, et tu n'avais aucun mot à dire là dessus. Devant toi, 3 bestioles donc deux potentiellement sensibles à l'eau. Tu décidas d'arroser le microphone millepattes et de lui enfoncer violemment le seau dans... Euh... Ce qui te semblait être l'abdomen.

Voyant les renforts arriver, tu continues tes assauts sur la tortue et finis par la désarmer en sacrifiant une palme ! Dans la foulée, tu lui assènes un magistral et fourbe croche-patte en espérant le voir vaciller.

Castor déboula -on ne sait trop comment- sur le toit ; il n'avait aucun souvenir d'être monté, mais peu importe. Alors qu'il s'apprêtait à faire demi-tour, il reçu un parapluie dans la figure. Excédé, il se retourna, saisissant au passage ledit parapluie, et le relança dans la mêlée.

En courant, je remarque qu'une des...bestioles est laissée à l'abandon...Quitte à taper sur quelque chose, autant taper dessus ! C'est un genre de micro...autant lui arracher les antennes, tiens. Woah ! Quelqu'un a été plus rapide que moi ! Freiner, freiner !...je glisse. Il semble que j'aie bousculé le micro, c'est déjà ça. Il faudrait que je m'arrête, maintenant.

Messages : 1044 Date d'inscription : 24/06/2012

La tortue se prend le parapluie dans la figure, tandis qu'elle tremble suite au croche-pattes d'Eelis. Elle s'écroule sur le toit, glisse et se casse la figure par terre.

Mon camarade de combat réussi à faire un croche-patte à la tortue, sacrifiant une de ses palmes. Tu nous manqueras. Je donne un coup à la tortue pour aider un peu la gravité et la voit glisser le long du toit, atterrissant en bas, dans une explosion rose, jaune et bleue. N'oublions pas les paillettes !

"Il faudrait aider les autres !"

Je me lance à l'assaut du serpent, après tout, deux personnes pour trois têtes, ce n'est pas très équitable...

Je frappais un peu au hasard, les yeux fermés, car je n'aimais pas la violence. J'avais tâché ma robe. Je crois que j'avais heurté une des bestioles, à moi que je n'eusses frappé un des dessinateurs présents dans la mêlée ? Qu'importe. Je continue à frapper comme une gamine remuant une baguette magique. Ma planche cassa une des têtes du serpent en pain d'épices.

Le serpent était presque mort, alors Liam décida de foutre un grand coup de pied au micro -spécial ex-défonceur de porte s'il vous plaît-, le propulsant joyeusement loin dans le vide.

Messages : 1044 Date d'inscription : 24/06/2012

Sous les coups effrénés, le serpent s'en va rejoindre la tortue hors du champ de bataille. Dernier ennemi en lice : le microphone, trop amoché par Cydna pour casser le toit, qui valse également au loin après un féroce coup de pied de Liam.

Mais le combat n'est pas fini, car les renforts ne sont pas loin..

Freiner, freiner, freiner ! Oulah ! Des gens, devant ! Bougez, bougez !...j'ai heurté quelque chose ? J'ai heurté quelque chose. Bon, apparemment, c'est pas trop grave, vu la tête des gens autour de moi, ça devait être une des bestioles. Au moins, j'ai freiné.

« YES ! »

Tu prends quelques secondes pour festoyer, et puis réalises que les points noirs dans le ciel sont sérieusement inquiétant. Tu quittes le toit pour aller chercher une arme.