[Boulangerie] Massacre à la cuillère. {Tee & Robyn}
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Lun 23 Juin - 2:43
Azraël suivait la trajectoire d'une petite algue qui semblait vouloir s'échapper de la Base où il séjournait agréablement depuis quelque jours. Ignorant cordialement les hurlements, les bananes mobiles et les champs de batailles il suivait cette petite algue chenille qui filait sur le plafond. Le nez en l'air, il zigzaguait dans les couloirs avec un sourire niais. Puis tout d'un coup il y avait plus de plafond. Plafond, plafond, plafond, plus plafond. Azraël baissa la tête, droite-gauche. Oh dehors.
Il poursuivit son chemin tout droit puis bifurqua à gauche ... Parce que bifurquer c'est vachement sympas comme mot.
Soudain se dressèrent des ruines, c'était des jolies ruines hein. C'était sans aucun doutes un sanctuaire plein de pièges mortels et de momies momifiés. Azraël hocha gravement la tête tout seul sur la route. Il s'avança tel un aventurier vers sa destinée et ce qu'il y trouva fut bien au dessus de toute espérance, de rêves les plus fous ! Un pain au chocolat ! Oui Mesdames et Messieurs ! Un pain au chocolat ! Azraël ferma les yeux et opta pour la technique de l'autruche, il traversa la pièce et sentit se déclencher tout un tas de pièges à quelques millimètres de lui, une étagère voulut le poursuivre mais se prit les pieds dans le tapis qui lui se mangeas un mur et fit tomber un vase qui du coup rata son assaut sur le jeune homme qui ... n'avait rien remarqué. Azraël ouvrit les yeux et constata qu'il était près du pain au chocolat. Sans autre forme de procès il s'en saisit le dévora, celui-ci émit un faible "Hey!" de protestations mais Azraël fit semblant de rien avoir entendu. Puis il avisa une jolie table renversée sur le sol, il la redressa, elle se débattit mais un petit coup de genou arrangeait vaguement l'affaire. Puis la chaise posée non loin subit le même sort, la théières qu'il avait repérer le lorgnait d'un œil suspicieux. Et elles n'avaient pas tord ! Car d'un mouvement furtif il s'en saisit pour se versé une tasse de thé miraculeusement fumant, et oui esquisse c'est pas du bas de gamme !-. La tasse tenta à plusieurs reprises de le tuer mais il n'en tint pas compte, savourant son thé et des petits biscuits qu'il avait trouvé à coté du comptoir rebelle, ils poussaient des petits cris désespérés à chaque fois qu'il en croquait un, tant bien qu'il finissait par discutés un peu avec eux avant de les croquer.
Il poursuivit son chemin tout droit puis bifurqua à gauche ... Parce que bifurquer c'est vachement sympas comme mot.
Soudain se dressèrent des ruines, c'était des jolies ruines hein. C'était sans aucun doutes un sanctuaire plein de pièges mortels et de momies momifiés. Azraël hocha gravement la tête tout seul sur la route. Il s'avança tel un aventurier vers sa destinée et ce qu'il y trouva fut bien au dessus de toute espérance, de rêves les plus fous ! Un pain au chocolat ! Oui Mesdames et Messieurs ! Un pain au chocolat ! Azraël ferma les yeux et opta pour la technique de l'autruche, il traversa la pièce et sentit se déclencher tout un tas de pièges à quelques millimètres de lui, une étagère voulut le poursuivre mais se prit les pieds dans le tapis qui lui se mangeas un mur et fit tomber un vase qui du coup rata son assaut sur le jeune homme qui ... n'avait rien remarqué. Azraël ouvrit les yeux et constata qu'il était près du pain au chocolat. Sans autre forme de procès il s'en saisit le dévora, celui-ci émit un faible "Hey!" de protestations mais Azraël fit semblant de rien avoir entendu. Puis il avisa une jolie table renversée sur le sol, il la redressa, elle se débattit mais un petit coup de genou arrangeait vaguement l'affaire. Puis la chaise posée non loin subit le même sort, la théières qu'il avait repérer le lorgnait d'un œil suspicieux. Et elles n'avaient pas tord ! Car d'un mouvement furtif il s'en saisit pour se versé une tasse de thé miraculeusement fumant, et oui esquisse c'est pas du bas de gamme !-. La tasse tenta à plusieurs reprises de le tuer mais il n'en tint pas compte, savourant son thé et des petits biscuits qu'il avait trouvé à coté du comptoir rebelle, ils poussaient des petits cris désespérés à chaque fois qu'il en croquait un, tant bien qu'il finissait par discutés un peu avec eux avant de les croquer.
- Résumé :
- Azraël sort de la base et se rend à la boulangerie où il tabasse des objets dans le but de les asservir. Puis il boit du thé bien tranquille au milieu d'un tas d'objets qui tentent manifestement de l'assassiner.
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Lun 23 Juin - 13:46
Un long couloir. Cette fois-ci, alors que j'ouvrais les yeux, un long couloir aux couleurs scintillantes s'ouvrait à moi, m'offrant deux voies possibles, dont une plus sombre que l'autre. Alors que je me demandais laquelle choisir, je remarquais qu'une autre interrogation se posait: que faisais-je ici, dans ce long couloir multicolore si peu naturel? Après tout ce que j'avais enduré en arrivant dans ce monde, je ne pouvais que penser qu'il s'agissait d'une nouvelle dimension de celui-ci, un autre espace lié au précèdent. La chance me souriait-elle, les sucreries seraient-elles plus calmes ici? Qui pouvait le savoir, si ce n'était cette petite chose qui marchait au plafond?
Car je n'étais pas seul, enfin, presque. Une petite chose verte et ondulée, une sorte d'algue se baladait sur le plafond aux couleurs si bruyantes, se dirigeant vers une des voies, la plus sombre. Cette petite algue me faisait-elle signe de la suivre? Je la regardais, l'étudiais, ne voyant en elle aucun signe d'agressivité ou de tout ce qui pouvait s'y lier; la petite algue semblait neutre et ne faisait que bouger. Je la suivais donc sans la lâcher du regard, me demandant le goût qu'elle aurait si elle entourait un sushi... Alors que nous arrivions au bout et que je l'avais quittée des yeux pour remarquer une porte de papier, la petite algue verte avait disparue sans avoir crée d'ouverture quelconque, sans en avoir donné signe. Mon sushi s'était envolé...
La porte de papier ne semblait pas avoir de vraie poignée, ainsi donc je passais au travers en la déchirant comme si de rien n'était, jetant tout de même un coup d’œil en arrière pour chercher mon algue. Elle n'était définitivement plus ici, et la porte de papier avait elle aussi disparue. Plus d'algue, plus de couloir multicolore, plus de papier, plus de... De sushi. Par contre, il y avait bel et bien un sush- un soucis. Je me retrouvais de nouveau dans la ville, entouré de tout ces bâtiments délabrés. Mais ce qui m'intéressait était une chose tout autre que cette ville déjà connue: un petit pain trônait sur une vitrine, un pain qui se trouvait certainement être un pain au chocolat! Cette gourmandise feuilletée et chocolatée était un régal rien qu'au regard et je me serais bien empressé de lui sauter dessus si l'on ne me l'avait pas volée...
Je détachais encore plus ma cravate qui pendouillait, déboutonnais une fois de plus ma chemise et me grattais le bas de la jambe gauche avec les orteils du pied droit pour observer l'énergumène qui venait de me voler mon goûter. Alors qu'il entrait pour subtiliser la pâtisserie, une armoire tenta de l'écraser et un vase de l'attaquer, mais le manque de coordination de tout ces objets entraîna un échec total de l'assaut et une survie semblant calculée par un voleur en réalité inconscient. A mon tour, je m'approchais de ce bâtiment, courbé. Si ce bâtiment avait osé montrer un pain au chocolat, peut-être pouvait-il resceller d'autres délicieuses pâtisseries, sucreries ou gourmandises? Cette perspective étant des plus alléchantes, j'entrais à mon tour dans ce qui devait être une pâtisserie, ou une boulangerie.
Courbé sur moi-même et marchant sur l'étagère, celle-ci lâcha un grincement, ou plutôt un couinement, le vase brisé ne pouvait plus rien faire et un tapis tentait désespéramment de se débattre pour échapper au poids de l'étagère. Le voleur parlait à des biscuits croustillants et criard, mais certainement aussi à ses tasses. Prenant une chaise devenue docile en voyant le désordre occasionné, je m'installais en face de l'albinos en ramenant une de mes jambes sur la chaise, la pliant en la ramenant contre mon corps; je laissais l'autre assez loin du pied de la table, au cas où, se faire écraser le pied alors que l'on est en chaussette n'est jamais vraiment agréable...
A mon tour, je prenais la théière meurtrière pour me verser une tasse de thé, la calmant de petits coups pour ensuite la poser de nouveau sur la table en lui faisant comprendre que le sol l'attendait si elle tentait quoi que ce soit, et de même pour la tasse. Je pris pour continuer dans ma démarche cinq biscuits sans prendre en compte les jérémiades de mon partenaire, si peu qu'il en faisait, après tout il avait volé mon pain au chocolat, autant prendre sans même demander ce qui m'était dut: de quoi manger l'équivalent.
Tout en brisant les biscuits en quatre pour qu'ils cessent de crier, je regardais de mes yeux cernés le personnage qui se tenait devant moi, un petit sourire aux lèvres.
"Vous devriez leur laisser dire leurs dernières paroles plutôt que de discuter inutilement avec eux, savoir ce que voudraient des biscuits avant de finir dans un estomac serait des plus intéressant, vous ne croyez pas?"
Je disais cela, mais mes cinq biscuits étaient déjà tous morts, brisés en quatre chacun. Je commençais alors à empiler toute ces petites parties en profitant de la douce odeur que dégageait mon thé, tournant la tête vers l'entrée pour voir l'armoire tenter de se relever, sans réussite. Sans la quitter des yeux, je repris la parole.
"D'ailleurs, peut-être vaudrait-il mieux les tuer plus vite, ils pourraient perdre en glucose et en goût à force de se débattre... Un biscuit en bonne santé est un bon biscuit, autant le manger vite et bien avant qu'il n'ait de malaise!"
De ma pile, je retirais un des quart de biscuits pour l'amener à ma bouche, le faisant croustiller entre mes dents tout en jetant un regard en coin à mon compagnon, la tête toujours dirigée vers l'entrée. Malgré le fait qu'il soit mort, le quart de biscuit faisait du bruit entre mes dents, mais quel délice! Il allait falloir que je trempe les prochains dans mon thé, c'était une obligation...
Car je n'étais pas seul, enfin, presque. Une petite chose verte et ondulée, une sorte d'algue se baladait sur le plafond aux couleurs si bruyantes, se dirigeant vers une des voies, la plus sombre. Cette petite algue me faisait-elle signe de la suivre? Je la regardais, l'étudiais, ne voyant en elle aucun signe d'agressivité ou de tout ce qui pouvait s'y lier; la petite algue semblait neutre et ne faisait que bouger. Je la suivais donc sans la lâcher du regard, me demandant le goût qu'elle aurait si elle entourait un sushi... Alors que nous arrivions au bout et que je l'avais quittée des yeux pour remarquer une porte de papier, la petite algue verte avait disparue sans avoir crée d'ouverture quelconque, sans en avoir donné signe. Mon sushi s'était envolé...
La porte de papier ne semblait pas avoir de vraie poignée, ainsi donc je passais au travers en la déchirant comme si de rien n'était, jetant tout de même un coup d’œil en arrière pour chercher mon algue. Elle n'était définitivement plus ici, et la porte de papier avait elle aussi disparue. Plus d'algue, plus de couloir multicolore, plus de papier, plus de... De sushi. Par contre, il y avait bel et bien un sush- un soucis. Je me retrouvais de nouveau dans la ville, entouré de tout ces bâtiments délabrés. Mais ce qui m'intéressait était une chose tout autre que cette ville déjà connue: un petit pain trônait sur une vitrine, un pain qui se trouvait certainement être un pain au chocolat! Cette gourmandise feuilletée et chocolatée était un régal rien qu'au regard et je me serais bien empressé de lui sauter dessus si l'on ne me l'avait pas volée...
Je détachais encore plus ma cravate qui pendouillait, déboutonnais une fois de plus ma chemise et me grattais le bas de la jambe gauche avec les orteils du pied droit pour observer l'énergumène qui venait de me voler mon goûter. Alors qu'il entrait pour subtiliser la pâtisserie, une armoire tenta de l'écraser et un vase de l'attaquer, mais le manque de coordination de tout ces objets entraîna un échec total de l'assaut et une survie semblant calculée par un voleur en réalité inconscient. A mon tour, je m'approchais de ce bâtiment, courbé. Si ce bâtiment avait osé montrer un pain au chocolat, peut-être pouvait-il resceller d'autres délicieuses pâtisseries, sucreries ou gourmandises? Cette perspective étant des plus alléchantes, j'entrais à mon tour dans ce qui devait être une pâtisserie, ou une boulangerie.
Courbé sur moi-même et marchant sur l'étagère, celle-ci lâcha un grincement, ou plutôt un couinement, le vase brisé ne pouvait plus rien faire et un tapis tentait désespéramment de se débattre pour échapper au poids de l'étagère. Le voleur parlait à des biscuits croustillants et criard, mais certainement aussi à ses tasses. Prenant une chaise devenue docile en voyant le désordre occasionné, je m'installais en face de l'albinos en ramenant une de mes jambes sur la chaise, la pliant en la ramenant contre mon corps; je laissais l'autre assez loin du pied de la table, au cas où, se faire écraser le pied alors que l'on est en chaussette n'est jamais vraiment agréable...
A mon tour, je prenais la théière meurtrière pour me verser une tasse de thé, la calmant de petits coups pour ensuite la poser de nouveau sur la table en lui faisant comprendre que le sol l'attendait si elle tentait quoi que ce soit, et de même pour la tasse. Je pris pour continuer dans ma démarche cinq biscuits sans prendre en compte les jérémiades de mon partenaire, si peu qu'il en faisait, après tout il avait volé mon pain au chocolat, autant prendre sans même demander ce qui m'était dut: de quoi manger l'équivalent.
Tout en brisant les biscuits en quatre pour qu'ils cessent de crier, je regardais de mes yeux cernés le personnage qui se tenait devant moi, un petit sourire aux lèvres.
"Vous devriez leur laisser dire leurs dernières paroles plutôt que de discuter inutilement avec eux, savoir ce que voudraient des biscuits avant de finir dans un estomac serait des plus intéressant, vous ne croyez pas?"
Je disais cela, mais mes cinq biscuits étaient déjà tous morts, brisés en quatre chacun. Je commençais alors à empiler toute ces petites parties en profitant de la douce odeur que dégageait mon thé, tournant la tête vers l'entrée pour voir l'armoire tenter de se relever, sans réussite. Sans la quitter des yeux, je repris la parole.
"D'ailleurs, peut-être vaudrait-il mieux les tuer plus vite, ils pourraient perdre en glucose et en goût à force de se débattre... Un biscuit en bonne santé est un bon biscuit, autant le manger vite et bien avant qu'il n'ait de malaise!"
De ma pile, je retirais un des quart de biscuits pour l'amener à ma bouche, le faisant croustiller entre mes dents tout en jetant un regard en coin à mon compagnon, la tête toujours dirigée vers l'entrée. Malgré le fait qu'il soit mort, le quart de biscuit faisait du bruit entre mes dents, mais quel délice! Il allait falloir que je trempe les prochains dans mon thé, c'était une obligation...
- Résumé:
- Après avoir traversé un étrange couloir multicolore dans lequel il s'est réveillé, Tee arrive dans la ville et remarque un pain au chocolat derrière une des vitrines alors qu'Azrael déboule pour le subtiliser. Voulant tout de même avoir de quoi manger, Tee rentre dans le bâtiment déjà mis hors d'état de nuire, s'installant sur une chaise calme pour se servir sans se gêne et conseiller le voleur sur les biscuits alors qu'il ne fait que des suppositions tout en tuant les siens comme si de rien n'était.
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Lun 23 Juin - 14:17
Oh. fut mon premier mot lorsque je repris connaissance.
Je me trouvais dans un endroit bien étrange. C'était une sorte de salle ronde, sans meubles, sans tapisseries. Entièrement blanche. Je ne comprenais pas trop ce qu'était cet endroit. Mais en tout cas, j'en toucherais deux mots au propriétaire, parce que je ne comprends pas comment on peut vivre dans cette pièce horrible.
Mais, où suis-je ? Ah, ce n'est pas si grave, au fond, je suis déjà bien habitué à ce monde étrange, et puis, réfléchir me donne le tournis.
C'est alors que je remarqua quelque chose.
Han, une algue qui bouge ! Hé, salut l'algue ! Comment tu vas ?
L'algue se tourna vers moi. Elle se trouvais sur le plafond, et avançait. Mais mes propos la firent s'arrêter. Elle me regarda, m'étudia, me discerna. C'était une belle algue claire, longue comme une algue des mers. Depuis que je suis ici, que de surprises ! Peut-être est-ce le propriétaire de ce lieu ?
Héé, réponds-moi ... Je suis gentil, moi, regarde ! criais-je tandis que je tournais sur moi-même, exécutant une danse géniale, où il me suffisait de faire tout et n'importe quoi.
L'algue me regardait, et je voyais son corps ondulait. Elle devait rigoler, j'en suis certain !
Une fois ma danse fini, je me courbais pour signifier l'arrêt du spectacle. L'algue continuait de faire onduler son corps. Mais bientôt, elle disparut ! Ah, non, j'ai eu peur. Elle état tombée sur le sol dans un fracas immense ! Ouah, est-ce que serait Super-Algue, le super héros tant redouté de mes rêves ?
Je vous admire, Super-Algue ! Pourrais-je avoir un autographe, là, sur ma main ?
Je sortis mon stylo indélébile et m'approchais doucement de mon idole. Elle s'était décalé de l'endroit où elle avait atterit, et où d'ailleurs elle avait laissé un cratère fantastique.
Mais, alors que je me trouvais sur ce cratère, les yeux étincelants d'émotion envers Super-Algue, le vide se creusa autour de moi. Oups. Le sol s'était cassé en dessous de moi. Je voyais un sol peut-être de bois, où les pierres tombaient toutes ensembles.
Nooooon, Super-Aaalgue !
Et voilà, j'étais tombé à terre ! Non, Super-Algue, non, ne partez pas ! Mais j'avais un peu mal au derrière tout de même, ahlala.
Mes yeux commençaient à se mouiller. L'émotion était là, forte. Je voyais deux personnes devant moi, assises sur une table, en train de converser tout en mangeant des biscuits. Et moi, j'étais là, assis par terre.
Les larmes montèrent, et finirent par sortir.
Nooooooooooooooooooooooooooooooooooooon, Super-Aaaaaaaaaaaaalgue !
Je me trouvais dans un endroit bien étrange. C'était une sorte de salle ronde, sans meubles, sans tapisseries. Entièrement blanche. Je ne comprenais pas trop ce qu'était cet endroit. Mais en tout cas, j'en toucherais deux mots au propriétaire, parce que je ne comprends pas comment on peut vivre dans cette pièce horrible.
Mais, où suis-je ? Ah, ce n'est pas si grave, au fond, je suis déjà bien habitué à ce monde étrange, et puis, réfléchir me donne le tournis.
C'est alors que je remarqua quelque chose.
Han, une algue qui bouge ! Hé, salut l'algue ! Comment tu vas ?
L'algue se tourna vers moi. Elle se trouvais sur le plafond, et avançait. Mais mes propos la firent s'arrêter. Elle me regarda, m'étudia, me discerna. C'était une belle algue claire, longue comme une algue des mers. Depuis que je suis ici, que de surprises ! Peut-être est-ce le propriétaire de ce lieu ?
Héé, réponds-moi ... Je suis gentil, moi, regarde ! criais-je tandis que je tournais sur moi-même, exécutant une danse géniale, où il me suffisait de faire tout et n'importe quoi.
L'algue me regardait, et je voyais son corps ondulait. Elle devait rigoler, j'en suis certain !
Une fois ma danse fini, je me courbais pour signifier l'arrêt du spectacle. L'algue continuait de faire onduler son corps. Mais bientôt, elle disparut ! Ah, non, j'ai eu peur. Elle état tombée sur le sol dans un fracas immense ! Ouah, est-ce que serait Super-Algue, le super héros tant redouté de mes rêves ?
Je vous admire, Super-Algue ! Pourrais-je avoir un autographe, là, sur ma main ?
Je sortis mon stylo indélébile et m'approchais doucement de mon idole. Elle s'était décalé de l'endroit où elle avait atterit, et où d'ailleurs elle avait laissé un cratère fantastique.
Mais, alors que je me trouvais sur ce cratère, les yeux étincelants d'émotion envers Super-Algue, le vide se creusa autour de moi. Oups. Le sol s'était cassé en dessous de moi. Je voyais un sol peut-être de bois, où les pierres tombaient toutes ensembles.
Nooooon, Super-Aaalgue !
Et voilà, j'étais tombé à terre ! Non, Super-Algue, non, ne partez pas ! Mais j'avais un peu mal au derrière tout de même, ahlala.
Mes yeux commençaient à se mouiller. L'émotion était là, forte. Je voyais deux personnes devant moi, assises sur une table, en train de converser tout en mangeant des biscuits. Et moi, j'étais là, assis par terre.
Les larmes montèrent, et finirent par sortir.
Nooooooooooooooooooooooooooooooooooooon, Super-Aaaaaaaaaaaaalgue !
- Résumé:
- Robynet se réveille dans une salle entièrement blanche, et rencontre une algue qu'il prends pour un super-héros. Après avoir exécuté une danse grotesque, le dessinateur s'approche de l'algue mais tombe sur le sol, devant Azrael et Tee, et commence à pleurer tout en repensant à Super-Algue, criant son désespoir et sa tristesse infinis.
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Mer 25 Juin - 11:34
Azraël savourait ses cookies lorsqu'un jeune homme se matérialisa littéralement devant lui. Wouha ! Il savait pas qu'on pouvait se téléporter dans cette version du monde, de nouvelle mise à jour ? Il y a longtemps on lui avait permis de regarder la télé et il avait vu un documentaire sur la téléportation, oui oui c'est possible. Un Docteur Machin avait longuement parler de dématérialiser de la matière pour la remartérialiser autres part, et que c'était pas du gâteau. Mais apparemment ce jeune homme avait des affinités avec les gâteau, du cela pouvait tout aussi bien être de la tarte pour lui. D'ailleurs...
-Tarte ou gâte..Voulut-il formuler lorsqu'un détail vint perturber ses philosophique réfléctions. En effet un homme venait de débouler dans la pièce et se jetait à présent au pieds de la table (qui secouait d'indignation). Il semblait bouleversé, son cri de désespoir effleura Azraël qui tenta de se souvenir de ce que l'on pouvait bien dire dans ces cas là ...
-Mmmh .. Mes condoléances, dit il d'un air grave qui ne lui allait pas du tout.
-Tarte ou gâte..Voulut-il formuler lorsqu'un détail vint perturber ses philosophique réfléctions. En effet un homme venait de débouler dans la pièce et se jetait à présent au pieds de la table (qui secouait d'indignation). Il semblait bouleversé, son cri de désespoir effleura Azraël qui tenta de se souvenir de ce que l'on pouvait bien dire dans ces cas là ...
-Mmmh .. Mes condoléances, dit il d'un air grave qui ne lui allait pas du tout.
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Mer 25 Juin - 17:25
Je ne pus savoir ce que voulu me répondre mon compagnon de table, si ce n'était qu'il allait parler de gâteaux, et très certainement de tartes. J'avais sans le quitter des yeux mangé au total quatre de mes quarts de biscuits, soit un biscuit mort au complet... Son goût lorsqu'il était encore frais et vivant aurait bien pu être différent, une expérience à tester si je retrouve de nouveau des biscuits dans ce monde! Mais plus important, ma tasse de thé venait de se renverser.
Par chance, j'avais eu un réflexe de survie: deux des doigts de ma main droite appuyaient sur ma pile de quarts de biscuits, n'en laissant tomber aucun et ne la décalant que peu lors de l'éboulement. Toujours une de mes jambes repliée sur ma chaise, j'y montais aussi l'autre, voyant que la table avait une étrange envie de m'en écraser le pied... En fait, le sol était maintenant recouvert de rochers plus ou moins gros, des pans du plafond qui venait de s'écrouler sous les mouvements du jeune garçon certainement trop lourd qui venait d’atterrir en face de nous. J'espérais alors qu'il n'y ai pas d'étage inférieur, bien que l'étagère l'aurait déjà révélé en s'écrasant au sol un peu plus tôt.
Ne voyant pas plus d'intérêt à observer ce garçon, je l'écoutais pleurnicher sans même le regarder, stabilisant ma pile de quarts de biscuits de ma seule main valide. Au passage, ma tasse était morte, ayant roulée jusqu'au sol; j'apportais donc la théière en face de moi une fois la pile sucrée bien stable. Cela fait et le récipient de nouveau calmé, j'entendis celui qui me tenait compagnie offrir ses condoléances au pauvre dépité qui gisait dans les débris, pleurant à la mort.
Toujours sans lui offrir la moindre attention visuelle en comptant les morceaux de biscuits pour vérifier qu'aucune portion de cadavre ne soit porté disparu,les deux pieds sur ma chaise, les jambes ramenées vers moi, mes habits toujours aussi désordonnés et mon bras gauche pendant, je pris à mon tour la parole. Ah, il fallait bien dire aussi que ces biscuits n'étaient pas très riches en sucre...
"Perdre des proches est une étape de la vie, il faut s'y faire..."
Je prenais un des quarts de biscuits, le ramenant lentement à ma bouche pour le croquer à petites bouchées -qui n'en étaient presque pas- tout en regardant ma pile d'un air totalement neutre.
"Mais toutes mes condoléances pour votre animal de compagnie..."
Après tout, que pouvait être un être vivant appelé "Super-Algue"? A moins d'être un Super-héros de bande dessiné ou de dessin animé auquel le jeune garçon se rattachait pour ne pas délirer, ce ne pouvait être qu'un animal de compagnie... C'est tout en engloutissant un second quart de biscuit que je fronçait légèrement les sourcils, attrapant le morceau suivant sur ma pile.
Nous étions dans un monde où tout semblait possible, et où les objets étaient bels et biens vivants... Une algue?
Par chance, j'avais eu un réflexe de survie: deux des doigts de ma main droite appuyaient sur ma pile de quarts de biscuits, n'en laissant tomber aucun et ne la décalant que peu lors de l'éboulement. Toujours une de mes jambes repliée sur ma chaise, j'y montais aussi l'autre, voyant que la table avait une étrange envie de m'en écraser le pied... En fait, le sol était maintenant recouvert de rochers plus ou moins gros, des pans du plafond qui venait de s'écrouler sous les mouvements du jeune garçon certainement trop lourd qui venait d’atterrir en face de nous. J'espérais alors qu'il n'y ai pas d'étage inférieur, bien que l'étagère l'aurait déjà révélé en s'écrasant au sol un peu plus tôt.
Ne voyant pas plus d'intérêt à observer ce garçon, je l'écoutais pleurnicher sans même le regarder, stabilisant ma pile de quarts de biscuits de ma seule main valide. Au passage, ma tasse était morte, ayant roulée jusqu'au sol; j'apportais donc la théière en face de moi une fois la pile sucrée bien stable. Cela fait et le récipient de nouveau calmé, j'entendis celui qui me tenait compagnie offrir ses condoléances au pauvre dépité qui gisait dans les débris, pleurant à la mort.
Toujours sans lui offrir la moindre attention visuelle en comptant les morceaux de biscuits pour vérifier qu'aucune portion de cadavre ne soit porté disparu,les deux pieds sur ma chaise, les jambes ramenées vers moi, mes habits toujours aussi désordonnés et mon bras gauche pendant, je pris à mon tour la parole. Ah, il fallait bien dire aussi que ces biscuits n'étaient pas très riches en sucre...
"Perdre des proches est une étape de la vie, il faut s'y faire..."
Je prenais un des quarts de biscuits, le ramenant lentement à ma bouche pour le croquer à petites bouchées -qui n'en étaient presque pas- tout en regardant ma pile d'un air totalement neutre.
"Mais toutes mes condoléances pour votre animal de compagnie..."
Après tout, que pouvait être un être vivant appelé "Super-Algue"? A moins d'être un Super-héros de bande dessiné ou de dessin animé auquel le jeune garçon se rattachait pour ne pas délirer, ce ne pouvait être qu'un animal de compagnie... C'est tout en engloutissant un second quart de biscuit que je fronçait légèrement les sourcils, attrapant le morceau suivant sur ma pile.
Nous étions dans un monde où tout semblait possible, et où les objets étaient bels et biens vivants... Une algue?
- Résumé, parce que voilà~:
- Tee ne fait qu'écouter ce que dit Azrael, stabilisant sa pile de biscuits morts après que Robynet se soit écroulé depuis l'étage supérieur. Ne le regardant que peu, il s'adresse tout de même à l'homme tombé du ci- du plafond, se rendant tout de même compte que quelque chose cloche.
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Jeu 26 Juin - 9:33
Hein ? On venait juste de me dire de fois "toutes mes condoléances" d'un air grave. Les deux personnes devaient croire que je venais de perdre un proche, alors que c'était juste Super-Algue. (mais c'est encore pire)
Ah. Hum. Euh. Merci ...
Au moins, j'ai réussi à dire quelque chose ! Mais bon, si seulement je pouvais encore voir Super-Algue ! Je suis encore tout triste. Mais bon, sécher mes larmes est ce que je dois faire dès maintenant. Je me leva rapidement, prenant un biscuit sur la table et le dévorant sans attendre.
Hum, délicieux ! ~
Ce biscuit, ce goût merveilleux dans ma petite bouche me rendait euphorique. Ah, vraiment, il faut que je me calme sur la nourriture. Ou pas !
Je m'appelle Robyn, mais vous pouvez m'appeler Super-Robyn ! Hahahahahaha ! dis-je en prenant une pose héroïque.
Ah. Hum. Euh. Merci ...
Au moins, j'ai réussi à dire quelque chose ! Mais bon, si seulement je pouvais encore voir Super-Algue ! Je suis encore tout triste. Mais bon, sécher mes larmes est ce que je dois faire dès maintenant. Je me leva rapidement, prenant un biscuit sur la table et le dévorant sans attendre.
Hum, délicieux ! ~
Ce biscuit, ce goût merveilleux dans ma petite bouche me rendait euphorique. Ah, vraiment, il faut que je me calme sur la nourriture. Ou pas !
Je m'appelle Robyn, mais vous pouvez m'appeler Super-Robyn ! Hahahahahaha ! dis-je en prenant une pose héroïque.
- Résumé:
- Petite réponse, désolé ;;
Robyn bredouille un remerciement pour les condoléances, avant de sécher ses larmes, se relever et piquer un biscuit et le manger sans attendre. Ensuite, il se présente avec une pose digne d'un super-héros.
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Sam 28 Juin - 2:37
Le garçon sécha ses larmes et Azraël ne s'y intéressait déjà plus, c'était au tour des passionnantes petite poussière miroitant sous la lumières du jour d'accaparer ses réfléctions les plus profondes. Il était fière de lui trouver les bon mots dans la situation adaptée c'était presque un exploit et M. Robert aurait été ravi mais pour l'ancien interné tout ceci n'égalait pas la majestueuse danse de la poussière. C'était curieux comme la poussière, élément si fin et si proche de non-existence (si si je vous assure) pouvait semblez former un mur si compacte. Il passait sa main à travers ce petit bout d'illusion sans jamais tarir d'admiration, finalement c'était un peu comme un reflet de réalité. Tout peut être une drôle de métaphore pour expliquer ce que l'on ne comprend pas ou ce que l'on veut comprendre. Tentons autrement ...
-Les gâteaux c'est aussi de la farine.
Mais oui c'est clair ! Enfin quand les gâteau eux même n'essayent pas de te bouloter, dis une petite voix sensée qu'il n'identifiait pas comme la sienne.
-Les gâteaux c'est aussi de la farine.
Mais oui c'est clair ! Enfin quand les gâteau eux même n'essayent pas de te bouloter, dis une petite voix sensée qu'il n'identifiait pas comme la sienne.
- Résumé:
- Az' s'émerveille sur la poussière puis il fait une allusion métaphorique à un gâteau composé de farine.
Invité
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Dim 29 Juin - 13:29
Des remerciements, un vol de biscuit, un goût délicieux et un nom: Robyn. Pas que Robyn, non, Super-Robyn. Après sa super-Algue, Robyn nous dévoilait son identité de super-héros... Avait-il la capacité de transpercer les murs comme il l'avait fait un peu plus tôt, ou seulement le don de prendre une pose héroïque tout en se prenant pour un de ces dieux de bandes dessinées? Je le découvrirais certainement par la suite, rien ne pressait... Mais cette histoire d'algue restait intriguante, compte tenue de la petite couverture à sushis que j'avais rencontrée un peu plus tôt... Une logique semblait se dessiner malgré l'absurdité de la scène, un schéma, bien que pour le moment encore flou... Ce monde, ce ciel, tout devait avoir une logique et une raison, même si certaines choses ne s'expliquent pas avec précision, tout peut au moins être compris.
Je commençais à séparer ma pile de biscuits morts en deux, puis en quatre, tentant de réfléchir à ce qui pouvait bien se passer. Pourquoi étais-je apparu dans un couloir multicolore que j'avais négligé? Quel était cette algue verte qui se baladait au plafond? Ces biscuits, étaient-ils plus ou moins sucrés avant de mourir? Étaient-ils vraiment composés de farine comme le suggérait celui qui me faisait face? Si oui, comment pouvaient-ils crier et penser? Si non, de quoi étaient-ils composés? De plus, cette poussière environnante liée à l'éboulement du plafond était certainement la chose à laquelle mon camarade faisait allusion, du fait qu'il l'ai observée pendant un certain temps avant de prononcer ses mots. Cette poussière était bien fine, bien blanche, trop blanche pour des débris de plafond ou de sol banal, et sa suspension dans l'air était assez surprenante... Peut-être que si les biscuits n'étaient pas forcément composés de farine, ces murs l'étaient, et cette poussière n'était donc qu'une farine fine en suspension dans l'air? Si tout le bâtiment était composé de cette farine, alors la quantité de farine obtenue serait incroyable s'il venait à s'écrouler, l'air ambiant en serait rempli dans un rayon de plusieurs mètres autour du bâtiment...
Regardant le plafond qui continuait de se craqueler, j'apportais un de mes quart de biscuits à la bouche après l'avoir trempé dans la théière que j'avais ouverte en même temps. Mes yeux tombèrent ensuite, se baladant dans la pièce à la recherche d'un type d'objet spécifique dans le but d'être certain qu'aucun objet vivant ici présent n'ai la capacité de faire ce à quoi je pensais. Par chance, aucun objet ne semblait capable de créer une combustion.
Mais ce monde si loufoque, peut-être pouvait-il créer de légères combustions spontanées? Qui sait, après tout, il pouvait bien être capable de projeter des images, de donner vie aux objets ou de faire fuir les gourmandises... S'il était capable de telles choses, il devait bien pouvoir faire ce qu'il voulait, ce ciel. Je me levais en posant mes pieds au sol, évitant de me les faire écraser par la table. De ma main valide je pris huit des quarts de biscuits qui me restaient pour partir avec en direction de la sortie, lentement.
"Nous devrions sortir, à moins que vos super-pouvoirs ne puissent nous aider d'une quelconque manière..."
Passant de nouveau le seuil de la porte pour sortir de ce qui devait être une boulangerie, je regardais en face de moi de façon sérieuse, perdu dans mes pensées. Je me rappelais sans savoir pourquoi qu'une fabrique de farine avait explosée il y a de cela plusieurs dizaines d'années, avec pour seul combustible la farine elle-même... Je ne savais pas d'où me venait cette connaissance, certainement de ma culture générale passée, mais une farine fine en suspension dans l'air pouvait entrer en combustion et créer une certaine déflagration avec un rien, juste une pauvre allumette allumée dans cet air saturé de farine... Si ces murs étaient faits de farine, mieux valait s'éloigner de l'éboulement qui avait laissé cet élément dans l'air, question de survie dans un monde où n'importe quel objet capable de créer une combustion le ferait de son propre chef...
Mais ces biscuits, de quoi étaient-ils faits?
Je commençais à séparer ma pile de biscuits morts en deux, puis en quatre, tentant de réfléchir à ce qui pouvait bien se passer. Pourquoi étais-je apparu dans un couloir multicolore que j'avais négligé? Quel était cette algue verte qui se baladait au plafond? Ces biscuits, étaient-ils plus ou moins sucrés avant de mourir? Étaient-ils vraiment composés de farine comme le suggérait celui qui me faisait face? Si oui, comment pouvaient-ils crier et penser? Si non, de quoi étaient-ils composés? De plus, cette poussière environnante liée à l'éboulement du plafond était certainement la chose à laquelle mon camarade faisait allusion, du fait qu'il l'ai observée pendant un certain temps avant de prononcer ses mots. Cette poussière était bien fine, bien blanche, trop blanche pour des débris de plafond ou de sol banal, et sa suspension dans l'air était assez surprenante... Peut-être que si les biscuits n'étaient pas forcément composés de farine, ces murs l'étaient, et cette poussière n'était donc qu'une farine fine en suspension dans l'air? Si tout le bâtiment était composé de cette farine, alors la quantité de farine obtenue serait incroyable s'il venait à s'écrouler, l'air ambiant en serait rempli dans un rayon de plusieurs mètres autour du bâtiment...
Regardant le plafond qui continuait de se craqueler, j'apportais un de mes quart de biscuits à la bouche après l'avoir trempé dans la théière que j'avais ouverte en même temps. Mes yeux tombèrent ensuite, se baladant dans la pièce à la recherche d'un type d'objet spécifique dans le but d'être certain qu'aucun objet vivant ici présent n'ai la capacité de faire ce à quoi je pensais. Par chance, aucun objet ne semblait capable de créer une combustion.
Mais ce monde si loufoque, peut-être pouvait-il créer de légères combustions spontanées? Qui sait, après tout, il pouvait bien être capable de projeter des images, de donner vie aux objets ou de faire fuir les gourmandises... S'il était capable de telles choses, il devait bien pouvoir faire ce qu'il voulait, ce ciel. Je me levais en posant mes pieds au sol, évitant de me les faire écraser par la table. De ma main valide je pris huit des quarts de biscuits qui me restaient pour partir avec en direction de la sortie, lentement.
"Nous devrions sortir, à moins que vos super-pouvoirs ne puissent nous aider d'une quelconque manière..."
Passant de nouveau le seuil de la porte pour sortir de ce qui devait être une boulangerie, je regardais en face de moi de façon sérieuse, perdu dans mes pensées. Je me rappelais sans savoir pourquoi qu'une fabrique de farine avait explosée il y a de cela plusieurs dizaines d'années, avec pour seul combustible la farine elle-même... Je ne savais pas d'où me venait cette connaissance, certainement de ma culture générale passée, mais une farine fine en suspension dans l'air pouvait entrer en combustion et créer une certaine déflagration avec un rien, juste une pauvre allumette allumée dans cet air saturé de farine... Si ces murs étaient faits de farine, mieux valait s'éloigner de l'éboulement qui avait laissé cet élément dans l'air, question de survie dans un monde où n'importe quel objet capable de créer une combustion le ferait de son propre chef...
Mais ces biscuits, de quoi étaient-ils faits?
- Résumé!:
- Tee écoute ce qui se passe autour de lui et est pris d'une grande réflexion sur la farine, la composition du bâtiment et des biscuits. Se rendant compte que la "poussière" maintenant présente dans l'air pourrait être de la farine, il sent le danger potentiel et décide de sortir de la boulangerie en incitant les autres à faire de même, sachant qu'une explosion pourrait bien se créer à tout moment...
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Dim 29 Juin - 18:56
Les deux personnes devant moi semblaient en train de réfléchir .. Ils pourraient se présenter, quand même ! Je décida de me mettre assis sur le sol.
L'un parlait de farine, l'autre ne disait rien. Ils avaient tout les deux regardé le trou causé par Super-Algue. Celui-ci se leva alors, et nous invita à sortir. Je venais à peine de me mettre assis par terre, pourtant !
Sortir ? Ah, d'accord. C'est parti !
Je ne comprenais pas pourquoi il parlait de super-pouvoirs, car en tout cas, je n'en ai pas. Seul ma force et le pouvoir de l'amitié sont importants et me permettent d'être un super-héros ! Enfin, je pense.
...
...
Est-ce que j'en suis vraiment un ?
...
...
En tout cas, il faudrait que j'y pense une autre fois, parce que là, je ne me sens pas apte à réfléchir. Et puis, ne pas être un super-héros, ce serait comme perdre mon identité, quoi !
Je suivis le type aux cheveux noirs et sortit dehors. Je vit le ciel, au-dessus de moi. Il n'était pas comme d'habitude, je n'arrivais pas à voir d'images ou quoi que ce soit ... Il n'était que d'un rose infini, avec des sortes de nuages. Mais, on ne peut pas se fier à nos définitions et nos repères, ici, il faut le dire. Mais bon.
Le ciel a l'air ... étrange. murmurais-je.
L'un parlait de farine, l'autre ne disait rien. Ils avaient tout les deux regardé le trou causé par Super-Algue. Celui-ci se leva alors, et nous invita à sortir. Je venais à peine de me mettre assis par terre, pourtant !
Sortir ? Ah, d'accord. C'est parti !
Je ne comprenais pas pourquoi il parlait de super-pouvoirs, car en tout cas, je n'en ai pas. Seul ma force et le pouvoir de l'amitié sont importants et me permettent d'être un super-héros ! Enfin, je pense.
...
...
Est-ce que j'en suis vraiment un ?
...
...
En tout cas, il faudrait que j'y pense une autre fois, parce que là, je ne me sens pas apte à réfléchir. Et puis, ne pas être un super-héros, ce serait comme perdre mon identité, quoi !
Je suivis le type aux cheveux noirs et sortit dehors. Je vit le ciel, au-dessus de moi. Il n'était pas comme d'habitude, je n'arrivais pas à voir d'images ou quoi que ce soit ... Il n'était que d'un rose infini, avec des sortes de nuages. Mais, on ne peut pas se fier à nos définitions et nos repères, ici, il faut le dire. Mais bon.
Le ciel a l'air ... étrange. murmurais-je.
- Résumé:
- Robynet s'interroge sur ce que font les deux personnages devant lui, s'interroge sur sa nature de super-héros et décide de suivre Tee dehors. Il regarde le ciel et le trouve étrange.
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