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Une fidèle rebelle, des frites et du sel

Shynagi
Une frite qui a du piquant
Personnages : Ekithée
Messages : 99
Date d'inscription : 27/07/2022
Shynagi
Mer 27 Juil - 23:01

Ekithée



APPELLATION
Anciennement et officiellement Sekina Mapain, mais maintenant que des doutes m’habitent sur qui je suis devenue, Ekithée

ÂGE
21 ans la dernière fois que j’ai foulé le sol de ma tente

NATIONALITÉ
Tunisienne résidant en France, enfin maintenant dans l'Esquisse

GOÛTS
J’aime les frites MacDonald (sur place comme à emporter, de préférence sans sauce, toujours avec le cornet iconique). Mais aussi, je n’aime pas les cyantifiques, les bourgeois, la torture, la gastronomie française, les poucaves, le plomb (dans les murs), les cyantifiques, la garde à vue, Timothée. Je pense que ça brosse un portrait fidèle.

ARRIVÉE DANS L'ESQUISSE
Je ne sais pas, une éternité je crois, pas plus de quelques semaines j’imagine mais ma condition ne me permet que d’estimer les jours aux salves d’expérience. Ça n’a plus vraiment d’importance, aujourd’hui est un nouveau jour.


Description


De grands progrès s’annoncent pour aujourd’hui, je suis désormais sur mes deux jambes, ou quelle que soit la manière dont on puisse les qualifier, quelque peu essoufflée mais pour la première fois depuis mon arrivée, le ciel est rose.

Il faut dire qu’être retenue captive dans un lieu étrange ne m’a pas laissé le loisir de me mouvoir et d’observer à ma convenance. Puisque je suis enfin revenue à l’air libre et visiblement en sécurité, pour autant que cette expression puisse avoir du sens ici, je vais essayer de mettre à plat quelques éléments, note à moi-même, ce n’est absolument pas safe mais sait-on jamais, le hasard fait parfois bien les choses.

Je n’ai plus mes carnets mais ma mémoire semble intacte. Mon dernier souvenir avant ce que les cyantifiques ont appelé l’Esquisse n’était pas très glorieux, moi étalée dans ma tente aux côtés de bonnes âmes, ça a été une rude journée. Pâle comme une frite mal cuite et essoufflée comme un bœuf, tel était mon état, saupoudré de vertiges. Peut-être un dernier regret, celui de ne pas avoir fini mon cornet avant de plonger dans le sommeil, ou quoi que ce soit que ça puisse être, qui m’a menée là où je suis actuellement. Essayons donc de mettre les choses au clair, le dire devrait m’aider à garder mon calme et peut-être comprendre ce qui vient de se passer. Faute de carnet et de quoi écrire, ma mémoire devra faire l’affaire, heureusement, je l’ai toujours bien entretenue.

Auparavant on m’appelait donc Sekina, une des filles de la famille Mapain, fière et courageuse famille qui, par un long concours de circonstances, s’est retrouvée parquée dans une cité HLM française. Pas vraiment une vie de rêve, à jouer et tousser enfant dans du bâti pas très aux normes même pour les années 90. Jeune, j’étais une fille affirmée qui avait du répondant mais qui croyait à l’école, paraît même que je voulais absolument devenir contrôleuse des impôts plus grande. Quelques autres malheureux concours de circonstance ont fait chavirer ma vie, toujours dans un bâti riche en plomb, du confort vintage des HLM aux ruines à la belle étoile des squats. Bien que je ne sois pas devenue la petite fonctionnaire que je rêvais d’être, mon travail atypique était certainement plus socialement utile que cette aspiration passée. Au moins une chose est restée à tous âges, MacDonald, mon refuge pour venir comme j’étais. Je sens déjà les effets de ce qu’ils m’ont fait, donc je me contenterai d’écrire que Timothée est un homme mort. C’était simple, efficace et fidèle à la rigueur qu’on m’a si souvent prêtée.

Finies les manifs et les maths, j’ai rouvert les yeux sur une table. Plus le temps pour la rubrique nécrologique, je suis encore vivante. J’ignore combien de temps s’est écoulé, je ne sais toujours pas où je suis si ce n’est qu’on appelle cet endroit l’Esquisse. Ce que je sais, c’est qu’à mon réveil, je ne pouvais absolument pas bouger mais tous mes sens étaient bien intacts. Ma première rencontre, Ishii et Demikhov, ils se font appeler « cyantifiques », leurs carences orthographiques ne m’ont pas vraiment inspiré confiance, j’avais bien raison. À peine ai-je eu le temps de me faire à cet étrange nouveau corps et à cette nouvelle vie que l’enfer débuta. En essayant de garder mon calme, je leur ai bien sûr demandé quel était cet endroit et ce qu’ils allaient faire de moi, sur le ton de l’évidence je n’eus droit qu’à un « Bah l’Esquisse pardi ». Pour la suite, à force d’insistance, j’ai pu leur soutirer quelques vers du nez, « Silence Objet malfaisant. Ton plan aura échappé au commun des Dessinateurs mais pas à nous haha. Penses-tu que nous allons laisser en liberté une grande frite qui parle, ça non, pas de ça chez nous. Car après, que vas-tu faire grande frite ? Tu vas implorer d’innocentes âmes de te grignoter un peu, beaucoup, à la folie. Et qu’est-ce qui va se passer ensuite ? Ta fécule malfaisante va prendre contrôle de leur esprit simple et les prosélytes dans ton genre on sait très bien ce que ça fait, des champs de patate par-dessus notre belle civilisation. ». Peut-être aurai-je préféré qu’ils restent silencieux. Toujours est-il que pour trouver une solution à ce qu’ils appelèrent le Grand remplacement, il ne leur sembla pas suffisant de m’occire, il leur fallait de quoi répliquer une méthode pour rendre les « Objets dans mon genre » bénins et savoureux. Premier essai, la friteuse car « avec un tel nom, cet appareil doit forcément servir à lutter contre les frites », sans succès, certainement des restes du saturnisme me gardant pâle, bien sûr, je ne leur en ai pas parlé. Deuxième essai, les électrochocs, « peut-être qu’introduire de la tension entre grande frite et nous devrait la faire craquer », sans succès non plus, je garde leurs noms en tête. Troisième essai, le rituel d’assaisonnement, « c’est évident, trop de sel, de sauce barbecue, d’arisa, de sauce fromage, ça dénature une frite », peut-être un succès, celui de me dégoûter de mon plat préféré.

Les séries de test s’enchaînèrent, par ma vie passée j’ai su gérer la douleur, bien que l’envie de maudire toute la lignée de ces cyantifiques ne manquait pas, m’imaginer le jour où je pourrai leur rendre la pareille m’apportait un modeste lot de compensation. Je ne sais toujours pas combien de temps s’est écoulé mais un jour ces tests prirent fin. Jusqu’à maintenant, il semblerait qu’Ishii menait la barque, ce qui ne s’est jamais montré très probant. Pour cette dernière expérience, Demikhov avait une forte intuition, et lors de sa balade quotidienne avec Ishii à la recherche de sujets nouvellement échoués dans l’Esquisse, il ramena un compas, bien plus grande que les compas que j’ai connu dans ma précédente vie. Ce compas semblait à première vue inanimée mais Demikhov était persuadé qu’en tentant de me greffer à ce compas, la conscience du compas prendrait le dessus sur la mienne. Quoiqu’en général silencieuse pour ne pas coopérer avec ces monstres, je dois dire que son cheminement a piqué ma curiosité. Tout fier, il m’exposa son hypothèse : une vieille théorie de son cercle de cyantifique partirait du jeu enfantin terrien « Pierre-Feuille-Ciseau », considérant que ce qui ressemble à un jeu recèle en fait d’une grande force heuristique, son cercle s’est mis en tête de compléter un tableau de transitivité des Objets. Ainsi, son hypothèse était la suivante, puisque je suis une frite et que ça se rapproche de la forme de vie végétale qu’est la feuille, et que le compas se rapproche du ciseau, la conscience du compas doit certainement primer sur celle de la frite. L’idée me semblait parfaitement loufoque. Pourtant, lorsque la transplantation eut lieu, j’ai ressenti tout un ensemble de sensations étranges, une température qui ne cessait de varier et un sentiment de symbiose. Mentalement, une toute autre sensation me parcourait, celle d’être une pellicule qu’on aurait découpée puis recollée avec quelques négatifs. C’est peut-être à partir d’ici que j’ai vraiment compris que j’étais et n’étais plus vraiment Sekina. Quelques pistes essaiment mon esprit, quelques voix interrompent mes pensées mais je ne suis sûre de rien, si ce n’est qu’arborer un autre nom est peut-être à la fois plus sûr et plus proche de ce que ressens mon esprit confronté à la symbiose avec ce compas.

Il y a encore peu à l’échelle de mon existence dans l’Esquisse, ces êtres qui se faisaient appeler les cyantifiques et que je peinais à voir se sont désintéressés de moi. Ni remerciement ni compensation, j’ai aussitôt été affectée ailleurs, dans ce qui semblait être visiblement une benne à ordures. Il faut dire que l’échec apparent de leurs expérimentations avait de quoi les dégoûter, puis le temps passant, peut-être ont-ils reconsidéré leur hypothèse du Grand remplacement par les frites conscientes. Le temps passait, mes sens n’étaient pas particulièrement exaltés, l’ennui se faisait aussi ressentir. Mais progressivement, j’ai cessé d’être un esprit doté de sens qui ne faisait que subir, désormais je peux marcher. Ce ne sont assurément pas mes jambes, pas celles de Sekina, mais ce sont un peu devenu mes jambes faute de mieux.

M’appropriant comme je pouvais ce nouveau corps, j’ai réactivé mes vieux réflexes et me suis enfuie. Si jamais ça pourrait me resservir, l’endroit était très terne, ma seule vue ayant longtemps été celle d’un plafond crasseux, illuminé par des loupiotes vacillantes produisant des bruits d’objets aléatoires lorsque brusquées. Il faut aussi dire que cet endroit n’est pas très sécurisé puisqu’il n’y avait pas de porte, malgré un panneau « Toquez avant d’entrée » devant l’appartement. Loin du laboratoire que j’imaginais, il n’y avait vraiment qu’un appartement et des gens qui se faisaient appeler cyantifiques.

Qu’en est-il maintenant ? Je me suis baladée dans une grande rue et là je me suis posée dans un coin calme pour parler avec moi-même, ici ça devra certainement paraître normal. Cet endroit est définitivement un autre monde. Pas un regard de travers alors que déambule tout un carnaval d’individus plus loufoques les uns que les autres, et encore, si ce sont des individus ... À côté de l’escargot de chewingum ou du manchot de carton plat longeant les murs, je ne fais certainement pas mieux. Je peux probablement remercier les cyantifiques pour ça au moins, avec une telle entrée dans l’Esquisse, le ciel rose, les échoppes de marchands dont le fruit du travail s’envole littéralement et cet imbroglio d’êtres qui ferait bouillir la cafetière de Théophile Gauthier, tout ça ne me fait pas grand-chose. Je dirais même que je ressens une certaine curiosité telle une gosse à Disneyland, vu ce qui m’est arrivé, je ne peux m’attendre qu’à du meilleur quelle que soit la nature et l’existence propre de cet endroit ... c’est amusant comment ce schéma de mon ancienne vie se répète.

Jusqu’à maintenant, j’ai bien plus entendu de discours sur moi et ai vécu toutes sortes de sensations que je n’ai eu l’occasion de me voir de tête en pied. Comme je l’imaginais, je suis bien littéralement ce qu’on pourrait appeler une longue frite graduée avec un grain de sel luminescent me servant de capteur multisensoriel et que j’appellerai par commodité « mon œil ». Je dois faire quelque chose comme un mètre, ça peut avoir des bons côtés même si c’est assez déroutant, moins que d’être dépourvue de membres ceci-dit. Par chance, les expériences des cyantifiques m’ont dotée d’un long compas faisant corps avec ma frite. En quittant le laboratoire de fortune, le sac poubelle est resté accroché à moi, pas le summum de l’élégance mais ça masque le tout et, avec quelques taillades, ça fait l’affaire. Intérieurement, malgré les quelques voix étranges que j’entends depuis les expériences, je suis plutôt restée moi-même, une jeune femme débrouillarde, rigoureuse et méthodique, qui sait garder son sang-froid mais qui n’hésite pas à nuire méticuleusement à qui se mettra en travers de sa route. Mon état actuel va probablement refroidir ma passion gastronomique. J’ignore comment se comportent les gens ici, à part les deux tourmentés qui m’ont torturée, mais avec mon look actuel, je crains que ma froideur et mon franc-parler ne soient pas à mon service. Je devrai refréner certaines de mes ardeurs compte tenu ce nouveau corps qui m’est encore difficile à manier, j’arrive déjà à marcher même si on dirait plutôt que je me balance d’un bout à l’autre du compas. Je pense à terme pouvoir mouvoir davantage ce compas en moi pour faire office de bras de fortune. Mais n’allons pas trop vite en besogne, je suis persuadée que les effets de ma maladie persistent, je me sens plutôt fatigable et je me demande si dans ce monde je devrai gérer des anémies d’amidon.

Pour l’heure, un problème plus immédiat se pose. Si les cyantifiques sont à mes trousses, ce qui n’est pas dit, comme tout bon compas qui s’est greffé à moi, je laisse des marques au sol. Espérons que les pas dans la rue fréquentée m’offriront la couverture voulue ...


Positionnement


Un bon souffle pris, je reprends mon récit à moi-même, cette robe cérémoniale faite d’un sac poubelle pourrait bien me permettre de rester discrète, ou du moins de ne pas attirer l’attention. Et puis, qui oserait frapper et arrêter une entité menaçante ressemblant à un pirate, mais sans chapeau, avec deux jambes de bois en métal et un œil scintillant sans cache-œil ?

En attendant de pouvoir mettre à l’épreuve mon déguisement, plus ou moins définitif j’en ai l’impression, je devrais commencer à récolter des informations sur ce monde. Heureusement les deux cyantifiques puis les habitants de cette ville sont suffisamment loquaces. Parmi tous les noms qui sont parvenus à mon œil, deux m’intéressent tout particulièrement.

Pour le cœur, direction les Verlaine, des amateurs de poésie j’imagine, ou peut-être un club de tricot ? En tous cas, le respect qu’ils semblent inspirer ici n’a d’égal la chaleur qui me paraît s’en dégager, on n’abandonne pas si vite la vie de squatteuse. On verra bien comment ça se passe, c’est qu’avec ma position actuelle, je ferai mieux d’être plutôt discrète tout en montrant frite blanche. J’étais très loyale dans ma précédente vie, et s’ils se montrent dignes de confiance, ça ne risque pas de changer.

Pour le sang, les Chianti m’ont l’air d’être la bonne adresse. Je dois admettre qu’une société secrète dont tout le monde clame le nom en ville et dont la principale cible connait aussi le nom, c’est pas vraiment un gage de confiance. Et puis au regard du nom que tout le monde leur donne, ils doivent être sacrément lourds. C’est peut-être là que je peux tirer mon épingle du jeu, s’ils sont à la bassesse de ce que j’imagine, les rejoindre et m’y créer une niche peut être une bonne idée : le discrédit suffisant pour rester discrète, les ressources nécessaires pour régler quelques comptes. Et puis, à en croire les rumeurs du coin, la ville est en ébullition depuis quelques semaines, l’occasion parfaite pour me faire une place.


Informations pour le registre des personnages:
Kaoren
Non, non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !
Personnages : Kaoren, Penrose
Messages : 645
Date d'inscription : 22/09/2015
Kaoren
Ven 29 Juil - 12:48
Eh bien, cette fiche est aussi esquisséenne que l'Esquisse elle-même. On a beau avoir eu un personnage fait de coups de crayons, un cube qui parle, Clara Morgan dans un corps de chat, un personnage qui disparaît de l'existence quand on n'y prête plus attention, et j'en passe, c'est toujours beau de voir les gens repousser encore et encore la limite de ce qu'il est possible de sortir dans l'Esquisse.

La fiche a l'air nickel comme ça, t'as l'air d'avoir tout bien compris du lore et tes Cyantifiques sont absolument délicieux - j'offre une prime à qui les sortira en prédef's -, et puis tu causes de Théophile Gautier ce qui est déjà un bonus de +2 à ton jet de charisme. C'est donc une réussite critique, et par conséquent :


Félicitations, tu es validée !



Tu peux maintenant commencer à chercher un partenaire de RP pour tes aventures (pas moi parce que je suis en retard partout, mais y'aura sans doute plein de bonnes volontés sur le serveur discord, ou sinon dans le sujet de recherche de partenaire ici), et faire connaître ta petite frite-compas frétillante dans toute la Ville ! Nul doute qu'elle ne manquera pas de se friter avec plein de - je sais pas comment terminer ce jeu de mots, mais en tout cas, hâte de la voir jouer !

En attendant, si tu veux aiguiser ta plume ou si tu as une envie d'écrire absolument irrépressible, tu peux toujours t'amuser à raconter plus en détails le passé de ton personnage (comme sa détention chez les Cyanti's) dans les Souvenirs ou l'envoyer dans des situations plus insensées encore dans les Songes - ou juste RP avec ton ombre en attendant que quelqu'un se libère.

Pour terminer rapidement ce tour d'horizon des sujets qui te sont maintenant ouverts, tu as les Lancers de dés pour ajouter un peu de sel à tes frites RPs, le Quatrième mur pour débattre du sens de l'Esquisse et de la condition morale des frites mal salées, les Créations pour libérer tes élans artistiques en tous genres, ou l'Entracte pour flooder avec style plutôt que sur le serveur discord.

Et enfin, comme un bon personnage de RP n'est rien sans un bon avatar, voici une balise que tu pourras mettre au début de chacun de tes posts pour transformer ton avatar de joueuse en avatar de personnage :
Code:
<transformation perso="Ekithée" />

Sur ce, il va sans dire qu'on te souhaite un bon jeu dans les Brises ! Puisse ton personnage ne pas finir trop vite à l'état de compas enduit de purée !


Dernière édition par Kaoren le Dim 31 Juil - 18:18, édité 1 fois


Distinctions:
Shynagi
Une frite qui a du piquant
Personnages : Ekithée
Messages : 99
Date d'inscription : 27/07/2022
Shynagi
Ven 29 Juil - 17:00
Merci de cette réponse bien fournie, des explications claires l'accompagnant et de ton accueil :) ! Je prends bien note des différentes informations, pour la vie passée de Sekina j'ai déjà des idées en tête mais j'attends qu'Ekithée se développe suffisamment dans l'Esquisse pour en dire plus hihi. En ce qui concerne la recherche de partenaire, on a déjà un peu commencé à m'aiguiller donc je profiterai des opportunités qui se présenteront à moi pour me lancer (en espérant que mon inexpérience de provoque guère de maladresses fortuites).

Kaoren a écrit:C'est toujours beau de voir les gens repousser encore et encore la limite de ce qu'il est possible de sortir dans l'Esquisse.
Merci du compliment, et pourtant, à défaut de repousser ce qui peut être sorti dans l'Esquisse, Ekithée y est bien entrée bon an mal an hihi. À défaut de finir en en-cas calorique mêlé par la force des choses à la trousse d'une collégienne, j'espère qu'Ekithée saura vous régaler :) !
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