[Couloirs] Panique générale, le retour
Personnages : Striky
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Castor
Mar 1 Juil - 16:35
Striky attendit patiemment. Après tout, une question aussi ardue, ça demandait réflexion.
« Aucun. Et toi ? »
Le jeune homme fut plutôt surpris de la réponse. Ce qui l'amena à y réfléchir à son tour. Avant tout ça, il aurait répondu "super-héros !" sans hésiter. Les super-héros, c'était son dada, sa passion ! Son père lui racontait des histoires, lui faisait lire ses vieilles BD Marvel, l'emmenait voir les blockbusters américains. C'était son enfance, sa candeur, contenue dans une idée noble ... et inexistante dans ce monde. Striky s'en rendait compte, maintenant. Les super-héros n'existaient pas, ni ici ni dans le monde réel. Et son enfance, son innocence, il l'avait perdue. Elle avait été emportée par ses larmes tout à l'heure.
Étrangement, le jeune homme n'avait plus envie de pleurer. Il se sentait presque poussé en avant. Parce qu'il avait un but. Et qu'il n'avait plus d'illusions stupides pour le ralentir. Il savait ce qu'il jouait, et ce qu'il risquait de perdre.
Si son père avait été là, il lui aurait dit : "Tu deviens adulte, gamin." Et puis il aurait rigolé en lui donnant en grande tape dans le dos. Striky se rendit compte à quel point sa famille lui manquait.
« Avant ... Avant j'étais fan des super-héros. C'est pour ça que je voulais en être un.»
Il organisa ses pensées. Il savait ce qu'il ressentait, mais il voulait l'extérioriser de manière à ce qu'Ambros comprenne.
« Mais les super-héros, ça n'existe pas. Et les chevaliers, ça n'existe plus. »
Il cherchait les bons mots. Ce n'était pas si facile, le jeune homme n'avait jamais été très bon pour s'exprimer. Ses profs le lui disaient souvent.
« Pourtant, il y a des gens qui n'ont ni pouvoir ni armes, et qui se battent pour les autres. Et même s'ils ne sont pas "super", ce sont des héros, non ? Mon père ... mon père m'a dit une fois que les gens comme ça sont ordinaires. Mais que ce sont des hommes, des vrais. Pas des "femmelettes qui tuent et se cachent ensuite" comme il disait. »
Il expira un coup. Si on lui avait dit qu'il viendrait à se confier comme ça à celui qu'il considérait il y a un jour à peine comme son pire ennemi, il aurait ri. Et pourtant ...
« Je n'aime ni l'un ni l'autre. Plus maintenant. Mais j'espère que je deviendrai un homme. »
« Aucun. Et toi ? »
Le jeune homme fut plutôt surpris de la réponse. Ce qui l'amena à y réfléchir à son tour. Avant tout ça, il aurait répondu "super-héros !" sans hésiter. Les super-héros, c'était son dada, sa passion ! Son père lui racontait des histoires, lui faisait lire ses vieilles BD Marvel, l'emmenait voir les blockbusters américains. C'était son enfance, sa candeur, contenue dans une idée noble ... et inexistante dans ce monde. Striky s'en rendait compte, maintenant. Les super-héros n'existaient pas, ni ici ni dans le monde réel. Et son enfance, son innocence, il l'avait perdue. Elle avait été emportée par ses larmes tout à l'heure.
Étrangement, le jeune homme n'avait plus envie de pleurer. Il se sentait presque poussé en avant. Parce qu'il avait un but. Et qu'il n'avait plus d'illusions stupides pour le ralentir. Il savait ce qu'il jouait, et ce qu'il risquait de perdre.
Si son père avait été là, il lui aurait dit : "Tu deviens adulte, gamin." Et puis il aurait rigolé en lui donnant en grande tape dans le dos. Striky se rendit compte à quel point sa famille lui manquait.
« Avant ... Avant j'étais fan des super-héros. C'est pour ça que je voulais en être un.»
Il organisa ses pensées. Il savait ce qu'il ressentait, mais il voulait l'extérioriser de manière à ce qu'Ambros comprenne.
« Mais les super-héros, ça n'existe pas. Et les chevaliers, ça n'existe plus. »
Il cherchait les bons mots. Ce n'était pas si facile, le jeune homme n'avait jamais été très bon pour s'exprimer. Ses profs le lui disaient souvent.
« Pourtant, il y a des gens qui n'ont ni pouvoir ni armes, et qui se battent pour les autres. Et même s'ils ne sont pas "super", ce sont des héros, non ? Mon père ... mon père m'a dit une fois que les gens comme ça sont ordinaires. Mais que ce sont des hommes, des vrais. Pas des "femmelettes qui tuent et se cachent ensuite" comme il disait. »
Il expira un coup. Si on lui avait dit qu'il viendrait à se confier comme ça à celui qu'il considérait il y a un jour à peine comme son pire ennemi, il aurait ri. Et pourtant ...
« Je n'aime ni l'un ni l'autre. Plus maintenant. Mais j'espère que je deviendrai un homme. »
- Résumé:
- Striky réfléchit à sa propre question, et donne sa (longue) réponse à Ambros.
Striky parle en #d44242.
- Concours N°3:
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Mar 1 Juil - 17:07
« Avant ... Avant j'étais fan des super-héros. C'est pour ça que je voulais en être un.»
Il ne réagit pas spécialement. Striky parlait de ce qu'il paraissait être ; un gamin crédule. Lui aussi, alors qu'il avait passé l'âge adulte, était devenu un gamin. Il s'était simplement collé à Max, Max qu'il avait érigé sur un piédestal imaginaire. Il avait cherché qui pouvait lui montrer le chemin parce qu'il ne savait pas où aller dans cet endroit profondément étrange et insensé. Alors bon, il ne valait pas mieux qu'un enfant devant ses super-héros à la télé.
« Mais les super-héros, ça n'existe pas. Et les chevaliers, ça n'existe plus. »
Si Ambros avait été plus prompt à la philosophie, il aurait sans doute rétorqué qu'ils existaient au moins tous comme modèles pour inciter l'homme à s'améliorer. Mais il n'était pas encore ce genre de personne, alors qui hocha la tête en signe de consentement.
« Pourtant, il y a des gens qui n'ont ni pouvoir ni armes, et qui se battent pour les autres. Et même s'ils ne sont pas "super", ce sont des héros, non ? Mon père ... mon père m'a dit une fois que les gens comme ça sont ordinaires. Mais que ce sont des hommes, des vrais. Pas des "femmelettes qui tuent et se cachent ensuite" comme il disait. »
Lui, il ne s'était jamais battu que pour un autre, il n'avait pourtant rien du héros. Il trouvait ça stupide ; qui se battait réellement pour les autres, sans avoir derrière son propre intérêt, ses propres préférences ? Son père à lui ne luttait contre la mer que pour avoir du poisson frais, et donc de l'argent, à ramener à sa famille. Il était gentil, et pourtant, il se foutait pas mal que les voisins crèvent de faim et laissent la clef sous la porte. Max aussi était un grand homme, il était fort et il croyait en quelque chose, mais il était mort assassiné par quelque chose d'inconnu.
« Je n'aime ni l'un ni l'autre. Plus maintenant. Mais j'espère que je deviendrai un homme. »
Fais comme tu veux je m'en fiche, avait-il envie de répondre avec son tact légendaire. Il ne comprenait pas ce que tentait de faire Striky. C'était trop prise de tête, et il était trop déprimé pour y consacrer un neurone de plus. Il posa alors un pied sur la planète Esquisse afin de répondre.
« Et alors, ça changera quoi ? »
Il les avait vus, sur le toit, tous ces objets qui n'attendaient que de les bouffer. La guerre en avait déjà tué plusieurs. Aucun des deux ne pouvait y faire quoi que ce soit, car personne n'avait été entraîné pour ça. Le courage vous fait utiliser une arme, mais il ne vous apprend pas à vous en servir. Lui, il s'en foutait, à présent, d'être courageux, car sa quête était déjà finie. Il n'avait aucune raison de repousser les objets ou de croire qu'il était utile à quelque chose par ici.
Il ne réagit pas spécialement. Striky parlait de ce qu'il paraissait être ; un gamin crédule. Lui aussi, alors qu'il avait passé l'âge adulte, était devenu un gamin. Il s'était simplement collé à Max, Max qu'il avait érigé sur un piédestal imaginaire. Il avait cherché qui pouvait lui montrer le chemin parce qu'il ne savait pas où aller dans cet endroit profondément étrange et insensé. Alors bon, il ne valait pas mieux qu'un enfant devant ses super-héros à la télé.
« Mais les super-héros, ça n'existe pas. Et les chevaliers, ça n'existe plus. »
Si Ambros avait été plus prompt à la philosophie, il aurait sans doute rétorqué qu'ils existaient au moins tous comme modèles pour inciter l'homme à s'améliorer. Mais il n'était pas encore ce genre de personne, alors qui hocha la tête en signe de consentement.
« Pourtant, il y a des gens qui n'ont ni pouvoir ni armes, et qui se battent pour les autres. Et même s'ils ne sont pas "super", ce sont des héros, non ? Mon père ... mon père m'a dit une fois que les gens comme ça sont ordinaires. Mais que ce sont des hommes, des vrais. Pas des "femmelettes qui tuent et se cachent ensuite" comme il disait. »
Lui, il ne s'était jamais battu que pour un autre, il n'avait pourtant rien du héros. Il trouvait ça stupide ; qui se battait réellement pour les autres, sans avoir derrière son propre intérêt, ses propres préférences ? Son père à lui ne luttait contre la mer que pour avoir du poisson frais, et donc de l'argent, à ramener à sa famille. Il était gentil, et pourtant, il se foutait pas mal que les voisins crèvent de faim et laissent la clef sous la porte. Max aussi était un grand homme, il était fort et il croyait en quelque chose, mais il était mort assassiné par quelque chose d'inconnu.
« Je n'aime ni l'un ni l'autre. Plus maintenant. Mais j'espère que je deviendrai un homme. »
Fais comme tu veux je m'en fiche, avait-il envie de répondre avec son tact légendaire. Il ne comprenait pas ce que tentait de faire Striky. C'était trop prise de tête, et il était trop déprimé pour y consacrer un neurone de plus. Il posa alors un pied sur la planète Esquisse afin de répondre.
« Et alors, ça changera quoi ? »
Il les avait vus, sur le toit, tous ces objets qui n'attendaient que de les bouffer. La guerre en avait déjà tué plusieurs. Aucun des deux ne pouvait y faire quoi que ce soit, car personne n'avait été entraîné pour ça. Le courage vous fait utiliser une arme, mais il ne vous apprend pas à vous en servir. Lui, il s'en foutait, à présent, d'être courageux, car sa quête était déjà finie. Il n'avait aucune raison de repousser les objets ou de croire qu'il était utile à quelque chose par ici.
- Spoiler:
- Toujours en mode dépressif (difficile d'être joyeux quand on a la tête découpée de son pote dans les bras, certes), Ambros répond à striky
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Castor
Mar 1 Juil - 17:24
« Et alors, ça changera quoi ? »
Striky se sentit stoppé net dans sa bouffée d'héroïsme. Non mais de quoi il se mêlait celui-là ?
« Eh bien ... moi au moins, je ne serai pas un légume dans un couloir. »
Quitte à crever, autant essayer de faire quelque chose. Vu que de toutes façons ce monde ne semblait pas décidé à les laisser vivre une petite vie tranquille, autant prendre les armes et lutter jusqu'au bout. Striky ne voulait pas mourir bêtement en essayant de fuir un monde qui le rattraperait toujours.
Comme en réponse à ses pensées, une chaise à tentacules surgit au coin du couloir. Striky déglutit. Okay, il voulait bien mourir en combattant, mais il n'avait pas particulièrement envie que ça arrive maintenant ! Il aurait bien aimé avoir un bout de bois ou n'importe quoi sous la main pour se défendre, mais il ne voyait rien aux alentours qui ait l'air particulièrement menaçant.
« Euh ... Une idée pour échapper à ça ? »
Striky se sentit stoppé net dans sa bouffée d'héroïsme. Non mais de quoi il se mêlait celui-là ?
« Eh bien ... moi au moins, je ne serai pas un légume dans un couloir. »
Quitte à crever, autant essayer de faire quelque chose. Vu que de toutes façons ce monde ne semblait pas décidé à les laisser vivre une petite vie tranquille, autant prendre les armes et lutter jusqu'au bout. Striky ne voulait pas mourir bêtement en essayant de fuir un monde qui le rattraperait toujours.
Comme en réponse à ses pensées, une chaise à tentacules surgit au coin du couloir. Striky déglutit. Okay, il voulait bien mourir en combattant, mais il n'avait pas particulièrement envie que ça arrive maintenant ! Il aurait bien aimé avoir un bout de bois ou n'importe quoi sous la main pour se défendre, mais il ne voyait rien aux alentours qui ait l'air particulièrement menaçant.
« Euh ... Une idée pour échapper à ça ? »
- Résumé:
- Striky répond à Ambros. Une chaise à tentacule déboule dans le couloir et Striky, ne voyant pas d'arme à proximité, demande s'il a une idée pour s'en débarrasser.
Striky parle en #d44242.
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Mar 1 Juil - 17:51
« Eh bien ... moi au moins, je ne serai pas un légume dans un couloir.
- Tu crois que c'est facile ? »
Il n'avait pas trop aimé la réponse, mais il n'allait pas se mettre en colère. Parce que c'était vrai. Il était encore plus inutile que d'habitude. Il lui fallait encore du temps pour réaliser, savoir ce qu'il allait faire à présent, prendre conscience de ce qu'était désormais le monde. Un monde où il n'avait aucune place. Où on préférait le savoir loin plutôt qu'ici.
« Si je pouvais claquer des doigts pour tout arranger, j'le f'rais. Mais je peux pas juste dire que ça va aller et continuer. Ça marche pas comme ça, Striky. »
Il était mort là-bas, dans cette salle dégoûtante. Comment pouvait-il s'imaginer agir ou penser à quoi que ce soit si il ne vivait plus réellement ? Son coeur battait encore, sans que rien ne lui donne de raison pour le faire. Cette fois, il ne pouvait pas s'inventer un monde par-dessus l'actuel et trouver une cause méga cool à défendre, parce qu'il lui suffirait de se rappeler qu'au final tout ça était mort pour revenir s'écraser dans la réalité.
« Euh ... Une idée pour échapper à ça ? »
Il battit des paupières. Ah, ouais, il y avait un truc. Là-bas. Une espèce de chaise avec des tentacules qui se précipitait vers eux. Ce truc ne pouvait à priori pas les tuer, mais il pouvait au moins les déséquilibrer, faire chuter le précieux paquet au sol, ou encore leur faire perdre un temps qu'ils n'avaient pas réellement. Oh, et puis, on lui demandait s'il avait une idée, mais n'était-il pas le professionnel pour attirer les ennuis et les amplifier ? Remarque, Pyjaman ne s'en sortait pas mieux.
Il posa la tête enveloppée sur le sol, dans un coin, en s'assurant qu'elle ne roule pas. Pour ce truc-là, il allait se fatiguer deux secondes. Il n'avait pas trop le choix de toute façon.
« Arracher les tentacules. »
Sans trop de conviction, il se mit sur le passage de la bestiole afin de la cueillir et commença à lui foncer dessus (on ne changeait pas le bourrin stupide qu'il était). Ladite bestiole évita l'attaque frontale et parut se précipiter sur l'autre en pyjama. Oups. Tant pis.
- Spoiler:
- Ambros répond méchamment à la pique de striky et propose d'arracher les tentacules de la chaise qui les attaque. Il se jette dessus mais échoue.
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Castor
Mar 1 Juil - 18:07
Striky loucha sur la bestiole qui arrivait. Il aurait bien aimé avoir une hache. Oui, une bonne grosse hache.
« Arracher les tentacules. » suggéra Ambros.
Le super-zéro jeta un coup d'oeil à son interlocuteur qui avait posé son précieux paquet et venait maintenant de se jeter sur la chaise. Qui l'évita. Et fonça sur lui. Le Striky d'avant aurait poussé un couinement et se serait plaqué au sol, en boule, en espérant faire trébucher l'objet. Mais Striky n'était déjà plus la même personne. Il s'efforçait de quitter son rôle de bouffon optimiste comme un futur papillon sa chrysalide. S'il ne savait pas encore ce qu'il était en train de devenir, il savait au moins qu'il avançait. Et ça c'était l'essentiel.
Il se campa sur ses appuis, prêt à accueillir le choc. Il allait battre cette chaise et prouver qu'il pouvait faire quelque chose, qu'il n'était pas bon qu'à fanfaronner.
Soudain, la chaise fut sur lui. Striky grimaça, voulut saisir un tentacule. Et glissa sur l'un desdits tentacules. Et tomba. Bon. Rome ne s'était pas faite en un jour, n'est-ce pas ... Mais de là où il était, c'est-à-dire couché sur le dos, il pouvait parfaitement ... Ha ! Le jeune homme venait de saisir l'un des pieds de la chaise ! Ne restait plus qu'à espérer qu'Ambros allait venir lui filer un coup de main.
« Arracher les tentacules. » suggéra Ambros.
Le super-zéro jeta un coup d'oeil à son interlocuteur qui avait posé son précieux paquet et venait maintenant de se jeter sur la chaise. Qui l'évita. Et fonça sur lui. Le Striky d'avant aurait poussé un couinement et se serait plaqué au sol, en boule, en espérant faire trébucher l'objet. Mais Striky n'était déjà plus la même personne. Il s'efforçait de quitter son rôle de bouffon optimiste comme un futur papillon sa chrysalide. S'il ne savait pas encore ce qu'il était en train de devenir, il savait au moins qu'il avançait. Et ça c'était l'essentiel.
Il se campa sur ses appuis, prêt à accueillir le choc. Il allait battre cette chaise et prouver qu'il pouvait faire quelque chose, qu'il n'était pas bon qu'à fanfaronner.
Soudain, la chaise fut sur lui. Striky grimaça, voulut saisir un tentacule. Et glissa sur l'un desdits tentacules. Et tomba. Bon. Rome ne s'était pas faite en un jour, n'est-ce pas ... Mais de là où il était, c'est-à-dire couché sur le dos, il pouvait parfaitement ... Ha ! Le jeune homme venait de saisir l'un des pieds de la chaise ! Ne restait plus qu'à espérer qu'Ambros allait venir lui filer un coup de main.
- Résumé:
- Striky regarde la chaise éviter Ambros et foncer sur lui. Il essaie de saisir l'un des tentacules mais ce faisant, glisse sur un 2e et se retrouve couché sur le dos. Il attrape alors l'un des pieds de la chaise pour l'empêcher de bouger.
Striky parle en #d44242.
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Mar 1 Juil - 18:41
Lorsque Striky, après avoir été attaqué, chuta et s'écrasa sur le sol, Ambros ne put se retenir d'applaudir légèrement. Chapeau, l'homme. Il n'avait pas bougé d'un poil, peu désireux d'aller le secourir, mais constata bien vite que son compagnon d'infortune n'avait pas tout raté. Il avait chopé au passage un pied de la chaise, qu'il tenait fermement en attente d'aide.
Pour se venger, le jeune fut très tenté de le laisser se démerder avec son adversaire en regardant le spectacle. Mais bon, il fallait avouer que ce gosse en pyjama avait été là, dans l'armurerie, il était resté à côté de lui alors qu'il aurait pu justement le laisser se dépatouiller. Rien ne l'y avait obligé.
Passé le temps que l'information parte du centre de décision jusqu'aux muscles, il s'approcha de la scène de combat et attrapa à son tour l'un des pieds afin d'empêcher toute fuite de l'ennemi. Tandis que TB s'amusait à tâter un peu les tentacules -probablement en se demandant s'il ne devrait pas changer de look lui aussi-, son second bras se précipita sur un membre visqueux qu'il tira de toutes ses forces vers lui. Étrangement, le tentacule attrapé se détacha bien vite ; il n'y avait plus qu'à le jeter au loin pour qu'il n'ait pas l'idée de revenir.
Un à un, Ambros éplucha comme il le put la chaise.
Sauf qu'il aurait dû regarder derrière lui. Non loin d'avoir été découragés, les petits membres arrachées gesticulaient sur le sol et rampaient jusqu'à leur propriétaire - qui était devenue une chaise en bois inanimée.
« Et zut. » commenta-t-il, toujours sans réelle fureur de vaincre. Ils n'avaient rien pour écrabouiller les choses.
Pour se venger, le jeune fut très tenté de le laisser se démerder avec son adversaire en regardant le spectacle. Mais bon, il fallait avouer que ce gosse en pyjama avait été là, dans l'armurerie, il était resté à côté de lui alors qu'il aurait pu justement le laisser se dépatouiller. Rien ne l'y avait obligé.
Passé le temps que l'information parte du centre de décision jusqu'aux muscles, il s'approcha de la scène de combat et attrapa à son tour l'un des pieds afin d'empêcher toute fuite de l'ennemi. Tandis que TB s'amusait à tâter un peu les tentacules -probablement en se demandant s'il ne devrait pas changer de look lui aussi-, son second bras se précipita sur un membre visqueux qu'il tira de toutes ses forces vers lui. Étrangement, le tentacule attrapé se détacha bien vite ; il n'y avait plus qu'à le jeter au loin pour qu'il n'ait pas l'idée de revenir.
Un à un, Ambros éplucha comme il le put la chaise.
Sauf qu'il aurait dû regarder derrière lui. Non loin d'avoir été découragés, les petits membres arrachées gesticulaient sur le sol et rampaient jusqu'à leur propriétaire - qui était devenue une chaise en bois inanimée.
« Et zut. » commenta-t-il, toujours sans réelle fureur de vaincre. Ils n'avaient rien pour écrabouiller les choses.
- Spoiler:
- Après réflexion, ambros vient filer un coup de main en épluchant la chaise, sauf que les tentacules bougent encore et rampent jusqu'à ladite chaise.
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Castor
Mar 1 Juil - 19:30
Enfin, Ambros vint lui filer un coup de main. Il se saisit à son tour de la chaise et commença à lui arracher ses tentacules, visiblement sans effort. La besogne finie, Striky relâcha la chaise, redevenue inerte, et se releva en soupirant.
« Et zut. »
Striky tourna la tête, alarmé. Les ... Les tentacules revenaient vers eux. Gloups. Le super-zéro jeta un coup d'oeil autour de lui, cherchant de quoi les écrabouiller ... il ne pouvait tout de même pas le faire avec ses pieds ! Mais il n'y avait toujours rien. A moins que ...
Le jeune homme attrapa la chaise et la brandit. Le tentacule le plus proche bondit -comment un tentacules pouvait bondir, ça, c'était la question- et Striky abattit la chaise. L'appendice finit en bouillie.
« Hé, c'est efficace !! »
Il commença donc à joyeusement écrabouiller les tentacules. Jusqu'à ce que l'un d'eux, le prenant en traître, ne s'enroule autour de ses chevilles et ne le fît tomber. La chaise lui échappa, en même temps qu'un grognement de douleur.
« Et zut. »
Striky tourna la tête, alarmé. Les ... Les tentacules revenaient vers eux. Gloups. Le super-zéro jeta un coup d'oeil autour de lui, cherchant de quoi les écrabouiller ... il ne pouvait tout de même pas le faire avec ses pieds ! Mais il n'y avait toujours rien. A moins que ...
Le jeune homme attrapa la chaise et la brandit. Le tentacule le plus proche bondit -comment un tentacules pouvait bondir, ça, c'était la question- et Striky abattit la chaise. L'appendice finit en bouillie.
« Hé, c'est efficace !! »
Il commença donc à joyeusement écrabouiller les tentacules. Jusqu'à ce que l'un d'eux, le prenant en traître, ne s'enroule autour de ses chevilles et ne le fît tomber. La chaise lui échappa, en même temps qu'un grognement de douleur.
- Résumé:
- Une fois la chaise vaincue, Striky se relève en soupirant. Il remarque ensuite les tentacules qui reviennent à la charge et en écrabouille un avec. Voyant que c'est efficace, il fait de même avec quelques autres jusqu'à ce que l'un d'eux ne s'enroule autour de ses pieds pour le faire tomber. Il tombe, donc, et lâche la chaise.
Striky parle en #d44242.
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Mar 1 Juil - 19:45
Ce fut Striky qui résolut le problème. Armé de la chaise qu'ils venaient de dépouiller, le héros en pyjama écrasa contre le sol tous les tentacules qui s'en prenaient à lui tandis que son cher collègue le regardait faire. Lorsqu'il tomba à nouveau au sol -ses vêtements ne devaient pas être les seuls à être recouverts de bleus- à cause d'une attaque fourbe, il lâcha la chaise. Eh ben, il était aussi doué qu'il en avait l'air celui-là.
Désireux de finir le travail, Ambros attrapa l'arme avant qu'elle ne fut à portée d'accrochage par l'ennemi et fit -à un degré d'engouement différent- la même chose que Striky. Bon, il ne restait pas grand chose à faire, mais au moins aurait-il le mérite de terminer la bat…
« Bordel de... » tenta-t-il de brailler lorsqu'il fut lui aussi attaqué en traître à la cheville. Il s'écrasa sur le côté juste à côté de Pyjaman. Les tentacules avaient compris le truc et il s'était fait avoir comme un bleu. TB, qui avait été partiellement aplati, était désormais en pleine protestation - ou crise d'adolescence - contre le monde entier.
Ambros ne fit pas de commentaire supplémentaire quant à son échec cuisant et se releva. Ça ne lui faisait pas du bien.
Désireux de finir le travail, Ambros attrapa l'arme avant qu'elle ne fut à portée d'accrochage par l'ennemi et fit -à un degré d'engouement différent- la même chose que Striky. Bon, il ne restait pas grand chose à faire, mais au moins aurait-il le mérite de terminer la bat…
« Bordel de... » tenta-t-il de brailler lorsqu'il fut lui aussi attaqué en traître à la cheville. Il s'écrasa sur le côté juste à côté de Pyjaman. Les tentacules avaient compris le truc et il s'était fait avoir comme un bleu. TB, qui avait été partiellement aplati, était désormais en pleine protestation - ou crise d'adolescence - contre le monde entier.
Ambros ne fit pas de commentaire supplémentaire quant à son échec cuisant et se releva. Ça ne lui faisait pas du bien.
- Spoiler:
- Ambros reprend la chaise et tape sur les tentacules mais il se fait lui aussi avoir. Il tombe et se relève en se plaignant intérieurement.
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Castor
Mar 1 Juil - 19:54
Striky se débarrassa, après une lutte acharnée, du tentacule qui entravait ses chevilles et se releva. Ambros ne l'avait pas attendu pour continuer le travail. Striky jugea qu'il n'avait pas besoin d'aide. Jusqu'au moment ou son compagnon succomba à la même ruse que lui. Le jeune homme retint un ricanement -l'envie ne lui en manquait pas, mais il était tout de même mal placé pour se fiche d'Ambros. Il se contenta de ramasser la chaise pour écrabouiller les deux-trois tentacules restants et de s'épousseter.
« Oh, au fait, euh ... »
Striky était un peu gêné de balancer ça comme ça, mais c'était tout de même important.
« Désolé pour tout à l'heure. T'as raison, c'est normal, de, enfin ... »
« Oh, au fait, euh ... »
Striky était un peu gêné de balancer ça comme ça, mais c'était tout de même important.
« Désolé pour tout à l'heure. T'as raison, c'est normal, de, enfin ... »
- Résumé:
- Striky se relève, se retient de ricaner quand Ambros tombe à son tour, et écrase à l'aide de la chaise les 3 tentacules qui restent, puis s'excuse auprès d'Ambros pour ce qu'il a dit tout à l'heure.
Striky parle en #d44242.
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Mar 1 Juil - 20:07
Après s'être défait du vil tentacule qui l'entravait, Striky acheva tous les ennemis restants. À deux, ils avaient vaillamment lutté contre la chaise-pieuvre de l'enfer et probablement épargné la vie de plusieurs meubles. Youhou. Autant dire qu'Ambros n'en tirait aucune gloire, mais cela avait au moins eu le mérite de l'apaiser. L'espace d'un instant, il avait oublié à quel point tout était vide. Il avait presque souri de leurs chutes mutuelles contre un ennemi pourtant risible.
« Oh, au fait, euh.. Désolé pour tout à l'heure. T'as raison, c'est normal, de, enfin... »
Désolé pour quoi ? Il mit quelques secondes à se remémorer le passage qui avait précédé l'épique combat. Boarf, après tout ce n'était rien de faux. Il était adulte, et pourtant, il était incapable de ne pas paraître complètement déboussolé. Incapable de mentir ou de faire semblant d'être bien alors que tout allait mal.
« C'est rien.. »
Sans plus de façon, Ambros alla donc chercher la précieuse tête qui gisait toujours dans un coin. Son infini désespoir le reprit alors, tandis qu'il marchait à nouveau dans les couloirs de la base, sans savoir où ils allaient.
« Oh, au fait, euh.. Désolé pour tout à l'heure. T'as raison, c'est normal, de, enfin... »
Désolé pour quoi ? Il mit quelques secondes à se remémorer le passage qui avait précédé l'épique combat. Boarf, après tout ce n'était rien de faux. Il était adulte, et pourtant, il était incapable de ne pas paraître complètement déboussolé. Incapable de mentir ou de faire semblant d'être bien alors que tout allait mal.
« C'est rien.. »
Sans plus de façon, Ambros alla donc chercher la précieuse tête qui gisait toujours dans un coin. Son infini désespoir le reprit alors, tandis qu'il marchait à nouveau dans les couloirs de la base, sans savoir où ils allaient.
- Spoiler:
- Ambros ne fait pas grand chose et dit à striky que c'est rien quand il s'excuse. il reprend la tête emballée ainsi que son périple dans la base!
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Castor
Mar 1 Juil - 20:22
Un silence. Puis :
« C'est rien.. »
Striky souffla. Ouf. Il n'avait pas envie d'accabler encore plus cet homme qui n'avait, après tout, rien demandé. Et surtout, il ne voulait pas commencer à se montrer narquois ou déplacé envers les gens, surtout sans s'en rendre compte. Il préférait mille fois se comporter en imbécile heureux et s'attirer les sarcasmes des gens.
Ambros récupéra son précieux paquet, et ils se remirent à marcher. Dans le silence, pour changer. Soudain Striky eut une idée. Géniale ou carrément stupide ? Il n'aurait su le dire. Mais ça se tentait.
« Hé, on fait un jeu ? Je vais dire un truc que je n'ai jamais fait, et si tu l'as déjà fait, tu lèves la main. Et interdit de tricher. »
Le jeune homme voulait lui changer les idées un peu. Il avait bien vu que la bataille avait permis à Ambros de se rasséréner un peu, parce qu'il avait arrêté de penser à tout ça. Il espérait qu'il se prendrait au jeu, et qu'il oublierait à nouveau, même pour quelque minutes, qu'il avait perdu un être cher ...
« Je n'ai jamais été dans un pays étranger. »
Il espérait juste qu'Ambros n'allait pas l'ignorer purement et simplement ou le rabrouer, auquel cas il se sentirait vraiment ridicule.
[spoiler=Résumé]Striky soupire de soulagement à la réponse d'Ambros, puis se remettant en marche, il lui propose un jeu.[/color]
« C'est rien.. »
Striky souffla. Ouf. Il n'avait pas envie d'accabler encore plus cet homme qui n'avait, après tout, rien demandé. Et surtout, il ne voulait pas commencer à se montrer narquois ou déplacé envers les gens, surtout sans s'en rendre compte. Il préférait mille fois se comporter en imbécile heureux et s'attirer les sarcasmes des gens.
Ambros récupéra son précieux paquet, et ils se remirent à marcher. Dans le silence, pour changer. Soudain Striky eut une idée. Géniale ou carrément stupide ? Il n'aurait su le dire. Mais ça se tentait.
« Hé, on fait un jeu ? Je vais dire un truc que je n'ai jamais fait, et si tu l'as déjà fait, tu lèves la main. Et interdit de tricher. »
Le jeune homme voulait lui changer les idées un peu. Il avait bien vu que la bataille avait permis à Ambros de se rasséréner un peu, parce qu'il avait arrêté de penser à tout ça. Il espérait qu'il se prendrait au jeu, et qu'il oublierait à nouveau, même pour quelque minutes, qu'il avait perdu un être cher ...
« Je n'ai jamais été dans un pays étranger. »
Il espérait juste qu'Ambros n'allait pas l'ignorer purement et simplement ou le rabrouer, auquel cas il se sentirait vraiment ridicule.
[spoiler=Résumé]Striky soupire de soulagement à la réponse d'Ambros, puis se remettant en marche, il lui propose un jeu.[/color]
Striky parle en #d44242.
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Mar 1 Juil - 21:14
« Hé, on fait un jeu ? Je vais dire un truc que je n'ai jamais fait, et si tu l'as déjà fait, tu lèves la main. Et interdit de tricher. »
Il était sérieux ? Il voulait s'amuser sur un trajet où l'ennemi pouvait sortir de n'importe où, après qu'ils aient tous les deux vu l'horreur dans la salle d'armes ? Sans trop savoir pourquoi, Ambros n'arrivait pas trop à trouver ça étrange au vu de la situation. C'était inattendu. Et il ne trouvait pas que cela soit une si mauvaise idée ; il était celui qui avait le plus besoin de se changer les idées. Même s'il ne pouvait s'empêcher d'être complètement abattu pendant un bon moment, il était assez étourdi pour oublier l'espace d'un jeu.
« Je n'ai jamais été dans un pays étranger. »
Lui non plus. Enfin, il n'en avait pas le souvenir, en tout cas, sauf si ce monde était un pays étranger aussi. D'ailleurs, il n'avait toujours pas donné à Pyjaman ses véritables origine et son vrai nom. Il ne se souvenait pas de l'avoir dit à qui que ce soit, même à Lui, puisqu'il avait déjà du mal à retenir le nom qu'il avait inventé exprès pour se rapprocher de lui. C'était assez ironique, mais aujourd'hui, il trouvait plus naturel d'être nommé Ambros que Omar, bien qu'il n'ait jamais détesté son prénom réel. Au contraire, on lui avait dit que c'était prononcé comme le nom d'un crustacé chez les français, or il aimait beaucoup les homards. Ils étaient beaux.
« Toujours vécu en Italie. Dans le Sud. déclara-t-il sans lever la main. Et toi, tu viens d'où, Michel ? »
Il avait envie de l'appeler par son vrai prénom, mais quelque chose comme un intuition lui soufflait qu'il s'était gouré quelque part.
Il était sérieux ? Il voulait s'amuser sur un trajet où l'ennemi pouvait sortir de n'importe où, après qu'ils aient tous les deux vu l'horreur dans la salle d'armes ? Sans trop savoir pourquoi, Ambros n'arrivait pas trop à trouver ça étrange au vu de la situation. C'était inattendu. Et il ne trouvait pas que cela soit une si mauvaise idée ; il était celui qui avait le plus besoin de se changer les idées. Même s'il ne pouvait s'empêcher d'être complètement abattu pendant un bon moment, il était assez étourdi pour oublier l'espace d'un jeu.
« Je n'ai jamais été dans un pays étranger. »
Lui non plus. Enfin, il n'en avait pas le souvenir, en tout cas, sauf si ce monde était un pays étranger aussi. D'ailleurs, il n'avait toujours pas donné à Pyjaman ses véritables origine et son vrai nom. Il ne se souvenait pas de l'avoir dit à qui que ce soit, même à Lui, puisqu'il avait déjà du mal à retenir le nom qu'il avait inventé exprès pour se rapprocher de lui. C'était assez ironique, mais aujourd'hui, il trouvait plus naturel d'être nommé Ambros que Omar, bien qu'il n'ait jamais détesté son prénom réel. Au contraire, on lui avait dit que c'était prononcé comme le nom d'un crustacé chez les français, or il aimait beaucoup les homards. Ils étaient beaux.
« Toujours vécu en Italie. Dans le Sud. déclara-t-il sans lever la main. Et toi, tu viens d'où, Michel ? »
Il avait envie de l'appeler par son vrai prénom, mais quelque chose comme un intuition lui soufflait qu'il s'était gouré quelque part.
- Spoiler:
- Ambros répond à striky qu'il n'est jamais allé à l'étranger non plus et lui avoue d'où il vient.
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Castor
Mar 1 Juil - 23:02
« Toujours vécu en Italie. Dans le Sud. »
Striky essaya de visualiser une carte de l'Europe. Il n'avait jamais été très bon en géographie mais il était presque sûr que l'Italie était plus bas que la France.
« Et toi, tu viens d'où, Michel ? »
Là, Striky se demanda s'il le faisait exprès. Franchement. Même LUI avait retenu le prénom de son interlocuteur.
« En fait, c'est Michaël. » lâcha-t-il sur un ton désabusé. «Et je vis en France, mais ma mère était américaine. » ajouta-t-il d'une voix plus enjouée. « Bon, euh ... je n'ai jamais mangé d'épinards. »
Striky essaya de visualiser une carte de l'Europe. Il n'avait jamais été très bon en géographie mais il était presque sûr que l'Italie était plus bas que la France.
« Et toi, tu viens d'où, Michel ? »
Là, Striky se demanda s'il le faisait exprès. Franchement. Même LUI avait retenu le prénom de son interlocuteur.
« En fait, c'est Michaël. » lâcha-t-il sur un ton désabusé. «Et je vis en France, mais ma mère était américaine. » ajouta-t-il d'une voix plus enjouée. « Bon, euh ... je n'ai jamais mangé d'épinards. »
- Résumé:
- Striky rectifie son prénom et répond à Ambros, avant de relancer le jeu.
Striky parle en #d44242.
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Mar 1 Juil - 23:24
« En fait, c'est Michaël. »
Ah, bah, à une lettre près il avait bon. Il fit comme s'il n'avait pas remarqué la correction et se dit qu'il ferait de son mieux pour retenir. C'était pas comme s'il avait grand chose dans la tête de toute façon.
« Et je vis en France, mais ma mère était américaine. Bon, euh ... je n'ai jamais mangé d'épinards. »
Il n'était jamais allé en France mais il en avait entendu parler de temps en temps. Et avait vu des français - heureusement que Pyjaman n'était pas représentatif des habitudes vestimentaires de ces personnes, mais jamais il ne s'était trop intéressé avec l'Amérique. C'était loin. Et différent. Il savait vaguement que c'était de l'autre côté de l'eau.
Il leva précipitamment la main en réponse à la question des épinards. Il adorait les légumes en général, et surtout les épinards. (S'il avait pu, il aurait sans doute eu un grand jardin avec plein de choses dedans, mais il s'était contenté d'élever un géranium. Ce qui était déjà une prouesse en soi.) Sauf que, bien sûr, il soutenait la tête avec des deux bras, et que ladite tête glissa violemment de son socle. Il fallut à Ambros un temps de réaction inférieur à celui de la seconde pour éviter la chute et rattraper son précieux avant qu'il ne heurte le sol dans une cacophonie sanglante. Fiou.
Il fit comme si de rien n'était.
« D'ailleurs, faudrait les retrouver. Les épinards en sachet. Z'étaient bons. » expliqua-t-il avec une pointe de nostalgie. Dire que ça avait eu lieu juste avant qu'il ne parte pour… ça. Il chassa bien vite l'évocation du souvenir et décida que cette fois, il allait lancer quelque chose à son interlocuteur.
« J'ai jamais été au cinéma. »
Il ne développa pas plus. C'était tout simplement qu'on avait jamais eu l'idée d'aller voir un film en famille et que de toute façon, il n'y avait pas vraiment de cinéma dans le coin.
Ah, bah, à une lettre près il avait bon. Il fit comme s'il n'avait pas remarqué la correction et se dit qu'il ferait de son mieux pour retenir. C'était pas comme s'il avait grand chose dans la tête de toute façon.
« Et je vis en France, mais ma mère était américaine. Bon, euh ... je n'ai jamais mangé d'épinards. »
Il n'était jamais allé en France mais il en avait entendu parler de temps en temps. Et avait vu des français - heureusement que Pyjaman n'était pas représentatif des habitudes vestimentaires de ces personnes, mais jamais il ne s'était trop intéressé avec l'Amérique. C'était loin. Et différent. Il savait vaguement que c'était de l'autre côté de l'eau.
Il leva précipitamment la main en réponse à la question des épinards. Il adorait les légumes en général, et surtout les épinards. (S'il avait pu, il aurait sans doute eu un grand jardin avec plein de choses dedans, mais il s'était contenté d'élever un géranium. Ce qui était déjà une prouesse en soi.) Sauf que, bien sûr, il soutenait la tête avec des deux bras, et que ladite tête glissa violemment de son socle. Il fallut à Ambros un temps de réaction inférieur à celui de la seconde pour éviter la chute et rattraper son précieux avant qu'il ne heurte le sol dans une cacophonie sanglante. Fiou.
Il fit comme si de rien n'était.
« D'ailleurs, faudrait les retrouver. Les épinards en sachet. Z'étaient bons. » expliqua-t-il avec une pointe de nostalgie. Dire que ça avait eu lieu juste avant qu'il ne parte pour… ça. Il chassa bien vite l'évocation du souvenir et décida que cette fois, il allait lancer quelque chose à son interlocuteur.
« J'ai jamais été au cinéma. »
Il ne développa pas plus. C'était tout simplement qu'on avait jamais eu l'idée d'aller voir un film en famille et que de toute façon, il n'y avait pas vraiment de cinéma dans le coin.
- Spoiler:
- Ambros répond à striky et lance une nouvelle "manche"
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Castor
Mar 1 Juil - 23:55
Striky regarda en arrière pour voir si Ambros levait la main. Ce qu'il fit, non sans manquer de faire tomber la tête, arrachant un sourire à Striky.
« D'ailleurs, faudrait les retrouver. Les épinards en sachet. Z'étaient bons. »
Striky sourit de nouveaux. Ambros avait de ces priorités ... Non, de toutes façons, on lui avait toujours dit que les épinards étaient dégueulasses. Même son père ne voulait pas en manger.
« J'ai jamais été au cinéma. »
Là, Striky laissa échapper un hoquet d'étonnement. Quoi ?! Jamais allé au cinéma ?! Horreur, malheur, terreur !
« ... C'est possible ça ?! Je veux dire, moi j'y allais presque toutes les semaines avec mon père ! »
L'esprit de l'adolescent se perdit dans ses souvenirs heureux. Le rituel de ces séances de cinéma comprenait un trajet aller à pied où il discutait et faisait l'idiot avec son père ... qui était au moins aussi puéril que lui, un bon blockbuster avec supplément de popcorn et un trajet retour dans la voiture de sa mère, qui les amenait au restaurant indien du coin pour dîner en famille. Ça c'étaient les souvenirs qui l'aidaient à tenir dans ce monde de fou.
« On s'amusait trop, tous les deux ... » dit-il d'un ton rêveur.
Il se reprit et relança le jeu.
« J'ai jamais eu plus de 10 en cours de maths. »
« D'ailleurs, faudrait les retrouver. Les épinards en sachet. Z'étaient bons. »
Striky sourit de nouveaux. Ambros avait de ces priorités ... Non, de toutes façons, on lui avait toujours dit que les épinards étaient dégueulasses. Même son père ne voulait pas en manger.
« J'ai jamais été au cinéma. »
Là, Striky laissa échapper un hoquet d'étonnement. Quoi ?! Jamais allé au cinéma ?! Horreur, malheur, terreur !
« ... C'est possible ça ?! Je veux dire, moi j'y allais presque toutes les semaines avec mon père ! »
L'esprit de l'adolescent se perdit dans ses souvenirs heureux. Le rituel de ces séances de cinéma comprenait un trajet aller à pied où il discutait et faisait l'idiot avec son père ... qui était au moins aussi puéril que lui, un bon blockbuster avec supplément de popcorn et un trajet retour dans la voiture de sa mère, qui les amenait au restaurant indien du coin pour dîner en famille. Ça c'étaient les souvenirs qui l'aidaient à tenir dans ce monde de fou.
« On s'amusait trop, tous les deux ... » dit-il d'un ton rêveur.
Il se reprit et relança le jeu.
« J'ai jamais eu plus de 10 en cours de maths. »
- Résumé:
- Striky est choqué par la réponse d'Ambros, évoque vaguement ses souvenirs et finalement relance le jeu.
Striky parle en #d44242.
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Mer 2 Juil - 0:18
« ... C'est possible ça ?! Je veux dire, moi j'y allais presque toutes les semaines avec mon père ! »
Ah bon ? Pour lui, la sortie de la semaine, c'était plutôt le marché. Ce n'était pas rare de se lever tôt pour aller voir les étalages remplis de produits frais ou de babioles, tout près du port, même si le leur n'était pas très grand. Il ne comprenait pas trop le fait de rester deux heures dans une salle à voir des images sur un écran géant ; lui, il s'endormirait.
« On s'amusait trop, tous les deux ... »
Pyjaman avait vraiment l'air d'aimer son père. Lui aussi aimait bien le sien, mais il ne commenta pas la chose.
« J'ai jamais eu plus de 10 en cours de maths, relança Striky.
- Non plus. J'étais le dernier partout. » répondit immédiatement Ambros, sûr de lui pour le coup.
Il avait toujours été une buse quelque soit la matière scolaire enseignée, en fait. Le cancre qui dormait ou bavait sur un coin de sa table en dessinant des petits poissons au milieu de ses cours et qui répondait ce qui lui passait par la tête lorsqu'il était interrogé. C'est pourquoi il s'était empressé de vite oublier toutes ses connaissances une fois l'école devenue non obligatoire (il ne se souvenait plus vraiment, mais sans doute avait-il arrêté encore avant pour travailler). Les chiffres, c'était vraiment trop compliqué pour lui, comme beaucoup d'autres choses, et on n'avait jamais espéré de lui qu'il entreprenne de grandes études. Tant qu'il faisait quelque chose dans la vie, ça convenait à tout le monde.
« Jamais fait brûler un plat. » balança-t-il au hasard. Presque fier de lui. Il avait parfois vu le plat s'enfuir loin de lui (ça, c'était depuis qu'il était dans ce monde), ou l'avait fait tomber par terre une fois ou deux, mais jamais il n'avait eu de problèmes de cuisson trop importante. De mémoire - il était étourdi et avait une fâcheuse tendance à oublier ce genre de choses. Par contre, il ne pouvait pas dire qu'il n'avait jamais servi de plat trop froid, il aimait le cru et la viande trop bleue pour être consommée...
Ah bon ? Pour lui, la sortie de la semaine, c'était plutôt le marché. Ce n'était pas rare de se lever tôt pour aller voir les étalages remplis de produits frais ou de babioles, tout près du port, même si le leur n'était pas très grand. Il ne comprenait pas trop le fait de rester deux heures dans une salle à voir des images sur un écran géant ; lui, il s'endormirait.
« On s'amusait trop, tous les deux ... »
Pyjaman avait vraiment l'air d'aimer son père. Lui aussi aimait bien le sien, mais il ne commenta pas la chose.
« J'ai jamais eu plus de 10 en cours de maths, relança Striky.
- Non plus. J'étais le dernier partout. » répondit immédiatement Ambros, sûr de lui pour le coup.
Il avait toujours été une buse quelque soit la matière scolaire enseignée, en fait. Le cancre qui dormait ou bavait sur un coin de sa table en dessinant des petits poissons au milieu de ses cours et qui répondait ce qui lui passait par la tête lorsqu'il était interrogé. C'est pourquoi il s'était empressé de vite oublier toutes ses connaissances une fois l'école devenue non obligatoire (il ne se souvenait plus vraiment, mais sans doute avait-il arrêté encore avant pour travailler). Les chiffres, c'était vraiment trop compliqué pour lui, comme beaucoup d'autres choses, et on n'avait jamais espéré de lui qu'il entreprenne de grandes études. Tant qu'il faisait quelque chose dans la vie, ça convenait à tout le monde.
« Jamais fait brûler un plat. » balança-t-il au hasard. Presque fier de lui. Il avait parfois vu le plat s'enfuir loin de lui (ça, c'était depuis qu'il était dans ce monde), ou l'avait fait tomber par terre une fois ou deux, mais jamais il n'avait eu de problèmes de cuisson trop importante. De mémoire - il était étourdi et avait une fâcheuse tendance à oublier ce genre de choses. Par contre, il ne pouvait pas dire qu'il n'avait jamais servi de plat trop froid, il aimait le cru et la viande trop bleue pour être consommée...
- Spoiler:
- Ambros répond à Striky et relance encore.
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Castor
Mer 2 Juil - 0:29
« Non plus. J'étais le dernier partout. »
Striky était quelque peu soulagé. Il se sentait moins seul. Du coup, il ne précisa pas qu'il était, lui, quand même bon en une matière : l'anglais. Oh, il n'avait aucun mérite avec une mère américaine. Mais il ne voulait pas accabler Ambros.
« Jamais fait brûler un plat. »
Striky sourit, pour la troisième fois depuis le début de leur conversation.
« Moi non plus ! » s'exclama-t-il avec enthousiasme. « Il paraît que mes brioches étaient toujours cuites à point ... »
Pour le coup, il était fier de lui. La cuisine, c'était important dans la vie. on ne pouvait pas vivre que de boîtes de conserves et de sandwiches achetés au supermarché pourri du coin de la rue. Et puis, il fallait savoir manger équilibré, parce que la santé c'est la vie ! Enfin, c'est ce que disait son père. Donc même si le jeune homme avait une certaine tendance à se diriger vers la malbouffe -on est un ado moyen ou on ne l'est pas-, il savait tout de même ce qui était bon pour lui et essayait de rééquilibrer les repas qu'il prenait.
« Dans ma famille, y'a que moi qui sait cuisiner ! J'ai appris tout seul parce que ni mon père ni ma mère savaient, mais du coup maintenant, je suis calé ! Enfin, je crois ... » Il se tourna vers Ambros. « Toi aussi tu cuisines ? »
Striky était quelque peu soulagé. Il se sentait moins seul. Du coup, il ne précisa pas qu'il était, lui, quand même bon en une matière : l'anglais. Oh, il n'avait aucun mérite avec une mère américaine. Mais il ne voulait pas accabler Ambros.
« Jamais fait brûler un plat. »
Striky sourit, pour la troisième fois depuis le début de leur conversation.
« Moi non plus ! » s'exclama-t-il avec enthousiasme. « Il paraît que mes brioches étaient toujours cuites à point ... »
Pour le coup, il était fier de lui. La cuisine, c'était important dans la vie. on ne pouvait pas vivre que de boîtes de conserves et de sandwiches achetés au supermarché pourri du coin de la rue. Et puis, il fallait savoir manger équilibré, parce que la santé c'est la vie ! Enfin, c'est ce que disait son père. Donc même si le jeune homme avait une certaine tendance à se diriger vers la malbouffe -on est un ado moyen ou on ne l'est pas-, il savait tout de même ce qui était bon pour lui et essayait de rééquilibrer les repas qu'il prenait.
« Dans ma famille, y'a que moi qui sait cuisiner ! J'ai appris tout seul parce que ni mon père ni ma mère savaient, mais du coup maintenant, je suis calé ! Enfin, je crois ... » Il se tourna vers Ambros. « Toi aussi tu cuisines ? »
- Résumé:
- Striky est enthousiasmé par la question d'Ambros et lui raconte plus ou moins sa vie /mur
Striky parle en #d44242.
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Mer 2 Juil - 0:43
« Moi non plus ! Il paraît que mes brioches étaient toujours cuites à point ... »
Il avait du mal à imaginer Striky en train de sortir sa petite brioche d'un four, enfin pourquoi pas. Ambros s'y connaissait beaucoup moins en pâtisserie qu'en cuisine pure et dure, en réalité, alors il avait quelque peu oublié le goût de ce qui lui évoquait pourtant de très doux souvenirs. Il aimait beaucoup les légumes, mais les gâteaux avaient son approbation également.
« Dans ma famille, y'a que moi qui sait cuisiner ! J'ai appris tout seul parce que ni mon père ni ma mère savaient, mais du coup maintenant, je suis calé ! Enfin, je crois ... Toi aussi tu cuisines ? »
De son côté, il n'avait absolument pas appris par lui-même.
« Ma mère bossait dans un resto. Je l'aidais au lieu d'étudier. » répondit-il sans préciser qu'il avait très longtemps occupé à la plonge et à d'autres activités toutes aussi intéressantes. On ne laissait pas un gamin toucher à ce qui allait rentrer dans l'estomac du client, alors il avait patiemment regardé les gens faire jusqu'à s'y prendre comme il le fallait. Son père lui avait rabâché tout ce qu'il savait sur les poissons, ce qui l'avait pas mal aidé et conféré un attachement particulier pour les habitants de l'eau.
« J'aime cuisiner. Mais la bouffe d'ici ne m'aime pas je crois.. » maugréa-t-il en pensant à toutes ses expériences culinaires ratées. C'était pas facile de savoir ce qui était comestible et ce qui vous donnait la peau bleue pendant trois jours.
Il avait du mal à imaginer Striky en train de sortir sa petite brioche d'un four, enfin pourquoi pas. Ambros s'y connaissait beaucoup moins en pâtisserie qu'en cuisine pure et dure, en réalité, alors il avait quelque peu oublié le goût de ce qui lui évoquait pourtant de très doux souvenirs. Il aimait beaucoup les légumes, mais les gâteaux avaient son approbation également.
« Dans ma famille, y'a que moi qui sait cuisiner ! J'ai appris tout seul parce que ni mon père ni ma mère savaient, mais du coup maintenant, je suis calé ! Enfin, je crois ... Toi aussi tu cuisines ? »
De son côté, il n'avait absolument pas appris par lui-même.
« Ma mère bossait dans un resto. Je l'aidais au lieu d'étudier. » répondit-il sans préciser qu'il avait très longtemps occupé à la plonge et à d'autres activités toutes aussi intéressantes. On ne laissait pas un gamin toucher à ce qui allait rentrer dans l'estomac du client, alors il avait patiemment regardé les gens faire jusqu'à s'y prendre comme il le fallait. Son père lui avait rabâché tout ce qu'il savait sur les poissons, ce qui l'avait pas mal aidé et conféré un attachement particulier pour les habitants de l'eau.
« J'aime cuisiner. Mais la bouffe d'ici ne m'aime pas je crois.. » maugréa-t-il en pensant à toutes ses expériences culinaires ratées. C'était pas facile de savoir ce qui était comestible et ce qui vous donnait la peau bleue pendant trois jours.
- Spoiler:
- Ambros parle cuisine avec striky
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Castor
Mer 2 Juil - 0:53
« Ma mère bossait dans un resto. Je l'aidais au lieu d'étudier. »
Ça, Striky comprenait.
« Argh, moi aussi j'aurais bien voulu cuisiner au lieu d'aller au lycée ... je suis sûr que j'aurais tout simplement pu devenir cuisinier, après ! Pas besoin du BAC pour ça, franchement ... »
C'est vrai quoi ... Le niveau de cet exam pourri baissait chaque année à ce qu'on disait. A tel point que n'importe quel crétin pouvait l'avoir, sans mention, certes, mais ça n'avait pas d'importance. Donc pourquoi diable les gens s'imaginaient-ils que c'était absolument indispensable ?! A côté de cette logique bancale, même le monde où il se trouvait actuellement pouvait paraître sensé ...
« J'aime cuisiner. Mais la bouffe d'ici ne m'aime pas je crois.. »
Le jeune homme ouvrit grand les yeux.
« Quoi ?! T'as essayé de cuisiner ICI ?! »
Ce mec n'avait pas froid aux yeux. Où alors, il n'avait pas vu le danger.
« J'ai abandonné presque direct. En voyant les tomates violettes en fait ... J'te jure, elles ont des POILS ! Comme ceux des chenilles ! »
Ce jour-là, Striky avait été traumatisé. Gravement.
Ça, Striky comprenait.
« Argh, moi aussi j'aurais bien voulu cuisiner au lieu d'aller au lycée ... je suis sûr que j'aurais tout simplement pu devenir cuisinier, après ! Pas besoin du BAC pour ça, franchement ... »
C'est vrai quoi ... Le niveau de cet exam pourri baissait chaque année à ce qu'on disait. A tel point que n'importe quel crétin pouvait l'avoir, sans mention, certes, mais ça n'avait pas d'importance. Donc pourquoi diable les gens s'imaginaient-ils que c'était absolument indispensable ?! A côté de cette logique bancale, même le monde où il se trouvait actuellement pouvait paraître sensé ...
« J'aime cuisiner. Mais la bouffe d'ici ne m'aime pas je crois.. »
Le jeune homme ouvrit grand les yeux.
« Quoi ?! T'as essayé de cuisiner ICI ?! »
Ce mec n'avait pas froid aux yeux. Où alors, il n'avait pas vu le danger.
« J'ai abandonné presque direct. En voyant les tomates violettes en fait ... J'te jure, elles ont des POILS ! Comme ceux des chenilles ! »
Ce jour-là, Striky avait été traumatisé. Gravement.
- Résumé:
- Striky approuve le fait de ne pas étudier, puis s'étonne du fait qu'Ambros ait essayé de cuisiner dans l'Esquisse ; il lui raconte en quelques mots sa mésaventure avec la nourriture locale.
Striky parle en #d44242.
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Mer 2 Juil - 1:15
« Argh, moi aussi j'aurais bien voulu cuisiner au lieu d'aller au lycée ... je suis sûr que j'aurais tout simplement pu devenir cuisinier, après ! Pas besoin du BAC pour ça, franchement ... »
Il ne savait pas ce qu'était le bac. Probablement un truc français. Mais bon, lui, ce n'était pas comme s'il avait le choix ; même s'il avait eu le niveau d'aller jusqu'à l'examen final, on n'aurait pas pu lui payer plus d'études, alors on avait tout simplement abandonné l'idée. Si mettre tout le monde au travail pouvait permettre à la plus jeune de réussir, elle, alors c'était mieux. Il ne pouvait donc compatir à la plainte de son ami.
« Quoi ?! T'as essayé de cuisiner ICI ?! »
Il fallait bien bouffer quelque chose au dîner, avait-il envie de répondre. Et parfois, on voyait de bonnes surprises ! (entre plusieurs intoxications alimentaires ou effets secondaires douteux)
« J'ai abandonné presque direct. En voyant les tomates violettes en fait ... J'te jure, elles ont des POILS ! Comme ceux des chenilles !
- Bah. Tant que c'est bon, vois pas le problème. »
Il n'énuméra pas tous les aliments qu'il avait ajouté au menu ; voir une botte fumée accompagnée de son assaisonnement pouvait être traumatisant pour certaines personnes. Il avait lui-même rechigné à avaler cela au début, mais il avait fallu se faire une raison.
« Et surtout, tant que ça fait pas de bruit. Ça, c'est chiant. » se plaignit-il alors. Il en avait marre de voir sa nourriture couiner, cela gênait la digestion. Une fois, un stylo qui devait remplacer une saucisse avait même commencé à pousser la chansonnette et il avait été impossible de le calmer. Irritant.
Il ne savait pas ce qu'était le bac. Probablement un truc français. Mais bon, lui, ce n'était pas comme s'il avait le choix ; même s'il avait eu le niveau d'aller jusqu'à l'examen final, on n'aurait pas pu lui payer plus d'études, alors on avait tout simplement abandonné l'idée. Si mettre tout le monde au travail pouvait permettre à la plus jeune de réussir, elle, alors c'était mieux. Il ne pouvait donc compatir à la plainte de son ami.
« Quoi ?! T'as essayé de cuisiner ICI ?! »
Il fallait bien bouffer quelque chose au dîner, avait-il envie de répondre. Et parfois, on voyait de bonnes surprises ! (entre plusieurs intoxications alimentaires ou effets secondaires douteux)
« J'ai abandonné presque direct. En voyant les tomates violettes en fait ... J'te jure, elles ont des POILS ! Comme ceux des chenilles !
- Bah. Tant que c'est bon, vois pas le problème. »
Il n'énuméra pas tous les aliments qu'il avait ajouté au menu ; voir une botte fumée accompagnée de son assaisonnement pouvait être traumatisant pour certaines personnes. Il avait lui-même rechigné à avaler cela au début, mais il avait fallu se faire une raison.
« Et surtout, tant que ça fait pas de bruit. Ça, c'est chiant. » se plaignit-il alors. Il en avait marre de voir sa nourriture couiner, cela gênait la digestion. Une fois, un stylo qui devait remplacer une saucisse avait même commencé à pousser la chansonnette et il avait été impossible de le calmer. Irritant.
- Spoiler:
- Ambros parle encore de cuisine
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Castor
Mer 2 Juil - 1:23
« Bah. Tant que c'est bon, vois pas le problème. »
Striky se sentait presque dégoûté. Ok, il avait été parfois obligé de se nourrir de choses étranges, mais les tomates poilues, il pouvait pas. Est-ce que c'était son côté français qui ressortait ? Non, juste son côté chochotte.
« Et surtout, tant que ça fait pas de bruit. Ça, c'est chiant. »
Là, le jeune homme sentit ses cheveux se hérisser sur sa nuque. Du BRUIT ?!
« ... Mais, tu fais cuire tes aliments ? Et après il continuent de faire du bruit ?! »
Non, c'était trop ignoble. Ça ne pouvait pas être. Si jamais il voyait une telle chose se produire sous ses yeux, il voulait bien s'évanouir.
Striky se sentait presque dégoûté. Ok, il avait été parfois obligé de se nourrir de choses étranges, mais les tomates poilues, il pouvait pas. Est-ce que c'était son côté français qui ressortait ? Non, juste son côté chochotte.
« Et surtout, tant que ça fait pas de bruit. Ça, c'est chiant. »
Là, le jeune homme sentit ses cheveux se hérisser sur sa nuque. Du BRUIT ?!
« ... Mais, tu fais cuire tes aliments ? Et après il continuent de faire du bruit ?! »
Non, c'était trop ignoble. Ça ne pouvait pas être. Si jamais il voyait une telle chose se produire sous ses yeux, il voulait bien s'évanouir.
- Résumé:
- Striky parle de nourriture.
Striky parle en #d44242.
- Concours N°3:
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Mer 2 Juil - 1:40
« ... Mais, tu fais cuire tes aliments ? Et après il continuent de faire du bruit ?!
- Quand y'a de quoi cuire, oui. Ils peuvent continuer à parler jusqu'à l'estomac. »
Il haussa les épaules comme s'il parlait de la chose la plus normale au monde. Ce n'était pas comme s'il avait l'impression des dévorer des êtres vivants ou quoi que ce soit. C'était de la bouffe, tout simplement, même quand elle te suppliait ou te racontait des anecdotes. Enfin, Striky était une poule mouillée, il pourrait probablement être assez bête pour ne choisir que des aliments parfaitement normaux. Qu'avait-il avalé depuis qu'il était arrivé ici ?
Et puis, alors qu'il allaient tourner à droite, ils tombèrent nez à nez avec un petit escadron d'objets.
« Tiens, regarde, on peut cuisiner ça ! » s'exclama-t-il en pointant du doigt les ennemis qui s'avéraient être des aliments parfaitement sains pour l'organisme à quelques modifications génétiques près. Il y avait une tomate rose poilue géante, une asperge à deux têtes, un chou fleur surmonté d'un petit palmier, un petit pois surmonté d'un chapeau de paille et une feuille d'arbres. Le tout était haut d'au moins un mètre et possédait de petites pattes d'insectes.
Et surtout, ça avait l'air très en colère.
« Enfin.. Si on peut les conserver après les avoir explosés, hein ! » s'exclama-t-il comme s'il était persuadé de leur victoire totale et écrasante. En vérité, il avait déposé la tête sur le côté, soucieux de la préserver avant tout.
- Quand y'a de quoi cuire, oui. Ils peuvent continuer à parler jusqu'à l'estomac. »
Il haussa les épaules comme s'il parlait de la chose la plus normale au monde. Ce n'était pas comme s'il avait l'impression des dévorer des êtres vivants ou quoi que ce soit. C'était de la bouffe, tout simplement, même quand elle te suppliait ou te racontait des anecdotes. Enfin, Striky était une poule mouillée, il pourrait probablement être assez bête pour ne choisir que des aliments parfaitement normaux. Qu'avait-il avalé depuis qu'il était arrivé ici ?
Et puis, alors qu'il allaient tourner à droite, ils tombèrent nez à nez avec un petit escadron d'objets.
« Tiens, regarde, on peut cuisiner ça ! » s'exclama-t-il en pointant du doigt les ennemis qui s'avéraient être des aliments parfaitement sains pour l'organisme à quelques modifications génétiques près. Il y avait une tomate rose poilue géante, une asperge à deux têtes, un chou fleur surmonté d'un petit palmier, un petit pois surmonté d'un chapeau de paille et une feuille d'arbres. Le tout était haut d'au moins un mètre et possédait de petites pattes d'insectes.
Et surtout, ça avait l'air très en colère.
« Enfin.. Si on peut les conserver après les avoir explosés, hein ! » s'exclama-t-il comme s'il était persuadé de leur victoire totale et écrasante. En vérité, il avait déposé la tête sur le côté, soucieux de la préserver avant tout.
- Spoiler:
- Ambros répond à Striky et un escadron d'ennemis arrive
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Castor
Mer 2 Juil - 1:54
« Quand y'a de quoi cuire, oui. Ils peuvent continuer à parler jusqu'à l'estomac. »
Striky sentit son estomac protester face à cette idée. Horreur. Des aliments qui parlaient depuis l'intérieur de son corps. On ne pouvait pas faire plus glauque, même en cherchant longtemps.
« Tiens, regarde, on peut cuisiner ça ! »
Le regard du jeune homme suivit le doigt pointé d'Ambros. Pour les poser sur une meute de légumes pas normaux du tout et visiblement enragés. Probablement dans tous les sens du terme, au vu de la bave qui coulait de la bou-, enfin, de ce qui servait de bouche à certains d'entre eux.
Striky se sentit presque défaillir. Il préférait encore la chaise. Et Ambros pensait sérieusement que ÇA se mangeait ?! Non, non, non. Plutôt mourir de faim. Même lentement et douloureusement. Striky jeta un coup d'oeil à leurs pattes, qui grouillaient et crissaient sur le sol. Il avait envie de vomir, tout d'un coup. Il détestait les insectes.
« Enfin.. Si on peut les conserver après les avoir explosés, hein ! »
Ce n'était pas la première contrariété qui venait à l'esprit de Striky, mais il espérait vivement qu'il n'en resterait rien après qu'il les aient "explosés". La question maintenant était justement de savoir comment ils pouvaient vaincre ces ... ces choses ! Même s'il avait eut un bazooka dernier cri en état de marche, Striky n'était pas sûre qu'il aurait pu faire face.
« Leurs pattes sont vraiment affreuses ... était tout ce qui lui passait par la tête actuellement. Je hais les insectes ... » gémit-il.
Striky sentit son estomac protester face à cette idée. Horreur. Des aliments qui parlaient depuis l'intérieur de son corps. On ne pouvait pas faire plus glauque, même en cherchant longtemps.
« Tiens, regarde, on peut cuisiner ça ! »
Le regard du jeune homme suivit le doigt pointé d'Ambros. Pour les poser sur une meute de légumes pas normaux du tout et visiblement enragés. Probablement dans tous les sens du terme, au vu de la bave qui coulait de la bou-, enfin, de ce qui servait de bouche à certains d'entre eux.
Striky se sentit presque défaillir. Il préférait encore la chaise. Et Ambros pensait sérieusement que ÇA se mangeait ?! Non, non, non. Plutôt mourir de faim. Même lentement et douloureusement. Striky jeta un coup d'oeil à leurs pattes, qui grouillaient et crissaient sur le sol. Il avait envie de vomir, tout d'un coup. Il détestait les insectes.
« Enfin.. Si on peut les conserver après les avoir explosés, hein ! »
Ce n'était pas la première contrariété qui venait à l'esprit de Striky, mais il espérait vivement qu'il n'en resterait rien après qu'il les aient "explosés". La question maintenant était justement de savoir comment ils pouvaient vaincre ces ... ces choses ! Même s'il avait eut un bazooka dernier cri en état de marche, Striky n'était pas sûre qu'il aurait pu faire face.
« Leurs pattes sont vraiment affreuses ... était tout ce qui lui passait par la tête actuellement. Je hais les insectes ... » gémit-il.
- Résumé:
- Striky a l'estomac retourné par l'apparition des objets et admet détester les insectes.
Striky parle en #d44242.
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Invité
Mer 2 Juil - 2:07
Bon, apparemment, son compagnon de voyage -leur petit trajet dans les couloirs de la base était devenu un véritable périple, avec ses embûches et ses bons moments- n'avait pas l'air très friand à l'idée de se farcir toutes ces bestioles. Pourtant, c'était plus agréable à affronter que des serpents ou des trucs armés jusqu'aux dents. Surtout quand ça commençait à se disputer pour avoir la tronçonneuse du méchant et que tout finissait en massacre.
« Leurs pattes sont vraiment affreuses ... Je hais les insectes ... »
Heureusement qu'il n'avait pas vu la gigantesque abeille, probablement encore en promenade quelque part dans le coin. Ce bout d'ado voulait devenir un "homme" ? Même Ambros en pleine période de dépression, de solitude et de tout ce qui s'en suivait se sentait carrément à même de disputer une partie de catch juteuse. C'était pas comme sur le toit où ils risquaient tous de crever. La pire chose à craindre, c'était de se prendre un coup de palmier dans la figure.
Ambros recula derrière Striky et lui posa une main sur le dos. Tape amicale.
« T'as déjà oublié ce que t'as dit tout à l'heure ? Même moi je m'en souviens.. »
Et si lui s'en souvenait, c'était que c'était récent.
Que l'on ne s'y méprenne pas, il était toujours très volontaire pour encourager les gens à braver le danger à sa place. Parce qu'il estimait en avoir déjà pris plein la poire tout à l'heure, fallait partager.
« Leurs pattes sont vraiment affreuses ... Je hais les insectes ... »
Heureusement qu'il n'avait pas vu la gigantesque abeille, probablement encore en promenade quelque part dans le coin. Ce bout d'ado voulait devenir un "homme" ? Même Ambros en pleine période de dépression, de solitude et de tout ce qui s'en suivait se sentait carrément à même de disputer une partie de catch juteuse. C'était pas comme sur le toit où ils risquaient tous de crever. La pire chose à craindre, c'était de se prendre un coup de palmier dans la figure.
Ambros recula derrière Striky et lui posa une main sur le dos. Tape amicale.
« T'as déjà oublié ce que t'as dit tout à l'heure ? Même moi je m'en souviens.. »
Et si lui s'en souvenait, c'était que c'était récent.
Que l'on ne s'y méprenne pas, il était toujours très volontaire pour encourager les gens à braver le danger à sa place. Parce qu'il estimait en avoir déjà pris plein la poire tout à l'heure, fallait partager.
- Spoiler:
- Ambros encourage Striky à aller se faire taper à sa place.
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Castor
Mer 2 Juil - 2:17
Striky sentit Ambros lui tapoter le dos, comme pour l'encourager à avancer.
« T'as déjà oublié ce que t'as dit tout à l'heure ? Même moi je m'en souviens.. »
Striky déglutit. Certes. M'enfin, pour reprendre ce qu'il avait pensé tout à l'heure, Rome ne s'était pas faite en un jour. Il ne pouvait pas devenir extrêmement courageux après 10 minutes de marche ... même avec un tête à moins de 5 mètres de lui. Non, il n'était pas sûr de pouvoir supporter les insectes. En fait, il était presque sûr de ne PAS pouvoir supporter cette épreuve. Et il était désarmé.
« M-m-mais j'ai pas d'arme ... »
Une excuse digne d'un lycéen. Mais après tout, il était un lycéen. L'honneur était donc sauf. Il pouvait au moins faire un pas en avant, non ? Ok, il avait fait un pas en avant. Maintenant, il ne bougeait plus, sauf pour faire demi-tour en courant.
« T'as déjà oublié ce que t'as dit tout à l'heure ? Même moi je m'en souviens.. »
Striky déglutit. Certes. M'enfin, pour reprendre ce qu'il avait pensé tout à l'heure, Rome ne s'était pas faite en un jour. Il ne pouvait pas devenir extrêmement courageux après 10 minutes de marche ... même avec un tête à moins de 5 mètres de lui. Non, il n'était pas sûr de pouvoir supporter les insectes. En fait, il était presque sûr de ne PAS pouvoir supporter cette épreuve. Et il était désarmé.
« M-m-mais j'ai pas d'arme ... »
Une excuse digne d'un lycéen. Mais après tout, il était un lycéen. L'honneur était donc sauf. Il pouvait au moins faire un pas en avant, non ? Ok, il avait fait un pas en avant. Maintenant, il ne bougeait plus, sauf pour faire demi-tour en courant.
- Résumé:
- Striky fait un pas en avant.
Striky parle en #d44242.
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