Rashid ▬ Besoin de café. D'urgence.
Invité
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Mar 24 Fév - 6:12
Rashid
Appellation : Rashid Sebastian Wells.
Âge : 42 ans.
Nationalité : Canadien, ce qui a toujours le don de surprendre.
Occupation : Bien sûr, une fois les premières analyses préliminaires passées (et donc l'acceptation que oui, tout ceci est réel et à priori se trouve être un autre plan dimensionnel, ou quelque chose du genre), Rashid souhaitera retourner sur cette bonne vieille Terre. Mais, hum... disons qu'en tant que botaniste chevronné, il aimerait échantillonner un peu d'abord. Juste un peu.
Arrivée dans l'Esquisse : Jour 13. Il y a seulement quelques minutes. Enfin. Probablement. Sa montre digitale ne semble plus très sûre d'elle-même.
Goûts : Chemises à carreaux, jeans élimés et de bonnes vielles bottes, composent l'essentiel de sa garde-robe. Ce qui casse un peu l'image du scientifique impeccable, si on oublie la paire de lunettes dans la poche et la blouse immaculée (pour, environ, les dix premières minutes de son existence). Et les divers instruments qui occupent ses nombreuses poches. Sans au moins un outil de mesure (ou quelque chose pour analyser, prendre des notes, n'importe quoi), il se sent comme nu, à vrai dire.
Outre sa passion des plantes, il est légèrement accro à la nourriture épicée (et au traiteur indien le plus proche), et au café. Noir, américain, et probablement infect pour le reste de la population mondiale. Et au groupe AC/DC, qu'il n'hésite pas à lancer à plein volume dès que c'est possible, parce que sans, il est moins concentré -une sale habitude- (et pour ça, les voisins peuvent remercier son colocataire d'université... heureusement que la plupart du temps, il dort dans son labo).
Description
Son crâne tambourinait. Et quelque chose d'ignoble obstruait son palais. Un mélange d'alcool, un mélange spécial Sven. Et des traces de nourriture chinoise. Plus précisément, du restaurant chinois de la deuxième rue. Autrement dit, deux choses qu'il évitait sciemment de consommer. Que toute personne saine d'esprit éviterait de consommer. Mais ensemble... c'était aussi ignoble que cela en avait l'air. Aussi, Rashid toussa. Violemment. Une fois, puis deux. La troisième fut la bonne.
Il ouvrit les yeux.
Et cracha une envolée de confettis d'un rouge profond.
Allons bon.
Rashid papillonna des cils et se redressa avec une petite grimace en position assise. Son corps était habitué aux positions étranges et lits peu communs, mais là, il avait semble-t-il un peu abusé. Il étira ses cervicales d'un craquement et se massa la nuque. Définitivement. Il devrait investir dans un véritable lit. Enfin. Penser à investir en un véritable lit. Et garder la pensée à l'esprit jusqu'au magasin. Il devrait vraiment l'écrire quelque part. Et ne pas noyer le post-it dans un engrais expérimental, cette fois. Cette bonne résolution prise, et quelques confettis retirés de sa langue plus tard, Rashid prit le temps d'observer son environnement. En silence. Avant de cligner des yeux trois fois.
Encore trois clignements de paupières plus tard et il concluait que, définitivement, ce n'était pas son labo. Ni son petit appartement, si peu visité qu'il manquait parfois d'en oublier l'adresse. Ou l'immense maison qui servait de zone de rassemblement familiale. Encore plus rare. Ou le duplex de Sven. Qu'il n'avait pas vu depuis un moment. L'appartement, et la personne. Il devrait appeler. Il prenait rarement initiative et... ne plus voir ses cheveux blonds platine lui manquait. Il ne venait pas de le réaliser, cela faisait quelque temps. Dans tous les sens du terme. Mais les recherches... étaient très prenantes. Extrêmement.
Il devrait vraiment appeler.
Dès qu'il trouverait un téléphone. Et aurait réussi à élaborer une hypothèse qui ne serait pas trop tirée par les cheveux. Parce que, eh bien, présentement, il n'en avait pas véritablement. Une farce, c'était un peu trop, quand on considérait son cercle d'amis extrêmement mince (composé exclusivement de Sven, en réalité, et très occasionnellement, de Leïla), et le fait qu'il n'avait pas mis les pieds à l'université depuis, oh, plus d'une décennie. Largement plus, en réalité. La théorie de la soirée arrosée passait également à la trappe, pour les mêmes raisons, et parce que l'alcool et ce genre de choses n'étaient définitivement pas son truc. Il préférait travailler. Il travaillait toujours, en réalité.
Le sortir de son laboratoire nécessitait presque l'usage de la force, et avait comme résultat des yeux de chiot mouillé. Le plus logique, donc, quand on regardait son environnement proche et le ciel, d'un rose éteint, parsemé de textes, images dans différents états de mouvement, ainsi que symboles tordus et inconnus, était de statuer tout ça en une très classique conclusion : le rêve. Qui, certainement, pouvait découler des deux situations précédemment décrites.
Ou d'un abus de café. Rashid misait plus là-dessus. Ça, et ce reste de nourriture chinoise qu'il sentait encore. Un empoisonnement alimentaire était une théorie bien plus crédible qu'une soirée un peu trop mouvementée. Depuis son premier et unique, et terriblement traumatisant, essai, il l'avait toujours su : ce restaurant n'était pas clair. Et aurait mérité un bon contrôle d'hygiène. Définitivement. Non seulement la nourriture n'était, clairement, pas consommable, mais en plus de ça... provoquait visiblement des hallucinations plus ou moins liées au subconscient. Un bad trip. Ou un rêve, vraiment, vraiment, tordu. D'accord, probablement juste un rêve. Mais tout de même, ce restaurant chinois n'était pas innocent.
Il était certainement la cause de tout ça et... bruissements, juste sous sa botte. Frottement. Léger. Infime. Au son immanquable. Aussitôt, Rashid bascula, et à quatre pattes, mis presque son nez sur ce qui semblait être une simple pâquerette. Bleu marine, avec un noyau rose. Ses sourcils se froncèrent, et il se mordit un peu la lèvre. C'était, à 98%, un rêve. Oui. Il y avait peu de doutes. Mais. Mais cette fleur... cette plante... elle était. Elle. Oh, puis qu'importe. Rashid fouilla ses poches, observa, littéralement, le végétal à la loupe, déposa quelques gouttes d'une pipette dessus, puis la récolta d'un coup de scalpel avant de la glisser délicatement dans l'une de ses poches avant. C'était définitivement un rêve, et c'était définitivement un spécimen végétal inconnu. Et si c'était un message de son subconscient visant à une nouvelle découverte, il l'écouterait. Il devait échantillonner. Analyser. Plus. Plus que ça. Avec juste ce qui traînait dans ses poches. Haa. C'était ridicule.
Il ne pouvait pas faire un travail correct avec juste ce qu'il avait sur lui. Il devait trouver de la civilisation, et plus important, du matériel.
Rashid se releva donc, dépoussiéra sa blouse, et pivota sur place pour avoir une meilleure vue d'ensemble. Et tomber sur... du rose. Encore. Une tache rose d'une circonférence absolument raisonnable. Qui entourait quelque chose. Il plissa les yeux, chaussa ses lunettes, et. Battit des cils. Encore. Un bâtiment. Cela entourait un bâtiment. Et ça avait tout l'air d'être une muraille en bonbon. Et, définitivement, ce n'était pas quelque chose de normal. On ne faisait pas de mur d'enceinte en bonbon. Pour tellement de raisons que ce n'était même plus une évidence.
Et, d'ailleurs, cet endroit n'était pas si loin que ça. Il devrait vraiment faire un peu plus attention à ce qui l'entourait. Rashid plissa de nouveau les yeux. On dirait bien une sorte de confiserie.
Il allait avoir besoin de café.
Beaucoup... de café.
Il ouvrit les yeux.
Et cracha une envolée de confettis d'un rouge profond.
Allons bon.
Rashid papillonna des cils et se redressa avec une petite grimace en position assise. Son corps était habitué aux positions étranges et lits peu communs, mais là, il avait semble-t-il un peu abusé. Il étira ses cervicales d'un craquement et se massa la nuque. Définitivement. Il devrait investir dans un véritable lit. Enfin. Penser à investir en un véritable lit. Et garder la pensée à l'esprit jusqu'au magasin. Il devrait vraiment l'écrire quelque part. Et ne pas noyer le post-it dans un engrais expérimental, cette fois. Cette bonne résolution prise, et quelques confettis retirés de sa langue plus tard, Rashid prit le temps d'observer son environnement. En silence. Avant de cligner des yeux trois fois.
Encore trois clignements de paupières plus tard et il concluait que, définitivement, ce n'était pas son labo. Ni son petit appartement, si peu visité qu'il manquait parfois d'en oublier l'adresse. Ou l'immense maison qui servait de zone de rassemblement familiale. Encore plus rare. Ou le duplex de Sven. Qu'il n'avait pas vu depuis un moment. L'appartement, et la personne. Il devrait appeler. Il prenait rarement initiative et... ne plus voir ses cheveux blonds platine lui manquait. Il ne venait pas de le réaliser, cela faisait quelque temps. Dans tous les sens du terme. Mais les recherches... étaient très prenantes. Extrêmement.
Il devrait vraiment appeler.
Dès qu'il trouverait un téléphone. Et aurait réussi à élaborer une hypothèse qui ne serait pas trop tirée par les cheveux. Parce que, eh bien, présentement, il n'en avait pas véritablement. Une farce, c'était un peu trop, quand on considérait son cercle d'amis extrêmement mince (composé exclusivement de Sven, en réalité, et très occasionnellement, de Leïla), et le fait qu'il n'avait pas mis les pieds à l'université depuis, oh, plus d'une décennie. Largement plus, en réalité. La théorie de la soirée arrosée passait également à la trappe, pour les mêmes raisons, et parce que l'alcool et ce genre de choses n'étaient définitivement pas son truc. Il préférait travailler. Il travaillait toujours, en réalité.
Le sortir de son laboratoire nécessitait presque l'usage de la force, et avait comme résultat des yeux de chiot mouillé. Le plus logique, donc, quand on regardait son environnement proche et le ciel, d'un rose éteint, parsemé de textes, images dans différents états de mouvement, ainsi que symboles tordus et inconnus, était de statuer tout ça en une très classique conclusion : le rêve. Qui, certainement, pouvait découler des deux situations précédemment décrites.
Ou d'un abus de café. Rashid misait plus là-dessus. Ça, et ce reste de nourriture chinoise qu'il sentait encore. Un empoisonnement alimentaire était une théorie bien plus crédible qu'une soirée un peu trop mouvementée. Depuis son premier et unique, et terriblement traumatisant, essai, il l'avait toujours su : ce restaurant n'était pas clair. Et aurait mérité un bon contrôle d'hygiène. Définitivement. Non seulement la nourriture n'était, clairement, pas consommable, mais en plus de ça... provoquait visiblement des hallucinations plus ou moins liées au subconscient. Un bad trip. Ou un rêve, vraiment, vraiment, tordu. D'accord, probablement juste un rêve. Mais tout de même, ce restaurant chinois n'était pas innocent.
Il était certainement la cause de tout ça et... bruissements, juste sous sa botte. Frottement. Léger. Infime. Au son immanquable. Aussitôt, Rashid bascula, et à quatre pattes, mis presque son nez sur ce qui semblait être une simple pâquerette. Bleu marine, avec un noyau rose. Ses sourcils se froncèrent, et il se mordit un peu la lèvre. C'était, à 98%, un rêve. Oui. Il y avait peu de doutes. Mais. Mais cette fleur... cette plante... elle était. Elle. Oh, puis qu'importe. Rashid fouilla ses poches, observa, littéralement, le végétal à la loupe, déposa quelques gouttes d'une pipette dessus, puis la récolta d'un coup de scalpel avant de la glisser délicatement dans l'une de ses poches avant. C'était définitivement un rêve, et c'était définitivement un spécimen végétal inconnu. Et si c'était un message de son subconscient visant à une nouvelle découverte, il l'écouterait. Il devait échantillonner. Analyser. Plus. Plus que ça. Avec juste ce qui traînait dans ses poches. Haa. C'était ridicule.
Il ne pouvait pas faire un travail correct avec juste ce qu'il avait sur lui. Il devait trouver de la civilisation, et plus important, du matériel.
Rashid se releva donc, dépoussiéra sa blouse, et pivota sur place pour avoir une meilleure vue d'ensemble. Et tomber sur... du rose. Encore. Une tache rose d'une circonférence absolument raisonnable. Qui entourait quelque chose. Il plissa les yeux, chaussa ses lunettes, et. Battit des cils. Encore. Un bâtiment. Cela entourait un bâtiment. Et ça avait tout l'air d'être une muraille en bonbon. Et, définitivement, ce n'était pas quelque chose de normal. On ne faisait pas de mur d'enceinte en bonbon. Pour tellement de raisons que ce n'était même plus une évidence.
Et, d'ailleurs, cet endroit n'était pas si loin que ça. Il devrait vraiment faire un peu plus attention à ce qui l'entourait. Rashid plissa de nouveau les yeux. On dirait bien une sorte de confiserie.
Il allait avoir besoin de café.
Beaucoup... de café.
Qui tient le pinceau ?
Tout ceci est un monstrueux fail. Rashid devait bel et bien être le troisième prédéfini de cette v9 et... il m'a tiré la manche, vilement, avant de carrément attraper ma jambe. Alors que le domaine scientifique, botanique, et pire, même les maths, ne sont absolument pas ma tasse thé. Et que, damn it, ça devait être un prédéfini grmblblbl. Mais rien à faire. Il s'est posé sur le canapé des personnages et ne veut plus le quitter et me menace vaguement avec des plantes carnivores.
Je. Donc. Voilà. Je sais pas ce que ça va donner, mais je me suis lancée et. D'avance. Pardon. Je suis vraiment une bille en la matière et je vais faire au mieux pour point dire de bêtises (mais scientifiques chevronnés, je, ménagez-moi, pitié). #larbininculte
Et heu. Si tout ça ne suffit pas - ou qu'il y a le moindre gouac -, n'hésitez pas, et je ferais au mieux pour faire un truc convenable itou. ;;
Note :: Ceci est le reboot du compte de Hear. Qui comptait une présentation et un seul message RP dans la base au cirque, me semble. Paix à son âme. Et non, faire un deuxième personnage provenant de la même œuvre n'était. Absolument pas. Voulu.
Je. Donc. Voilà. Je sais pas ce que ça va donner, mais je me suis lancée et. D'avance. Pardon. Je suis vraiment une bille en la matière et je vais faire au mieux pour point dire de bêtises (mais scientifiques chevronnés, je, ménagez-moi, pitié). #larbininculte
Et heu. Si tout ça ne suffit pas - ou qu'il y a le moindre gouac -, n'hésitez pas, et je ferais au mieux pour faire un truc convenable itou. ;;
Note :: Ceci est le reboot du compte de Hear. Qui comptait une présentation et un seul message RP dans la base au cirque, me semble. Paix à son âme. Et non, faire un deuxième personnage provenant de la même œuvre n'était. Absolument pas. Voulu.
- Code:
<!--- Code nécessaire au registre des avatars, ne pas enlever la balise code et remplir impérativement sous peine de finir carabiné ♥ -->
<div class="registre1">
<div class="pseudoreg">Rashid</div>
<div class="featreg">Welcome to Night Vale - Carlos</div>
<div class="descreg"><p>42 ans - botaniste définitivement accro à son boulot (et légèrement obsédé), relativement raisonnable et scientifique sinon - peau mate, quelques cheveux blancs, lunettes, yeux bioluminescents, toujours des instruments de mesure dans les poches.</p></div>
<div class="fichereg"><a href="http://www.esquisse-rp.com/t1529-rashid-besoin-de-cafe-d-urgence" target="_blank">Fiche</a></div>
<div class="avareg"><img src="http://i.imgur.com/nj8akGb.png"/></div></div>
Invité
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Mar 24 Fév - 6:57
Re-bienvenue, krkrkrkrkr JE SAVAIS QUE TU CEDERAIS AU 5EME COMPTE TRES RAPIDEMENT (Bon, j'avoue que le coup du prédef pris tout de suite, je n'estimais les chances qu'à 10%, en me disant qu'elles augmenteraient petit à petit)
Donc, euh, comme à vrai dire j'ai un bus à prendre et que tu as eu mes réactions en live, j'irai vite, sache que j'aime Rashid, il est tout mignon avec son innocence propre au nouveau qui débarque dans l'Esquisse, et j'ai hâte de voir sa descente aux enfers après toutes les anecdotes qu'il nous a raconté ici. (Plus un perso est accroché à son passé plus il en souffre, c'est ça qui est drôle) Et que tu es validé, of course, puisqu'à force tu connais la maison ♥
Bienvenue également dans la Base !
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