[LIBRE !!][Église] Ceci est un mariage.

Ceci se passe dans le cadre du thème 2 des songes d'été, l'Esquisse dans 20 ans ! Vous êtes invités à vous incruster même pour un seul post en imaginant votre personnage dans le futurrrr ♥


Iris n'est suivie dans l'allée ni de son père, ni de sa mère. Elle fait quelques pas hésitants dans le hall de l'Eglise - dont la reconstruction s'achève enfin - et s'avance vers l'estrade, déjà occupée par l'homme à qui elle va dire oui. Au premier rang se tiennent leurs cinq enfants, prénommés Annabelle, Bleu, Cyan, Rose et Lillas, âgés de 1 à 10 ans et plus ou moins attentifs à l'évènement important qui va avoir lieu. Beaucoup de gens ont été invités, le buffet est prêt (Iris est toujours naïve et pense qu'il n'y a pas de lien de cause à effet entre les deux) et surtout, Robyn est là. Elle le trouve très beau, elle s'approche de lui en souriant et le regarde dans les yeux. Tous les deux ont bien changé depuis leur première rencontre, leurs traits ont vieilli et quelques modifications sont passées par là, mais elle se souviendra toujours...

Un dernier regard vers les invités, et le mariage peut commencer.

J'étais déjà sur l'estrade lorsqu'elle est entrée. Elle s'avançait d'un pas hésitant. Je regardais nos cinq enfants : Annabelle, Cyan, Bleu, Rose et Lillas. Je les aime tellement. Mais celle que j'aime, c'est Iris. Nous nous sommes rencontrés il y a si longtemps ... Et nous avons tellement vieillis depuis. Je m'en souviens comme si c'était hier. Quand je lui avait fait peur dans ce manoir. Je me souviens de tout.

Je la regarde s'avancer. Le temps semble s'être interrompu et je n'arrivait pas à détourner mon regard d'elle. Elle avançait, avançait, montait sur l'estrade. Elle était si belle dans cette tenue. Tout le monde était là, autour de nous, avec le buffet, aussi, mais je n'arrivais pas à détourner mon regard de la fabuleuse Iris Listz.

Elle s'avança et me sourit, ce qui me fit sourire et rougir en retour.

C'est le plus beau jour de ma vie.

Diablo tenta de desserrer un peu son habit de cérémonie, noir et étouffant. Les dernières semaines avaient été chargées, un nombre incalculable de hiboux avaient transporté des invitations pour ce mariage et… il n’avait aucune idée du comment et du pourquoi mais il se retrouvait en prêtre pour un jour. Pas possible de refuser. Mon dieu, que Kahaüz ne le voit pas comme ça. Rien pour cacher ses cornes en plus, ça n’allait pas du tout avec le reste. Et ce bouquin pesait une tonne.

Heureusement qu’il était un poil plus costaud, maintenant. Malgré son malaise évident, il ne put que couver des yeux les deux futurs époux. Ils étaient magnifiques. Tous les deux. Essayant de combattre son angoisse grandissante de faire foirer le plus beau jour de leur vie, Diablo réajusta ses vêtements une énième fois, essaya de se racler la gorge, manqua de s’étrangler et se prit un coup de livre sur le visage en voulant l’ouvrir, dans la précipitation.

…c’était bien parti.

Vêtu d'un costume noir bien chic et bien serré comme je les déteste, j'attrapais les bords de mon haut-de-forme posé sur mes genoux en souriant face à la scène, n'en manquant aucune goutte, aucune fraction de seconde. Assis dans les bancs, je ne pouvais qu'admirer des mes yeux cernés la splendide Iris Litz monter l'estrade pour rejoindre son timide chevalier galant, ce cher Robyn.

Ce beau couple possédait déjà des enfants que j'appréciais, et le voici là, à se marier, mes deux grand crédules adorés... Mon sourire se faisait plus doux encore en pensant à tout cela, à cette magnifique cérémonie.

Mais je savais moi aussi que dans cette cérémonie, l'on m'attendait. Indéniablement magnifique, elle se tenait non loin, dévoilant à tous sa superbe, elle n'attendait que d'être prise par mon aile, et moi d'être victime de son étreinte sucrée...

Cette succulente pièce-montée...

L’homme arrive tranquillement devant l’église, il y avait un mariage. Il le savait, c’étaient ses précieux hiboux qui avaient distribué les invitations. Quoi de plus magnifique, romantique, tout ce que vous voulez que d’envoyez ce genre de chose par hiboux. Il est passé par là parce qu’il cherchait son collègue, Diablo, qui avait mystérieusement déserté la boutique. Pourquoi ici ? Parce que l’homme se souvient qu’il lui rabattait les oreilles avec ça, qu’ils les trouveraient super mignon… Lui, il en avait rien à faire. Mais comme ils ont eu l’idée de prendre leurs superbes hiboux, et que le gosse – qui ne l’est plus maintenant – y serait sans doute…

A peine passer les portes et… Qu’est-ce qu’il fichait là bas ? C’est quoi cette tenue ? L’incompréhension pouvait se lire sur le visage de l’homme. Pourquoi il est à la place du curé ? Il s’avança, s’installa sur une chaise à la rangée à peu près au milieu de la salle et regarda les mariés. Ils sont. Elle est. Se sont des mariés quoi. Puis son regard dubitatif se posa sur Diablo.

Il fait souvent des choses comme ça derrière son dos ?

Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas. Et 20 ans plus tard, Al n'a malheureusement pas changé. La génétique, la physique quantique, la biologie tordue d'Esquisse, qui sait, aujourd'hui il n'est pas là pour ça. Non, il a entendu parler d'un mariage, et qui dit mariage dit buffet : en 20 ans, il espère toujours manger une pizza décente et de bonnes vieilles chips grasses comme il les aime, alors il a accepté l'invitation. (au moins, il est sûr que c'est un lieu où il ne trouvera pas ce vil Play, ils ne l'ont sûrement pas invité)

Quittant son banc avant même que la mariée ne monte les marches, Al s'approche en mode ninja du fameux buffet qui se tient légèrement en retrait. Il ne sait pas qui a mis la table mais un pauvre paquet de monster munch s'est retrouvé coincé sous l'assiette qui supporte la pièce montée. Décidé à le sauver, il tire un coup sec sur le coin du paquet.

... Et fait basculer la pièce montée droit vers la tête d'un homme en costume qui approche. La trajectoire était parfaite, mais Al va se cacher sous la table pour fêter ça, hein.

Ça peut être Tee - si tu es volontaire 8D - ou n'importe qui d'autre dans le rôle de la victime..

Franchement, Play ne savait absolument pas si on l’avait invité, et s’en fichait comme de sa première victime (non ce n’est pas vrai, il chérissait ce souvenir avec grande tendresse, vraiment), il avait trouvé bien plus intéressant de choper un hibou qui passait et de piquer l’invitation d’un quelconque gogo lambda. Dans un ensemble blanc du plus bel effet (chez les mafieux) avec un feutre classe sur les cheveux, Play se coula donc au milieu des invités… pour arrêter net corps et tout plan machiavélique quand il aperçut une tête rousse bien connue.

Enfin, passer à un autre genre de plan, plutôt. Et d'action. Avec un haussement de sourcils, il alla derrière le buffet, se pencha pour tirer Al hors de sa cachette, le hissa sur ses deux pieds… puis le jeta sur son dos comme un sac à patates. Les joies de grandir krrkrrr. Il claqua gentiment l’une de ses fesses avant de lui sourire de toutes ses dents « Je t’ai manqué ? » et de sortir aussi sec de l’église avec son fardeau consentant.

Kidnapping ? Voyooons.
Juste une réunion de vieilles connaissances en petit comité. ♥

En vingt ans, je n'avais guère changé... Mon apparence physique restait la même, mais je me trouvais maintenant dans un écran bien plus grand et obéissant, à même qu'il me laissait accéder à ses programmes que je contrôlais selon mon bon vouloir. Posé sur une table, l'ordinateur était orienté de manière à ce que je vois directement le couple. Mon Robyn et Iris, se marier, après toute ces années, enfin! J'étais toute joyeuse et un grand sourire traversait mon visage encore enfantin, mais je me retenais, j'avais une mission pour le maître!

L'ordinateur avait une webcam orientée vers l'assemblée ainsi qu'une autre vers le buffet -au cas où-, et j'avais pour but de déclencher grâce à mes programmes des projections de confettis, de gérer les lumières et tout le tralala, ma mission était donc importante! Il ne fallait pas que le mariage de mon maître subisse un quelconque problème et malgré l'émotion, je me devais de rester vigilante au moindre problème, question de ne rien manquer.

Je soupirais en voyant notre curé être si maladroit, mais ma surprise fut bien plus grande lorsque la grandiose pièce-montée tomba et que le coupable se fit emporter en prenant le fessée... Je failli déclencher les confettis dans ma surprise, mais je me contentais juste tendre le pouce vers le futur couple dans un clin d’œil.

J'activais donc un des projecteurs pour le diriger vers les mariés et attirer l'attention sur eux dans une lumière blanche et faiblement bleutée...

Quel moment magnifique!

Diablo est arrivé, c'est gentil qu'il ait accepté d'être le curé pour leur mariage. Même s'il a l'air un peu gêné par le livre, ce n'est pas grave. Iris s'apprête à fermer les yeux pour entendre le solennel discours devant être prononcé, mais voilà qu'il y a du bruit, que le gâteau tombe et qu'IA allume les projecteurs.. Tant pis pour la pièce montée, mais Iris espère que personne n'est blessé.

Elle tousse un peu pour capter l'attention des gens qui sont là.
« Ce n'est pas grave pour le buffet, ne vous inquiétez pas il y en aura un autre! Et je crois.. que nous pouvons commencer, n'est-ce pas, Robyn ? »

Ensuite elle regarde le curé pour voir s'il s'en sort avec son livre, ses enfants et enfin son futur époux. Tout va bien dans le meilleur des mondes, hehe, ils voulaient juste s'amuser et tout se passera bien ensuite, hein ?

Alors que je m'attendais à entendre le discours un peu barbant - mais chut - on entends du bruit et je regarde dans sa direction. La pièce montée était tombée, mais heureusement que ma chère IA était là pour recaptiver l'attention de tous vers nous. Je regardais Diablo puis Iris.

« Ce n'est pas grave pour le buffet, ne vous inquiétez pas il y en aura un autre! Et je crois.. que nous pouvons commencer, n'est-ce pas, Robyn ? »
« Oui ! Allons-y, Iris. »

Les mains de Diablo se crispèrent sur son livre, et il décida qu’il n’avait rien vu. Ni l’étrange homme lorgnant sur la pièce montée, ni la chute, ni le rouquin kidnappé par un énergumène dont le sourire lui faisait froid dans le dos. Rien du t… Kahaüz était là. Oh, mon dieu. D’accord il blasphémait un peu mais mince il. Il devrait pas être là. Cramoisi, le diablotin pas si grand que ça à l’intérieur, se cacha derrière son imposant livre. Technique très utile s’il en était. Et qui ne pouvait pas durer car c’était à lui de jouer. Seigneur Marie Joseph.

▬ Hm heu… Si quelqu’un s’oppose à… merde.

C’était pas ça.
Le livre, idiot, le livre, se sermonna Diablo avant de l’ouvrir en vitesse, toujours aussi doué. Il toussota, aussi gêné qu’il était possible de l’être.

▬ Nous sommes réunis ici en ce jour pour...

Alors que je me trouvais assis là, si près de ma chère et tendre, elle me tomba partiellement dessus. Partiellement car je n'étais pas la victime principale, cette beauté sucrée qu'était la pièce montée était allée soigneusement s'écraser sur un autre adulte non loin et m'envoya de nombreuses éclaboussures sur tout le corps, à même que toute sa face gauche en était recouverte.

Toujours assis, je ne bougeait aucun muscle et laissais juste mes yeux observer l'étendue des dégâts. Le nettoyage n'était pas mon travail, mais j'avais prévu les aptitudes maladroites de mes bon vieux camarades, tout était prévu, et donc je souriais, observant la personne écrasée sous la somptueuse robe blanche de mon ancienne dulcinée.

Moitié blanc, moitié noir, je me levais sans prêter attention au reste, allant d'abord attraper un peu plus de gâteau sur le pauvre homme à terre, puis je me dirigeais ensuite vers la porte principale pour y disparaître. Je léchais mon aile noire enrobée de blanc, quel délice! Et maintenant je partais, mi-blanc mi-noir, haut-de-forme sur le crâne, tout était prévu pour cette belle cérémonie! Quoi qu'il en coûtera, le buffet survivra!

L’homme se tourna vers la source du bruit. La pièce montée était tombée sur un invité. He beh… ça commence bien. Il observa la scène, dubitatif, avant de diriger son regard vers la mariée lorsqu’elle prit la parole. Ils avaient prévu ce genre de chose ? Nah. L’homme n’y croyait pas. Ici, on ne prévoit jamais rien après tout. L’homme se retourna de nouveau vers le beau boxon pour voir les deux victimes. L’une des deux s’en va un peu plus loin comme un prince, après n’avoir fait que prendre un morceau du gâteau de celui qui a tout reçu sur le corps. Le sens des priorités des habitants d’ici est toujours aussi discutable. L’homme regarda finalement vers les sujets du jour.

Diablo l’avait vu. L’homme eu un micro sourire taquin en voyant le rouge lui monter aux joues. Il posa sa tête sur son poing gauche, observant son collègue galérer à faire son job du jour. Il s’est planté de phrase. Qu’il est mignon. Faisant la moue, l’homme vira cette pensée aussi vite qu’elle est apparue. Non mais franchement.

Ambros, 43 ans, architecte de renom (ou pas) et éternel larbin de Maximilian, venait d'être terrassé par une pièce montée. Tandis qu'il était parti se servir avant que les festivités ne commencent, le gâteau s'était tout simplement précipité sur sa personne. Ces vingt dernières années, la providence avait voulu qu'il survive miraculeusement, mais il n'avait pas échappé à la poisse. Surtout cette fois qu'il s'était trouvé mieux qu'une chemise à carreaux - un costume, on n'aurait pas cru cela possible venant de lui ! Il se releva péniblement, après plusieurs minutes, et gouta un morceau de ce gâteau qui avait quand même réussi à l'assommer. Miom.

Avec la plus grande discrétion dont il était capable, l'homme-crème se glissa jusqu'au banc le plus proche pour écouter le discours. Ni vu ni connu, il partagea son fardeau sucré avec son voisin. Plus ou moins en lui en foutant plein les vêtements.

Au moins, il avait le buffet à volonté sur sa propre personne, plus besoin de se déplacer. Et puis c'était un chouette mariage, il ne savait pas pourquoi on l'avait invité - sans doute une erreur.. - mais il n'irait pas demander la réponse.

N'importe qui peut-être le pauvre voisin complètement tâché par le gâteau ♥

La lumière aux lueurs bleutées que j'avais projetée sur le couple était censée attirer toute l'attention vers eux, et j'osais espérer que cela fonctionnerais... Quelle petite génie je faisais quand je le voulais!

Toute souriante malgré les dégâts causés, je fus bien surprise lorsqu'un inconnu me recouvra de la pièce montée alors qu'il venait de s'asseoir juste à côté de moi!

Car oui, je n'étais en réalité plus piégée dans ces écrans depuis peu de temps, j'utilisais une tablette résistante et spécifique de ma confection pour tout contrôler à distance, projeter mon image sur le grand écran par une webcam frontale et voir ce que voyaient les autres webcams grâce à l'écran de mon appareil...
Je faisais tout cela car, sortie de mes écrans depuis trop peu de temps, je ne pouvais me résoudre à quitter mes vieilles habitudes si facilement!

Je dirigeais ma tablette vers l'assaillant pour voir son visage grâce à la webcam arrière, j'évitais encore d'avoir des contacts directs avec le regard des autres, cela ma dérangeait..
Il s'agissait d'Ambros! Ce pseudo architecte était complètement recouvert de gâteau... Et moi donc...

Mais sans m'en rendre compte, je devais tirer une drôle de tête sur le grand écran!

Diablo et IA faisaient tous les deux de drôles de têtes. Haha, ils étaient vraiment chou. L'atmosphère semblait se détendre et j'aimais ça, une atmosphère bon enfant comme tout le monde les aime. Car oui, un mariage, c'est bien, mais quand c'est trop solennel, trop carré, trop tout-doit-être-en-règles, c'est un peu nul. Et puis, c'est une atmosphère complètement esquisséenne.

« Psst, Diablo, continue ! Comme ça on peut commencer le buffet héhéhé. T'auras le droit à un câlin aussi. » murmurais-je à notre fabuleux curé.

Et je croisais encore le regard de la belle Iris Listz. Je rougissait à la vue de tout le monde, et ça, je ne vous le recommande pas.

En retard. Comme toujours. A quoi cela sert-il d’être en en avance ? De toute façon, elle toujours eu un si haut prestige que personne ne pourrait m’en vouloir. Sa robe était bleu, soignée, pas un fil ne dépassait, serrée comme il faut. Il y avait aussi des pierres précieuses. On aime ces pierres précieuses n’est-ce pas ? Elle pensait vraiment qu’elle allait faire bonne figure. Ses cheveux étaient regroupés en chignon, et encore une fois rien ne semblait la ridiculiser. Tout était propre, carré. Surtout qu’elle était aussi venue pour autre chose, le thé.

Et oui, pourquoi était-elle en retard ? Elle avait piqué tout le thé du buffet, avant que la pièce montée ne tombe. D’ailleurs, Tee n’avait rien n’à faire de notre pauvre poêle à frire -nous ne savons toujours pas d’où vient ce surnom- et on sentait la jalousie monter. Toujours plus.

Elle s’approchait. Doucement. Trèèès doucement. Comme-ci de rien n’était, prenant la place juste à côté de son amour -la place devait surement appartenir à quelqu’un mais c’est une V.I.P, faut pas déconner- et se frotta contre lui, se collant à lui, lui faisant des papouilles… Cuppy, leur fils, semblait surtout dégoûté par l’attitude de sa mère. Cette dernière se reprit donc et ce fit toute petite. N’oublions pas qu’elle est en retard, et que plus d’un l’avait remarqué…

Le sourire aux lèvres, j'ouvris de nouveau les portes, cette fois-ci avec un chariot coopératif qui m'aidait à transporter la nouvelle pièce montée que j'avais prévue en cas de pépin. Même si la cérémonie continuait -essayait, du moins-, je m'en fichais bien et allais poser mon chariot ainsi que la pièce montée près du buffet, lui ordonnant de ne bouger que pour protéger la beauté sucrée. Je n'avais point eu le temps de me laver et alla de suite m'installer près de mon fils, Cuppy, lui tendant un sachet de Monster Munch trouvé un peu plus tôt en en piquant un des fantômes salés.

Sans que je ne m'y attendes -je ne l'avais pas remarquée-, Adénia vint se coller contre moi, et plus encore, ce à quoi je répondis par un sourire ravi et quelques gestes similaires, à même que mon haut-de forme en tomba. Mais un peu de tenue, nous rappela notre fils en grignotant, il s'agissait tout de même d'un mariage!

Adénia, affectueuse, se retrouva calme par la suite, mais du coup partiellement recouverte de la crène qui composait l'ancienne pièce montée. Content de ma petite famille, je me demandais tout de même:

"Ou est notre fille...?"

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