[Bibliothèque] Bataille de livres ! ♥ [LIBRE]

« Pouah, j'ai rien à faire. »

Je soupirais, cherchant quelque chose à faire. Mon cours de cyance venait juste de s'achever et j'en avais encore mal à la tête. Seulement trois heures avant le cours de sport, youpi. Le soleil brillait déjà haut dans le ciel.

« Je devrais utiliser mon pouvoir pour trouver une solution à mon ennui. »

J'ai le pouvoir de résoudre les problèmes. Et, en un instant, j'eus l'idée d'aller à la bibliothèque. Classieux pour un première littéraire. Moi, Robyn, me dirigea sans plus attendre vers cet endroit béni par nous tous, adorateurs de livres anciens comme nouveaux.

J'arrivais devant la porte. J'entra sans plus attendre. Arf, arf. Je crois bien que je vais vraiment m'ennuyer. À moins que …

Spoiler:

Diderot, Desnos, Descartes ... Corneille, Cocteau ... Chateaubriand, non plus ... Ah, Camus !

Quoi ? je suis quand même pas le seul à chercher les auteurs par ordre alphabétique décroissant ... Bref, j'ai enfin trouvé le livre qui m'intéresse, à savoir Caligula d'Albert Camus -il est grandiose, si, si, surtout la scène de dénouement- et je m'apprête à le rajouter sur ma pile de livres à emprunter. Ladite pile comprtant actuellement une dizaine de livres -Baudelaire, Hugo, Shakespeare, Musset, etc-, j'ai du mal à la tenir. Hé, pas de commentaire sur mes bras soi-disant pas musclés. On ne peut pas être cultivé ET sportif. Ou alors on l'est mal.

HRP : désolée s'il se passe rien, mais Ervin va pas aller interagir avec ce qu'il considère comme un pauvre gamin paumé sans intérêt ... Au pire, Robyn doit être serviable, non ? Il a qu'à lui proposer de l'aider avec sa pile de livres, je te promets qu'il sera pas déçu 8D

Je remarquais qu'il y avait du bruit dans la bibliothèque. Peut-être ne suis-je pas seul, finalement ? Je décida de m'approcher pour aller voir, et je vis un type embarrassé d'une pile de livres.

« Besoin d'aide ? »

Je m'approche un peu de lui, avant de voir le livre qui trônait à son sommet.

« Han, du Camus ! »

Oui, c'est un auteur que j'aime beaucoup. Mais, après tout, rien ne surpasse Zola et la Bête Humaine. Je décida de regarder un peu plus sa pile de livres. Baudelaire, Hugo, Shakespeare, Musset. De très bons goûts. Certainement un L comme moi. Mais il ne lit pas de Zola, je suis un peu déçu.

« Besoin d'aide ? »

Hmm ? On me parle ? Je me retourne et me retrouve face à un gamin -tout est relatif- a l'air joyeux.

« Han, du Camus ! »

Seigneur. Pour un peu il a des étoiles dans les yeux.

« Quoi, c'est la première fois que t'en vois ? Et non, j'ai pas besoin d'aide Monsieur le Bisounours. »

Ce surnom n'a rien de gentil, bien au contraire. Espérons juste qu'il le comprendra et me foutra la paix.

HRP: Ne lui fous pas la paix, fais-le braire 8D /mur

Le type me dit qu'il n'a pas besoin d'aide, me surnomme Monsieur le Bisounours et me demande si c'est la première fois que je voyais un livre de Camus. … … Il me prends pour qui celui-là ?

« Non, c'est juste que j'aime beaucoup cet auteur. »

Je m'approchais un peu plus de lui.

« Enfin, rien ne vaut Zola. » murmurais-je avec un sourire, souhaitant qu'il s'énerve.

Enfin, vu comment il avait l'air énervé, déjà, j'avais envie de l'énerver aussi. Et puis, c'est vrai quoi, Zola, c'est le bien. Je ne risque pas de m'ennuyer.

« Non, c'est juste que j'aime beaucoup cet auteur. »

Nooooooon ... je m'en serais pas douté ...

« Enfin, rien ne vaut Zola. »

/insérer ici une violente toux suivie d'un étranglement tout aussi violent/

« ZOLA ?! »

HERETIQUE ! Zola, c'est de la merde, et c'est mon dernier mot ! ... Ok, inspire, expire, inspire, expire, tout va bien.

« ... la porte est là-bas. »

HRP : Sorry xD Ervin est un romantique dans l'âme (dans le sens littéraire, hein), alors le naturalisme ... Haha, je sens que ça va partir en sucette.

Le type avait l'air choqué que j'aime Zola, et le naturalisme. Haha, la situation devient marrante ! Je ne m'ennuie pas !

« Quoi, tu es un romantique, toi ? Eh, la seule chose qu'ils font les romantiques, c'est se lamenter, du style : "Oh non, mon amour disparu" ou encore "ce siècle est malheureux aaaah" ou aussi "le paysage reflète mes humeurs lalala" » imitais-je pour me moquer du romantisme en prenant une fausse voix pleine d'émotions et tout.

Je pris une grande inspiration, souhaitant continuer mon discours.

« Alors que le naturalisme, et aussi le réalisme, sont des courants qui prônent la réalité et qui sont fort pleins d'émotions. Tu as lu La Bête Humaine ? Bah, je te le conseille. »

Spoiler:

« Quoi, tu es un romantique, toi ? Eh, la seule chose qu'ils font les romantiques, c'est se lamenter, du style : "Oh non, mon amour disparu" ou encore "ce siècle est malheureux aaaah" ou aussi "le paysage reflète mes humeurs lalala" »

Alors là, ça n'allait pas se passer comme ça. C'était la guerre.

« Alors que le naturalisme, et aussi le réalisme, sont des courants qui prônent la réalité et qui sont fort pleins d'émotions. Tu as lu La Bête Humaine ? Bah, je te le conseille. »

J'éclatai de rire.

« Evidemment, la réalité on en a pas assez avec la vie de tous les jours, faut aussi se la farcir dans les livres ...  Mais "plein d'émotions" ? Ha ! Quelle blague. Ha ha, c'est sûr qu'elle a dû en ressentir des émotions, Mme Bovary ! La Bête Humaine ? Mais mon pauvre, évidemment que j'ai lu. Un mec qui tue les femmes qu'il désire ? A peine pas cliché. Il aurait mieux fait d'aller voir un psychanalyste, ce type, je suis sûr que ça aurait intéressé beaucoup plus de monde de savoir quelles névroses il se trimballe plutôt que le nom qu'il a donné à sa locomotive ! »

HRP : Aïe aïe aïe xD Ils vont se taper dessus à coup de livres, c'est moi qui le dit

« Evidemment, la réalité on en a pas assez avec la vie de tous les jours, faut aussi se la farcir dans les livres ...  Mais "plein d'émotions" ? Ha ! Quelle blague. Ha ha, c'est sûr qu'elle a dû en ressentir des émotions, Mme Bovary ! La Bête Humaine ? Mais mon pauvre, évidemment que j'ai lu. Un mec qui tue les femmes qu'il désire ? A peine pas cliché. Il aurait mieux fait d'aller voir un psychanalyste, ce type, je suis sûr que ça aurait intéressé beaucoup plus de monde de savoir quelles névroses il se trimballe plutôt que le nom qu'il a donné à sa locomotive ! »

Mon sang ne fit qu'un tour à l'évocation de Jacques et de sa chère Lison.

« Quoi ? Une histoire si recherchée, à peine pas cliché ?! Non mais attends, Jacques est victime d'une tare héréditaire, d'une fêlure qui le rends sauvage à cause des tares de ses ancêtres ! Ce n'est pas de sa faute ! Et ces névroses sont expliqués dans le livre, il suffit juste de lire un peu et d'avoir un peu de culture sur le naturalisme, ce qui n'est apparemment pas ton cas ! »

J'étais vraiment, vraiment énervé.

Spoiler:

« Quoi ? Une histoire si recherchée, à peine pas cliché ?! Non mais attends, Jacques est victime d'une tare héréditaire, d'une fêlure qui le rends sauvage à cause des tares de ses ancêtres ! Ce n'est pas de sa faute ! Et ces névroses sont expliqués dans le livre, il suffit juste de lire un peu et d'avoir un peu de culture sur le naturalisme, ce qui n'est apparemment pas ton cas ! »

Je ricane. C'est plus fort que moi.

« S'il faut se taper 400 pages pour connaître quelques névroses, autant lire un traité de psychanalyse, hein ... Ah oui, pardon, j'oubliais que l'intrigue comportait entre autres une histoire d'amour à l'eau de rose ... Ah, un vrai feuilleton télévisé pour vioques, ce roman. Enfin, si on peut appeler ça un roman. »

HRP : Je suis sincèrement désolée >__> Ervin est un chieur. Mais si je veux pas sortir du perso, j'ai pas trop le choix

Mais c'est qu'il ricane le bougre. Humpf.

« S'il faut se taper 400 pages pour connaître quelques névroses, autant lire un traité de psychanalyse, hein ... Ah oui, pardon, j'oubliais que l'intrigue comportait entre autres une histoire d'amour à l'eau de rose ... Ah, un vrai feuilleton télévisé pour vioques, ce roman. Enfin, si on peut appeler ça un roman. »

Je vais le tuer !

« 400 pages ?! Mais c'est expliqué au chapitre deux ! C'est vrai que l'incipit est vraiment, vraiment bête, mais il y a beaucoup de violence ! Et mais, excuse-moi, tu crois pas que ton romantisme à la noix, c'est pas à l'eau de rose, aussi ?! »

Du calme, Robyn, du calme.

« Parce que, quand même, l'amour, le lyrisme, c'est pas un peu la seule chose que tu trouves dans ton romantisme où plus t'es malheureux dans ta vie et que tu devient une sorte de "poète maudit", plus tu as d'inspiration ? Hé, c'est un truc de masochiste, ça. »

Spoiler:

« 400 pages ?! Mais c'est expliqué au chapitre deux ! C'est vrai que l'incipit est vraiment, vraiment bête, mais il y a beaucoup de violence ! Et mais, excuse-moi, tu crois pas que ton romantisme à la noix, c'est pas à l'eau de rose, aussi ?! »

Haha. Pauvre type, il s'énerve tout seul comme un idiot.

« Parce que, quand même, l'amour, le lyrisme, c'est pas un peu la seule chose que tu trouves dans ton romantisme où plus t'es malheureux dans ta vie et que tu devient une sorte de "poète maudit", plus tu as d'inspiration ? Hé, c'est un truc de masochiste, ça. »

« Pourquoi, tu t'y connais en SM ? »

Okay, il est temps de sortir mon air condescendant n°12.

« 'Scuse-moi mais t'as tout faux. Et tu te contredis tout seul. Tu prétends qu'on trouve que du lyrisme et de l'amour dans le romantisme, et après tu oses dire que ça rend malheureux les poètes ? T'oublies pas un peu un truc gamin ? Le registre pathétique, ça te dit quelque chose ? Non parce que le lyrisme c'est pas forcément triste, révise tes cours. »

Un petit soupir pour signifier ma pitié à son égard.

« Ensuite, tu fais une énorme erreur dans le choix de ton vocabulaire. Les poètes maudits, c'est pas les romantiques, c'est les symboliques. XIXe siècle. Rimbaud, Verlaine et Baudelaire. Ahhh, évidemment, quand on se base sur la culture populaire et ses foutus amalgames ... »

HRP : Je m'excuse une fois de plus, c'est vraiment un chieur ^^' Et je suis absolument certaine de tout ce que j'avance dans ce rp.

« 'Scuse-moi mais t'as tout faux. Et tu te contredis tout seul. Tu prétends qu'on trouve que du lyrisme et de l'amour dans le romantisme, et après tu oses dire que ça rend malheureux les poètes ? T'oublies pas un peu un truc gamin ? Le registre pathétique, ça te dit quelque chose ? Non parce que le lyrisme c'est pas forcément triste, révise tes cours. Ensuite, tu fais une énorme erreur dans le choix de ton vocabulaire. Les poètes maudits, c'est pas les romantiques, c'est les symboliques. XIXe siècle. Rimbaud, Verlaine et Baudelaire. Ahhh, évidemment, quand on se base sur la culture populaire et ses foutus amalgames ... »

Argh ... J'ai touché le fond ... Donnez-moi une corde ... Il a raison, le bougre ...

« Juste pour te prévenir, l'idée des poètes maudits est issue d'une conception romantique ! Puisqu'on n'est pas d'accord, que dirait-tu de régler ça ? »

Changement de sujet ! J'espère qu'il va comprendre qu'il ne faut pas me défier ! Hahaha. Hahaha ... Je vais mourir ...

Spoiler:

Ah ah, j'ai gagné, ça se voit à son air déconfit. Pauvre chose.

« Juste pour te prévenir, l'idée des poètes maudits est issue d'une conception romantique ! Puisqu'on n'est pas d'accord, que dirait-tu de régler ça ? »

Pffff. Il croit franchement m'avoir avec ça.

« Chaque mouvement littéraire est issu du précédent, crétin. Si les poètes du XXe avaient pas rejeté en bloc les idées des symboliques, le naturalisme aurait jamais existé. Et je vois pas c'qu'il y a à régler. J'ai raison, point final. S'tu veux pas admettre, c'est ton problème mon vieux ... »

Et un sourire mielleux, un ! Si avec ça il me lâche pas la grappe, je l'assomme avec un Zola. Tiens, l'Assommoir par exemple, hehe.

Depuis une heure déjà, ils ne faisaient que parler sur la vérité des mots, des trucs du genre qui me faisait suer jusqu’au bout. Et donc ? Ils ne pouvaient pas faire autre chose de leur journée ? C’est-à-dire me laisser TRANQUILLE ?! Car oui, pour ceux qui ne l’aurait pas compris, on est dans une bibliothèque ici, pas dans un centre aéré. Ils pouvaient parler de n’importe quoi, je m’en foutais. Qu’ils se taisent ! Mais qu’ils se taisent ! Ils voulaient vraiment que moi, qui suis à deux rangées de la leur, les brûlent avec du thé ? Mon pouvoir, aussi original soit-il, est de faire apparaitre du thé n’importe où et d’en faire ce que je veux avec. Et là, j’avais envie de les brûler avec. Donc bon.

« -C’est pas bientôt fini ?! » Je commençais à avoir du thé brûlant flottant autour de moi. « C’est une bibliothèque ici, alors arrêtez de parler ! »
Celle qui avait dit ça s’avançait vers eux. Ce n’étais pas moi, et c’est à ce moment-là que je commençais à aimer la bibliothécaire.

« Chaque mouvement littéraire est issu du précédent, crétin. Si les poètes du XXe avaient pas rejeté en bloc les idées des symboliques, le naturalisme aurait jamais existé. Et je vois pas c'qu'il y a à régler. J'ai raison, point final. S'tu veux pas admettre, c'est ton problème mon vieux ... »

Et il souriait, en plus .. Je n'avais pas encore eu le temps de répondre que la bibliothécaire vint.

« C’est pas bientôt fini ?! C’est une bibliothèque ici, alors arrêtez de parler ! »

Je l'adore ! Je l'adore ! Elle me sauve de ce type qui m'énerve depuis tout à l'heure ! Aaah ! Je regarde ma montre et voit déjà qu'une heure est bien passée.

« Plus qu'une heure et demie avant le cours de sport, je vais mourir ... »

J'ai failli oublier Monsieur Je-sais-tout.

« Pourquoi tu parles du symbolisme ? Le naturalisme aurait existé sans le symbolisme, ils sont nés dans la même période. Le naturalisme est issu du réalisme ! Bref. »

Elle a raison. Alors pourquoi s’obstinaient-ils encore à parler ? Dommage pour eux… Ils étaient tombés sur la mauvaise personne. Donc, je m’approchais, tranquillement. Trop tranquillement et leur proposa quelque chose.

« -Une tasse de thé et vous la fermer ou je transfrme ce thé d’une façon qui ne pourrait que vous faire du mal ? »

Faisant le tour d'une étagère dont j'avais subtilisé un livre de pâtisseries, je rejoignais d'une expression neutre l'autre côté de celle-ci où se chamaillaient deux élèves depuis belle lurette. J'apportais à mes lèvres le bouchon d'un stylo que je mordillais jusqu'à le faire disparaître complètement dans ma bouche, l'avalant tout en regardant ces romans et poèmes d'auteurs connus... Qu'y avait-il de plus plaisant que d'écouter deux élèves se chamailler pour des sujets aussi étranges alors qu'ils se trouvaient hors des cours? je ne pu m'empêcher de sourire en les écoutant et en tombant sur des choux à la chantilly dans mon petit livre de cuisine. Sans lever la tête, je m'adressais à la bibliothécaire que je comptais justement aller chercher mais qui était au final venue d'elle-même:

- J'accepte le thé avec plaisir, Adénia...

Je tournais une page de mon livre, regardant toujours les illustrations en me demandant ce que je préparerais si quelqu'un se décidais enfin à monter un club de cuisine.

- J'aimerais prendre ce livre aussi...

Un petit sourire taquin aux lèvres, je lui jettais un regard en coin demes yeux cernés.

- Et réserve leur Fifthy Shades of Grey si tu l'as, ils ont l'air de s'intéresser au SM. Après tout, il y a un âge pour chaque chose, non...?

Je revenais ensuite à mes gourmandises en papier, remontant légèrement le col de ma blouse blanche.

Petit mot:

« C’est pas bientôt fini ?! C’est une bibliothèque ici, alors arrêtez de parler ! »

Argh. La bibliothécaire. Ok, je ne dis plus rien. Le silence, dans une bibliothèque, c'est sacré.

« Pourquoi tu parles du symbolisme ? Le naturalisme aurait existé sans le symbolisme, ils sont nés dans la même période. Le naturalisme est issu du réalisme ! Bref. »

Tiens, je l'avais oublié, lui.

« Une tasse de thé et vous la fermer ou je transfrme ce thé d’une façon qui ne pourrait que vous faire du mal ? »

BON. Très bien, je lâche l'affaire.

« Non merci et non merci. »

Je m'éloigne, dépose ma pile de livres sur une table et feuillette Caligula, tout en écoutant distraitement la continuation de la conversation.

« Et réserve leur Fifthy Shades of Grey si tu l'as, ils ont l'air de s'intéresser au SM. Après tout, il y a un âge pour chaque chose, non...? »

Heureusement que je n'ai pas accepté le thé, parce que j'me serais étranglé avec. Ce type, qui qu'il soit -un vague souvenir remontant à la surface de ma mémoire me souffle qu'il s'agit d'un prof de sciences, horreur !- n'était pas OBLIGE de prendre à la lettre ce que je dis, et surtout pas ça ...

« Une tasse de thé et vous la fermer ou je transforme ce thé d’une façon qui ne pourrait que vous faire du mal ? »

« Et réserve leur Fifthy Shades of Grey si tu l'as, ils ont l'air de s'intéresser au SM. Après tout, il y a un âge pour chaque chose, non...? »

Une fille vient alors nous rejoindre, suivie d'un professeur, je crois. Le type avec qui je m'énervais partit alors se poser sur une table. J'avais l'air bête, vraiment.

« Hum. Euh. Bon, je m'en vais. »

Je vis alors que le livre que j'attendais depuis longtemps était enfin là. La compilation des aventures d'Alice au Pays des Merveilles ! J'étais super content ! Je l'amena à la bibliothécaire, le prit et sortit en courant, souhaitant m'échapper de tout ces fous.