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Un demi-million d’euros dans une mallette ~ Rosalina Ngwenya

Stilgar
Petit pimousse au rapport !
Personnages : Crevette, Rosalina Ngwenya, Amundsen, Agate Withcroft-Molina, Langouste, Crevette des Câbles
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Stilgar
Ven 15 Fév - 20:12

Rosalina Ngwenya




Appellation
     Rosalina Ngwenya.

Âge
     Trente-deux ans.

Nationalité
     Mozambicaine.
Goûts
     Esprit cosmopolite et habituée à une certaine idée du luxe, Rosalina apprécie tout particulièrement la bonne nourriture, les beaux bâtiments, le confort, est assez cultivée en matière de vins français, d’automobiles italiennes, de musique classique autrichienne, de littérature russe. Bien entendu, elle apprécie aussi la bonne société, les gens de bien, le monde de la politique et des affaires, où elle évolue comme un poisson dans l’eau. Elle n’est pas non plus aveugle aux charmes techniques des produits qu’elle vend, et a une connaissance encyclopédique des armes à feu du monde entier. En outre, elle dispose d’une assez importante collection de fusils anciens, et a comme passion sur ses (très) rares temps libres la restauration de ces vieilleries.

Arrivée dans l’Esquisse
     Au jour 24, et a rejoint le Laboratoire par pure chance.


Caractéristiques



♦ Constitution physique : intermédiaire
     Rosalina n’est pas une ardente sportive, mais sait maintenir son corps en bon état. Elle a une alimentation saine, équilibrée, et de très bons gènes.
♦ Habileté : plutôt élevé
     Ses passe-temps mécaniques la dotèrent d’une assez bonne dextérité. En outre, s’étant un moment entichée d’arts martiaux orientaux, elle est bien plus souple que la moyenne.
♦ Faculté mentales : intermédiaire
     Heureusement que son caractère est bien trempé, parce que passer d’une vie comme la sienne à un désert absurde et où sa garde ne peut jamais se relâcher complètement fut, et de très loin, l’épreuve la plus épuisante pour l’esprit qu’elle ait jamais connue.

♦ Médecine : inconnu
     Bien entendu, elle sait appliquer des bandages, et lire des étiquettes, mais cela s’arrête là. Pourquoi s’intéresser à cette discipline, quand on peut s’offrir les meilleurs médecins, peu importe où l’on va…

♦ Bricolage : expert
     Il n’y a pas de différence fondamentale entre démonter, remonter, entretenir, réparer et restaurer ces trésors de technique que sont les armes anciennes et bidouiller d’autres engins mécaniques plus gros. Par ailleurs, posséder autant de voitures et ne pas savoir les démonter et les réparer soi-même est du pur gâchis.

♦ Maîtrise des armes blanches : inconnu
     Jugé comme un archaïsme inutile, le combat au corps-à-corps fut totalement délaissé par Rosalina.  Son père lui apprit à se défendre d’un assaillant équipé d’un couteau, mais elle ne saurait pas comment se débrouiller face à quelqu’un qui disposerait, disons, d’un sabre, à tout hasard.

♦ Maîtrise du combat à mains nues : adepte
     Rosalina pratiqua les arts martiaux pendant une petite quinzaine d’année, et cela ne s’oublie jamais vraiment. Elle ne tiendrait pas cinq minutes face à un maître en la matière, mais est tout de même ceinture noire de Taekwondo.

♦ Maîtrise des armes à distance : adepte
     Il n’y a que les patrons de l’industrie du tabac pour ne pas consommer ce qu’ils trafiquent. Rosalina connaît le fonctionnement d’une très grande variété d’armes à feu, et surtout, comment les entretenir et les réparer, mais ne s’est spécialisée dans aucune, et sera donc médiocre partout. De plus, elle n’a jamais tiré qu’en salle, et jamais en situation réelle. Elle a bien fait un safari au rhinocéros avec un baron de la drogue, une fois, mais ça reste assez faible, comme expérience.

♦ Cuisine : inconnu
     Pourquoi s’en soucier quand on a un cuisinier français ?

♦ Sciences appliquées : adepte
     Esprit académique par excellence, Rosalina n’a jamais cessé d’apprendre. Les sciences dures ne sont pas vraiment sa spécialité, mais avoir fréquenté des esprits brillants du monde entier, et avoir été à un des plus prestigieux établissements du Vieux Monde sans en retirer quoi que ce soit est impossible.

♦ Conduite de véhicules : expert
     Permis voiture, permis moto, et de très, très nombreuses heures de conduite, que ce soit dans des voitures hors de prix en Europe, sur des circuits privés, ou sur des routes défoncées d’Afrique, dans des jeeps bruyantes et brinquebalantes aux côtés de son paternel.

♦ Négociation : expert
     Son métier obligeant, Rosalina s’est avérée très compétente pour inspirer la confiance, apaiser les tensions dans une pièce, et faire aboutir une discussion à un résultat plus constructif que sortir les échantillons qu’on était sensé vendre pour en faire une utilisation plus immédiate dans le corps de celui qui aurait dû être son client. Amoureuse du système anglais de compromis, comme tous ceux qui y ont été élevés, elle se sent parfaitement à même d’imposer une présence apaisante, dans toute pièce où elle arrive. Et bien entendu, Rosalina est tout autant capable, si nécessaire, de faire plier par la menace et l’intimidation quelqu’un de trop rétif. Elle sait moduler sa voix, son visage, son attitude, et lire dans la gestuelle de l’autre pour deviner ses intentions.

♦ Direction :  expert
     Compétence obligatoire pour tout chef d’entreprise qui se respecte. Rosalina sait gérer un groupe, imposer une direction à suivre, diriger des débats, se faire entendre, et surtout, se faire obéir.

♦ Niveau de difficulté souhaité : Suicide. On ne se refait pas.



Histoire



     Rosalina est la fille unique d’un trafiquant d’arme ; Miguel Ngwenya. Elle n’a pas connu sa mère, morte peu de temps après sa naissance d’un cancer. Miguel était un mari très joyeux et farceur, aussi cette perte ne l’assombrit pas, mais par amour, il ne se remaria jamais.
     Sa fille fut éduquée avec amour et tendresse, du moins, autant que faire ce pouvait, vu qu’elle vivait principalement chez sa grand-mère. Miguel était tout le temps à l’étranger, ou en compagnie de personnages peu recommandables. Sa fille, comme le reste de la famille d’ailleurs, n’était pourtant pas du tout étrangère à cet état de fait. La jeunesse de Rosalina alla avec des gardes du corps, des trajets en hélicoptère, son père qu’elle voyait quelques fois par semaine, et la vie dans un quartier fermé et isolé du reste de Maputo, la capitale, par des gardes et des murs, avec d’autres jeunes gens de la jeunesse dorée du pays.
     En 1991, lors de la dissolution de l’URSS, elle avait onze ans. Miguel allait passer un certain temps en Europe orientale et en Asie centrale, qui avec le grand désordre que généra la création d’une quinzaine de nouveaux États, allaient être le terrain de chasse de tous les trafiquants du monde, en quête d’arsenaux soviétiques à s’accaparer au prix de pots-de-vins versés à de ternes apparatchiks et généraux au seuil de la retraite. Ne pouvant se résoudre à laisser la prunelle de ses yeux si loin, il emménagea avec elle dans une datcha au bord de la Mer Noire. Rosalina passa d’un environnement sécurisé à un autre, et en profita pour apprendre le russe.
     Dès qu’elle fut en âge, et que la ruée vers l’Est fut achevée, Miguel envoya sa fille à Oxford. Elle se plut beaucoup dans la capitale anglaise, et ses années d’adolescence furent de douces années, avec leur content de sorties, de fêtes, d’amourettes de jeunesse, et de plaisirs variés. Les affaires paternelles, bien entendu jamais présentées pour ce qu’elles étaient à ses camarades de classe, progressèrent très bien. Il passait tout son temps libre avec elle, grâce à son jet privé.
     Ses études achevées, elle décida de passer plus de temps auprès de son père en s’intégrant à son monde, ce à quoi il l’avait plus ou moins déjà préparé. Miguel voulait bien entendu lui faire hériter de son empire, ce qu’elle ne pouvait pas refuser, vu que c’était justement lui qui lui avait permis de vivre comme elle l’avait fait.
     La dernière chose qu’il fit fut de préparer sa fille au marché chinois, qu’on voyait déjà comme le nouveau centre de l’attention. Jusqu’à ses vingt-huit ans, elle avait deux maisons ; une à Pékin et une à Maputo, mais passait presque autant de temps dans les cieux de l’Océan Indien. Quand Miguel atteignit ses soixante-douze ans, il jugea que le temps était venu de lever le pied, et se retira dans un penthouse à Maputo. Rosalina hérita de tous ses contrats, de tous ses réseaux, de tous ses amis, qui avaient appris à la connaître de longue date, vu que le vieillissant Miguel allait partout accompagné de sa fille.

     Bien plus jeune, bien plus énergique que son père, plus prudent, Rosalina fit fortune avec les Chinois, les Russes, et bien sûr les Occidentaux. Elle recycla la vieille astuce de participer aux sommets internationaux, où industriels, hommes d’affaires et politiciens se réunissaient, pour se faire connaître auprès de dirigeants du Tiers-Monde. Son terrain de chasse privilégié en la matière était le sommet de la lusophonie, qui était sa couverture personnelle pour l’import-export d’armes entre le Brésil, l’Afrique australe, et l’Europe dans une moindre mesure.
     Rosalina faisait pleinement partie de la haute classe internationale. Elle vivait pour ainsi dire dans son jet, et avait d’ailleurs remplacé le vieux coucou de son père pour un véritable palais volant, dans lequel elle donnait des soirées mémorables. Elle participa à des réjouissances mondaines dans les plus belles capitales du monde, visita l’Europe, rencontra des personnalités exquises dans toutes les grandes villes, et des personnages bien moins fréquentables, comme des dictateurs de pacotille d’Afrique de l’ouest et du centre, des seigneurs de guerre crasseux mais rackettant des mines d’or et de diamant, des chefs rebelles bruyants, des généraux corrompus jusqu’à la moelle, des barons de la drogue aux accents à couper au couteau. Elle donnait toujours dans les deux extrêmes.
     Son père, bien que ne bougeant plus trop, restait son conseiller principal, et elle allait le voir très régulièrement. Avec son aide, elle tissa des liens étroits entre le commerce légal et l’illégal, et devint une véritable orfèvre dans l’art complexe du blanchiment d’argent.

     Rosalina avait tout pour elle. Et le jour où elle perdit tout fut un de ceux où elle était sensée pouvoir gagner encore plus que ce qu’elle avait déjà.
     Une négociation rude était prévue en Afrique du Sud. Rosalina avait fait le déplacement jusqu’au siège social de la compagnie écran qui masquait un lucratif marché d’arme centré sur Johannesburg. Les instants avant son entrée dans l’Esquisse, elle avait attendu dans un ascenseur, ses gardes du corps à ses côtés, sans dire un mot. Elle se contentait d’inspirer longuement. D’ici quelques minutes, la scène habituelle allait avoir lieu. Elle allait pousser la porte de la salle de réunion, s’asseoir à une chaise, commencer à ouvrir sa mallette sous les regards lourds et étonnés de l’assemblée, qui comme à chaque fois, était choquée, voire amusée, de voir qu’une femme se chargeait de cette affaire. Très vite et très fort, elle allait se charger de mater cette bande de requins, de leur forcer à bouffer dans sa main, et de se taire quand elle parlait. Leur prouver, ce qu’elle allait faire une fois encore, que malgré sa jeunesse et son sexe, que sa présence était plus que légitime. Dans le fond, ce n’était pas le pire. Ailleurs, le fait d’être Noire était un facteur supplémentaire. Si elle avait réussi à vendre des M-16 au-dessus du prix du marché à des néo-nazis ukrainiens, elle tiendrait bon face à ces petites frappes.
     Au moment où elle poussait les deux lourdes portes de la salle, un vif éclair blanc l’aveugla. Et l’instant d’après, elle se retrouvait à pousser dans le vide, légèrement penchée en avant. Ne comprenant pas ce qui ce passait, Rosalina battit des mains mécaniquement, mais sans réussir à empêcher sa chute tête la première dans le sable.

     Voilà qu’elle était apparue dans l’Esquisse. Il lui fallut de longues minutes, assise dans le sable, pour appréhender cette nouvelle réalité. L’instant d’avant, elle était en ville, et voilà qu’elle avait été téléportée au milieu de nulle part. Un nulle part avec un ciel rose, et pas de Soleil. Rosalina se leva. Elle avait toujours sa mallette, son téléphone portable, ses clefs de voiture – une Lamborghini –, sa Rolex, son portefeuille. Elle supposa un instant qu’on l’avait droguée et laissée au milieu du rien, mais ses affaires étaient encore toutes là, c’était donc une hypothèse à exclure.
     Et à vrai dire, quand elle vit passer à ses pieds une canette de bière à pattes, en chapeau haut-de-forme et avec une canne, Rosalina commença à exclure la possibilité qu’elle fût toujours sur Terre. En écoutant son corps, le verdict était sans appel : elle n’était sous l’influence d’aucun psychotrope. Elle attrapa même la canette, qui se débattit, mais cessa de bouger quand Rosalina la décapsula.
     « Hé bien, je m’attendais à un peu mieux que de la kro. »
     Une gorgée suffit pour qu’elle lâche l’Objet.
     Se situant sur une hauteur, qui dominait un paysage au demeurant complètement absurde, fait d’arbres plantés à l’envers, racines vers le ciel, d’autres qui semblaient faits de cire, ou d’autres encore qui étaient tout à fait normaux, mis à part leur couleur fuchsia et le fait qu’ils se déplaçaient en troupeaux. Elle put aussi assister à des combats entre Objets. Ici aussi, dans ce monde dénué de sens, il y avait des proies et des prédateurs.
     Et sans doute aucun, elle était la proie. Quand un chien rouge aux bras remplacés par des lampes de chevet vous repère et vous fonce dessus, la prudence la plus élémentaire recommande la fuite. Fort heureusement, Rosalina avait repéré une structure au loin, vaguement cuivrée. Structure voulait dire humains, voulait dire renforts, et explications. Rosalina réussit à esquiver la bestiole en passant par des bois incongrus et très épais, qui la séparaient du bâtiment.



Description mentale



     Si on lui demandait, Rosalina dirait qu’elle se définit avant tout par son attachement aux valeurs familiales. Remarquez, ce n’est pas très compliqué pour elle, vu qu’elle n’a connu que son père et sa grand-mère, et si elle dispose de tantes, d’oncles et de cousins et cousines, elle n’a jamais témoigné un immense intérêt à leur égard, s’étant seulement assurée qu’ils vivent à l’abri du danger et du besoin, mais sans vraiment les soutenir financièrement. Il ne faut cependant pas y voir la moindre trace d’hypocrisie ; seulement une tendance à généraliser son amour profond envers son père.
     Ceci mis à part, elle est amorale autant que faire ce peut, ce qui est, certes, quelque peu évident quand on a fait sa richesse immense sur la vente d’armes. Elle a été élevée dans une tradition intellectuelle empreinte de marxisme, sans qu’il n’arrive prendre réellement pied dans son esprit. À cet égard, on pourrait la rapprocher des apparatchiks de la fin de l’ère soviétique ; plus orientés vers leur profit personnel que celui des masses. En revanche, elle est complètement athée.

     Esprit mondial, elle n’a que peu d’attachement à sa nation, et ne parle un des dialectes africains du Mozambique, le makua, que parce que sa principale attache commerciale reste avant tout nationale, et héritée de son père. D’ailleurs, Rosalina commerce sans souci avec les Chinois, qui sont pourtant en train de faire de son pays un protectorat de Pékin pur et simple. Elle voit même cela comme une formidable opportunité d’étendre son marché à l’Asie.
     Une partie non négligeable de sa jeunesse s’étant déroulée sur les bancs d’Oxford, elle a hérité du flegme naturel aux Anglais, et va montrer ses expressions avec un sens de l’euphémisme et de la nuance très prononcé.

     Elle est très fière de son érudition, mais comme tous ceux qui sont très savants et ne sont pas de petits prétentieux, Rosalina ne se vante jamais de son savoir, et ne le distille qu’avec une grande parcimonie, ne se permettant une référence érudite qu’auprès de ceux qui pourraient ne pas se sentir gênés par leur incompréhension. Elle a voyagé, lu, rencontré beaucoup, et mène une vie intellectuelle particulièrement active.
     Par ailleurs, elle parle le portugais, sa langue natale, l’anglais, le makua donc, et se débrouille en russe et en chinois, si on ne va pas trop vite et qu’on n’a pas un accent trop prononcé. Elle essaie aussi d’apprendre le français. Cette connaissance linguistique va avec une connaissance prononcée, poussée, des us de différents peuples, et donc, une capacité accrue à s’y intégrer, et donc à s’intégrer à tous les codes de toutes les autres communautés humaines.
     Toutefois, ce qui peut s’avérer être un frein de taille dans ce nouvel univers, son goût du luxe la rend très inadaptée à la survie, et assez mal à l’aise quand elle est extirpée de son confort. Et par ailleurs, comme elle ne fréquente qu’une classe sociale de personnes, qu’ils soient des généraux véreux, des politiciens, des hommes d’affaire, des barons de la drogue, des seigneurs de guerre, des trafiquants de toute espèce, des intellectuels, des personnalités mondaines, le rapport avec le commun de ses congénères est quelque chose qu’elle ne pratique pas avec grande aise.



Inventaire



♦ Une tenue noire, très habillée, avec bijoux et tissus fins. Des chaussures à talon.
♦ Une mallette noire, avec à l’intérieur des papiers qui feraient jouir d’excitation n’importe quel agent du FBI, et quatre millions de yuans en grosses coupures, dans des liasses épaisses.
♦ Une clef de Lamborghini.
♦ Une Rolex.
♦ Son portefeuille avec ses papiers d’identité, ses cartes bleues, et diverses choses.
♦ Un téléphone portable dernier cri.


Spoiler:


Dernière édition par Stilgar le Mar 19 Nov - 15:58, édité 4 fois


Un demi-million d’euros dans une mallette ~ Rosalina Ngwenya 1zod
Un demi-million d’euros dans une mallette ~ Rosalina Ngwenya ULT8Krs
Eelis
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Lun 18 Fév - 1:45
Re-bienvenue officiellement sur le forum !

Comme j'ai déjà pu te le dire en live, Rosalina c'est le genre de personnages que j'ai peu ou pas vu sur le forum (et pourtant, ça fait plus de six ans que je vois passer des fiches, même s'il n'y en a pas eu tant que ça), ce qui a rendu la lecture de la fiche à la fois dépaysante et intéressant. Je suis assez curieuse de voir si elle va - et comment elle va - exploiter ses compétences en économie, direction et négociation. Étant donné que ce sont des compétences plus orientées sociales, ce sera aussi à nous de voir comment on peut intégrer ça au jeu, surtout vis-à-vis des autres personnages, mais du coup ça ouvre des possibles et des RPs intéressants \o/ Et puis bien sûr, on attend tous de voir Rosalina tomber de haut en tapant la causette à ses nouveaux camarades de survie... au moins il y aura Crevette
En ce qui concerne ton avatar, malgré une petite recherche je n'en sais pas plus que toi, mais en tout cas elle est stylée !

Bref, tu connais déjà le verdict alors je ne prolongerai pas l'attente...


Et c'est validé !



Comme ta petite Crevette il y a peu, tu rejoins les Sables, où tu pourras rejoindre en RP ceux que tu connais déjà, ou ceux qui arriveront sous peu. Je ne te fais pas l'affront de te présenter à nouveau les lieux, aussi je me contenterai de te donner le code de transformation, qui marchera dans approximativement 24h le temps que je me bouge par rapport à ça :
Code:
<transformation perso="Rosalina" />

Bon jeu parmi nous, et du coup au plaisir de lire ou de croiser Rosalina en jeu !~



(Merci à Ara' pour la super signature ♥)

Stilgar
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Stilgar
Jeu 7 Avr - 3:22
♦ Faculté mentales : intermédiaire -> plutôt élevée
Parler de politique lui a permis de s’occuper le cerveau et de se remettre sur de bons rails. Par contre, la nuit passée entre le jour 24 et 25 a été éprouvante pour une Rosalina très – trop – habituée au luxe et lui a rappelé avec ce qu’elle a conçu comme une singulière cruauté qu’elle était très, très loin de la Terre.

♦ Agilité : très élevée
Elle est ceinture noire de taekwondo et peut courir très vite – quand elle enlève ses talons.


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